Valérie Gaudreau
Le Soleil
(Québec) Le promoteur immobilier Cromwell voit grand pour sa tour de 20 étages dans Saint-Roch. Il qualifie de rien de moins que d’«oeuvre d’art» l’immeuble de verre actuellement en construction. L’édifice baptisé Fresk emprunte d’ailleurs son nom au monde pictural. (…) Même si une place publique fait partie intégrante de cette tour souhaitée par l’administration Labeaume dans Saint-Roch, ne la cherchez pas sur les maquettes du promoteur. Ce sera à la Ville de Québec de présenter son concept pour la place coin Saint-Joseph et de la Couronne. «La place publique sera un très beau projet. Ça ne nous inquiète pas», a conclu M. Morency.
Le site internet du projet « Tour Fresk »
22 octobre 2015 à 08 h 55
J’adore !
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22 octobre 2015 à 09 h 12
Une belle évolution par rapport à l’esquisse déposée il y a quelques semaines! :)
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22 octobre 2015 à 11 h 34
Je trouve le projet beau, mais attention aux superlatifs… Hors du commun? Une oeuvre d’art? Non pas du tout. Ce projet ressemble énormément à beaucoup de projets qui se font à Montréal en ce moment (regardez le Lowney sur Ville, par exemple). Ça reste beau, mais pas exceptionnel.
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22 octobre 2015 à 12 h 17
C’est en effet un très bel immeuble à l’architecture soignée, à mille lieux de ce à quoi certains autres promoteurs nous ont habitué. Mais de là en effet à parler d’oeuvre d’art et autres superlatifs similaires, restons dans les limites de la raison.
Je suis un peu inquiet quant à ce qui restera de la place Jacques-Cartier qui se voit réduire comme une peau de chagrin. On parlera plus de placette que de véritable place publique…
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22 octobre 2015 à 12 h 45
C’est tout à fait vrai, mais n’oublions pas que l’ancienne Place Jacques-Cartier n’était guère plus grande avec tous ses labyrinthes sur le côté de l’ancien auditorium.
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22 octobre 2015 à 19 h 08
Vous avez bien raison; elle n’était plus l’ombre de ce qu’elle a déjà été depuis bien longtemps.
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22 octobre 2015 à 15 h 31
Votre commentaire est très pertinent : la tour semble effectivement occuper tout l’espace. La vidéo se garde bien de montrer l’espace qui restera au sol après sa construction.
Est-ce que l’on est en train de créer un précédent où l’on utilise de l’espace public pour les profits du privés? J’ose espérer la ville fait un coup d’argent dans le dossier.
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28 octobre 2015 à 15 h 37
En fait, je crois surtout que le promoteur s’abstient de montrer la place car c’est la ville qui doit la construire et le processus de consultation / création n’est pas encore terminé.
Pour la taille de la place elle-même, la ville a fourni un image pour montrer la taille relative de la place versus l’immeuble: http://www.ville.quebec.qc.ca/citoyens/travaux_entretien_rues/travaux_incidences_circulation/img/ilot_projete.jpg
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22 octobre 2015 à 16 h 59
Ça va être magnifique vu de St Jean Baptiste du haut de l’escalier .
Pour ce qui est de la place Jacques Cartier, il reste un espace entre St Joseph et ce qui s’érige présentement . C’est sûr que ce n’est pas la Place Jacques Cartier de l’époque de l’hôtel St Roch….
Et il faudra bien trouver un espace pour la statue de Jacques Cartier…
Mais c’est une magnifique bâtisse et bravo à ce promoteur !
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22 octobre 2015 à 17 h 51
La statue sera installée à …. Cap-Rouge
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22 octobre 2015 à 18 h 42
Ok merci !
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22 octobre 2015 à 20 h 58
Beau, mais loin d’être innovant ou création comme ce qu’on essaie de faire croire! On en beurre épais! Le promoteur a maximisé le pied carré du premier au dernier étage. La Ville aurait pu être plus exigeante pour favoriser une volumétrie moins imposante et une interface plus délicate avec la toute petite place qui restera au pied.
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22 octobre 2015 à 21 h 53
Simple question….
Des logements à 2600$ par mois!!!????
Y-at-il vraiment un marché pour ce type d’habitation à Québec????
2600 par mois après impôts nécessite un salaire fort élevé ( 90 000 et plus). À ce prix là il devient économiquement plus intéressant d,acheter un bungalow en banlieue dont l’hypothèque leur coutera que 1400-1500$ par mois.
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23 octobre 2015 à 08 h 33
Oui, le bungalow revient peut-être moins cher, mais certains veulent absolument vivre au centre-ville. Par exemple, des cadres arrivant d’Europe pour leurs divisions de jeux vidéo et qui veulent être près de tout, et qui ne veulent pas s’empêtrer dans les soucis de la propriété. Je crois comprendre cependant qu’il n’y aura qu’un logement (le penthouse en haut) à ce prix là…
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23 octobre 2015 à 08 h 42
Acheter un bungalow c’est un chose et un mode de vie.
Des locataires qui paierons entre 995 $ et 2600 $ par mois recherchent autre chose que la vie de banlieue.
Ils veulent vivre à pied et n’ont souvent pas d’auto. Ils ont donc plus de budget pour le logement. Et c’est un style de vie rester en ville. Certains aiment, d’autres n’aiment pas, chacun son choix……
Et souvent ils ne demeurerons pas la pour la vie, mais quand vous avez 28 ans, une bonne job et pas de famille, c’est un style de vie intéressant de rester dans ce secteur, si la qualité de l’immeuble est la….
Il y a de plus en plus de diversité au niveau de l’habitation à Québec, c’est ca quand une ville grandit, soyons en contents. Il faudra s’habituer, il n’y aura plus que des maisons en banlieue et des immeubles à logements qui manquent énormément d’amour à Québec…. maintenant vous avez plus de choix……
Soyez ouvert d’esprit et sortez de vos carcans….
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23 octobre 2015 à 14 h 37
En effet, le projet semble plus beau qu’il y a quelques semaines.
Mais je me demande pourquoi ne pas l’appeler FRESQUE tout simplement? Ça aurait plus de classe, et le nom contiendrait le QUE de Québec.
L’abus de K, ça fait vieillot : Fourmi Atomik. Piknic Électronik. Électriks de Shawinigan. À moins que ce soit une référence aux plateformes web : Plesk, oDesk, Piwik, Zendesk. C’était pas mal tendance vers 2005.
FRESK ne m’empêchera pas de dormir, mais si j’étais le boss du marketing je chercherais un nom qui résiste aux modes, et le nom Fresque me plaît beaucoup avec son orthographe régulière.
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24 octobre 2015 à 13 h 25
Je me demande bien, moi aussi, à quoi correspond cette mode un peu ridicule. Le pire exemple : Ekla, sur le boul. Laurier.
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