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Archive des billets publi�s en mai 2005

31 mai 2005

Une chaire en eau potable...
Par Gerald Gobeil

La Ville de Qu�bec entend demeurer � l'avant-garde

Qu�bec, le 31 mai 2005 � MM. Jean-Paul L'Allier et Michel Pigeon, respectivement maire de la Ville de Qu�bec et recteur de l'Universit� Laval ont sign� aujourd�hui un protocole d�entente en vue de la cr�ation d�une chaire de recherche en eau potable. La Ville contribuera au fonctionnement de cette chaire pour une somme annuelle de 100 000 $ pendant six ans.

La cr�ation de cette chaire de recherche permettra d'approfondir les connaissances sur plusieurs aspects touchant � l�eau potable, dont les sources d�approvisionnement, les infrastructures de traitement et la distribution de l'eau sur le territoire de la ville. Elle permettra aussi de b�tir un portrait int�gr� de la quantit� et de la qualit� de l'eau potable. Enfin, des outils pourront �tre d�velopp�s afin d'am�liorer la gestion de cette ressource essentielle, de minimiser les risques potentiels reli�s � la sant� publique et de maximiser la satisfaction de la population relativement � l'eau distribu�e.


� La Ville va chercher sur son propre territoire une expertise de haut niveau qui lui permettra de rester � l'avant-garde de la technologie et des connaissances de tous les aspects reli�s � l'eau potable � estime le maire de Qu�bec, M. Jean-Paul L'Allier rappelant que la Ville produit quotidiennement 280 000 m�tres cubes d'eau potable ou plus de 90 millions de m�tres cubes par ann�e.

� La cr�ation de la Chaire en eau potable s�inscrit parfaitement dans cette volont� de l�Universit� Laval et de la Ville de Qu�bec d�agir en concertation, pour le b�n�fice de notre milieu, de notre ville et de notre r�gion, � a soulign� le recteur de l�Universit� Laval, M. Michel Pigeon.

La conseill�re responsable des dossiers de l'environnement et des infrastructures � la Ville de Qu�bec, Mme Ann Bourget affirme pour sa part : � Ce partenariat s'inscrit dans la foul�e de gestes concrets que la Ville a pos�s au cours des trois derni�res ann�es pour innover dans sa fa�on de faire pour s'acheminer vers un d�veloppement durable �.

Pour le titulaire de la Chaire, M. Jean S�rodes : � les travaux de la chaire devraient permettre de g�rer de fa�on int�gr�e la qualit� de l�eau potable de la Ville de Qu�bec qui, comme on le sait, provient de neuf sources d�approvisionnement diff�rentes et est distribu�e par autant de r�seaux d�aqueduc �.

Dispositions r�glementaires
Les nouvelles dispositions r�glementaires en mati�re d'eau potable n�cessitent une gestion de la qualit� de l'eau plus serr�e entre la source d'approvisionnement et le consommateur. En effet, le R�glement sur la qualit� de l'eau potable du Qu�bec (RQEP), en vigueur depuis 2001, et qui pr�voit des r�visions tous les six ans, est � plusieurs �gards beaucoup plus exigeant que le pr�c�dent.

D'autres r�alit�s devront �tre consid�r�es pour assurer une gestion durable de l'eau potable, comme la nouvelle Politique de l'eau du Qu�bec, qui vise la mise en place de comit�s de bassins versants auxquels la Ville participent d�j�, ainsi que les incertitudes concernant les impacts potentiels, � moyen et � long terme, des changements climatiques sur la disponibilit� et la qualit� des eaux.

Par ailleurs, l'Universit� Laval a d�j� entrepris des d�marches aupr�s du Conseil national de recherche en sciences naturelles et en g�nie du Canada (CNRSG) et d�autres partenaires pour un financement suppl�mentaire.

Source: Communiqu� de la Ville de Qu�bec

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30 mai 2005

Un plan d'am�nagement pour 20 ans
Par Gerald Gobeil

Le plan directeur d'am�nagement et de d�veloppement : un plan global tenant compte des r�alit�s locales


Qu�bec, le 27 mai 2005 � Le comit� ex�cutif a approuv� le contenu modifi� du plan directeur d�am�nagement et de d�veloppement (PDAD), qui est l�outil de projection de l�am�nagement du territoire sur les 20 prochaines ann�es.

"Nous sommes tr�s fiers du document approuv� aujourd�hui, s�est r�jouit Mme Odile Roy, conseill�re municipale membre du comit� ex�cutif. Non seulement nous poss�dons un outil performant qui nous guidera dans l�organisation et l��volution du territoire de la ville, mais le processus qui a men� � sa version finale a d�montr� toute l�importance des consultations et la qualit� de l�apport des citoyens et citoyennes. �

La population, qui a particip� en grand nombre aux soir�es de consultation dans chacun des arrondissements ainsi qu�� un forum sur la version pr�liminaire, a partag� sa vision de la ville dans laquelle elle veut vivre. Ces rencontres ont permis aux citoyens et citoyennes de prendre connaissance du PDAD, de poser des questions aux repr�sentants de la Ville et par la suite, d��mettre leur opinion. De plus, les responsables de la gestion du territoire des arrondissements ont �t� r�guli�rement consult�s.

M�me si, g�n�ralement, le contenu du PDAD a fait consensus, plusieurs ajustements ont �t� apport�s pour tenir compte des commentaires formul�s.

Les grandes orientations respect�es

Les quatre grandes orientations du PDAD demeurent les m�mes, soit :


Consolider le d�veloppement autour des grandes art�res;
Rapprocher population et services;
Planifier le d�veloppement urbain;
Cr�er un vaste r�seau Vert, bleu et blanc.

Les modifications apport�es � la version finale du PDAD tiennent surtout compte de certaines r�alit�s locales ou concernent des pr�cisions � donner sur certains sujets. Par exemple :

Une densification cibl�e et progressive

La Ville souhaite densifier son territoire tout en respectant la diversit� des choix de milieux de vie. Ainsi, au-del� des grands axes de consolidation, certains secteurs de faible densit� pourraient faire l�objet d�une densification, mais celle-ci devra �tre douce et progressive. De plus, la consolidation des grandes art�res devra pr�voir le maintien et l�am�nagement d�espaces publics de qualit�. Il est � noter que les grands axes de consolidation sont fond�s sur le plan de d�veloppement du r�seau structurant du R�seau de transport de la Capitale, qui pr�voit l�ajout de trois circuits M�trobus � partir de 2008.

Une vision plus compl�te de nos ressources patrimoniales

La version pr�liminaire pr�voyait la prise en compte de nos nombreuses ressources patrimoniales et paysag�res. La version finale pr�sente une vision plus compl�te des corridors et des secteurs patrimoniaux. Ainsi, le Vieux-Cap-Rouge a �t� ajout� comme secteur particulier de planification. L�avenue Royale (dans l�arrondissement historique de Beauport) a �t� retir�e des axes de consolidation afin de ne pas engendrer une pression trop forte sur ce milieu sensible. L'identification des parcours anciens a �t� pr�cis�e et une attention particuli�re devra �tre port�e aux b�timents d'int�r�t qui ponctuent leur trac�. Enfin, la Ville indique son intention de se doter d'une politique municipale du patrimoine.

Vers un r�seau cyclable plus complet et plus fonctionnel

Une carte du r�seau cyclable a �t� ajout�e dans la version finale. Ce document pr�liminaire � l'�laboration d'un plan directeur du r�seau cyclable d�montre l'�tendue du r�seau � travers la ville. L�un des objectifs de ce plan directeur sera de relier entre elles les diff�rentes voies cyclables afin de cr�er un v�ritable r�seau desservant l�ensemble du territoire.

Un fort accent bleu dans le r�seau Vert, bleu et blanc

Un des souhaits les plus entendus lors des consultations est l�acc�s � nos cours et plan d�eau. Le r�seau Vert, bleu et blanc devra favoriser l�acc�s � ces richesses naturelles. D�ailleurs, les annonces r�centes faites par les gouvernements du Qu�bec et du Canada dans le cadre du 400e anniversaire de Qu�bec vont dans ce sens. De plus, tel que mentionn� lors des consultations, le parc lin�aire de la rivi�re Saint-Charles reliera le sud du lac Saint-Charles aux Marais du Nord, que ce soit par voie terrestre ou nautique.

� Nous avons �galement ajout� une carte synth�se et les pistes d�action pour chaque arrondissement refl�tant les enjeux plus locaux du PDAD, a pr�cis� Mme Roy. Nous poss�dons enfin une vision globale du d�veloppement du territoire de notre ville. �

Les �tapes � venir

L�galement, le PDAD doit �tre conforme au sch�ma d'am�nagement de la Communaut� urbaine de Qu�bec actuellement en vigueur. Pour ce faire, la Ville propose de le modifier de mani�re � tenir compte des nouvelles orientations d'am�nagement et de d�veloppement pr�conis�es dans son PDAD. Le sch�ma d'am�nagement sera ensuite remplac� par le sch�ma m�tropolitain d'am�nagement et de d�veloppement (SMAD) de la Communaut� m�tropolitaine de Qu�bec (CMQ) dont l'adoption est pr�vue en d�cembre 2006.

