Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le rêve de la banlieue bien vivant à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 avril 2014 3 commentaires

Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) En dépit des efforts de la Ville de Québec pour accroître l’offre de condos, de maisons de ville et d’autres déclinaisons de densité urbaine, les citoyens de la capitale préfèrent encore majoritairement une maison unifamiliale isolée dans un quartier résidentiel loin du travail, révèle un important sondage.

Où les citoyens de la région rêvent-ils d’habiter? La Ville de Québec a commandé un sondage Léger Marketing fin 2010 sur les aspirations de ses contribuables. Il s’agit de la plus récente étude du genre à la Ville de Québec. Le sondage – présenté vendredi à des chercheurs de l’Université Laval et obtenu par Le Soleil – a un échantillon impressionnant avec 2506 personnes.

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3 commentaires

  1. Janie Breton

    14 avril 2014 à 11 h 00

    C’est peut-être à cause de ça que les condos de l’immeuble situé au coin Cartier et chemin Sainte-Foy n’ont pas été vendus.

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  2. Jp-Duval

    14 avril 2014 à 17 h 06

    Le rapport qualité/prix versus l’emplacement n’est pas de nature à stimuler les acheteurs.

    Compte tenu de la rondelette somme demandée ainsi que des faibles taux hypothécaires, l’acquisition d’une propriété en banlieue demeure un meilleur investissement.

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  3. simval

    14 avril 2014 à 22 h 58

    J’aimerais noter qu’il y a quand même 42% des sondés qui affirmaient être prêts à habiter dans un logement plus petit sur un plus petit terrain si cela leur permettait d’habiter dans un quartier plus près du travail et des services. Combien des logements disponibles sont dans cette catégorie de maisons plus petites à proximité des emplois et des services? Je suis pas mal sûr que c’est moins que 42%, une fois qu’on exclut les petits 3 et demi et 4 et demi dans des blocs appartement douteux.

    Je me demande aussi si la forme actuelle des centres d’emplois et commerciaux n’est pas un facteur. Quelqu’un qui travaille dans un bureau situé dans un parc industriel ou près d’un échangeur autoroutier, et qui magasine dans un gros centre commercial fermé entouré d’un énorme stationnement… Cette personne-là aura-t-elle envie d’habiter près de son lieu de travail et des services? Ce ne sont pas vraiment des coins qui font rêver et où les gens veulent habiter en général.

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