Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Redonner les terrains de l’ancien zoo au public

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 31 mars 2016 3 commentaires

Source : Jean-Luc Lavallée, Le Journal de Québec (31 mars 2016)

Il y a 10 ans, jour pour jour, le Jardin zoologique de Québec fermait ses portes. Depuis, à l’exception de l’Hôtel de glace, tous les projets pour exploiter le site sont morts dans l’œuf. L’attente a assez duré, selon le ministre François Blais, qui compte rouvrir les lieux au public «rapidement»

«Pour M. Blais, la priorité, c’est d’ouvrir l’accès à la population le plus rapidement possible. On ne parle pas en termes d’années. C’est dans ce sens-là que les travaux se font présentement. M. Blais est très insistant là-dessus. Ça a assez duré, il faut que les gens aient accès à ce terrain-là», a indiqué son attaché de presse, Simon Laboissonnière.

Les randonneurs qui fréquentent déjà le parc des Moulins pourraient donc voir leur terrain de jeu s’agrandir considérablement. «C’est un très, très grand terrain qu’on souhaite rendre accessible à la population à court terme», a renchéri la porte-parole de la Commission de la capitale nationale du Québec (CCNQ), Anne-Marie Gauthier.

La CCNQ est propriétaire du parc des Moulins et des 26 hectares de boisé qui ceinturent le cœur de l’ancien zoo, propriété de la Sépaq. «Est-ce que ce sera des sentiers? Pour l’instant, c’est un peu prématuré. Il y a d’autres discussions qui vont se faire pour établir les coûts du projet», a-t-elle ajouté.

Lire l’article complet

Terrain de l’ancien zoo : encore loin d’un dénouement

Voir aussi : Arrondissement Charlesbourg, Parc.


3 commentaires

  1. Jp-Duval

    1er avril 2016 à 12 h 53

    Je me demande bien pourquoi l’article ne parle pas du projet de Perry Wong???

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  2. Francois M. Utilisateur de Québec Urbain

    2 avril 2016 à 07 h 38

    C’est une excellente nouvelle, mais à promesse libérale, nul n’est tenu…
    J’ai toujours considéré que site, ses terrains, sont pour la population de Charlesbourg l’équivalent du parc de Bois-de-Coulonge pour Sillery. Tout en espérant qu’on n’y apportera que des aménagements légers, préserver le plus possible la qualité naturelle des lieux.

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