Cette version finale du PDAD sera pr�sent�e en assembl�e publique le 16 juin prochain, � 19 h, � la salle du conseil de l�h�tel de ville, pour adoption par le conseil municipal � la fin du mois.

La version finale du PDAD et le projet de modification au sch�ma d'am�nagement de la CUQ seront disponibles � compter du 31 mai sur le site Internet de la Ville, dans les biblioth�ques et dans les bureaux d'arrondissement.

Communiqu� de la Ville de Qu�bec.

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29 mai 2005

La fin des bungalows
Par Gerald Gobeil

�� partir de 2015, on ne peut plus dire que le bien immobilier est un investissement�

Fran�ois Desjardins
�dition du samedi 28 et du dimanche 29 mai 2005
Le Devoir

Pour une fois, des sp�cialistes vont dans le m�me sens. Avec une population qu�b�coise de plus en plus vieille et une natalit� toujours aussi faible, il n'est pas impossible que la demande pour l'immobilier r�sidentiel, notamment dans l'unifamiliale, connaisse d'ici 2015 ou 2020 un bouleversement d'une ampleur insoup�onn�e. Accompagn�e d'un impact tout aussi important sur les prix. Un de ces observateurs est cat�gorique: dans aussi peu que cinq ou dix ans, l'immobilier cessera d'�tre un investissement.



Les maisons unifamiliales construites principalement dans les ann�es 70 et 80 sont appel�es � conna�tre une baisse beaucoup plus importante que d�autres types de produits, parce que la cohorte qui suit ne sera pas assez nombreuse pour les acheter.

L'effet sera graduel, dit-on, mais les donn�es d�mographiques dessinent d�j� l'image d'un gigantesque d�fil� de baby-boomers suivi d'une petite fanfare bien modeste. D�j�, d'ici huit ans, le nombre de Qu�b�cois en �ge de travailler devrait commencer � r�tr�cir. D'ailleurs, la part des 65 ans et plus dans la population passera de 13 % � 25 % d'ici 2025. � plus long terme, l'impact se fera sur la population totale du Qu�bec, que l'Institut de la statistique du Qu�bec voit en baisse d�s 2031.

Ajoutez entre-temps une cr�ation nette de m�nages de plus en plus lente et des flots migratoires impossibles � pr�voir, et le portrait soul�ve des questions. Car si les populations vont et viennent, le parc immobilier, lui, sera toujours l�.

�Au niveau de la demande, c'est s�r qu'il va y avoir un choc�, dit H�l�ne B�gin, une �conomiste au Mouvement Desjardins qui surveille de pr�s les tendances d�mographiques. �Les gens oublient que les prix ont d�j� baiss� [notamment de 1988 � 1992] et, � mesure que les facteurs d�mographiques vont jouer, ce n'est pas illusoire de penser que les prix sont appel�s � baisser � plus long terme.� Il serait malheureux d'oublier que la g�n�ration des baby-boomers, n�s entre 1946 et 1966, a tout boulevers� sur son passage, en �ducation comme au travail, dit-elle. �Il ne faut pas penser que le march� de l'habitation va faire fi de �a et que tout va s'ajuster sans qu'il y ait d'impact sur les prix.�

L'unifamiliale

Bien des choses pourraient changer la donne et certains cr�neaux pourraient n'�tre que peu ou pas touch�s. Cependant, les maisons unifamiliales, construites principalement dans les ann�es 70 et 80, alors que les baby-boomers se reproduisaient, dit H�l�ne B�gin, �sont appel�es � conna�tre une baisse beaucoup plus importante que d'autres types de produits, parce que la cohorte qui suit ne sera pas assez nombreuse pour les acheter�. La baisse des prix dans ce cr�neau serait �pratiquement in�vitable�.

L'immobilier, pour l'instant, a la cote. Ayant remplac� les march�s boursiers comme principal espoir d'enrichissement, il s'inscrit aujourd'hui comme un investissement infaillible. D'ailleurs, selon un sondage Decima publi� en novembre, 59 % des Canadiens non retrait�s sont convaincus que la valeur de leur r�sidence cro�tra plus vite que celle de leur portefeuille de placement au cours des dix prochaines ann�es. Comme le signalaient les analystes, cette perception d�coule manifestement de la performance des derni�res ann�es : au Qu�bec, par exemple, le prix moyen d'une maison unifamiliale a bondi de 67 % de 1997 � 2004.

Or des voix s'�l�vent d�j� pour mettre en garde les �ternels optimistes. �On va passer d'un bien d'investissement � un bien de consommation, dit Daniel Gill, professeur � l'Institut d'urbanisme de l'Universit� de Montr�al. � partir de 2015, on ne peut pas pr�voir vendre notre maison plus cher en vieillissant, on ne peut plus dire que le bien immobilier est un investissement. Je pourrais m�me dire � partir de 2010. � partir de ces dates-l�, on ne peut plus dire que c'est notre fonds de retraite.� N'est-il pas en train de paniquer ? �Quand je fais mes pr�sentations avec les courbes d�mographiques, ce sont plut�t les autres qui paniquent !�

Les changements seront graduels et rien n'est s�r, avertissent toutefois certains sp�cialistes, qui insistent sur l'importance que jouera l'�volution des comportements et l'immigration dans l'�quation. Apr�s tout, 20 ans s�parent les premiers baby-boomers des derniers, ce qui favorisera la cr�ation d'un �quilibre. L'un des �l�ments cl�s � long terme, dit-on toutefois, sera la formation nette de m�nages au Qu�bec, qui tourne pr�sentement autour de 40 000 par ann�e. De 2011 � 2016, elle devrait ralentir � 30 000, si bien qu'en 2036, relate le Mouvement Desjardins, cette tendance pourrait sombrer dans le rouge.

Du positif

Entre-temps, difficile de dire quels secteurs se porteront mieux ou moins bien. Les baby-boomers resteront-ils � la maison plus longtemps qu'on ne le croit ? Y aura-t-il un retour vers la ville ? Quel sera l'avenir des maisons interg�n�rationnelles ? �On n'est pas encore dans le gros de la vague, mais les gens se posent d�j� des questions par rapport � leur mode d'occupation futur�, dit Kevin Hughes, �conomiste pour le Qu�bec � la Soci�t� canadienne d'hypoth�ques et de logement (SCHL).

L'organisme f�d�ral r�p�te souvent que l'avenir des r�sidences pour personnes �g�es de 55 ans et plus s'annonce �radieux�. Le condo, selon les interlocuteurs, est soit vou� � dix ans de glorieuse croissance, soit en perte de vitesse. En ce qui concerne les immeubles des ann�es 60 ou 70, ceux qui n'auront pas �t� bien entretenus pourraient �tre vou�s � la d�molition, croit H�l�ne B�gin. �Les nouvelles habitations se colleraient davantage aux besoins des g�n�rations vieillissantes, soit comme r�sidences pour retrait�s ou pr�retrait�s.�

Quant � la �monster house�, cette maison de type manoir qui pousse en banlieue et m�me sur l'�le de Montr�al, elle pourrait �tre � l'abri des chocs. Il y aura toujours des gens riches pour le haut de gamme, dit-on, tout comme des gens int�ress�s � une maison au bord de l'eau. �Ce qui est rare garde sa valeur g�n�ralement, dit Daniel Gill. Celles qui vont �coper, ce sont les maisons bas de gamme. [...] Mais au bord des rivi�res, par exemple, le prix ne baissera pas parce qu'il y a une raret�.�

L'une des variables les plus d�terminantes sera peut-�tre celle des flots migratoires des r�centes et des prochaines ann�es, et ce en raison de l'effet compensateur qu'il pourrait exercer sur la faiblesse du taux de natalit� et de la cr�ation de m�nages. �On dit g�n�ralement que les immigrants font leur premier achat immobilier apr�s huit ans, alors on va peut-�tre cr�er un march� avec eux, pour les enfants qu'on n'a pas eus�, dit Sylvie Brunelle, directrice r�gionale du financement immobilier � la Banque de Montr�al. �Oui, les changements d�mographiques auront un effet, mais je ne le vois pas si dramatique que �a.�

Il y aura toutefois ceux � qui une baisse de prix ferait bien plaisir : la g�n�ration suivante qui cherchera � faire l'acquisition d'un premier chez-soi. �Ils seront beaucoup moins nombreux que les g�n�rations pr�c�dentes, dit H�l�ne B�gin. Donc, forc�ment, �a sera attrayant au niveau des prix en raison d'un plus grand choix.�


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28 mai 2005

Smart
Par Gerald Gobeil

J'en vois plusieurs dans la Capitale Nationale de Qu�bec.. Vous aimez? Moi, c'est le coup de foudre... le fourforfour ne viendra pas....d�so...

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Tourner les coins ronds
Par Gerald Gobeil

Lescoinsronds 004.jpg


O� suis-je?

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27 mai 2005

Projet: agrandissement de la biblioth�que de Charlesbourg
Par Jean Cazes

Grand format 787 X 520

Tel qu'annonc�e d�j� dans un billet pr�c�dent, l'oeuvre de Croft Pelletier Architectes, qui a fait l'objet d'un article dans la revue Canadian Architect, sortira bient�t de terre!

