Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Québec ensevelie de neige en 1894

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 décembre 2012 21 commentaires

La ville de Québec ensevelie par la neige en hiver autour de 1894. Photographie de Louis Prudent Vallée.

Autrefois, la ville ne ramassait pas la neige. Chaque citoyen avait le devoir de le faire devant chez lui. Pour des raisons de sécurité, incendie et pour accommoder l’automobile, on a commencé la compression et plus tard le ramassage de la neige à Québec.

Voir aussi : Voyage dans le temps.


21 commentaires

  1. François Magellan

    4 décembre 2012 à 11 h 26

    De nos jours, les gens veulent que la neige soit ramassée avant qu’elle soit tombée…

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    • Bloomerang

      4 décembre 2012 à 18 h 24

      Nous pourrions faire « crever » les nuages au dessus des montagnes avant qu’ils arrivent en ville :-)
      signé un skieur.

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      • Bloomerang

        4 décembre 2012 à 21 h 36

        Je crois que Pékin l’a aussi fait pour la pluie durant les jeux Olympiques. Mais votre lien avec Moscou… qu’il est bien !!

        Ce serait un double avantage: pour les centres de ski MSA, Stoneham et compagnie en plus pour les citoyens de la ville de Québec et aussi pour la facture de déneingement… seuls perdants = les cols bleus…

        Voici la motivation de Moscou :
        « Le tout-puissant maire, en poste depuis 17 ans, n’est pas allergique à l’hiver. Sa motivation est plutôt d’ordre budgétaire. Selon ses estimations, la ville pourrait économiser entre 160 et 300 millions de roubles (5,7 et 10,7 millions CAN) chaque hiver en déneigement si les grandes tempêtes de plus de 10 cm de neige étaient évitées. La chasse aux nuages ne coûterait qu’entre deux et trois millions de dollars par hiver, toujours selon le maire. »

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  2. dans le 1000 Utilisateur de Québec Urbain

    4 décembre 2012 à 13 h 06

    «De nos jours, les gens veulent que la neige soit ramassée avant qu’elle soit tombée…»

    C’est normal, on encourage les gens (tant au niveau politique et social qu’au niveau du coût de l’essence) à acheter des Fiat et des Yaris au lieu de vrais véhicule 4×4 mieux adaptés pour nos hivers.

    Si j’étais propriétaire d’une sous-compacte je souhaiterais probablement que la ville ramasse la neige à chaque un ou deux pouces tombés.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      4 décembre 2012 à 14 h 39

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    • Francis L

      4 décembre 2012 à 15 h 29

      Le marketing des constructeurs automobile à bien fonctionné sur vous. Vous êtes maintenant convaincue qu’il est indispensable de posséder un véhicule 4×4 pour vivre au Québec.

      Sauf quelques jours par année, quand avez-vous besoin de ce genre de véhicule pour vous de déplacer en ville?

      En fait, dernièrement la section automobile de La Presse affirmait même qu’il était dangereux de posséder un 4×4, car le conducteur qui conduit ce genre de véhicule a tendance à avoir trop confiance au volant de sa voiture.

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      • Seb G.

        4 décembre 2012 à 16 h 17

        Je conduis probablement l’un des plus gros 4×4 qui se construise (Chevy Suburban 2012) et je ne change pas ma conduite hivernale pour autant…c’est très pratique pour la tenue de route et pour ne pas rester « pogné », mais n’empêche que c’est beaucoup plus lourd qu’un automobile ordinaire et que ça parait quand c’est le temps de freiner…! Bref je n’ai pas changer mon comportement de conduite, même qu’il faut être encore plus attentif puisqu’on en prend plus long et plus large que la majorité sur la route (voir les déplacements en ville, où c’est plus étroit ainsi que dans les stationnements ou autres endroit plus serrés).

        Le choix d’une voiture revient aux consommateurs, selon leurs goûts, besoins et moyens.

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      • Pier Luc

        4 décembre 2012 à 18 h 24

        En tout cas un 4×4 sur la glace ça dérape comme une fiat… Et puis, quand ça se ramasse dans le clos, ça ne sort pas tout seul. Juste à regarder ça sur les autoroutes pendant les tempêtes de neige.

