Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…

Vélobus: Sondage en ligne du RTC

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 août 2011 7 commentaires

Le sondage

Voir aussi : Transport en commun.

7 commentaires

  1. J.

    7 août 2011 à 16 h 19

    J’ai voulu participer au sondage mais seuls ceux qui ont déjà utilisé le service sont appelés à donner leur opinion. J’ai eu plusieurs invitations de la part des chauffeurs à utiliser le service (je barre ma bicyclette à une clôture pendant que le Métrobus est au feu rouge et je monte à bord, mais à l’autre bout de la course, ma bicyclette ne me serait pas utile. Et vous, vous l’utilisez le vélo-bus ? Je fais plusieurs trajets en Métrobus par semaine et peu de véhicules ont des bicyclettes « dans le pare-brise ».

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  2. Jean-Philippe Doyle

    8 août 2011 à 22 h 39

    Dans la même veine que J. je crois qu’on devrait penser aussi à où les gens les laissent les vélos une fois rendus à destination ou au départ du trajet. Plus de rack à vélos ou des endroits sécuritaires pour laisser les vélos seraient de bonnes idées!

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    • Francis L

      8 août 2011 à 22 h 49

      En effet. C’est parfois désolant de voir les services ridicules offerts aux cyclistes. En autre, plusieurs commerçants possède d immenses stationnements pour leur clientèle en automobile, mais n’offre presque qu’aucun endroit pour laisser son vélo. Pourtant les cyclistes sont aussi des clients, et un espace pour les vélos est bien moins couteux d entretient qu’un stationnement. Je pense à plusieurs commerces que je visite régulièrement : des épiceries, des centres d’achats, etc.

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    • Manu

      11 août 2011 à 00 h 22

      Même principe qu’un parc-o-bus, mais en vélo plutôt qu’en auto… pourquoi pas? Suffit de quelques supports à vélo avec un abri contre la pluie si possible (un minimum de toit, rien d’extravagant).

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  3. J.

    9 août 2011 à 00 h 22

    Lorsque j’étais étudiant, j’étais emballeur d’épicerie et le support à vélos de l’épicerie Provigo de Sillery (Belvédère) n’était pas fixe et ne pouvait recevoir que trois vélos. Dans ce temps-là, c’était un Dominion Store et la livre de beurre coûtait 64 cents. Ce n’est donc pas d’hier. Et bien, en 2011, c’est toujours le même support à vélos non fixé, tout rouillé, qui traîne à la devanture du commerce. Sa conception date d’une époque où il n’était pas dans les moeurs de « cadenasser » son vélo, de peur de se le faire voler. Il est conçu de telle façon qu’il faut un cadenas avec une longue tige flexible ou chaîne pour pouvoir sécuriser le vélo. J’ai interpellé le gérant à ce sujet et il m’a regardé en ayant l’air de dire: »Que-c’est tu veux toi ? »Espèce de chialeux! Pour plusieurs commerces, un client à vélo ne mérite pas l’attention au service qu’aura droit un client automobiliste. Pourtant quand je paie, à la caisse, mes dollars s’en vont à la banque de la même façon que l’argent des autres clients.
    (- Le support à vélos a déjà été à côté du conteneur à déchets au fond du stationnement à cette épicerie.) Et je rappelle que nous sommes au carrefour de rencontre des Métrobus 800, 801, 802 et des circuits 1 et 10. Alors je partage l’avis de Francis L.

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