Qu�bec, le 26 mai 2005 - La Ville de Qu�bec tient � informer la population que les travaux de d�molition de l��cole Saint-Charles, n�cessaires pour l�agrandissement de la biblioth�que de Charlesbourg, d�buteront le lundi 30 mai prochain.

Ces travaux de d�molition devraient durer deux mois et se faire en deux phases : la premi�re consistera en l'enl�vement des mat�riaux isolants de l'enveloppe int�rieure et la seconde en la d�molition de la structure m�me du b�timent actuel.

Cette d�molition permettra de d�gager l'espace requis pour permettre la construction de la nouvelle biblioth�que de Charlesbourg dont la construction devrait commencer au cours de la deuxi�me semaine d�ao�t et se terminer au printemps 2006. Par la suite on proc�dera aux am�nagements int�rieur et ext�rieur et l'inauguration est pr�vue � l'automne 2006.

Ces travaux d�agrandissement feront passer la superficie actuelle de la biblioth�que de 1 205 m2 � 4 175 m2 et en feront la plus moderne du r�seau des biblioth�ques de la Ville.

Le co�t des travaux, incluant l�am�nagement ext�rieur est �valu� � 10M $. La Ville de Qu�bec fournit 6,3M $, dont un montant de 3,9M $ provient des surplus de l�ex-Ville de Charlesbourg. et la contribution financi�re du gouvernement du Qu�bec s'�l�ve � 3,7M $.

Source: Ville de Qu�bec (communiqu�).

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26 mai 2005

Un nouvel enfant de Qu�bec urbain
Par Francis Vachon

C'est au tour de St-George de Beauce d'avoir son blog urbain

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Voyage dans le temps: Saint-Roch
Par Jean Cazes

Grand format 400 X 496

Boulevard Charest, il y a de cela bien des d�cennies... En quelle ann�e, au fait, cette photo ?

Merci encore � Jean-Pierre Duval pour cet instantan� de notre histoire urbaine!

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25 mai 2005

Toujours dans le secteur Saint-Roch, un autre chantier en pr�paration...
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600

Tout est en place, maintenant, pour la construction de La falaise apprivois�e.
Pendant ce temps, plus au nord sur Charest, l'�lot "Petit Bedon" demeure d�sesp�r�ment � l'abandon...

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24 mai 2005

Projet: immeuble bient�t rafra�chi dans Saint-Roch
Par Jean Cazes

Grand format 700 X 500, image tir�e de Qu�bec Scope Magazine


La Maison de la coop�ration qui s'�tait port�e acqu�reur d'un b�timent situ� � l'arri�re de la biblioth�que Gabrielle-Roy (immeuble mieux connu sous le nom d'�difice Kedl), annonce qu'elle proc�dera bient�t � des r�novations majeures de l'�difice. L'immeuble continuera d'abriter les studios du c�l�bre photographe, mais regroupera �galement plusieurs organismes oeuvrant sur la sc�ne culturelle et communautaire dont la compagnie de danse La Rotonde.

Source et d�tails: Qu�bec Scope Magazine, mai 2005.

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23 mai 2005

Les arbres anciens du quartier Montcalm
Par Gerald Gobeil

Connaissez-vous les arbres anciens de votre quartier?

Les samedis 4 et 11 juin 2005 prochains, � 10 heures, se d�rouleront des �ditions sp�ciales du circuit p�destre "les arbres anciens urbains du quartier Montcalm".

Chaque activit�, d'une dur�e de 120 minutes, sera anim�e par la sp�cialiste Mme Suzanne Hardy, de la firme Enracinart, qui racontera l'histoire des arbres au fil des rues du quartier, celle du lotissement, du d�veloppement de la botanique et de la succession des tendances en am�nagement urbain suivant les d�cennies.

Offerte par le Conseil de quartier de Montcalm en collaboration avec le Conseil des Monuments et sites de Qu�bec, cette activit� gratuite est r�serv�e exclusivement aux r�sidantes et r�sidants du quartier Montcalm.

L'inscription est obligatoire et le nombre de places limit� � 20 par groupe.

Renseignement et inscription:

Conseil des monuments et sites du Qu�bec: 647-4347

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19 mai 2005

Sc�ne urbaine: arches v�g�tales.
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600

La 2e Avenue, dans l'arrondissement Limoilou.

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Vous connaissiez? Des �cocentres...
Par Gerald Gobeil


Les six �cocentres de la Ville accessibles � l'ensemble de la population du territoire

Qu�bec, le 19 mai 2005 � En cette p�riode de l�ann�e, propice au grand m�nage, la Ville de Qu�bec d�sire rappeler que ses six �cocentres sont d�sormais accessibles � l�ensemble de ses r�sidants et r�sidantes, peu importe l�arrondissement o� ces derniers demeurent.

Par ce service, la population de Qu�bec peut maintenant se d�partir facilement de ses r�sidus domestiques encombrants tout au long de l�ann�e, en se rendant � l�un ou l�autre des six �cocentres. Contrairement � la collecte des encombrants en bordure de rue, les �cocentres permettent de recycler ou de donner une deuxi�me vie � certaines des mati�res amass�es.

Ces endroits sont :


l'�cocentre Beauport, 415, boulevard Raymond (Beauport), ouvert du mardi au vendredi, de 10 h � 18 h, et le samedi, de 9 h � 17 h;
l��cocentre de Loretteville, 1811, rue Saint-Barth�l�my (La Haute-Saint-Charles), ouvert du mercredi au dimanche, de 9 h � 16 h;
l��cocentre de Matrec, 1700, boulevard Jean-Talon Ouest (Charlesbourg), ouvert tous les jours, de 7 h � 18 h;
l��cocentre Montmorency, 1251, boulevard Montmorency (Limoilou), ouvert du mardi au vendredi, de 10 h � 17 h 45, et le samedi de 8 h � 15 h 45;
l��cocentre de Sani-Gestion Onyx, 3399, rue de l'H�tri�re (Sainte-Foy(Sillery), ouvert du lundi au vendredi, de 8 h � 19 h, et le samedi, de 8 h � 17 h;
l��cocentre de Val-B�lair, 1472, rue Falardeau (Laurentien), ouvert les mardis et jeudis, de 12 h � 18 h, les vendredis, de 12 h � 20 h, les samedis, de 8 h � 20 h, et les dimanches, de 10 h � 18 h.

Accessibilit� et tarification

Tous les �cocentres sont accessibles � l�ensemble des citoyens et citoyennes sur pr�sentation d�une preuve de r�sidence. La gratuit� s�applique � un volume total de 3 m�tres cubes de mat�riaux secs par ann�e, par unit� d�habitation, et ce, sans limite du nombre de visites. Au-del� de ce volume, un tarif de 15 $ par m�tre cube s�applique.

Les � monstres m�nagers � m�talliques et non m�talliques (r�frig�rateurs, cuisini�re, laveuses, baignoire, meubles, etc.), les pneus, les peintures et les bonbonnes de gaz propane vidang�es sont accept�s gratuitement sur tous les sites, et ce, sans limite de quantit� (mat�riaux non compt�s dans la limite de 3 m�tres cubes).

Les mat�riaux accept�s dans les six �cocentres sont les suivants :


Bois (peint ou non peint, de construction, souche, branches, etc.);
Bonbonnes de gaz propane vidang�es;
D�blais d�excavation (terre, sable et gravier);
Encombrants (monstres m�nagers) m�talliques (r�frig�rateur, cuisini�re, laveuse, s�cheuse, r�servoir, etc.);
Encombrants (monstres m�nagers) non m�talliques (meubles, matelas, baignoire, douche, cuvette, appareil �lectrique, etc.);
Mat�riaux de construction et de d�molition (gypse, pl�tre, bardeaux d�asphalte, etc.);
Mati�res granulaires (b�ton, roc, brique et pierre);
M�taux ferreux et non ferreux (m�tal, fer, aluminium, cuivre, etc.);
Peintures (appr�ts, teintures, vernis et laques);
Pneus us�s (auto, moto et camion).

Les r�sidus domestiques dangereux

Les citoyens peuvent �galement disposer de leurs r�sidus domestiques dangereux (RDD) sans frais et en quantit� illimit�e aux trois �cocentres suivants : Matrec, Montmorency et Sani-Gestion Onyx.

Les RDD sont les restes de produits corrosifs, inflammables, explosifs ou toxiques utilis�s � la maison, tels que les diluants � peinture, l�ammoniaque, l�eau de javel, l�essence � briquet, les nettoyants � four, les polis � m�taux, les fixatifs en a�rosol, les dissolvants pour vernis � ongles, les produits pour d�boucher les tuyaux, l'ac�tone, les colles et adh�sifs, la cr�osote, les pr�servatifs pour le bois, le chlore � piscine, les pesticides et le liquide refroidisseur.

Par contre, tous les produits provenant d'activit�s autres que domestiques sont refus�s ainsi que l'acide fluorhydrique, l'acide citrique, l'huile � moteur, les d�chets param�dicaux, pathologiques ou radioactifs, les armes et munitions, les bonbonnes de gaz compress�s autres que le propane, les explosifs, la terre contamin�e, le cyanure ainsi que les BPC.

