Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les bancs publics de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 1er avril 2014 11 commentaires

Banc public 2014-04-01 001 004

* Habituellement, les bancs publics de Québec (oeuvre de Charles Baillairgé) étaient entreposés durant notre rude hiver. Pas cette année …

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.


11 commentaires

  1. Réal Utilisateur de Québec Urbain

    1er avril 2014 à 11 h 24

    … et ni l’hiver dernier et celui d’avant …ils se détériorent rapidement et ne sont pas entretenus sur place non plus … j’imagine qu’on va les envoyer à la scrap. Un gaspillage qui n’a rien de très écologique.

    Encore des économies de bouts de chandelle qui diminuent la qualité de vie des citoyens comme on le fait avec le déneigement ces années-ci !

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  2. Anne-Marie Laroche

    1er avril 2014 à 14 h 55

    Quel spectacle désolant de voir notre beau mobilier urbain se faire massacrer par l’hiver. Tout cela pourquoi ? Pour sauver quelques dollars qui seront multipliés allègrement quand viendra le temps de restaurer ces magnifiques bancs. Le poids de la neige, le gel et dégel, le calcium, autant d’éléments qui sont incompatibles avec la préservation de ce patrimoine.

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  3. j.

    1er avril 2014 à 17 h 22

    Si mon souvenir est exact, les bancs sont restés en place parce que les cols bleus étaient en moyen de pression à l’automne et avaient décidé que ce n’était pas une tâche essentielle à accomplir dans le cadre de leurs négociations. Les autres années, j’avais assisté à des opérations de cueillette et entreposage de ces bancs. Les coûts de ce coup de force (en détérioration/remplacement) seront élevés à mon avis et cette dépense appartiendra à la partie patronale.

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  4. Manu

    1er avril 2014 à 22 h 56

    Je serais curieux de connaître le coût annuel pour remiser un banc (enlèvement, le transport, entreposage, transport, installation). Au pif, j’ai l’impression qu’en 3 ans on a atteint le coût d’un banc neuf, et qu’en 4 ans on dépasse le coût d’un banc neuf plus les frais de remplacement. Si c’est le cas et qu’il dure au moins 4 hivers, c’est moins coûteux de le laisser là.

    On pourrait peut-être aussi tout simplement les changer des bancs adaptés à notre climat, qu’on peut laisser dehors toute l’année.

    Pour l’aspect fonctionnel, ça permettrait de s’y asseoir toute l’année, et non seulement 6 à 8 mois. Pour l’aspect esthétique, ce qui importe selon moi c’est le style dans l’ensemble et non le grain de bois de chacune des lattes par exemple. Alors qu’importe que celles-ci soient en épinette torréfiée grisâtre, en bouteilles de plastique recyclées, ou en béton texturé. Par contre, pour revenir au fonctionnel, des matériaux qui conduisent peu la chaleur (et qui ne se dégradent pas l’hiver) seraient probablement préférables.

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    • jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

      2 avril 2014 à 08 h 48

      Ces bancs sont beaux et simples, avec leur base en fer ouvragé et font «la job» depuis très longtemps.
      Alors pourquoi ne pas entretenir ce que l’on a déjà plutôt que de les remplacer par ces horreurs en plastique recyclé que l’on voit un peu partout ailleurs, d’autant plus que l’on s’évertue à trouver des façons d’utiliser une de nos principales ressources naturelles qu’est le bois.

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      • Manu

        2 avril 2014 à 10 h 10

        J’ai pourtant plaidé pour conserver le style actuel, et je suis d’accord pour qualifier celui-ci de « beau et simple ».
        Si ceux qu’on a peuvent passer l’hiver, alors pourquoi pas? Sinon, est-ce que l’entretien revient plus cher que l’acquisition? qu’on regarde alors les alternatives le cas échéant.

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  5. sgauvin Utilisateur de Québec Urbain

    3 avril 2014 à 13 h 15

    Comme d’autres ont mentionnés, c’est pas uniforme. Par exemple, il y a un banc sur Reine coin Dorchester qui n’était pas là l’an dernier et qui est resté en place cet hiver. Il est rapidement disparu, enterré sous la neige et j’ai peur de voir dans quel état il va être lorsqu’il va réapparaître.

    Ceux au même coin de rue mais sur Dorchester sont au moins restés «utilisables».

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  6. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    3 avril 2014 à 21 h 13

    Avec le début de la fonte de la neige, on commence en effet à les voir réapparaitre et la plupart semblent avoir particulièrement souffert de l’hiver…

    Si les citoyens ont compris qu’il est plus économique de ranger ses meubles de jardin à l’automne pour les protéger plutôt que de tout replacer aux 2 ans, je ne vois pas pourquoi la ville ne ferait plus de même…

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