Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Prototypes de poubelles: un an de plus sur les trottoirs de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 21 juillet 2014 9 commentaires

Valérie Gaudreau
Le Soleil

(Québec) Déjà que la Ville de Québec cherche depuis plus de trois ans un modèle de poubelles dont l’apparence et le format conviendront à l’environnement historique du Vieux-Québec, voilà maintenant qu’elle prolonge d’un an le projet-pilote mené sur 10 prototypes, a appris Le Soleil.

La suite

Un billet précédent

* La route pour le remplacement du modèle de poubelles, amorcée en 2011, a été longue.

«Plus de 200 contenants utilisés un peu partout dans le monde ont ensuite été étudiés. Un comité de travail constitué de représentants de la Ville de Québec ainsi que du ministère de la Culture et des Communications a été créé pour étudier et valider les concepts préliminaires», rappelle Ville de Québec. Le Soleil

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou.


9 commentaires

  1. christian

    21 juillet 2014 à 09 h 32

    Quand je lis ce genre de bêtise, ça me donne l’envie de dire des gros mots. Y a des gens à la ville qui sont en train de justifier leur salaire pour des platitudes! J’ai lu deux fois l’article pour être certain de ce que je lisais :

    1. « la Ville ajoute maintenant 12 mois de tests ».
    2. «On teste la forme et on veut voir si les gens comprennent ce qui va au bon endroit»
    3. La Ville a aussi donné un contrat pour analyser le contenu des poubelles.

    (…énorme soupir…)

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  2. jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

    21 juillet 2014 à 12 h 24

    J’aime peut-être autant (bien que moi aussi je trouve que ça commence a faire long) qu’ils soient bien certains de ce qu’ils vont installer au lieu de se hâter et d’installer 1400 poubelles pour se rendre compte un an plus tard qu’elles ne tiennent pas le coup ou ne font las «la job»…

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    • christian

      21 juillet 2014 à 12 h 43

      Je suis conscient qu’on ne doit pas mettre n’importe quoi, mais comme on peut voir dans les anciens billets, le dossier traîne depuis 2012. Si tout le monde impliqué la-dedans mettait un peu de bonne foi, on en serait pas rendu là.

      Comme j’ai déjà mentionné, trouvez-moi un touriste qui se déplace pour la qualité et l’extravagance des poubelles d’une ville. Une poubelle, c’est fait pour se fondre (ou se marier) dans le décor, pas pour être prise en photo!

      Et de plus, tel que mentionné dans l’article, le hum hum… projet pilote ne mesure même pas la qualité des poubelles, mais bien la forme et savoir si les gens sont assez brillant pour mettre les choses à leur place parce que pour le moment, c’est en métal au lieu d’être en plastique. Ça annonce un projet pilote qui va suivre le projet pilote, question de savoir si les VRAIES poubelles vont faire l’affaire. On a des chances d’en entendre parler encore en 2017…

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  3. Pier Luc

    21 juillet 2014 à 17 h 51

    C’est important de concevoir les poubelles à recyclage de manière à ce qu’on sache que c’est pour le recyclage. Il arrive souvent que les deux sortes de poubelles soient de la même couleur et que ce soit seulement écrit recyclage dessus. Il m’est plusieurs fois arrivé de jeter mes restes de cabaret dans la poubelle de recyclage car je suis allé trop vite et je n’ai pas vu au premier coup d’œil que ce n’était pas une poubelle ordinaire. Il m’arrive aussi de tout jeter alors que je pourrais recycler parce qu’au premier coup d’œil je n’ai pas remarqué qu’il y avait des poubelles identifiées pour le recyclage.

    Selon moi c’est important que les poubelles à recyclage soient bleu et identifiées avec un symbole recyclage. Après ça, tester 10 modèles bleus avec le symbole recyclage c’est un peu stupide.

    Aussi, j’ai été étonné de lire qu’ils ne testaient pas la résistance. Il n’est pas non plus questions du Ministère de la Culture. Ce ministère peut refuser le modèle qui sera choisis parce qu’il est trop moderne, pas assez brun… D’ailleurs, j’ai peur qu’on soit obligé d’avoir des poubelles à recyclage brune…

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  4. Michel Beaumont

    21 juillet 2014 à 18 h 55

    Est-ce si important? Elles seront barbouillées, peu importe le style ou le design.

    En quoi ces poubelles vous excitent-elles à ce point?

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  5. «Le» lecteur assidu

    21 juillet 2014 à 23 h 47

    Bon !

    Je comprends que ça travaille « fort » et que ça va continuer encore pendant une autre année.

    – Quelle est la forme idéale ?
    – Quel est le matériaux idéal ?
    – Quelle est la couleur idéale ?
    – Quelle est la hauteur idéale ?
    – Quelle est la profondeur idéale ?
    – Quel(le) est ………. !

    Difficile d’être contre la vertu !

    À l’évidence, à trop la chercher, ça me donne l’impression « qu’on » s’égare de l’objectif principal.

    En effet une ville doit s’assurer dans un premier temps de distribuer sur son territoire, aux points critiques, suffisamment de réceptacles pour inciter le plus possible les humains que nous sommes à les utiliser et, dans un deuxième temps, cette même ville doit s’assurer que les éboueurs en assument l’entretien systématique pour ne pas que ça « déborde ».

    La question qui tue :

    – À défaut, à quoi ça sert d’épiloguer des mois et des mois sur la question si les détritus jonchent le sol ?

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  6. Michel Beaumont

    22 juillet 2014 à 08 h 09

    À mon sens, la Ville et le Ministère de la Culture pontifient trop pour un dossier d’une importance aussi mineure.

    En exemple: Imaginez que vous arrivez chez-vous, il y a un avis de la Poste dans votre boîte aux lettres qui vous annonce que vous devez passer au Bureau de Poste le plus vite possible car il y a un colis assuré à votre nom. Sur place on vous dit: Voici la circulaire Provigo.

    Bref, pourquoi ne pas placer des poubelles striées ou avec des cannelures. Elles seront plus difficiles à barbouiller. Vive la propreté!

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  7. christian

    22 juillet 2014 à 09 h 13

    Vous savez quoi? Je viens d’en inventer un, un projet pilote. La ville n’a qu’à utiliser un stagiaire estival qui va s’assoir un avant-midi devant un ordinateur muni d’internet, qui va aller sur Google Street, et vérifier dans toutes les grandes villes d’Europe (pourquoi pas la Scandinavie? Nos politiciens aiment tellement ça, la Scandinavie) qui ont un ou des quartiers historiques, question de voir de quoi ont l’air les poubelles.

    Pas besoin de délégations officielles qui se déplacent à nos frais, j’estime les coûts de ce projet pilote à environ 33,50$, plus 10$ de photocopies couleurs…

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