Quelques conseils :


Afin d�en faciliter le traitement, rapporter les RDD dans leur contenant d�origine; sinon, bien identifier chaque produit.
Ne jamais m�langer ensemble des produits chimiques car certains peuvent r�agir et produire des gaz toxiques.
Ne jamais jeter les RDD dans les �gouts car ces produits peuvent nuire au traitement des eaux us�s et risquent de se retrouver tels quels en milieu naturel.
Entreposer les produits dangereux dans un endroit bien a�r�, hors de la port�e des enfants, et se d�barrasser des quantit�s restantes sans tarder.


Source: Ville de Qu�bec.

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Voyage dans le temps: le Laurentien.
Par Jean Cazes

Grand format 600 X 381

Plusieurs se souviendront de ce restaurant au plafond distinctif situ� � la Place D'Youville...
Merci � Jean-Pierre Duval pour cette image qui serait dat�e des ann�es 40!

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18 mai 2005

Voyage dans le temps: le Mail, cinq ans d�j�!
Par Jean Cazes

Grand format 450 X 600

On ach�ve la d�molition du Mail centre-ville dans sa partie est, face � l'�glise Saint-Roch. Diapositive num�ris�e, mai 2000.

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Voyage dans le temps: projet Place Qu�bec, version ann�es 60!
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600

Tel que publi� dans Le Soleil du 10 novembre 1969. Je ne sais plus si cette image a d�j� �t� expos�e dans Qu�bec Urbain, mais il est toujours amusant de revoir ce genre de maquette surr�aliste � notre �poque...

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17 mai 2005

Des chantiers urbains � Qu�bec
Par Gerald Gobeil

Chantiers urbains 2005 - Le maire Jean-Paul L'Allier et la ministre Michelle Courchesne lancent six nouveaux projets pour les jeunes

QU�BEC, le 17 mai /CNW Telbec/ - Le maire de Qu�bec, M. Jean-Paul
L'Allier, et la ministre de l'Emploi et de la Solidarit� sociale, Mme Michelle
Courchesne, ont pr�sent� aujourd'hui six nouveaux projets pour les jeunes en
milieu urbain. Ces projets auront lieu dans les arrondissements La Cit�, Les
Rivi�res, Charlesbourg, Beauport, Limoilou, La Haute-Saint-Charles et
Laurentien. M. Jacques Legris, directeur du Centre Ressources humaines Canada de la r�gion de Qu�bec, repr�sentant le gouvernement f�d�ral, de m�me que plusieurs partenaires locaux �taient �galement pr�sents � ce lancement.

Un montant de 1 501 567 $ est pr�vu pour la r�alisation des six projets.
Cet investissement sera partag� comme suit: 680 604 $ provenant de la Ville de
Qu�bec; 348 200 $ d'Emploi-Qu�bec; 235 158 $ de Strat�gie emploi jeunesse du
gouvernement du Canada; 135 000 $ de la Commission scolaire de la Capitale;
10 000 $ de Forum jeunesse de la r�gion de Qu�bec; 92 605 $ de sources de
financement locales. En confirmant la contribution financi�re d'Emploi-Qu�bec,
la ministre de l'Emploi et de la Solidarit� sociale, Mme Michelle Courchesne,
a d�clar� : �Face aux d�fis de demain du march� du travail, tout doit �tre
fait pour que chacun de nos jeunes soit form�, d�veloppe ses comp�tences et
occupe un emploi. En ce sens, l'exp�rience v�cue par le jeune dans le cadre
d'un chantier urbain contribue � une phase importante de son savoir �tre, et
ce, � travers le travail et la vie de groupe. Cette �tape peut �tre
d�terminante pour le futur de ces jeunes�.
�L'ajout de personnes responsables � la formation des jeunes constitue un
fait nouveau marquant cette ann�e. Ces personnes verront � supporter les
intervenants des projets dans la planification et la r�alisation des activit�s
de la citoyennet�, en assurant l'int�gration des comp�tences d�velopp�es au
cours de celles-ci�, a d�clar� le maire de Qu�bec, monsieur Jean-Paul
L'Allier. Ce volet est le fruit d'une collaboration entre la Commission
scolaire de la Capitale, le Centre Louis-Jolliet et le Centre solidarit�
jeunesse.
Quatre de ces projets se d�rouleront selon la formule int�grale des
Chantiers urbains dont l'un d'eux sera partag� par deux arrondissements, soit
Les Rivi�res et Laurentien. Le projet de l'Arrondissement de Beauport sera
r�alis� selon les param�tres d'un projet Connexions comp�tences, dans le cadre
de la Strat�gie emploi jeunesse du gouvernement du Canada.
Le sixi�me projet est pr�vu dans l'arrondissement La Cit�. En effet, � la
suite de l'exp�rience positive de 2004, la Ville de Qu�bec poursuit son
engagement dans la lutte aux graffitis au centre-ville. Il est financ� en tr�s
grande partie par la Ville de Qu�bec.
Soixante jeunes, �g�s de 17 � 25 ans, soit une dizaine par projet,
participeront � ces chantiers qui s'�chelonneront sur une p�riode de 26 � 30
semaines.
Pour �laborer et soutenir les projets de Chantiers urbains, la Ville de
Qu�bec s'est associ�e avec les cinq Carrefours jeunesse-emploi du territoire
de la ville de Qu�bec. Ceux-ci ont g�n�ralement la responsabilit� sociale du
projet et y sont associ�s. Une seule exception, dans l'arrondissement de
Beauport, o� le partenaire est Int�gr'action jeunesse. Plusieurs partenaires
locaux collaborent en contribuant financi�rement ou en mettant leurs
ressources au profit des projets.

Les Chantiers urbains : une qu�te de conscientisation � l'action
citoyenne

En fait, le d�veloppement de chantiers pour les jeunes en milieu urbain a
pour objectifs principaux de favoriser la socialisation des jeunes et de leur
donner des moyens concrets pour faire l'apprentissage d'une citoyennet�
active, � travers une exp�rience de travail, de vie de groupe et d'activit�s
culturelles, sportives, de loisir et d'entraide au b�n�fice de la communaut�.
C'est ainsi que les jeunes pourront, � travers ces chantiers, r�aliser des
apprentissages, acqu�rir une exp�rience des plus significatives et participer
� des activit�s formatrices et divertissantes. De plus, en leur permettant
d'�tre des citoyennes et citoyens actifs et engag�s dans leur collectivit�,
ces jeunes d�velopperont un sentiment de fiert� et un sentiment d'appartenance
� leur milieu de vie qui les convieront certes au respect de leur
environnement.
Par ailleurs, pour le caract�re innovateur des Chantiers urbains, la
Ville de Qu�bec a remport� le Prix Ovation, dans la cat�gorie d�veloppement
communautaire, lors du gala cl�turant les assises annuelles de l'Union des
municipalit�s du Qu�bec (UMQ), le 30 avril dernier.

Au-del� de nos fronti�res

Faisant suite � la collaboration d�velopp�e en 2004 avec la Ville de
Namur, en Belgique, o� cinq jeunes ont particip� � la mise en oeuvre d'un
Chantier urbain, sept jeunes Namurois viendront nous rendre visite et
s'int�grer � nos Chantiers � la mi-ao�t. Ces �changes avec des jeunes de
villes jumel�es � la Ville de Qu�bec ont pour but de poursuivre les
apprentissages et de vivre une exp�rience culturelle. La visite des Namurois
sera l'occasion d'�changer sur la vie des jeunes et de participer �
diff�rentes activit�s dans notre r�gion. Par ailleurs, il est pr�vu que des
jeunes qu�b�cois pourront vivre une exp�rience hors de nos fronti�res en 2006,
dans la poursuite de cette collaboration.

ChantiersUrbains

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16 mai 2005

Power Blogue. Qu�bec Urbain.
Par Gerald Gobeil

Paul Cauchon

�dition du lundi 16 mai 2005 (Le Devoir)


Certains racontent leur vie et leurs angoisses. D'autres tiennent leur journal de voyage. Certains sont de v�ritables �ditorialistes qui donnent dans l'analyse politique. D'autres testent de nouveaux produits, r�v�lent des potins, �changent des recettes de tarte aux pommes.

Il ne passe pas une semaine sans que les blogueurs et leurs blogues fassent les manchettes. Cet hiver, le politicien fran�ais Alain Jupp� r�pondait dans son blogue aux critiques concernant son embauche au Qu�bec, et ses propos ont fait la une.

Il y a moins d'un mois, le magazine catholique Le P�lerin, du groupe Bayard, envoyait trois blogueurs au Vatican, qui ont racont� plein de d�tails in�dits sur la vie vaticane pendant le conclave. Il y a deux semaines, le Business Week expliquait aux gens d'affaires qu'ils devaient se mettre au blogue. Quand Beno�t Dutrizac a �t� �d�missionn� de T�l�-Qu�bec, c'est sur le blogue de Richard Martineau qu'on a commenc� � en apprendre un peu plus.

