Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Des terrains abandonnés qui coûtent cher à la Ville de Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 novembre 2016 1 commentaire

Diane Tremblay
Journal de Québec

La fermeture de stations-service et l’abandon de terrains contaminés privent la Ville de Québec de revenus de taxes de façon importante. Ces trous dans le paysage urbain rapportent peu de taxes à la Ville par rapport au potentiel qu’ils représentent sur le marché immobilier. Selon la liste sommaire obtenue de la Ville, on compte une quarantaine de stations-service vacantes sur le territoire. (…)

Nombre de stations-service vacances sur le territoire:
La Cité-Limoilou 12
Les Rivières 7
Ste-Foy–Sillery–Cap-Rouge 11
Charlesbourg 2
Beauport 5
Haute-Saint-Charles 6

La suite

Voir aussi : Environnement.


Un commentaire

  1. Etienne

    7 novembre 2016 à 06 h 41

    500 000$ par station en fidéicommis . Lorsque la station ferme, l’argent est là pour la décontamination . Tout au frais des pétrolières et obligation d’envoyer preuve au ministère que l’argent est là. À 2000$ par année en taxes les pétrolières ne décontamineront pas. Jamais.

    Aussi instaurer une surtaxe de contamination.

    Ça n’a pas de bon sens qu’en 2016 on soit encore là et sans recours

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