Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Covoiturage dès l’automne sur l’autoroute Robert-Bourassa

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 juillet 2014 26 commentaires

Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Un projet pilote de covoiturage sera lancé dès l’automne sur l’autoroute Robert-Bourassa. Les véhicules avec deux personnes à bord pourront rouler sur les voies réservées au transport en commun, situées au centre de la chaussée.

La suite

Autoroute Robert-Bourassa: covoiturage nuisible, selon Accès transports viables * Annie Morin (Le Soleil)

Accès transports viables dont on peut prendre connaissance du rapport d’activités 2013-2014

Voir aussi : Covoiturage, Transport en commun.


26 commentaires

  1. antoine c

    10 juillet 2014 à 07 h 52

    je suis totalement d’accord avec ceux qui disent que si covoiturage il y a ce devra être avec au moins 3 personnes dans l’auto. C’est sans cela totalement ridicule d’avoir tant investi pour cela, de prôner le transport en commun et de revenir encore en arrière… ah tiens n’est ce pas ce que la ville fait toujours… prôner le développement durable, mais continuer a favoriser l’expansion de la ville, au détriment de la densification de son centre…

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  2. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    10 juillet 2014 à 09 h 09

    On ne semble pas vouloir comprendre qu’une quarantaine de personnes assises dans un bus devraient avoir un peu plus priorité que deux personnes dans une voiture…

    De toutes façons, on voit bien que le maire a ne croit absolument pas au transport en commun. C’est encore l’ère du «mon bungalow, mon char, mon autoroute…»

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  3. antoine c

    10 juillet 2014 à 09 h 25

    effectivement, il suffit de regarder vers ou la ville va…euh… je ne sais pas vers ou elle va justement : on est en train de vider le centre ville pour Ste-Foy ou on construit des tours style année 80, on délaisse le centre, on a mis de coté les efforts en transport en commun, on nous pelte de la broue avec les écoquartiers, qui au final auraient pu juste etre des quartiers résidentiels denses et intéressants, on élargie les autoroutes pour développer des banlieues, et favoriser l’étalement urbain. On s’éloigne il me semble de tout ce qui se fait dans le monde et ce n’est pas positif comme éloignement. C’est dommage, on veut etre la ville parfaite par exellence, on nous dit qu’on sera la ville de l’eau, et ou il fait bon vivre… Dommage… Meme l’amphithéatre aurait pu etre au centre ville et venir donner un coup de main sérieux a son animation, mais non, on l’a placé là ou ça coûtait moins cher, maintenant ls ville vient de former un comité pour savoir comment faire vivre le site… désolant…

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  4. Francois Magellan Utilisateur de Québec Urbain

    10 juillet 2014 à 12 h 23

    je prévois une hausse des ventes de poupées gonflables et de mannequins de style magasins dans les couronnes nord et sud de Québec… Il faut bien que les automobilistes se trouvent des passagers…
    effectivement, comme il a été mentionné plus haut, trois passagers me semblent un minimum.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • j.

      11 juillet 2014 à 03 h 41

      Il y a une boutique qui a fermé ses portes rue St-Jean, juste en face de R-Canada. Les mannequins sont restés sur place. Quelqu’un pourrait faire un bon deal en les achetant et en les revendant aux automobilistes. Il y en a un bon nombre. Et ils ne sont pas causeurs, c’est toujours ça de pris.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  5. Jeff M

    10 juillet 2014 à 16 h 57

    La chose vraiment importante est de garder la voie fluide. C’est sa raison d’être. Si à deux personnes par véhicules la voie devient trop ralentie, on sera justifié de resserrer les critères. C’est une question d’optimisation. Le but est de faire passer des véhicules à haut taux d’occupation, mais les critères sont à ajuster selon la demande.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • julien

      10 juillet 2014 à 17 h 13

      Bien d’accord. Plus que le nombre de passagers par véhicules, l’important c’est de déterminer le niveau de fluidité acceptable pour la voie.

      Est-ce que 100 voitures à l’heure peuvent s’ajouter sans nuire à la circulation des autobus? Si oui, ensuite, on détermine le nombre de personnes que ça prend au minimum pour ne pas dépasser les 100 voitures… Et si jamais il y a plus d’autos que prévu, on augmente le nombre de passagers…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • Jeff M

        10 juillet 2014 à 20 h 00

        Je crois avoir lu qu’une voie peut supporter autour de 1000 véhicules à l’heure sans ralentir. Je ne me suis pas avancé car je ne suis pas sûr de cette information. Mais il apparaît évident que cette voie sur Robert-Bourassa peut accueillir beaucoup plus de véhicules et qu’à deux par véhicules cela peut probablement bien fonctionner. En ce moment, nous avons une infrastructure sous-utilisée.
        Et puis j’estime que le covoiturage est une bonne pratique à encourager.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
  6. «Le» lecteur assidu

    10 juillet 2014 à 17 h 51

    Avant toute chose, et prenant pour acquis que se réalisera ce projet pilote de co-voiturage avec 2 personnes ou plus, « on » doit s’assurer qu’il y aura une surveillance *systématique par la SQ.