La semaine derni�re, le USA Today faisait �tat d'un nouveau ph�nom�ne, celui des blogues de soldats am�ricains en mission en Irak et en Afghanistan. On compte actuellement 200 de ces blogues, ils seraient un millier d'ici � la fin de l'ann�e, ils racontent la vie quotidienne dans les campements et ils r�v�lent des d�tails sur les missions foireuses auxquelles ils participent, au grand dam des autorit�s militaires (plusieurs de ces blogueurs ont �videmment des noms d'emprunt). Pour le USA Today, c'est un moment historique : jamais on a eu directement acc�s aux pens�es et opinions des soldats envoy�s au front.

C'est affolant � la fin. Qui a le temps de lire tout cela ? Il y a au moins 10 millions de blogues dans le monde. Le blogueur (et par ailleurs �vrai�
journaliste) Jean-Pierre Cloutier cite une recherche qui fait �tat de plus de 30 millions de blogues, un chiffre qui atteindrait 53 millions � la fin 2005.

Combien sont-ils au Qu�bec ? Sur le site Internet R�pertoire des blogues qu�b�cois j'en ai compt� un peu plus de 300, et je suppose que c'est incomplet. Il y a de tout. De purs inconnus qui racontent des niaiseries.
Des anarchistes. Une charmante auteure de comptines �rotiques. Des personnalit�s aussi. L'ancien ministre Andr� Boisclair en a un. Tout comme les journalistes Jos�e Blanchette
et Michel Dumais. Martine Gingras, elle, est un cas remarquable : cette jeune femme sp�cialis�e dans les nouvelles technologies a ouvert son blogue
Banlieusardises, sorte de version qu�b�coise de Martha Stewart avec plein de recettes, de soins de sant� et de conseils de jardinage. Elle a carr�ment travers� dans les m�dias �officiels�, puisqu'elle a maintenant sa page chaque semaine dans Le Journal de Montr�al.

Le Christian Science Monitor faisait r�cemment remarquer que, pour certains, les blogues sont devenus des acteurs majeurs sur tout type de sujet, de la politique nationale aux tendances en consommation, alors que pour d'autres ce sont �des versions high-tech des contributions �ditoriales ou des courriers des lecteurs que l'on trouve depuis longtemps dans les journaux classiques�.

En tout cas, le monde de la presse, aux �tats-Unis et en France particuli�rement, peut-�tre moins au Qu�bec, les prend tr�s au s�rieux. Aux �tats-Unis, o� le tirage des quotidiens chute sans arr�t, et o� les m�dias traversent depuis deux ou trois ans une v�ritable crise existentielle, les blogues sont vus comme de plus en plus mena�ants... car tr�s attirants pour les plus jeunes qui d�laissent les journaux.

Lorsque Dan Rather a diffus� son fameux dossier sur le pass� militaire du pr�sident Bush, ce sont d'abord les blogueurs qui, d�s le lendemain, ont commenc� � contester les �l�ments de ce reportage, reportage qui s'est r�v�l� b�cl�, qui a atteint s�rieusement la r�putation de CBS, et qui a pr�cipit� la retraite de Rather.

Les blogueurs se posent en solution de remplacement. La semaine derni�re, Arianna Huffington, star de la politique et du people, a lanc� aux �tats-Unis un m�ga-blogue qui se pr�sente comme une v�ritable publication, o� elle a convaincu ses amis d'�crire, des amis comme Gary Hart et l'auteur David Mamet, et elle a plein d'autres aussi prestigieux.

R�cemment interview� par AFP, le sociologue Jean-Marie Charron se disait d'avis que les blogues sont un ph�nom�ne �qui s'inscrit dans un mouvement des m�dias qui essaient d'obtenir des paroles de vrais auditeurs, vrais t�l�spectateurs et vrais lecteurs�. Les m�dias traditionnels, ajoute-t-il, sont tr�s pr�occup�s par le d�veloppement d'Internet et �par ce qui peut �merger de sp�cifique et de concurrentiel. Ils sont attentifs et veulent �tablir des ponts�.

Le blogue permet un dialogue instantan� avec le lecteur, suscite la prise de parole, dans un m�dia, Internet, qui est privil�gi� par les jeunes. � quel point les journaux doivent-ils en tenir compte ? Pour certains la question ne se pose m�me plus : Lib�ration ne cesse d'en cr�er de nouveaux (dont un blogue sur les �checs la semaine derni�re !). Dans certains cas, ils deviennent incontournables. J'�tais triste du d�part de Pierre Assouline du magazine Lire. Je viens de me rendre compte que, sur le site Internet du journal Le Monde, il tient son blogue personnel, La R�publique des livres, que je m'empresse de consulter r�guli�rement. On ignore si les blogues sont un effet de mode, mais visiblement les journaux vont tenter par tous les moyens d'en lancer et d'en encadrer quelques-uns, pour s'assurer que leur public ne les abandonnera pas trop.

Le Devoir

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Qu�bec se fait belle
Par Gerald Gobeil

Des citoyens revampent les �difices pour le 400e anniversaire de 2008
samedi 14 mai 2005


La c�l�bration du 400e anniversaire de Qu�bec en 2008 suscite un engouement collectif pour la r�novation.

Un peu partout dans le Vieux-Qu�bec, de petits chantiers viennent s'ajouter aux gros travaux en cours au palais Montcalm et au manoir Lafayette. On refait une galerie et parfois plus, comme convertir une ancienne forge en garage.

Les propri�taires, qui changent portes et fen�tres, doivent suivre des r�gles tr�s strictes et payer des pi�ces co�teuses. � Une belle porte de garage, �a peut co�ter 1000 $ ailleurs. Ici, �a en co�te trois fois le prix. Ce sont des portes qui doivent �tre faites en usine par des �b�nistes, sur mesure �, explique Normand Gouin, propri�taire de b�timents.

Pour aider les citoyens, la ville et le gouvernement du Qu�bec ont mis en place un programme qui fournit des subventions couvrant 40 % de la valeur des travaux. Toutefois, au cours des derni�res ann�es, les propri�taires ont d� attendre jusqu'� deux ans, dans certains cas, avant de toucher l'argent du gouvernement provincial.

� Il y a eu un petit retard, � un certain moment, du minist�re de la Culture, qui a �t� rattrap�. Nous sommes � peu pr�s capables de reprendre le retard pour ceux qui �taient sur la liste d'attente �, indique Jacques Jolicoeur, conseiller municipal de la ville de Qu�bec.

Source: Radio-Canada

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Le coin du Campanile en construction (2)
Par Jean Cazes

Grand format 737 X 600

Pour faire suite au billet pr�c�dent, voici le projet annonc� dans Le Soleil du 25 avril 1988 sur le site de la R�sidence du Campanile, actuellement en chantier... Pr�sent� sous le titre � Nouvel �difice sur la plus belle rue en ville! � :

L�Industrielle Alliance, compagnie d�assurance sur la vie, envisage de construire d�s l�automne un nouvel �difice commercial et � bureaux sur la rue du Campanile. �valu� � 1,5 million, le b�timent, d�une superficie de 18,000 pieds carr�s r�partie sur trois �tages, viendrait compl�ter le projet de 15 millions amorc� en 1986. �videmment, l�architecture de l��difice s�inscrirait dans le cadre du concept unique d�velopp� ant�rieurement par le promoteur.

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14 mai 2005

Jouons avec les cartes en ligne
Par

Il est souvent plus agr�able de visiter sa ville avec d'autres moyens que son automobile... pourquoi pas avec une carte?

Plan du r�seau cyclable de la Ville de Qu�bec


Liste des stations d'automobile de Communauto


O� aller pour faire du patin roues align�es

Au centre de cette carte, on retrouve un �l�ment intriguant et peu connu de la ville de Qu�bec. Quel est-il?

Sommes-nous � Los Angeles?

Assez d'autoroutes � Qu�bec? Dites-le avec une fleur!

Les ponts vus de tr�s haut

La citadelle

Devinez � quelle date cette photo-satellite a �t� prise...

Le campus universitaire, un stationnement � ciel ouvert?

Les Google Maps, gageons que vous ne pourrez plus vous arr�ter (vous non plus...)

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De l'eau potable.
Par Gerald Gobeil

"Pour s�curiser son approvisionnement en eau et colmater les fuites, la Ville de Qu�bec a pr�vu investir d'importantes sommes au cours des prochaines ann�es. Long de plus de 2450 km et �g� de plus de 100 ans (pour certaines conduites), le r�seau d'aqueduc de la Ville est l'objet de soins constants.

Il en est de m�me pour les r�seaux d'�go�ts, qui forment un labyrinthe de pr�s de 4125 km jusqu'aux deux usines d'�puration des eaux us�es.
Au cours des trois prochaines ann�es, la Ville pr�voit investir quelque 54 millions $ pour rh�abiliter et consolider ses insfracstructures. Ces investissements comprennent des travaux de r�duction des fuites du r�seau d'aqueduc et la modification des conduites afin d'am�liorer leurs performances.

Actuellement au nombre de quatre, les usines de traitement de l'eau de la Ville feront aussi l'objet d'importants investissements au cours des prochaines ann�es.

