Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


RTC: Rapport d’activité 2010

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 29 mai 2011 8 commentaires

Le RTC vient de déposer son Rapport d’activité 2010. Ce document met en lumière les gestes significatifs posés pour rendre le transport en commun plus efficace et plus attrayant pour la population de Québec.

Le RTC a notamment ajouté près de 30 000 heures de service, prolongé le parcours du Métrobus 800 jusqu’au pont de Boischatel (Parc de la Chute-Montmorency) et ajouté une station tempérée sur son réseau. Le premier véhicule hybride a également été introduit au mois de juillet.

Parmi les autres faits saillants, notons que le site Web et Trajecto ont tous deux battu des records de fréquentation en 2010.

Le rapport

71 760 clients par jour
44,3 M de passages par année

Pas de voie réservée, moins de passagers dans les bus du RTC

* Merci à un fidèle lecteur (Jacques Martin)

Voir aussi : Transport en commun.


8 commentaires

  1. Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

    29 mai 2011 à 18 h 17

    on piaffe d’impatience pour le système GPS…

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  2. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    30 mai 2011 à 13 h 43

    Le volume de clients a baissé entre 2009 et 2010 malgré toutes les améliorations au réseau. Il est passé de 44,5 à 44,3 millions au cours de la dernière année, ce qui équivaut à un recul de 0,4 %. Raymond Dion a la mine déconfite, il doit se résigner à ne pas avoir de voies réservées, le Ministre Hamad a tranché : pas de guerre entre les TEC et les autos.

    Lors d’une étude intitulée « Complete Mobility in the Greater Toronto and Hamilton Area » a été effectuée par une firme de consultants du Royaume-Uni, MRC McLean Hazel Ltd., en collaboration avec MRC Inc. de Toronto (les deux font partie du groupe MMM). Elle porte sur la situation actuelle et les solutions déjà bien établies relativement au concept de la mobilité totale. L’indice de mobilité totale comporte cinq indicateurs de mobilité qualitatifs et dix indicateurs quantitatifs, le tout permettant de mesurer la « durabilité », « l’efficacité » et « l’accent porté à l’usager » d’un système de mobilité d’une ville. Ces résultats sont ensuite comparés au produit intérieur brut par habitant des villes évaluées.

    On y constate que l’étalement urbain et la faible densité de population ont conduit à des modes de vie tournant autour de l’automobile, ce qui se traduit par des niveaux croissants de congestion routière. La région GTH doit nécessairement améliorer la cohabitation entre l’automobile, le transport public et le transport de marchandises, notamment par l’intégration des technologies de l’information aux infrastructures physiques. Il faut que les individus et les marchandises puissent se déplacer avec fluidité dans tout le système de transport.

    Québec aurait à apprendre de cette étude lancée par Siemens Canada. Oui celle qui a vendu 30 monorails suspendus aux chinois…

    Mon cher Gérald, le monorail sera implanté ailleurs au Québec en 2017 avant le tramway. Québec attendra son tramway nommé Désir…

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    • me

      30 mai 2011 à 19 h 53

      Et votre monorail en ville, on les met où ses stations? À partir du moment où la ville ne dispose pas de nombreux bâtiments en hauteur, ça serait certainement splendide dans le paysage de Québec, d’avoir des stations au dessus des triplex.

      Toit du Mail St-Roch version Futurama.

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      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        30 mai 2011 à 22 h 07

        Sans dire que j’approuve tout ce Fernand dit loin de là, je pense qu’un train aérien ou un monorail devrait être évalué.

        Je pense que ça irait mieux pour gravir les pentes à Québec.

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      • Pier Luc

        1er juin 2011 à 18 h 40

        Ou un gros téléphérique comme j’ai vu à New-York en fin de semaine. De visu, je dirais qu’il peut transporter 30 personnes à la fois dans la cabine mais il y a surement moyen de le doter d’une cabine plus grosse ou de plusieurs cabines.

        Je crois que les deux gros problèmes sont:
        – La population est trop étalée pour rentabiliser une installation sophistiquée et très coûteuse au km.
        – Il n’y a pas beaucoup de place dans la haute-ville pour installer de véritables stations de transport en commun. À moins qu’elles soient souterraines.

        L’idéal je crois que ce sont les voies réservées pour les bus au centre des artères et des liens sur rails ou sur câble pour relier les banlieues entre elles et relier le centre-ville aux banlieues. Puis, compléter le tout avec le transport par autobus. Sans oublier un gros téléphérique pour traverser le fleuve. Idéalement un équipement gratuit géré par Transport-Québec.

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  3. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    3 juin 2011 à 17 h 35

    Merci de parler du monorail mais je dois vous avouer que nous visons de transporter des gens et des marchandises dans les points éloignés d’au moins 5 kilomètres de distance. Ainsi, nous serions intéressé à desservir Lévis-Québec d’un centre-ville à l’autre ou relier l’aéroport aux hotels du centre-ville, etc

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