Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Vaste offensive de la ville pour l’asphaltage des rues

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 4 avril 2016 3 commentaires

Source : Valérie Gaudreau, Le Soleil, le 4 avril 2016

(Québec) «L’ère du patchage» pour les nids-de-poule est terminée, tranche le maire Régis Labeaume. La Ville de Québec lance une «opération massive d’asphaltage» pour continuer sa chasse aux nids-de-poule. Résultat : 500 chantiers routiers supplémentaires dès ce printemps et une facture de 12 à 15 millions$ par an.

«Nous allons faire pour 227 km de repavage, quatre fois plus que l’an passé», a dit Régis Labeaume parlant de «jamais vu dans l’histoire de la Ville».

Quelque 500 nouveaux chantiers s’ajouteront aux 200 à 240 qu’on retrouve par an depuis 2009. Le coût additionnel prévu est de 12 à 15 millions$.

Du printemps à l’automne, il y aura donc 782 chantiers, 227 km de repavage, ce qui permettra de couvrir 65% des plaintes reçues à l’a Ville de Québec. Ce pourcentage est la limite jugée acceptable pour ne pas trop nuire à la circulation automobile, a-t-il ajouté.

La Ville de Québec se dit prête à faire un autre 200 km en 2017 et la même chose en 2018.

la suite

Les nids-de-poule.

Un ajout de la liste des chantiers :

Via Cyberpresse vous pouvez consulter la liste pdf de tous les chantiers qui auront lieu cet été.

Le communiqué officiel de la ville de Québec.

Voir aussi : Québec La cité.


3 commentaires

  1. Louis-Nicolas

    4 avril 2016 à 19 h 57

    Ca sera un coup d’épée dans l’eau si la qualité de l’asphaltage est a son minimum.

    Certaines rues se mettent à fissurer après 2 hivers seulement. Et qu’est qui apparait une fois les rues fissurées? Les nids-de-poule!!

    Qu’on fasse moins de rues mais qu’on y mette de la qualité, de grâce!

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  2. La pas fine

    4 avril 2016 à 20 h 39

    Si la structure n’est pas de qualité, le bitume ne changera rien effectivement.

    La qualité d’une route se détermine par ça fondation, si la fondation est mauvaise la route ne durera pas, ça prend des contracteurs fiable et des inspecteurs qui passent et approuvent chaques étapes. Ensuite il faut un entretien adéquat, j’ai l’impression que c’est la que les municipalités perdent le contrôle la majorité du temps et les routes sont laissées à elle même jusqu’au moment ou les trous apparaissent.

    En bref fondation solide, drainage efficace et entretien rigoureux = coût à long terme réduit et routes de meilleures qualité.

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  3. Antoine

    5 avril 2016 à 14 h 50

    Peut être que si la ville, au lieu de faire et refaire les rues 10 fois se coordonnait comme du monde que cela nous couterait moins cher. C’est anormal qu’une rue refaite en juin, se fasse ouvrir l’année suivante pour repasser un conduit d’hydro, ou bell etc… On devrait obliger alors les compagnies à refaire tout l’asphaltage s’ils ne font pas leurs travaux en même temps. C’est incroyable le nombre de reprises faites à chaque année… C’est de la mauvaise gestion

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