Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Un pavillon Banque Nationale à l’université Laval?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 15 septembre 2011 8 commentaires

Source : Marc Allard, Le Soleil, 13 septembre 2011

Après TELUS et le stade du Super PEPS, c’est au tour de la Banque Nationale de financer un bâtiment à son nom à l’Université Laval. L’institution financière donne 3 millions $ à la faculté des sciences de l’administration (FSA) pour la construction d’un centre qui servira notamment à la formation des cadres sur le marché du travail.

Le Centre Banque Nationale nécessitera la reconfiguration du pavillon Palasis-Prince et la cons­truction d’une annexe de 2000 m2 qui le reliera au pavillon La Laurentienne. Le coût du projet est évalué à 9 millions $. La FSA n’a pas encore fixé l’échéancier du chantier.

Lire l’article

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge.


8 commentaires

  1. Jeff

    15 septembre 2011 à 12 h 54

    Good encore des bonne nouvelles dans le secteur de la construction!! Ça grandit à vue d’oeil Québec et que ç continue dans cette voie :) .

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  2. M-a

    15 septembre 2011 à 15 h 07

    Bonne nouvelle! J’ai hâte de voir comment cette nouvelle sera accueillie par la gauche étudiante…il va surement y avoir un peu de grogne…pour faire changement!

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    • Christophe

      15 septembre 2011 à 15 h 31

      Bof, une partie de l’université commanditée, ça ne serais pas une première. Le Palasis-Prince est déjà bourré de commandites. Pourtant, jamais entendu parlé de grogne. ;)

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      • davedeux

        15 septembre 2011 à 17 h 37

        Non,la grogne c’est dans la tête de M-a. Il fait sans doute
        partie de ceux qui ont peur de circuler en bicycle de peur
        d’avoir une crevaison.

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      • M-a

        16 septembre 2011 à 10 h 16

        Je ne suis pas contre tout au contraire! Et la grogne, on l’a observé lors du projet Sobeys… Je crois que ça aurait été bénéfique pour l’UL et les étudiants, mais certains ont démonisé le projet. La différence est les profit que la Cie aurait fait…peut être qu’il est là le « démon »… J’en conviens, la gauche étudiante n’est pas formé que d’extrémistes anti-capitalisme!

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    • julien

      16 septembre 2011 à 08 h 02

      Le pavillon de la Banque Nationale sera relié au Pavillon « La Laurentienne » et ne sera pas trop loin du Pavillon « Desjardins »

      On peut ajouter à cela le pavillon Abitibi Price et le nouveau Stade du Peps TELUS

      Sans compter la Salle IBM du Palasis Prince
      L’amphithéatre Hydro-Québec dans le Desjardins

      Et, tous ces noms n’ont pas vraiment entraîné de contestation… Pourquoi ce serait différent pour la Banque nationale??

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  3. Manu

    15 septembre 2011 à 22 h 06

    Ce ne sera pas le premier ni le dernier pavillon à porter un nom de compagnie.

    D’ailleurs, même la « gauche étudiante » (une telle chose existant probablement) ne pourrait s’en offusquer, puisqu’il s’agit de « faire payer » un corporation pour le bien de la sociétié. En retour, ce n’est pas le nom d’un pavillon qui devrait pervertir ces « libres penseurs » que sont les universitaires.

    Ce que je trouve un peu étrange par contre, c’est que les noms semblent attribués « à vie » (la vie du pavillon, et même de quelconque portion de pavillon pouvant être appelée à le remplacer advenant sa démolition). Ne pourrait-on pas se limiter à « une génération », disons 25 ans? À terme, le nom est transféré sur une grande plaque bien en vue dans le hall d’entrée, ou sur tout autre « support honorifique » du genre, et la compagnie en question pourrait alors payer pour un autre 25 ans à un prix raisonnable à ce moment, ou simplement le remettre aux « enchères ».

    Au nombre de pavillons à l’Université Laval (même si on exclut ceux qui portent des noms de personnes pour ne pas froisser personne), ce serait un moyen facile de faire rentrer quelques million de temps à autres.

    Il me semble aussi que 25 ans serait amplement suffisant pour laisser sa marque dans l’histoire du campus sans pour autant prendre le nom d’un pavillon en otage pour les siècles à venir.

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