Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le RTC construira un abribus tempéré au coin de Cartier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 novembre 2014 12 commentaires

Georges Étienne

Annie Morin
Le Soleil

(Québec) Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a réservé 150 000 $ pour l’aménagement d’une station tempérée de 11 mètres carrés dans l’édifice en construction sur l’îlot Esso, au coin de l’avenue Cartier.

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Voir aussi : Transport en commun.


12 commentaires

  1. FierUrbain Utilisateur de Québec Urbain

    4 novembre 2014 à 20 h 15

    Excellente nouvelle! On peut féliciter le RTC d’avoir pris la balle au bond.

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  2. Francis L Utilisateur de Québec Urbain

    4 novembre 2014 à 23 h 35

    Je suis très content de cette nouvelle!

    Par contre, je me demande comment un si petit espace peut coûter aussi cher. On parle ici de 11 mètres carrées, sans vraiment de finition.

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  3. jeand Utilisateur de Québec Urbain

    5 novembre 2014 à 06 h 56

    130000$ on peut avoir une maison(sans le terrain) pour ce prix et ici on parle de 11 M carré…

    20000$ pour le mobilier!!!!!!!!! on parle ici d’un grand garde-robe ou d’un petit walk-in!!! La grande majorité du monde pourrait se meubler à neuf au complet pour 20000$ et il en resterait pour un voyage.

    Oui Quebec Urbain en a parlé mais on a jamais eu de réponses…

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  4. marc guy

    5 novembre 2014 à 09 h 01

    l’important n’est pas attendre trop lontemp dans le confort c’est plus de frequence de passage des autobus pour un service efficace

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  5. j.

    5 novembre 2014 à 10 h 54

    Tant mieux si cet abribus tempéré sert à quelque chose. Mais ce que j’observe, c’est qu’il y a beaucoup plus de gens qui se dirigent vers l’ouest à partir de l’attente devant le magasin Zone que de gens qui désirent se diriger vers la direction opposée où sera l’abribus. En effet, la majorité des gens qui vont vers le centre ville sont déjà l’intérieur de l’autobus, alors qu’il y a toujours beaucoup de gens qui retournent vers leur domicile de Ste-Foy, après une virée sur la rue Cartier ou sur les Plaines à proximité. À mes yeux, cet abribus est du mauvais côté de la rue, mais impossible de l’installer là où il serait le plus utile.

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  6. «Le» lecteur assidu

    5 novembre 2014 à 12 h 30

    * Mémoire………..

    À moins d’errer, j’ai souvenir que le projet initial du promoteur comportait 6 étages mais incluait un abribus intégré au rez-de-chaussée, ainsi que des toilettes publiques.

    Qui plus est, je peux me tromper, non seulement l’offre de service était plus généreuse en espace pour les usagers du RTC mais également en nature si on considère la présence de toilettes publiques qui, à ce que je sache, manquent toujours à ce « coin de pays » et continueront d’y manquer pour le bénéfice de la collectivité.

    Et toujours avec la même réserve, j’avais cru comprendre que le coût inhérent à la présence de ces deux éléments additionnels auraient été assumé par le promoteur au bénéfice de cette même collectivité.

    Vu ce qui précède, ai-je raison de croire qu’il se pourrait qu’en bout de ligne « nous payons » maintenant tous le prix de la saga de l’Îlot Esso, étant entendu que les carottes sont toutefois maintenant cuites ?

    Des confirmations ou des éclaircissements à venir pour notre bénéfice de citoyen, même si je n’habite pas ce secteur ?

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      5 novembre 2014 à 13 h 01

      Le promoteur devait laisser un espace pour l’abribus mais n’avait évidemment pas à en payer le coût. Quant aux toilettes publiques, le même raisonnement s’applique sauf qu’en finale, la Ville a abandonné cette exigence. Il y a d’ailleurs des toilettes publiques dans les Halles du Petit Quartier.

      * En plus de conserver un espace pour une place publique, la Ville de Québec exigeait au moment de l’achat que l’immeuble comporte un abribus chauffé au rez-de-chaussée, ainsi que des toilettes publiques. En avril, les élus du comité exécutif avaient toutefois voté pour l’abandon des toilettes, qui n’étaient plus considérées comme nécessaires dans le secteur. (Le Soleil)

      * La zone d’attente à l’abri des éléments donnera sur le boulevard René-Lévesque, où circulent les Métrobus 800 et 801. Les jours de semaine, environ 700 montées y sont comptabilisées. L’entente négociée avec le promoteur Miradas prévoit l’utilisation des lieux sur une période de 100 ans. Elle permet également des économies puisque le RTC n’a pas à payer pour la structure, seulement pour l’aménagement de la station. Une somme de 130 000 $ est prévue pour la ventilation, le chauffage, les portes et les vitres, etc. Il faut ajouter 20 000 $ pour le mobilier, comme les bancs et les écrans. A titre de comparaison, les stations tempérées détachées coûtent environ 600 000 $ à construire, mais sont deux fois plus grandes ». Annie Morin, Le Soleil, 4 novembre 2014

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  7. J.

    7 novembre 2014 à 04 h 20

    Abribus ou aubette ?
    Abribus est le nom commercial d’un type d’aubettes ou d’abris destinées à équiper les arrêts de bus proposé à partir de 1964 à Lyon, par l’entreprise JCDecaux aux collectivités territoriales en France.

    Le produit comprenait des éléments de mobilier urbain permettant de protéger les usagers des intempéries aux arrêts des lignes de bus ou de cars associés à un emplacement pour des panneaux publicitaires. Le matériel était souvent fourni gratuitement par la société qui se rémunérait par la publicité. Dans un contexte où la possibilité de créer de nouveaux emplacements publicitaires était limitée, ce concept a assuré la fortune de son créateur et une position de quasi-monopole pour sa société.
    (…)
    Abribus doit s’écrire avec une majuscule initiale car c’est une marque déposée par JCDecaux.

    Ce terme est passé, dans certaines régions, dans le langage commun. Cependant, l’Académie française recommande l’utilisation du belgicisme aubette comme alternative.

    (Wikipedia)

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