La Ville de Qu�bec dispose de quatre sources d'approvisionnement: le lac St-Charles (57.3% de l'eau trait�e), la rivi�re Montmorency et ses bassins versants (18.4%), le fleuve St-Laurent (18.1%) et les eaux souterraines (6.2%). "

Le Bulletin Municipal
14 mai 2005

J'ajouterais que lors d'un test fait � l'aveugle (eau embouteill�e et eau de la Ville de Qu�bec), "les testeurs" ont conclu que l'eau de la Ville �tait la meilleure. Vu � la t�l� de Radio-Canada. Est-ce qu'un test fait dans l'arrondissement Sainte-Foy aurait eu un r�sultat diff�rent?

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Une Ville. Un V�lo.
Par Gerald Gobeil

"La Ville de Qu�bec pr�te des v�los gratuitement aux membres de son personnel pour leurs d�placements.

En effet, la Ville est partenaire de V�lo-Ville, un service offrant � divers organismes plus de 38 v�los, dans huit points de service"

Bulletin municipal de Qu�bec

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11 mai 2005

Sc�ne urbaine: fi�vre du printemps!
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600

Au jardin de Saint-Roch, ils �taient nombreux, hier midi, � profiter du doux temps!

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L'�t� arrive...
Par Gerald Gobeil

Dairy Queen prend de l'expansion � Qu�bec. Hier, la cha�ne am�ricaine a
proc�d� � l'ouverture de son plus moderne bar laitier en Am�rique du Nord en
pr�sence des propri�taires de l'�tablissement, dont David et Marie-Pierre
Bellemare.

Situ�e � l'angle de la rue Notre-Dame et du boulevard
Hamel, � L'Ancienne-Lorette, la nouvelle succursale de 1600 pi� compte
�galement un service au volant. Les travaux de construction de cette
franchise en sol qu�b�cois ont n�cessit� un investissement de 800 000 $.
Dairy Queen compte maintenant 44 bars laitiers au Qu�bec.


soleil.gif

Le Soleil, 11 mai 2005. Reproduit avec autorisation.

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110 millions pour les F�tes du 400e de Qu�bec
Par Gerald Gobeil

Grand format 800 X 600


Sou pour sou, Ottawa �gale la mise de Qu�bec et promet 110 millions $ pour
les F�tes du 400e. Mais les lib�raux f�d�raux ont bien soulign�, hier, que
rien n'est garanti si leur budget est renvers�.

"S'il n'y a pas de budget, il n'y a pas d'argent", a lanc� la ministre du
Patrimoine canadien, Liza Frulla.
"Ne nous demandez pas de nous engager pour un gouvernement qui ne serait pas
lib�ral", a rench�ri son coll�gue � l'Environnement, St�phane Dion.
Quatre ministres f�d�raux �taient de passage au Centre d'interpr�tation du
Vieux-Port, hier, pour pr�senter sommairement les projets qui seront
financ�s par Ottawa pour 2008.
La Soci�t� du 400e, qui organise tout le volet festif des c�l�brations, doit
recevoir 40 millions $. Un autre 46 millions $ sera consacr� aux trois sites
o� Ottawa veut faciliter l'acc�s au fleuve: la baie de Beauport, la
Pointe-�-Carcy et l'anse Brown. Les 24 millions $ qui restent serviront �
une r�novation compl�te du Centre d'interpr�tation du Vieux-Port, qui sera,
en 2008, le site officiel des c�l�brations.
Ma�tre d'oeuvre des trois "fen�tres sur le fleuve", Ross Gaudreault,
directeur g�n�ral du Port de Qu�bec, se croise les doigts pour que les
travaux d�butent rapidement. "Il ne faut pas perdre de temps, il commence �
en manquer, affirme-t-il. Id�alement, on commencerait demain matin. On est
pr�t."
Alors qu'il �valuait � 52 millions $ le co�t des trois "fen�tres", M.
Gaudreault devra se d�brouiller avec 6 millions $ de moins. "Il faut refaire
nos budgets, souligne-t-il. Il y a des choses � repenser."
Comme plusieurs, le maire de Qu�bec, Jean-Paul L'Allier, ne croit pas qu'un
autre gouvernement puisse n�gliger le 400e. "Ceci dit, il ne faut pas
minimiser le fait que si le budget n'est pas vot�, �a va causer des d�lais
de quatre, cinq, six mois, et �a peut �tre inconfortable, voire dangereux",
a-t-il comment�.
A ce titre, rappelons que la r�fection de la terrasse Dufferin, annonc�e par
Parcs Canada il y a une quinzaine, ne sera pas termin�e � temps pour 2008.
Pr�sident de la Soci�t� du 400e anniversaire, Raymond Garneau aussi
"aimerait mieux que les �lections aient lieu apr�s que le budget soit
adopt�. �a serait b�ton pour de vrai".
Coupl�e � celle de Qu�bec, la participation d'Ottawa porte � 220 millions $
l'ensemble des sommes d�di�es par les deux paliers de gouvernement aux F�tes
du 400e. Maintenant qu'il sait qu'il disposera de quelque 80 millions $ pour
organiser les c�l�brations, Raymond Garneau promet de faire preuve de
transparence dans la gestion de ces fonds publics. "C'est une des valeurs
qu'il faut mettre de l'avant, a-t-il affirm�. Je n'ai aucune objection �
�tre aussi transparent que possible. (...) L'information va certainement
�tre publique, je veux que ce soit ouvert et je n'ai pas du tout l'intention
d'avoir une commission Gomery sur les bras quand �a va finir."
L'id�e d'�tablir un lien m�canique - un funiculaire, par exemple - entre les
Plaines et l'anse Brown continue � faire son chemin. Mais elle ne fait
pr�sentement pas partie des budgets. "A la Ville, on pense que c'est
essentiel, a soulign� le maire L'Allier. Si on veut �viter que les gens en
haute ville soient oblig�s de prendre leur auto pour descendre, il faut un
lien m�canique qui effectue la connexion. Je n'exclus pas qu'on le fasse
avec le secteur priv�."

soleil.gif
Simon Boivin, 11 mai 2005. SBoivin@LeSoleil.com Reproduit avec autorisation.

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Des millions pour la rivi�re St-Charles
Par Gerald Gobeil

D�cid�ment, les projets urbains foisonnent...
Rivi�re St-Charles

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Une nouvelle politique pour l'habitation
Par Gerald Gobeil

J'ai comme l'impression que les propositions seront nombreuses pour Une ville bien log�e

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Le coin du Campanile en construction
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600

�tat des travaux de la R�sidence du Campanile (en date du 9 mai), un projet qui a suscit� de vifs commentaires dans un billet pr�c�dent. � l'arri�re, on ach�ve un autre imposant b�timent...

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10 mai 2005

La banlieue est-elle viable avec le p�trole � 100 $ le baril?
Par

Source: Charles C�t�, La Presse

Sans p�trole, la banlieue telle qu'on la conna�t n'existerait pas. Sans essence � bas prix pour les voitures, sans bitume pour les rues, sans pesticides pour les pelouses, sans plastique pour la myriade de bidules chers � la vie banlieusarde, il faudrait trouver un autre cadre pour le r�ve am�ricain. Et peut-�tre serons-nous forc�s de le faire, si le prix du p�trole triple, comme certains le pr�disent.
C'est le propos de The End of Suburbia, du documentariste de Gregory Greene, un Torontois de 37 ans. La question est fascinante. Le mois dernier, 600 personnes se sont rendues � l'Universit� Concordia pour voir le documentaire lors de sa premi�re projection publique � Montr�al, pr�s d'un an apr�s sa sortie.

Le documentaire plonge dans les origines sociales et �conomiques de la banlieue nord-am�ricaine, mode principal d'habitation depuis les ann�es 50. Aujourd'hui, la moiti� de la population nord-am�ricaine habite en banlieue.

Mais la banlieue n'�tait pas le point de d�part du documentariste. Il y a deux ans, M. Greene �tait simple cam�raman pigiste s�journant � Paris quand un producteur torontois lui a demand� d'aller interviewer des experts participant � une conf�rence internationale. Le sujet: l'�tude du pic p�trolier. C'est le moment o� la production mondiale de p�trole, en augmentation depuis 150 ans, commencera � s'essouffler et � diminuer, faute de nouvelles r�serves. � partir de ce moment, le prix du p�trole commencera une spirale ascendante, que certains croient d�j� d�celer ces derniers mois.

P�trole et banlieue

Quel rapport avec la banlieue? �Le pic du p�trole est un sujet m�connu mais important pour l'avenir de l'humanit�, dit-il. J'�tais convaincu que si on voulait en parler � une audience plus large, il fallait rattacher cela au quotidien des gens.�

D'o� l'id�e de ce documentaire � deux volets, qui tente de tisser le lien entre les myst�res de la g�ologie p�troli�re et le mode de vie le plus r�pandu sur notre continent. Car le sujet du pic p�trolier peut en mystifier plus d'un.

