Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


La fermeture de l’église Saint-Jean-Baptiste: un requiem

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 5 juin 2015 6 commentaires

* Très intéressant. Le sociologue Simon Langlois apporte des informations pertinentes qui nous font mieux comprendre les choses.

Voir aussi : Arrondissement La Cité-Limoilou, Histoire, Patrimoine et lieux historiques.


6 commentaires

  1. Raymonde Giguère

    5 juin 2015 à 22 h 28

    Documentaire super intéressant. Commentaires judicieux de monsieur le curé Pierre Gingras et de M. Langlois. J’ai parfois honte de mon peuple.

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      5 juin 2015 à 23 h 22

      Dans les dernières minutes, Monsieur Gingras précise qu’une mise à niveau de l’immeuble représenterait 2 000 000 $ et que le coût annuel du maintien représente 170 000 $. Et il fait appel à un mécène ou au gouvernement. Peut-on connaître votre avis ? La députée Maltais demande aux gens de participer à un sondage et la conseillère Guérette propose de faire des réunions … Quant aux organismes à vocation sociale qui occupaient les lieux, ils cherchent des nouveaux locaux.

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  2. Michel Beaumont

    6 juin 2015 à 09 h 32

    Un tel édifice ne se rentabilise pas avec des prières, des lampions ou des miracles. Un minimum de 170,000$ est donc nécessaire pour le financer dans la paix. C’EST SÉRIEUX!

    Il faudra donc un projet capable de rentabiliser les lieux et lui assurer ainsi une deuxième vie confortable et sereine.

    Cela étant, je propose: DES HALLES COMMERCIALES.

    Il sera capital d’éviter comme le diable des projets liés à la culture ou les arts qui dévorent un budget plutôt que le nourrir et l’engraisser.

    Que le St-Esprit vous vienne en aide!

    .

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      6 juin 2015 à 13 h 36

      Le 170 000 $ annoncé ne l’est que pour le fonctionnement annuel. Il en faut beaucoup plus pour les travaux nécessaires qui sont habituellement financés à 80% par le gouvernement car l’immeuble est classé. Mais la fabrique n’a pas les argents nécessaires pour financer le reste ainsi que les coûts annuels. Quant à des halles commerciales, je ne vois pas du tout le privé vouloir mettre des millions pour aménager les lieux. Le seul exemple connu dans la région est la transformation réussie de l’église Saint-Grégoire. Est-ce que cet exemple est rentable ? On l’ignore.

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    • jfr1954 Utilisateur de Québec Urbain

      6 juin 2015 à 22 h 36

      Je me suis laisser dire par un commerçant du quartier que quelqu’un avait envisagé transformer l’ancien restaurant Commensal en halles et y avait renoncé faute d’intérêt.
      Alors espérer convertir un bâtiment considérablement plus vaste en halles dans un quartier où la vie commerciale en arrache (regardez le nombre de locaux vides, certains depuis longtemps), je doute du réalisme de cette solution.
      La meilleure solution aurait été que la ville y installe une succursale de la bibliothèque, mais comme cela a déjà été fait avec l’église St Matthew…

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  3. Michel Beaumont

    7 juin 2015 à 06 h 54

    L’idée de la bibliothèque est bonne en terme de local idéal, cependant il y en a une déjà dans l’église St-Matthew. Cela ne pourrait générer les profits nécessaires à la viabilité de l’église St-Jean-Baptiste. ( Évitez la culture et les arts, pensez $$$ ).

    Je persiste et signe avec mon idée de HALLES COMMERCIALES car ce secteur a besoin d’une vitamine, d’un renouveau, d’un attrait commercial différent. S’il y a des locaux vides c’est signe que la formule actuelle présentée ne correspond pas au développement attendu.

    En passant, quand la bâtisse de l’ancienne boucherie W E Bégin sera-t-elle prise en charge. Elle est en décrépitude, une honteuse exposition de laideurs! Il n’y a pas juste la maison Pollack!

    La rue St-Joseph avec son ancienne formule ( Nouvo St-Roch ) a réussi, tant bien que mal, à se relever lentement. Malgré qu’elle titube encore, il y a un espoir et un désir de se remettre à niveau.

    L’avenue Cartier devra envisager ce tournant également car des commerces connus sont fermés ou fermeront bientôt.

    Je ne suis pas devin ni ne possède la science infuse. Cependant, le commerce est une roue qui tourne. Comme la terre, elle n’arrêtera pas de tourner demain matin!

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