Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Une ville en mutation : changements climatiques et transformations urbaines

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 novembre 2010 11 commentaires

Lieu de résidence d’un individu sur deux, la ville est un système complexe sur lequel les phénomènes météorologiques agissent hors du contrôle humain. Sans en prendre conscience, le climat nous influence dans notre quotidien que ce soit dans le choix de nos sorties, de nos loisirs, des modes de transport utilisés ou des délais de déplacement. À court terme, les changements climatiques et leurs effets pourraient grandement affecter l’ensemble des activités urbaines et avoir d’importants impacts sur les modes de vie, mais aussi sur les réseaux et les équipements jusqu’à compromettre certains services essentiels. Dans un avenir immédiat, les villes seront appelées à entreprendre diverses mesures afin de minimiser les dommages et les coûts associés aux effets des changements climatiques. Quels seront alors, pour la Communauté métropolitaine de Québec, les impacts négatifs liés aux changements climatiques ? Quels moyens ont été mis en oeuvre pour en limiter les effets et quel rôle les citoyens auront-ils à jouer dans ce domaine ? Table ronde organisée conjointement par la Chaire publique ÆLIÉS et la Chaire de recherche du Canada en aide à la décision territoriale (ADT) à l’occasion du lancement du projet de recherche Changements climatiques et transformation urbaine : un projet de recherche-action pour renforcer la résilience de la Communauté métropolitaine de Québec piloté par la Chaire ADT.


29 novembre 2010 – 19 h 30 Amphithéâtre Hydro-Québec, Université Laval (Admission libre)

Voir aussi : Conférences / évènements, Environnement.


11 commentaires

  1. davedeux

    24 novembre 2010 à 18 h 05

    En fait la solution est très simple, harmonisé la démographie en
    fonction des capacités d’absorptions de l’environnement.
    Exemple: Les terres arabes sont de plus en plus rares dans plusieurs pays (Désertification, appauvrissement), il faut donc faire en sorte de les conserver pour le futur. De même que l’eau. En fait, pour a région de Québec, faudrait plafonner la démographie et pour la région de Montréal, la diminuer.
    Tenez, un petit lien pour finaliser ma penser:
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Décroissance_démographique

    PS S.V.P les pas forts en neurones éviter d’intervenir avec des
    termes comme « Malthusien » ou « Xénophobe », c’est vieux, dé-
    passés et sa manque d’originalité. Merci

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    • Francis Vachon Utilisateur de Québec Urbain

      24 novembre 2010 à 19 h 27

      Tu as raison. On plafonne la démographie à Québec. Comme j’ai un fils qui va naître en février, je m’attent à ce que tu te suicide d’ici là pour garder la population au même niveau. Deal?

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    • julien

      24 novembre 2010 à 19 h 33

      Plafonner pour la région de Québec????Il me semble que pour la superficie de la ville on pourrait être 3 fois plus, puis il n’y aurait personne qui manquerait de ressources au point de mourir de faim ou de soif…

      Il suffit de savoir utiliser nos ressources intelligement… Est-ce une utopie???

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      • davedeux

        24 novembre 2010 à 19 h 55

        D’accord avec vous. Mais compte tenu de la courte vue de nos
        politiciens, plus pressés a construire des autoroutes pour plaire
        a des ÉLECTEURS, c’est une utopie.

         » Utiliser nos ressources intelligement », c’est la meilleur des
        solutions et c’est faisable. Mais c’est quoi le plus rentable
        pour un politicien? Suggérer à un population de mieux gérer
        des ressources(comme freiner le remplissage des piscines
        l’été) ou de promettre a tord a travers des amphithéâtres?
        C’est le choix entre la logique ou l’illusion.

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      • julien

        25 novembre 2010 à 08 h 26

        Si vous pensez que les politiciens ne sont pas aussi intelligents que vous et ne peuvent pas proposer de gérer les ressources intelligement, j’imagine que vous vous doutez que ces mêmes politiciens ne vont pas faire une campagne électorale en disant des choses du genre: « si je suis élu, je m’engage à faire baisser la population montréalaise de 10%… »

        Alors, préparez vous, nous allons manquer d’eau, de nourriture, des cas de cannibalisme vont arriver car les gens auront faim, la guerre civile approche…. Ne tardez pas, et commencez tout de suite à vous construire un bunker dans votre cave et y stocker vos provisions ;-)

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    • nietnietniet

      25 novembre 2010 à 14 h 14

      On dit des terres « arables » , pas « arabes »

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  2. davedeux

    24 novembre 2010 à 19 h 34

    Je m’attendais a des réactions de ce genre. Mais puisque que je
    suis un être plein de mansuétude, je pardonne ton intervention
    appuyée sur l’émotion…Et félicitation pour le rejeton…j »ai déjà
    passé par là.

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  3. Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

    25 novembre 2010 à 01 h 52

    Les terres arabes ne sont pas rares à moins que tu parles des terres arables.

    De toute façon, avec la technologie et un marché agricole ouvert et avec le moins de barrières possibles, je suis convaincu qu’on réussira à nourrir tout le monde. On va manger probablement moins de viande avec le temps car la production de viande nécéssite plus de terre que l’équivalent en céréales.

    Pour la pénurie de terres ARABLES, soyons réaliste, l’agriculture au Québec est limitée à cause du climat. Difficile de concurrencer la Californie, la Floride ou le Brésil. Il y a plein de terres agricoles au Québec qui sont désormais boisées, du à l’abandon des terres de moindre qualité aussi.

    Il ne faut pas oublier non plus que l’ex-URSS ne produit pas encore au même niveau qu’avant 1991, or, l’UKraine, le kazakhstan et la russie peuvent produire beaucoup plus de céréales qu’aujourd’hui.