L'id�e revient � un g�ologue am�ricain, King Hubbert, qui avait pr�dit dans les ann�es 50 que la production p�troli�re aux �tats-Unis atteindrait son apog�e en 1970 et d�clinerait ensuite inexorablement. M. Hubbert �tait un scientifique respect�, mais son id�e a �t� battue en br�che, � l'�poque. En 1970, l'industrie p�troli�re se targuait de produire plus de p�trole que jamais. Justement, elle n'en n'a plus jamais produit autant par la suite, en d�pit des d�couvertes en Alaska et dans le golfe du Mexique.

Depuis que M. Hubbert a �nonc� sa th�orie, d'autres experts ont essay� de l'appliquer � la production p�troli�re mondiale. C'est un exercice plus compliqu�, parce que les donn�es sont moins fiables, notamment au Moyen-Orient, o� se trouve environ 60 % du p�trole de la plan�te.

M. Greene a interview� certains de ces experts il y a deux ans � Paris. Ils font partie de l'ASPO (Association for the Study of Peak Oil). Ce sont des g�ologues et �conomistes p�troliers � la retraite. Et leurs travaux sont de plus en plus suivis. La Presse en faisait d'ailleurs �tat, l'automne dernier, dans une s�rie sur l'�nergie.

Pic imminent

Depuis, d'autres indices se sont ajout�s qui vont dans le sens d'un pic imminent de la production p�troli�re mondiale.

Fin mars, la banque d'affaires Goldman Sachs �voquait la possibilit� d'une flamb�e des prix et d'un baril � 105 $ US.

D�but avril, ChevronTexaco a offert 16,4 milliards de dollars am�ricains pour acheter Unocal (Union Oil of California) et ses r�serves p�troli�res. Un prix jug� beaucoup trop �lev� par les analystes, sauf ceux qui croient que le pic est imminent. David O'Reilly, grand patron de ChevronTexaco, peut-il se tromper � ce point? demandait r�cemment un chroniqueur �conomique de San Francisco.

Puis, fin avril, le pr�sident George W. Bush affirmait, quelques jours apr�s avoir re�u chez lui le prince Abdallah d'Arabie Saoudite, que la production d'�nergie ne r�ussissait pas � r�pondre � la demande.

R�cemment, dans le Globe and Mail, le chroniqueur financier Eric Reguly relatait les propos d'un autre vieux routier de l'industrie p�troli�re, Henry Groppe, qui ajoute sa voix � ceux qui croient que le pic est imminent.

Le documentaire The End of Suburbia cite un autre expert, Matthew Simmons, un grand financier de l'industrie de l'�nergie. Sa firme, dont le si�ge se trouve � Houston, au Texas, compte certaines des plus grandes soci�t�s p�troli�res et gazi�res de la plan�te. M. Simmons publie ces jours-ci un livre (Twilight in the Desert: The Coming Saudi Oil Shock and the World Economy) qui pr�dit que l'Arabie Saoudite sera incapable de hausser sa production de p�trole, un signe sans �quivoque du pic de production mondiale.

La th�se de la venue prochaine d'un tournant majeur dans l'industrie p�troli�re- et dans l'histoire de la civilisation industrielle- commence donc � prendre du poids.

Qu'est-ce que cela veut dire pour la banlieue? �Les gens vont se sentir pris au pi�ge, comme dans une embuscade�, affirme Howard Kunstler, un urbaniste cit� dans The End of Suburbia.

Dur constat, mais pas exag�r� ni extr�miste, selon M. Greene. �Les anarchistes se r�jouissent en attendant cette crise, dit-il. Pas moi. Je ne suis pas anarchiste. Je ne suis pas un militant anti-auto. Mais je pose des questions. Je crois qu'on peut s'en sortir, �a d�pend de notre intelligence et de notre rationalit�. Mais actuellement, il est clair que les Am�ricains ne sont pas pr�ts � faire les gestes n�cessaires.�

Depuis un an, il a pr�sent� son film deux ou trois fois par semaine. �Les gens sont soulag�s d'avoir une information sur cette crise � venir, dit-il. Quand je me mets � en parler avec eux, souvent, ils hochent la t�te. Ils savent que �a s'en vient. J'esp�re qu'ils voient dans mon film une repr�sentation �quilibr�e de quelque chose qui est peut-�tre d�j� l�. Nous n'avons fait que rassembler les morceaux.�

�Je participe � beaucoup de tribunes t�l�phoniques ouvertes � la radio, dit-il. Souvent, les gens m'accusent de faire partie d'une conspiration dont le but serait de maintenir �lev� le prix du p�trole. Je leur dis: vous avez raison d'�tre sceptiques. Investissez une heure de votre temps et informez-vous. Moi aussi j'�tais sceptique au d�but. Je ne suis pas militant, je suis cam�raman et documentariste.�

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www.endofsuburbia.com

Le film sera bient�t disponible en DVD et en VHS. Il est possible de le commander � partir du site Internet.

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09 mai 2005

Sc�ne urbaine: balade le long de la Saint-Charles (3)
Par Jean Cazes

Grand format 800 X 600

Encore une fois, pas besoin d'aller � la campagne pour observer de superbes couchers de soleil: c'est possible... en plein coeur du centre-ville!

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Conseil de bassin du lac Saint-Augustin
Par Jean Cazes

1- Assurer la mise en �uvre d'un programme de conservation et de restauration du lac Saint-Augustin et de son bassin versant. (Protection de la sant� humaine et des �cosyst�mes);

2- D�velopper un programme de mise en valeur du lac Saint-Augustin et de son bassin versant;

3- D�velopper des outils de sensibilisation et de communication.

Tels sont la mission et les objectifs de ce nouveau site!

PS: Merci � Serge Alain pour ma premi�re contribution � Qu�bec Urbain! ;-)

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08 mai 2005

Les beaux v�los.
Par Gerald Gobeil

J'ai eu le coup de foudre pour un v�lo Schwinn r�tro (garde-boue chrom�, guidon surdimensionn�, pneus � flanc blanc, etc) rouge/blanc en vente dans une cha�ne canadienne ayant pignon sur rue � Qu�bec. Je le trouve superbe :-)
Et le v�tre, il est pr�t pour d�couvrir le Qu�bec Urbain, le Qu�bec Pas Urbain?
A vos mollets...

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06 mai 2005

Un parc. Une ville.
Par Gerald Gobeil

R�am�nagement majeur du parc Lucien-Borne
Un parc r�cr�atif de quartier sur mesure

Qu�bec, le 6 mai 2005 � L�Arrondissement de La Cit� est heureux d�annoncer le d�but des travaux majeurs de r�am�nagement qui seront entrepris au parc Lucien-Borne � compter du 9 mai. Ce projet, qui est identifi� comme l�une des priorit�s du plan directeur du quartier Montcalm, sera compl�t� en septembre et n�cessitera des investissements de 1,1 M $. Situ� au c�ur de l�arrondissement de La Cit�, le parc desservira la population des quartiers limitrophes dont Saint-Jean-Baptiste et Montcalm.

Des �quipements qui am�liorent la vie de quartier

� Plusieurs crit�res ont pr�valu dans le choix des am�nagements, notamment la compl�mentarit� avec les installations existant d�j� au centre communautaire Lucien-Borne, les multiples besoins des utilisateurs du parc et des activit�s � leur offrir, de m�me que la s�curit� des lieux �, a indiqu� madame Bourget, conseill�re municipale du district �lectoral de Montcalm et membre du comit� ex�cutif de la Ville de Qu�bec.

Les �quipements desserviront des groupes d��ge vari�s (Programme Vacances-�t�, client�le scolaire et adolescente, jeunes adultes). On pr�voit l�installation d�une aire de jeux pour les 5-12 ans, de jeux d�eau pour les enfants, de terrains pour la pratique de ballon volant de plage et de ballon panier, d�un kiosque, d�aires polyvalente et de d�tente, de m�me qu�un amphith��tre en plein air de 60 places pour des spectacles et de l�animation. Durant l�hiver, on aura acc�s � une patinoire. L�installation de mobilier urbain et d�une fontaine � boire viendront compl�ter l�am�nagement.

� La red�finition de cet espace urbain aura un effet b�n�fique sur le d�veloppement et la promotion de la vie de quartier dans une approche de d�veloppement durable et permettra de consolider les �quipements de loisirs communautaires ext�rieurs du secteur �, a soulign� madame Ann Bourget.

Un parc sur mesure

Cette planification a �t� �labor�e � partir d�un travail de consultation et de cueillette d�informations �chelonn� sur plusieurs ann�es. L�am�nagement temporaire r�alis� � l��t� 2002, � titre de projet pilote, a permis de v�rifier la pertinence de certaines installations. Les commentaires recueillis aupr�s du comit� de suivi, form� de partenaires oeuvrant dans le milieu, ont permis de valider les orientations � toutes les �tapes de la conception (identification des besoins et planification du site). � Cette d�marche de concertation en vue de planifier un espace urbain est innovatrice. On doit souligner le dynamisme de cette collaboration qui a permis de concevoir l�am�nagement de ce parc de mani�re � r�pondre aux besoins exprim�s par la communaut� �, a conclu madame Cloutier, conseill�re municipale du district �lectoral des Faubourgs et membre du comit� ex�cutif de la Ville de Qu�bec.

