Jean-Luc Lavallée
Journal de Québec
La Ville de Québec n’attendra pas en 2016 avant d’aménager une petite place publique à l’angle de la rue Cartier et du boulevard René-Lévesque. Elle envisage un aménagement sympathique temporaire, dès cet été, avec des chaises et des tables bistro, les mêmes qui viennent d’atterrir dans les jardins de l’hôtel de ville. (…) Pas moins de 400 000 $ seront injectés à cet endroit l’an prochain
19 juin 2015 à 11 h 19
Pourquoi faut-il toujours tant de temps à la ville de Québec pour réaliser de tels projets, somme toute assez mineurs? Madame Lemieux dit: «La Ville de Québec (…) envisage un aménagement sympathique temporaire, dès cet été».
Nous sommes presque à la fin juin et la ville n’en est qu’à l’étape d’envisager (d’ailleurs le trottoir devant l’immeuble pourtant terminé depuis plusieurs mois n’a toujours pas été reconstruit).
Il me semble qu’il aurait été possible de songer un peu avant à cet aménagement temporaire et de le réaliser dès le début de la saison au bénéfice de tous.
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19 juin 2015 à 12 h 09
Mineur à 400 000 $ ? Pour ce tout petit espace ?
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20 juin 2015 à 10 h 09
« Moé tou » j’ai été surpris par le montant.
Nous manquerait-il des infos justifiant une telle enveloppe budgétaire ?
J’espère que oui, « bicoze » ……………. !
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19 juin 2015 à 14 h 34
Je vais prêcher pour ma paroisse: l’expérience menée du côté de Limoilou semble prometteuse…
Un peu moins pour les autos, un peu plus pour les piétons, en regardant ce qui se passe en matière de nouvel urbanisme en Europe (à l’échelle humaine), pourquoi pas!!
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19 juin 2015 à 20 h 47
La ville a réalisé son spectaculaire aménagement temporaire aujourd’hui: une couple de bancs, un bac à fleurs et une poubelle dans le gravier…
Sincèrement; la ville sait depuis presque deux ans qu’un immeuble sera construit et qu’une placette devra s’intégrer au concept. Et nous voici, fin juin, et tout ce que la ville fait c’est d’installer une couple de bancs, une poubelle et un bac à fleurs dans le gravier…
Comme s’ils n’avaient pas pu amorcer un peu plus tôt (genre au moment du début des travaux de construction) la réflexion sur ce que devrait être cet endroit et faire coïncider son aménagement avec la fin des travaux de construction de l’immeuble au printemps en vue de l’été 2015…
Risible…
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19 juin 2015 à 22 h 58
« Toutefois, les démarches administratives d’acquisition du terrain de la future place publique par la Ville de Québec semblent tarder, empêchant la mise en place d’un quelconque projet pour le moment. »
Source
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19 juin 2015 à 23 h 11
Je pense que l’on est tous surpris d’apprendre que cette question n’a pas été réglée avant, notamment au moment d’accorder le permis de construire, comme il est convenu depuis le début (même lorsqu’il a été question du projet initial il y a un bon deux ans) qu’il y aura une placette publique…
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19 juin 2015 à 23 h 35
Reprenons l’Histoire. La Ville a mis en vente ce terrain qui était abandonné depuis 2004 et ce, en 2013. Entre les deux, il y a eu d’innombrables séances du conseil de quartier et d’interventions de la conseillère sans que le tout aboutisse. Lors de l’appel d’offres, un seul se présenta (ou presque mais maintenant on peut comprendre pourquoi) avec l’obligation de céder à la Ville une partie du terrain s’il obtenait le permis de construire, de réserver un espace pour un abribus et un autre pour des toilettes publiques. Le promoteur ayant remporté l’appel d’offres a finalement construit après les péripéties connues. L’obligation relative aux toilettes publiques a été retirée. Ne demeurait alors que le transfert de propriété à le Ville de Québec pour la parcelle de terrain devant mener à une place publique, ce qui manifestement ne s’est pas fait. A ne pas oublier non plus que la conseillère voudrait une consultation publique pour la placette …
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20 juin 2015 à 09 h 28
« Ne demeurait alors que le transfert de propriété à le Ville de Québec pour la parcelle de terrain devant mener à une place publique, ce qui manifestement ne s’est pas fait. »
Mais encore… C’est encore de la faute de la contestation? L’acheteur n’était pas conscient de cette obligation? Est-ce que l’on a mentionné cette place publique pour vendre le projet?
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20 juin 2015 à 12 h 22
a) La placette publique était et est encore obligatoire, aux frais de la ville pour son aménagement. La chose était connue lors de l’appel d’offres.
b) Pour la cession juridique de cette parcelle de terrain, le délai ne serait pas du tout imputable à l’acheteur.
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