Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Les entrepreneurs sont les bienvenus à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 3 avril 2009 22 commentaires

Julie Lemieux
Le Soleil

«Si vous avez des projets et si vous avez de l’argent, vous êtes les bienvenus. Vous ne devez pas être perçus comme des voleurs ni comme des malfaiteurs, mais comme des partenaires. Les fonctionnaires doivent cesser de vous regarder de haut. Et ne me dites pas que ça ne vous est pas arrivé au moins une fois de vous faire regarder de haut par des employés municipaux», a-t-il lancé.

M. Labeaume a fait le tour des différentes mesures qu’il entend mettre en place pour faciliter la tâche des investisseurs, comme la diminution du nombre de permis de construction nécessaires et l’allégement de la démocratie municipale. «Il y a neuf paliers démocratiques. Québec est la pire ville au pays pour bâtir des choses», a lancé le maire, en répétant qu’il voulait abolir la tenue des référendums.

la suite

Réélection assurée

Voir aussi : Québec La cité.


22 commentaires

  1. dave deux

    3 avril 2009 à 17 h 31

    Oups, dossier chaud a l’horizon.
    Québec ville ouverte

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  2. Guill

    3 avril 2009 à 17 h 46

    C’est sur que quand on mesure 5 pieds et quelques pouces, on a toujours l’impression que l’on se fait regarder de haut…

    C’est une question de point de vue…

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  3. Guill

    3 avril 2009 à 17 h 47

    Et juste comme ça… C’est quand le dernier référendum municipal à Québec pour s’opposer à un projet économique ? Pourquoi vouloir abolir quelque chose qui, manifestement, ne fait pas partie de « l’arsenal » des opposants?

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  4. Real

    3 avril 2009 à 17 h 53

    Toujours aussi respectueux et posé dans ses propos, ce maire ! :-(

    Après l’abolition des référendums, pourquoi ne pas abolir les élections et confier la gestion de la ville à un conseil d’administration composé de gens d’affaires ?

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  5. dave deux

    3 avril 2009 à 18 h 28

    C’est comme je disais, dossier chaud à l’horizon.
    Je sens que ça vas brasser à Québec dans les prochaines années.
    On attend les réactions du Kamarad du Kolkhoze de Beauport.

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  6. Michel

    3 avril 2009 à 18 h 44

    Merci Guill,

    Je pensais qu’il parlait en mal des employés de la ville, mais c’est simplement une question physique….La prochaine fois que je vais le croiser, je vais me mettre à genoux

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  7. François

    3 avril 2009 à 18 h 51

    Je le vois venir, ce maire. Le prétexte de la crise économique sera tout indiqué pour escamoter les processus de consultation et décisionnels dans lesquels les citoyens peuvent dire mot. Encore une fois, Monsieur le maire : s’agiter n’est pas gouverner.
    Dans la plupart des cas où des comités de citoyens s’impliquent dans des causes, c’est pour bonifier et modifier des projets. Et lorsqu’il y a des oppositions systématiques, peut-être est-ce à la ville de Québec de faire son examen de conscience et de revoir ses processus de communication. Je pense notamment au quartier St – Yves. Je suis convaincu que la densification dite douce n’a pas su à être bien expliquée.
    En tout cas, le maire semble vouloir un chèque en blanc. Voilà mon impression.

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  8. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    3 avril 2009 à 19 h 53

    Dans l’ensemble, j’ai plutôt une bonne opinion du maire. Sauf que…

    Je commence à me méfier de son côté impulsif, autocratique et « girouette »! Ah! la politique pour le « vrai monde »…

    Une nostalgie de l’époque Lamontagne où on laissait, au nom du progrès, la ville en pâture aux « développeurs », déracinant des générations de familles qui avaient jusqu’alors grandi dans les quartiers centraux?

    Attendons la suite…

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  9. dave deux

    3 avril 2009 à 21 h 03

    Lamontagne, ah oui Lamontagne l’ancien Maire celui là même qui
    traitait l’opposition de communistes. Comme le kamarade du kolkhoze de Beauport. Ca c’était un visionnaire, a un point tel
    qu’une bonne partie de ses destructions, pardon de ses réalisations on été elles-mêmes détruites. Je n’ai rien d’autres à
    dire sur ce type sauf qu’il était au cocktail-bénéfice de Napoléon
    il y a qq jours. Mais lui il était là par conviction contrairement aux autres affairistes qui était sur place pour une séance de léchage de… Québec c’est petit, un vrai village. je ne sais comment Régis va faire pour changer cette mentalité villageoise
    auprès des suiveux de son entourage qui tètent les faveurs
    de l’Empereur.

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  10. Manu

    3 avril 2009 à 23 h 37

    Ouf! Après un pareil discours du maire, il faut véritablement en prendre et en laisser…

    Il me semble, tout d’abord, qu’entre abolir et réglementer (par exemple) les référendums et autres consultations du genre, il y a tout un monde! Juste à titre d’exemple, un projet dont l’envergure ou l’usage ne se limite pas qu’aux rues environnantes pourrait n’être sujet à un référendum que si on récolte assez de signatures dans tous les coins de la ville sous « l’envergure » du projet. C’est juste un exemple, et non une proposition que je fais…

    Par ailleurs, comparer les fonctionnaires qui envoient les avis d’imposition aux entrepreneux qui envoie des factures ne tient vraiment pas selon moi. Ces fonctionnaires ne sont pas responsables des directives qu’ils doivent appliquer. On devrait plutôt les comparer aux responsables des factures dans les entreprises. Puis on devrait plutôt comparer les entrepreneurs… au maire lui-même! qui devrait parfois « shaker » comme il dit, lorsqu’il envoie la facture annuelle (le budget, et les taxes qui vont le payer) à ses citoyens (personnels ou corporatifs).

