Le RTC veut augmenter sa flotte d’autobus électriques fabriqués par Techno-Bus malgré leur fiabilité exécrable. Qu’en pensez-vous?
Le Réseau de transport de la capitale souhaite notamment étendre le service d’autobus électrique dans d’autres quartiers de la ville. L’organisme veut donc en acheter d’autres et construire un centre d’entretien uniquement pour ces véhicules, au coût de 7,3 millions de dollars.
« J’ai hâte de voir la prochaine demande du RTC, car si ils en veulent des nouveaux, ça va prendre beaucoup d’argumentaires pour justifier ces achats. Écoutez, j’ai entendu parler de beaucoup de difficultés et d’appels fréquents chez le fabricant; alors, ça démontre une très mauvaise expérience », exprime M. Hamad.
7 avril 2011 à 20 h 25
Il faudrait que ce soit une version de l’écolobus faite pour le Québec avec des circuits électriques isolés du froid et de l’humidité.
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7 avril 2011 à 22 h 32
Pour cela il faudrait chauffer les batteries pour les maintenir à une certaine température ce qui aurait pour effet de drainer les batteries.
Ou bien il faudrait installer un block heater au garage du RTC.
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8 avril 2011 à 07 h 09
C’est inutile le type de batterie en question est déjà très chaud en partant. De toute façon le froid n’est pas un problème pour les véhicule électrique. Il semble que ce soit l’humidité dans le cas présent.
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8 avril 2011 à 17 h 04
Ils recommandent aux chauffeurs de contourner les flaques d’eau si possible. Probablement un problème de moteurs de traction qui prennent l’eau…
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9 avril 2011 à 17 h 10
Vraiment?! Ha ha ha, je ne peux pas croire que les italiens n’ont pas de flaques d’eau!
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7 avril 2011 à 20 h 42
Je crois qu’on fait déjà amplement notre part de « cobaye d’écolobus ». Lorsqu’un produit de qualité existera, on reconsidérera la situation.
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7 avril 2011 à 20 h 45
pourrait-on investir sur des meilleurs services dans les banlieues à la place d’investir sur des écolobus???
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7 avril 2011 à 22 h 17
Ou des autobus de 250 passagers?
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7 avril 2011 à 22 h 44
avec 12 personnes dedans?
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7 avril 2011 à 23 h 51
Rendu là, aussi bien avoir un tramway ;)
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8 avril 2011 à 07 h 10
Un dirait un tramway sur roue? Il y a un projet de trolley-bus à Laval.
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8 avril 2011 à 09 h 34
250?? Ils sont debout au assis?
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7 avril 2011 à 21 h 09
Moi j’ai plutôt entendu que malgré que le taux de pannes soit légèrement plus élevé, il est proche de celui des autobus conventionnels. Il ne faut pas se leurrer, de la mécanique reste de la mécanique. Mais peut-être serait-il bon de faire un appel d’offre pour vérifier chez les autres constructeurs.
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7 avril 2011 à 22 h 31
Je l’ai vu plusieurs fois en panne en tout cas!
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7 avril 2011 à 21 h 57
« Deux projets sont actuellement étudiés par Novabus. Le premier concerne un microbus qui remplacerait les Écolobus de fabrication italienne actuellement en fonction dans le Réseau de Transport de la Vieille Capitale. »
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2011/04/20110407-182859.html
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8 avril 2011 à 08 h 04
Je pense qu’il est sûrement possible de travailler avec le constructeur (ou un autre) afin de régler les principaux problèmes liés à notre climat.
Mais de les remplacer par de gros autobus bruyant dans le vieux Québec, je crois que ça serait un grave recul.