Le r�am�nagement de ce parc s�inscrit en compl�mentarit� des travaux de mise en valeur du coteau Sainte-Genevi�ve qui sont en cours de r�alisation. En raison de la fermeture du parc, occasionn�e par les travaux durant l��t� 2005, les activit�s du programme Vacances-�t� auront lieu dans d�autres parcs de voisinage environnants. Le centre communautaire Lucien-Borne sera cependant ouvert selon l�horaire habituel.

Ville de Qu�bec

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05 mai 2005

Enfin! Une vraie Grande-All�e
Par Gerald Gobeil

Harmonisation des noms de rues : Qu�bec va de l'avant

Presque quatre ans apr�s les fusions, la Ville de Qu�bec entend proc�der au changement de nom de 580 rues.

Ces changements toucheront plus de 23 000 adresses. Les adresses postales ne feront plus mention des anciennes villes, ni des arrondissements.

Le maire de Qu�bec, Jean-Paul L'Allier, soutient que ces changements sont importants pour des raisons de s�curit�.

� Imaginez ce que vous diriez s'il y avait un enfant qui �tait bless� et qu'on ne pouvait pas arriver � temps pour le sauver �, mentionne-t-il.

Avant de se prononcer, le chef de l'opposition, Paul Shoiry, souhaite obtenir des r�ponses en ce qui concerne les co�ts de ces changements pour la ville, pour les entreprises et pour les citoyens.

Parmi les changements propos�s, la 80e Rue � Charlesbourg deviendrait le boulevard Louis XIV, la rue de l'�glise dans Saint-Roch serait nomm�e la rue du Parvis et la Grande-All�e s'�tendrait jusqu'� l'avenue Holland puis prendrait le nom de boulevard Laurier.

La Ville veut adopter ces changements au prochain conseil municipal, le 16 mai. Poste Canada fera une campagne d'information cet �t�. Les changements seraient effectifs en novembre prochain. Qu�bec et Montr�al sont deux des villes au Qu�bec qui n'ont pas encore harmonis� les noms de rues � la suite des fusions.

Source: Radio-Canada

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Les gros camions
Par Gerald Gobeil




Pas de camions en apr�s-midi dans le Vieux-Qu�bec
(Radio-Canada)

le jeudi 5 mai 2005.

Le Vieux-Qu�bec est depuis peu moins accueillant pour les camions lourds. Un nouveau r�glement municipal ne leur permet de circuler qu'entre 7 heures et 11 heures le matin.

Cette mesure vise � d�sengorger le Vieux-Qu�bec et � laisser plus de place aux r�sidents et aux touristes. Cela cause n�anmoins des maux de t�te aux entreprises qui doivent faire des livraisons dans le quartier.

Plusieurs camionneurs affirment ignorer le nouveau r�glement et ne savent pas du m�me coup qu'ils risquent de recevoir une contravention.

Pr�s de 550 poids lourds circulent chaque jour dans les rues du Vieux-Qu�bec.

Saint-Jean aux pi�tons

Par ailleurs, l'Association des gens d'affaires de la rue Saint-Jean demande aux autorit�s municipales d'envisager de rendre pi�tonne la partie de cette art�re � l'int�rieur des murs, du 24 juin au 1er septembre 2005.

L'exp�rience des fermetures temporaires durant les divers festivals qui se succ�dent tout l'�t� a permis � l'association de constater la popularit� d'une telle mesure aupr�s de la population. La rue Saint-Jean pr�sente alors une atmosph�re plus conviviale, s�curitaire et familiale, selon les gens d'affaires.

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04 mai 2005

La retraite dor�e$
Par Gerald Gobeil

Qu�bec, le 3 mai 2005 - C�est aujourd�hui que messieurs Ren� Bellerive et Philippe Morin, respectivement pr�sident et associ� du GROUPE KEVLAR, inaugurent officiellement leur premi�re grande r�sidence du r�seau JAZZ � Qu�bec. Situ� au c�ur de l�arrondissement Sainte-Foy, au 777 rue de Belmont, ce projet immobilier au concept novateur pour personnes retrait�es a n�cessit� des investissements de 25 MILLIONS $ et a �t� rendu possible gr�ce � une participation financi�re de la soci�t� immobili�re IPSO FACTO. B�ti sur un terrain de 90 000 pieds carr�s, l�imposant complexe JAZZ abrite 206 logements qui se d�clinent en 23 mod�les et dont les superficies varient entre 419 pi 2 et 1141 pi 2.

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La retraite dor�e$
Par Gerald Gobeil

Qu�bec, le 3 mai 2005 - C�est aujourd�hui que messieurs Ren� Bellerive et Philippe Morin, respectivement pr�sident et associ� du GROUPE KEVLAR, inaugurent officiellement leur premi�re grande r�sidence du r�seau JAZZ � Qu�bec. Situ� au c�ur de l�arrondissement Sainte-Foy, au 777 rue de Belmont, ce projet immobilier au concept novateur pour personnes retrait�es a n�cessit� des investissements de 25 MILLIONS $ et a �t� rendu possible gr�ce � une participation financi�re de la soci�t� immobili�re IPSO FACTO. B�ti sur un terrain de 90 000 pieds carr�s, l�imposant complexe JAZZ abrite 206 logements qui se d�clinent en 23 mod�les et dont les superficies varient entre 419 pi 2 et 1141 pi 2.

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03 mai 2005

Une belle nouvelle
Par Gerald Gobeil

Promenade Samuel-De-Champlain
Les Qu�b�cois et Qu�b�coises retrouveront l'acc�s au fleuve

Qu�bec, le 3 mai 2005 � C�est avec bonheur que la Ville de Qu�bec a accueilli aujourd�hui l�annonce faite par le Premier ministre, M. Jean Charest, de l�guer � tous les Qu�b�cois et Qu�b�coises un large segment de la promenade Samuel-De Champlain pour marquer le 400e anniversaire de fondation de Qu�bec.

� Je tiens � remercier M. Charest pour ce geste de comm�moration significatif qui, non seulement embellira les berges du Saint-Laurent et favorisera leur accessibilit�, mais confirme l�importance de souligner le 400e anniversaire de la ville pour le gouvernement du Qu�bec, s�est r�jouit le maire, M. Jean-Paul L�Allier. Qu�bec doit son existence au fleuve. La population et les touristes pourront enfin retrouver la proximit� de ce cours d�eau majestueux gr�ce au circuit pi�tonnier et aux acc�s au rivage �.

La Ville, partenaire du projet

Un �l�ment important de la promenade est la piste cyclable du littoral. Celle-ci sera compl�t�e en commen�ant par la phase est (entre la Gare maritime Champlain et la c�te de l��glise, � Sillery) qui sera r�alis�e cette ann�e. La Ville investira 1,5 million $, soit le tiers des co�ts en partenariat avec la Commission de la capitale nationale du Qu�bec (CCNQ) et le minist�re des Transports. La Ville collaborera �galement � la r�alisation de la phase ouest (entre la c�te du Verger et l�avenue des H�tels). La partie du trac� requise pour cet am�nagement sera mise � la disposition de la CCNQ. D�s que la piste sera fonctionnelle, la Ville en assurera la gestion.

La Ville profitera �galement de ce projet pour am�nager et embellir les terrains municipaux situ�s en bas de la c�te de l��glise et collaborera �ventuellement � la r�alisation des liens entre la promenade et le haut de la falaise.

Ces deux derni�res ann�es, la Ville a investi environ 4 millions $ dans la r�fection du boulevard Champlain � l�est de la c�te Gilmour. � L�am�lioration de ce boulevard, une des portes d�entr�e de la capitale, est prioritaire pour nous, a expliqu� M. L�Allier. Voil� pourquoi nous serons partenaires dans l�am�nagement de la promenade. �

ENFIN! M�me si ce n'est pas la version originale du projet, on peut croire que le f�d�ral annoncera lui aussi sa participation � partir de la C�te de l'�glise pour la plage projet�e.... ENFIN! des nouvelles positives pour la ville de Qu�bec... ENFIN! des projets....

Commission de la Capitale Nationale

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02 mai 2005

Un beau concours
Par Gerald Gobeil

La Ville de Qu�bec remporte trois prix au congr�s de l'Union des municipalit�s du Qu�bec


Qu�bec, le 2 mai 2005 - La Ville de Qu�bec a remport� trois prix samedi lors du gala cl�turant les assises annuelles de l'Union des municipalit�s du Qu�bec (UMQ).

La Ville de Qu�bec �tait finaliste dans trois cat�gories :


relations avec les citoyens;
urbanisme et am�nagement du territoire;
d�veloppement communautaire.

Les trois dossiers pr�sent�s, soit respectivement le Bureau de l'ombudsman, le mod�le d'analyse d'impact fiscal pilot� par le Service du d�veloppement �conomique et les Chantiers urbains, pilot� par l'Arrondissement des Rivi�res, ont donc �t� prim�s.

M. Claude Larose, vice-pr�sident du comit� ex�cutif, M. Jean-Marie Matte, membre du comit� ex�cutif, et G�rald Poirier, pr�sident de l'Arrondissement des Rivi�res, �taient pr�sents pour recevoir les prix des repr�sentants de l'UMQ.

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Droit d'auteur concernant le mat�riel produit par Qu�bec urbain

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