Martin Dubois
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En ce dimanche de tempête hivernale, alors que je m’apprête à écrire ce billet, je ne peux m’empêcher d’aborder le thème de l’influence du climat sur notre architecture, et plus particulièrement du froid et de la neige qui ont façonné nos paysages bâtis. (…) Il en résulte, au milieu du 19e siècle, un modèle de maison typiquement québécois, fruit d’un mélange d’influences françaises et anglaises et d’une ingénieuse adaptation à nos conditions climatiques. La maison traditionnelle québécoise d’inspiration néoclassique est donc l’exemple par excellence d’une architecture vernaculaire, c’est-à-dire propre à une région, à un pays. En effet, ce modèle n’existe pas ailleurs qu’au Québec en raison des conditions particulières, autant culturelles qu’environnementales, qui ont façonné notre territoire.
16 janvier 2014 à 17 h 18
dommage… Il y a une quinzaine d’années, c’était le thème de mon mémoire de maîtrise en urbanisme ; une politique de ville nordique pour la ville de Québec.
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