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8 avril 2011 à 08 h 26
Je pense que nous avons tout à notre disposition pour augmenter la flotte en négociant un prix à l’unité beaucoup plus bas…
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8 avril 2011 à 08 h 43
à lire le titre « Devrait-on augmenter la flotte d’Écolobus malgré leur manque de fiabilité? », faudrait être fou pour répondre « OUI! »
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8 avril 2011 à 09 h 31
Il faudrait aussi être fou pour dire non sans plus de détails que ça…
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8 avril 2011 à 09 h 35
J’y pense, écolobus c’est pas le nom du modèle italien, c’est le nom du circuit. Peut-être que les nouveaux écolobus ne seront pas de la même marque.
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8 avril 2011 à 09 h 58
@ Francis L. Je te cite:
« Moi j’ai plutôt entendu que malgré que le taux de pannes soit légèrement plus élevé, il est proche de celui des autobus conventionnels. Il ne faut pas se leurrer, de la mécanique reste de la mécanique »
Selon le rapport annuel 2009 du RTC, la moyenne de bon fonctionnement (MDBF) est de 5492 km (Indique le nombre de km parcourus par les autobus entre 2 pannes).
Le RTC parcoure 26.5 millions de km annuellement.Avec une panne au 5492 km donne 4825 pannes par année pour l’ensemble de la flotte.
Le parc d’autobus est composé de 572 véhicules ce qui donne une moyenne de 8.4 pannes par autobus par année.Soit une panne au 43 jours par autobus
En 2010 l’Écolobus composé de 8 véhicules aurait subi 973* pannes
ce qui donne une moyenne de 122 pannes par autobus par année ou une panne au 3 jours.
C’est 15 fois plus élevé qu’un autobus conventionnel, et tu nous dit que c’est LÉGÈREMENT plus élevé. Tu n’est pas crédible, vas refaire tes devoirs.
*
http://lejournaldequebec.canoe.ca/actualites/quebec/archives/2011/04/20110405-220745.html
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8 avril 2011 à 13 h 32
Francis a dit « j’ai plutôt entendu », pas «je certifie que». Bravo pour toi et le journaliste d’avoir obtenu les chiffres mais si nous n’avions pas eu de chiffre, les «j’ai entendu que» sont valides.
Je trouverais ça dommage qu’on se prive de ces petites bus silencieuses mais le problème de fiabilité doit être étudié et idéalement, règlé d’une manière ou d’une autre.
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8 avril 2011 à 14 h 21
À la défense de Francis, j’ai entendu la même chose lui. Je crois que cela venait du RTC. Je n’ai pas pris la peine de vérifier mais cela m’a gratté le cerveau.
L’an passé, j’ai contacté le RTC pour savoir si l’autobus supplémentaire qui n’est pas aux normes pouvait être utilisé pour des activités de recherche. Mon idée était de mettre des batteries faites au Québec au lieu du kit italien. Évidemment, on m’a fait une fin de non recevoir. Maintenant, je pense que l’on devrait carrément arracher tout le circuit électrique et installer des composantes faites au Québec. Si le prototype marche pas pire, on s’entend avec les italiens pour le vendre sous licence.
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9 avril 2011 à 17 h 18
Pour économiser de l’argent, on pourrait plutôt demander à Novabus d’acheter la licence de production des autobus. Comme ça, on pourrait les produire au Québec avec nôtre technologie de moteur et de pile électrique.
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8 avril 2011 à 17 h 53
Comme Yvan le dit, il me semblait avoir lu cela dans un article du Soleil. J’ai tenté de le retrouver mais sans succès. Et comme sgauvin le fait remarqué, j’avais bien dit » j’ai plutôt entendu « , comprenez-vous la nuance?
Félicitation pour vos calculs, mais si vous voulez les rendre encore plus crédible, utiliser un ton plus poli s’il vous plaît.
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8 avril 2011 à 11 h 31
Peut-être faudrait-il les augmenter… à cause de leur manque de fiabilité !
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8 avril 2011 à 17 h 00
Ces bus proviennent d’une compagnie Italienne qui a comme seule client 2-3 bourgades italiennes et …la ville de Québec. Chez eux personnes ne parlent anglais et ils n’ont jamais vu de neige.