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      • Seb G.

        4 décembre 2012 à 18 h 49

        Pier-Luc:

        je dirais qu’un 4×4 dérape moins qu’une petite voiture. Et je parle par expérience. L’avantage d’un 4×4 est d’utiliser les 4 roues pour bouger le véhicule, lui donnant ainsi un avantage indéniable sur le 2×4.

        Va conduire la route 389 entre Manic-5 et Fermont sur une route de glaçe (sans jeu de mot, c’est véritablement une route sur fond de glaçe….j’ai même été éblouie par la route puisque le soleil se projetait sur la glaçe et m’aveuglait comme si je le regardait dans un miroir. J’ai même des photos (de piètre qualité) à l’appuie).

        Et puis un 4×4 qui perd le contrôle a beaucoup plus de chance d’être capable de se sortir du trouble un coup dans le banc de neige. La seule chose, si vous êtes enlisé avec un 4×4, vous êtes VRAIMENT enlisé pour de bon puisque la voiture se trouve « jacké » dans les airs et les pneus ne touchent peu ou pas à la route ou au sol. Bref j’aime beaucoup mieux être dans un gros 4×4 l’hiver (sauf pour économie d’essence bien entendu).

        Et pour l’été, rien ne vaut une voiture à propulsion!

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      • Francis L Utilisateur de Québec Urbain

        4 décembre 2012 à 20 h 42

        Vous avez parfaitement raison quand vous dites que le choix revient au consommateur.

        Mais le fait est que la majorité des propriétaires de 4×4 n’en n’ont quasiment jamais besoin. Les consommateurs mélangent les besoins et les désirs. Les gens pensent qu’ils ont besoin d’un 4×4 pour nos hivers, alors que dans les faits, beaucoup de ces gens ne sortent pas assez souvent des milieux urbains pour justifier cet achat.

        Les constructeurs automobiles ont bien compris comment créer du désir, et ils ont réussit à convaincre beaucoup de consommateur qu’ils ont un « besoin » qui n’existe pas réellement. Je crois que la preuve de ce que j’avance, c’est qu’à chaque augmentation du prix de l’essence, les 4×4 perdent en popularité. Pourtant, je ne crois pas que les vrais utilisateurs de 4×4 remettent en question leur achat pour si peu.

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  3. Humanité inc.

    4 décembre 2012 à 15 h 42

    Sommes-nous en train de bifurquer du sujet original, par hasard, par un commentaire qui ne semblait que vouloir provoquer inutilement?

    Dans un autre ordre d’idées, un gros merci à l’équipe d’assurer la recherche et publier de telles photos. Je dois admettre adorer ce genre de billet.

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  4. J.

    4 décembre 2012 à 16 h 20

    De la neige à Québec:
    http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/evenements/23843.html
    En 1960, à Lévis, une tempête avait laissé la plus grande quantité de neige que j’ai vu à ce jour. (Quand même depuis 52 ans !) Pas trouvé de données actuelles sur cette tempête. On était sur les monticules de neige et on voyait le chasse neige en bas, essayant d’ouvrir le chemin ! Il était plusieurs pieds plus bas, or on était sur le bancs de neige (dos de baleine) laissé par la tempête.

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  5. nietnietniet

    4 décembre 2012 à 20 h 00

    C’est donc vrai ce que disent nos aïeuls : « dans mon temps il y avait de la neige jusqu’au toit, on marchait 20 miles pour aller à l’école et on avait des oranges à Noel »

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  6. Alexandre Utilisateur de Québec Urbain

    5 décembre 2012 à 16 h 07

    Quelqu’un sait c’est sur quelle rue?

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  7. Alexandre Utilisateur de Québec Urbain

    5 décembre 2012 à 16 h 10

    C’était vraiment pas sécuritaire!

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  8. Claude Jean

    8 décembre 2012 à 14 h 05

    Et l’arrivée de la modernisation

    L’esprit du lieu: Québec
    Images du patrimoine de la capitale

    Gratte à neige, rue Dupont, vers 1895

    http://www.espritdulieu-quebec.ulaval.ca/?p=160

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