    * Systématique : Du lundi au vendredi, donc 5 jours sur 5, tant pour TOUTE la période du matin que pour TOUTE la période de fin d’après-midi, avec plus d’un seul véhicule de patrouille et ce pour TOUTE la durée du projet pilote.

    À défaut, ça va être encore une fois une véritable farce analogue à celle concernant les voies « dédiées » au Metrobus …pour ne pas dire une « prime » au comportement « distinct » !

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

      13 juillet 2014 à 08 h 44

      Vous croyez vraiment que la SQ va y mettre des équipes du lundi au vendredi?
      Poser la question c’est y répondre…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • «Le» lecteur assidu

        13 juillet 2014 à 09 h 59

        *À jfr1954 (sic) et autres personnes intéressées

        Je souscris à votre interrogation et à la réponse que vous y donnez.

        Dit autrement, mon commentaire se voulait source de réflexion menant à semblable conclusion ( de façon moins limpide, j’en conviens ).

        Osons croire que tant le MTQ, que la SQ, y compris « quequ’un » à la ville de Québec, vont « nous » lire et, le rêve n’étant pas encore un comportement illégal ( ! ), nous donner tort ……en s’assurant de faire le nécessaire.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
    • Louis-Nicolas

      13 juillet 2014 à 09 h 59

      En tout cas ils ont prévu le coup en construisant. Il y a au moins 2 accotements d’une bonne centaine de mètres le long du terre-plein central de Robert-Bourassa. Parfait pour attraper les fautifs :)

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  7. pbegin Utilisateur de Québec Urbain

    10 juillet 2014 à 18 h 47

    Belle brochette d’anti-auto!

    Le commentaire le plus sensé : « Est-ce que 100 voitures à l’heure peuvent s’ajouter sans nuire à la circulation des autobus? Si oui, ensuite, on détermine le nombre de personnes que ça prend au minimum pour ne pas dépasser les 100 voitures… Et si jamais il y a plus d’autos que prévu, on augmente le nombre de passagers… »

    Pourquoi laisser de la capacité inutilisée? On a payé pour! Et si ça ajoute 1 minute à un voyage de 20 minutes aux autobus en montant les voitures à 150 à l’heure, pour rester dans l’exemple, pourquoi pas? C’est une belle optimisation de la capacité.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Yvan Dutil

      11 juillet 2014 à 08 h 21

      Dexu raisons:

      -Parce qu’il faut que ce soit gérable

      -Parce quand on aura besoin de la capacité pour le transport en commun plus tard, on ne pourra revenir en arrière.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  8. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    10 juillet 2014 à 19 h 00

    « 40 personnes dans un autobus » HA HA HA HA

    VOS AUTOBUS SONT VIDES!!!!!! Et la voie est VIDE, pendant 6 mois j’ai pris Du Vallon (hé oui Robert Bourassa) pour un travail, du début à la fin en moyenne 8 autobus(la plupart vides ou presque) sur quoi 8 KM? La voie est déserte!!!!!!

    La tactique des anti-auto « écoeurons-les ben comme il faut » ne marche pas!

    Je m’imagine aller porter mon enfant à l’école, allez travailler, retourner le chercher et retourner à la maison en ÉTAUBUS, je vais rester à la job 30 minutes par jour MAX, sans compter les déplacements de job assez fréquents mais pas journaliers…

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Yvan Dutil

      11 juillet 2014 à 08 h 23

      Je vous invites à prendre la 87 à n’importe quelle du jours pour voir s’il est vide.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
    • Jeff

      11 juillet 2014 à 11 h 17

      Vous savez ce qu’un autobus avec l’écriteau « En transit » signifie au moins j’espère?
      Parce qu’aux heures de pointes (donc aux moments où la voie réservée est utilisée par les bus), les express 300 et 500 transportent pas mal de monde et j’ai bien de la difficulté à croire qu’ils sont vides comme vous le dites. Mais vous pouvez bien voir ce que vous voulez voir…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
    • Sébastien Roy

      11 juillet 2014 à 12 h 38

      Encore une personne qui ne comprend pas que le bus n’est Pas Conçu et Obligatoire pour tout le monde, et qui ne comprend pas que plus qu’il y a de gens qui le prennent, plus la situation des automobilistes est directement avantagé, autant pour la fluidité que pour le stationnement (disponibilité, proximité et coût)… Mais il faut comprendre son ton Alarmiste, l’espace alloué à l’automobile n’est plus que de 98% du réseau routier!!! Vite! Appelez Denis Lévesque pour faire un reportage Émotif sur ce Génocide!!