Ce sont deux cadres qui parlent italien au RTC qui sont allez les voir en 2008.
C’est louches tout ça!!!
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8 avril 2011 à 17 h 39
Quant à moi, pour avoir utilisé L’Écolobus depuis le début, et le prendre encore, c’est génial quand ça fonctionne. Québec n’est pas une ville, dans son centre, qui est « sur le planche ». Ce bus est quasi plein à chaque fois dans le trajet basse-ville haute-ville. L’inverse n’est pas vrai. J’ose espérer que le RTC persistera et que les solutions techniques seront trouvées. C’mon. On est capable. Et s’il faut que la solution passe par Novabus et Hydro, go for it.
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8 avril 2011 à 17 h 56
En effet, le service de l’écolobus est très novateur! On a beaucoup de panne, mais pour travailler moi même dans le domaine des nouvelles technologies, je peux dire que c’était assez prévisible. Le contraire aurait été plutôt étonnant (positivement).
Faut-il garder la même compagnie? Comme je l’ai dit plus tôt, c’est important de faire des appels d’offres. Mais même si le projet avait été un succès sur toute la ligne, j’aurais dis la même chose.
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8 avril 2011 à 18 h 30
Je suis d’accord de passer par un appel d’offre.
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9 avril 2011 à 12 h 15
On a l’expertise je pense pour le développement de ce type d’équipement. Bombardier pourrait sûrement plancher sur ce dossier si ce n’est pas déjà dans ses tiroirs.
Avec quelque chose de fiable et adapté aux contraintes connues ce type d’équipement pourrait être utilisé sur les parcours moins achalandés.
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8 avril 2011 à 23 h 21
Comme produit expérimental , l’éco-bus a un bilan satisfaisant;
-on a dit qu’il ne monterait pas les côtes et …il a monté les côtes
-on a dit qu’il ne passerait pas le test de l’hiver et il a passé le test!
-on a dit qu’il n’aurait pas de durabilité et il s’avere durable
Sauf qu’il doit se bonifier encore pour ne plus être un produit expérimental…
Si on lui décerne une note de 65%, il doit passer a 80% maintenant.
Alors que le IPAD se bonifie au 6 mois, il me semble naturel d’exiger
une meilleure performance encore (apres plus de 4 ans d’essai)
La meilleure décision me semble d’exiger cette bonification avant d’étendre la flotte…
On doit poursuivre mais en consolidant ce qu’on a avant de passer a une étape suivante!
Consolidons!
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9 avril 2011 à 17 h 14
Et réusiner les bus actuels pour les rendre aussi fiable que les bus italiens adaptés au Québec (advenant que les italiens adaptent leur autobus).
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12 avril 2011 à 03 h 22
« -on a dit qu’il ne monterait pas les côtes et …il a monté les côtes »
Ouais, souvent en faisant débarquer du monde….
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10 avril 2011 à 09 h 31
Le vrai problème avec les écolobus c’est qu’ils coutent presque le prix qu’un bus diésel 40 pieds mais pour 3 fois moins de capacité. C’est comme si on achetait des 40 pieds de 1.2 million l’unité. Et si en plus ce sont des citrons…. Ca me semble assez évident que si on remplacait la totalité des services du RTC par des microbus, on se mettrait carrément en faillite! La « vertu » a ses limites quelquepart.
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11 avril 2011 à 11 h 35
Je pense que le problème viens du fait que la compagnie qui fait ses autobus n’est pas assez grosse. Ça doit être pas mal artisanale son affaire (la production en série fait économiser beaucoup de $$$$$$). Novabus c’est plus gros, et Hydro-Québec c’est un mastodonte. Je ne comprend pas pourquoi on met de la technologie Italienne importée d’une petite usine quand on dispose de plusieurs de meilleurs spécialistes mondiaux de l’électricité qui travaillent pour l’état et d’une grosse usine d’autobus.
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