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  4. jean

    25 novembre 2010 à 09 h 15

    Je vous invite à assister à cet évènement. Les impacts des changements climatique sur un milieu urbain vous toucheront, positivement ou négativement, bien plus que vous pouvez le penser. Le thème abordé est l’adaptation aux changements climatiques à l’échelle régionale. On est loin des grandes théories sur la démographie planétaire et la disparition des terres arables.

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  5. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    25 novembre 2010 à 11 h 30

    L »Europe est densifié et on la prend en exemple à tout bout de champ. Pourtant leur Grenelle les a conduit à la faillite et un à un les pays sont en difficulté financière.

    L’espagne a opté pour le photovoltaïque et a créé du chômage et un endettement invivable quand le compte d »électricité a triplé et que les gouvernement s’est endetté dse 6 milliards d’euros pour subventionner cette solution verte.
    http://www.contrepoints.org/2010/10/21/4699-le-desastre-photovoltaique-espagnol

    D’autres comme la France et le Danemark se sont lancés à corps perdus dans l’éolien. On a doublé le coût de l’électricité malgré les subventions généreuses. La France s’est tournée vers le nucléaire et l’Allemagne vers le charbon.
    http://www.legeologue.com/2010/10/rentabilite-des-eoliennes-une-realite-demasquee/

    Quand les européens viennent nous visiter, la première réalité qui les frappe est l’immensité du pays et le peu de densité. Alors pourquoi viser à nous serrter les rangs pour des mythes.

    Par l’hydroélectricité et la faible densité, nous avons le leadership de la qualité du climat. Alors vouloir en faire plus est un mythe surtout quand on utilise des pays qui ont un bilan énergétique moins avantageux que le nôtre.
    Faudrait pas capoter et vouloir aller jusqu’à la baisse démographique comme les Paul Desmarais, David Rockfeller, Al Gore, Bill Gates, Georges Sorros, Maurice Strong, Ted Turner. etc… prônent la diminution de la population pour qu’ils règnent sur moins de monde à exploiter et que des soldats verts viennent nous vendre cette salade, je me demande si sortir la religion a de ces effets pervers de nous amener une religion verte.

    Quant à la densification de Québec via le tramway, c’est une vrai farce. Ceux qui voient le vidéo du tracé du tramway voient vite qu’on exagère l’affaire de densification pour nous faire payer des milliards d’investissement pour flatter l’égo de certains de faire comme en Europe et forvcer les citoyens à adopterun réseau de transport innefficace.

    Des exemples d’exagérations dans le vidéo du tramway :

    1- Au coin de Charest et René-Tremblay on montre des édifices qui surgissent autour du parcours alors que ce terrain est celui du cimetière Belmont. On va déplacé les morts où pour creuser ???
    2- Au coin de Marie-de-l’incarnation et Charest, il y a un centre d’achat avec un supermarché Métro, un Normandin, une pharmacie et une clinique médicale. On voit surgir des édifices enlevant tout le stationnement de ce centre d’affaires qui est toujours plein.
    3- À D »estimauville, on amène 750 fonctionnaires et on construit un éco-quartier en enlevant tout le stationnement du coin en laissant que très peu pour eux. On enlève le parc-o-bus qui est plein à chaque jour et même déborde autour de l’ancien Cdn Tire et même au centre d’achats. On enlève le stationnement du surpermarché Maxi qui est utilisé a 80% et on bâti cinq édifices à bureaux sur le stationnnement sur centre d’achats La Canaredière qui est luii aussi très occupé en tout temps. C’est fou de vouloir faire disparaitre des automobiles qui dans quelques années seront majoritairement hybrides ou à gaz naturel ou électriques, donc peu de GES. Nos autos sont moins énergivores au popint où des stations-services sont fermées.

    Tout le monde ne se promène pas à vélo pour partir de Beauport et s’en aller à Place Laurier. On nous pousse vers un réseau de transport en commun qui est inefficace et qui rêve en couleur sans se soucioer du transit de plus en plus important à cause de la construction de ceinture.

    Le transit grandira à mesure que l’on incitera les gens à s’éloigner du centre-ville peu accueillant qu’on veut étendre aux banlieues qu’on a fusinnées. Ce n’est pas surprenant que la rive-sud a poussée comme un champignon et crée des embouteillages sur les ponts à chaque jour. Déjà les édifices de Laurier qui amènenet un achalandage accru crée des probèemes de circulation. Personne ne s’en soucie…

    On utilise la même façon de penser des année 60 qui a fait fleurir les maudites banlieues qu’on a fusionnées et qu’on veut mouler comme le centre-ville. On créera une deuxièeme banlieue de ceinture et c’est bien parti. Mme Marcon de GM Développement demeure au lac Beauport pas au centre-ville. Pour quelqu’un qui fait la promotion du centre-ville c’est paradoxal.

    C’est comme si on refaisait le toit du mail St-Roch pour concurrencer les centres d’achats qui attirent tujours et attiraient les clients avec leur capacité d’accueil de stationnement que maintenant on veut diminuer. Les solutions sur la table arrivent au même résultat. Pas surprenant que Boischatel, Ste-Brigitte de Laval, le Lac Beauport, Stoneham, St-Augustin etc… poussent comme des champignons. Pendant ce temps on pense à chromer le réseau du RTC au centre-ville ignorant ces gens qui s’en éloignent…

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  6. Le Blogue de Limoilou :: Une ville en mutation : changements climatiques et transformations urbaines

    26 novembre 2010 à 04 h 03

    […] : ce billet de Gérald Gobeil (Québec Urbain), 24 novembre 2010. Lieu de résidence d’un individu sur deux, […]

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