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
    • Gale

      23 juillet 2014 à 12 h 15

      J’imagine que vous ne devez pas vous sentir en « Étaubus » puisque vous prétendez (à tord) qu’elles sont vides.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
    • Gale

      23 juillet 2014 à 12 h 26

      J’imagine que vous ne vous y sentez pas en « Étaubus » puisque vous prétendez qu’elles sont vides.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  9. Jeff

    11 juillet 2014 à 11 h 23

    Avec le comportement parfois primitif des automobilistes sur nos routes, bien hâte de voir comment les entrées/sorties d’autoroutes vont se dérouler pendant le projet pilote. ça risque d’être parfois dangereux, en particulier lorsqu’une voiture circulant sur la voie réservée aura à changer de 2 voies vers la droite en se faufilant dans le traffic pour atteindre sa sortie. La voie n’a clairement pas été conçue dans cette optique. Mais on verra bien.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • batstat Utilisateur de Québec Urbain

      11 juillet 2014 à 12 h 51

      Pour être un utilisateur régulier(en co-voiturage) de Robert-Bourassa Nord autour de 15h45, je crois que ça va fonctionner. À cette heure, la voie réservée est vide, hormis un ou 2 autobus, alors que les 2 autres voies sont par-chocs à par-chocs. La sortie la plus « désirée » est celle de Aut La Capitale et la fluidité y est excellente actuellement à cette heure pour y accéder, la voie réservée se terminant un peu avant. Je ne crois donc pas que l’utilisation de la voie réservée viendra chambouler quelque chose pour ce tronçon, à cette heure toujours.

      Par contre, pour Robert-Bourassa Sud, le matin, ça va être laid, beaucoup de gens voulant sortir au parc industriel…

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
    • Manu

      11 juillet 2014 à 22 h 40

      En direction sud, j’imagine que l’idéal serait de ne pas pouvoir sortir de la voie avant d’avoir dépassé la sortie vers Charest Ouest. On peut aussi rendre la voie réservée autobus seulement au-dessus de Versant-nord. Ça laisse lebout entre les deux, où la circulation est généralement plus légère (ayant été « retenue » aupravant), pour réintégrer les autres voies. On ne peut pas vraiment faire du covoiturage jusqu’à Hochelaga sans risquer de bloquer la voie de virage à gauche des autobus à l’université. À l’autre bout, il ne faudrait pas non plus pouvoir utiliser la bretelle réservée Capitale -> Robert-Bourassa car elle n’est vraiment pas faite pour supporter une file de véhicules.

      En direction nord, je dirais même principe: on entre mais on ne sort pas avant le bout de la voie réservée, hauteur Père-Lelièvre. Évidemment, ça se trouve à exclure plusieurs personnes qui voudraient sortir avant. Mais si on permettait les sorties avant, ça viendrait juste encombrer la voie et déferait ce qu’on tente de faire.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  10. Manu

    11 juillet 2014 à 22 h 50

    Avant même de parle de covoiturage, considérant qu’entre 8h30 et 9h, seulement DEUX autobus (un 330 et un 350) prennent la voie réservée au nord de Hamel, s’ajoutent à cela deux 87 au sud de Hamel, on pourrait aussi simplement rendre la voie non-réservée à 8h30 plutôt que 9h (d’ici à ce que le RTC ajoute des express du moins). Déjà là on ferait un gain assez facile.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  11. julien

    12 juillet 2014 à 08 h 44

    Ici, une voix réservée
    https://www.google.com/maps/@45.551747,-73.72439,3a,75y,295h,70.32t/data=!3m4!1e1!3m2!1s43LlAT2_1CwKk7k7WGHq1Q!2e0

    Autoroute 15 Nord à Laval

    La voie en direction Nord est à gauche de la chaussée
    L’accès est permis aux véhicules avec 2 passagers

    Et, ça fonctionne depuis des années…

    Pourquoi ça ne fonctionnerait pas à Québec??

    Signaler ce commentaire

     ou annuler