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  11. Sébastien Gauthier

    4 avril 2009 à 07 h 05

    C’est bien beau de parler mais le maire devra maintenant passer de la parole aux actes. Ce à quoi il faut s’attaquer, c’est cette stupide mentalité de villageois qui règne en maitre à Québec. Une fois cette mentalité rétrograde éliminée, les contraintes bureaucratiques s’élimeneront d’elle-même. Au niveau de fonctionnaires de la ville et du gouv du Québec, on observe un niveau d’entrepreneurship absolument nul et cela doit changer.

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  12. Real

    4 avril 2009 à 08 h 50

     »C’est bien beau de parler mais le maire devra maintenant passer de la parole aux actes  »

    Tenant compte du haut taux de satisfaction dont bénéficie le maire actuellement, c’est à croire qu’un majorité de citoyens de Québec se sentent à l’aise avec la trash politique. Rien de surprenant à ça, toute une génération a fait son apprentissage politique et sociale en écoutant la radio poubelle de Québec.

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  13. Frédéric

    4 avril 2009 à 09 h 15

    @Sébastien

    Vous parlez « d’attaquer » une mentalité, de « l’éliminer »… À quand le « Axis of Evil » de Québec?

    Ce qui m’apparait rétrograde, c’est bien plus ce retour en arrière prôné par ceux qui voient dans leur soupe le « développement » agressif non réglementé, comme si cela nous avait servi dans le passé…

    Et on s’y prend comment pour « s’attaquer » à une mentalité, je vous le demande?

    La seule manière acceptable de le faire, c’est par l’éducation et la sensibilisation. Deux domaines qui ne sont pas le fort de notre petit roi Régis. Sans oublier que sensibiliser les gens à une mauvaise idée (quelle qu’elle soit) n’est pas non plus un gain…

    Typique, ce désir de changer les mentalités, et de le faire à n’importe quel prix en suivant n’importe quel raccourci. Selon le niveau d’extrémisme, on passera de l’abolition de remparts démocratiques au camp de concentration…

    Je préfère la mentalité de villageois à celle de Wall Street. Les erreurs font moins mal. Québec se porte d’ailleurs assez bien.

    Évidemment l’idéal est un juste milieu. Mais c’est pas avec le genre de rhétorique qu’on peut lire chez certains commentateurs que ça risque d’arriver.

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  14. Louis.L.

    4 avril 2009 à 09 h 45

    À Frédéric

    :::::Je préfère la mentalité de villageois à celle de Wall Street. Les erreurs font moins mal. Québec se porte d’ailleurs assez bien::::::

    Il est vrai que l’inaction nous permet d’éviter les erreurs mais est-ce ce qui a de mieux pour la ville, l’inaction de peur de changer les choses? Et les erreurs, n’est-ce pas normal d’en faire parfois quand pose des actions?

    Pour le Québec, la plupart des indices sociaux et économqiue nous place en bas de liste en Amérique. En bref on est plus pauvres et on s’endette toujours davantage que bien des provinces et États. Ça vous satisfait?

    Il est vrai qu’il doit y avoir un juste milieu, mais n’allons quand même pas dire qu’un minimum de dynamisme à Qc ne serait pas le bienvenue. Car mise à part le 400e, qu’avons nous eu comme projet commun à Qc debut 15ans-20ans?
    St-Roch oui, mais déjà le quartier retapé à coup de millions s’essoufle?

    Dans une ville qui vie de la fonction publique, de la recherche et du secteur de l’Assuance, il y a définitivement de la place pour des entrepreneurs qui amèneraient un peu de diversité économique. Québec doit ce montrer attirante à tous les niveaux et la prise de position du Maire s’inscrit parfaitement dans cette optique.

    Pour ce qui est des commités de citoyens de toutes sortes, ils ne doivents pas être un obstacle au projets interressants. L’exemple du Crash Ice et du Boul. Laurier sont des exemples frappants de l’impertinance de certain de ces groupes. De plus, ils font mauvaise presses au regroupement qui s’efforcent de défendre des sujet qui méritent vraiment d’être discuté sur la place publique

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  15. Frédéric

    4 avril 2009 à 10 h 29

    @Louis L.

    La ville de Québec possède la meilleure économie du Québec présentement, et se classe parmi les meilleurs villes au pays, généralement après Calgary. Alors pourquoi ce ne serait pas notre modèle que le reste du Québec devrait adopter?

    Ceci dit, je crois qu’il faut faire attention de ne pas mettre tous les projets entrepreneuriaux dans le même panier. L’installation d’une entreprise sérieuse qui apporte des emplois à long terme doit être encouragée, et se fait rarement au détriment de la qualité de vie d’un quartier à moins de parler d’usine polluante.

    Tandis que la construction non réglementée d’édifices à logements ne crée que des emplois temporaires, et entre parfois en conflit avec la qualité de vie des citoyens (disparition d’espaces verts, baisse de luminosité naturelle, circulation plus lourde, etc.).

    En termes économiques, on ne parle pas du même impact.

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  16. dave deux

    4 avril 2009 à 10 h 58

    Finalement pour conclure mon intervention et sachant très bien
    quels sont les moineaux (ou vautours) qui gravitent autour de
    Napoléon, je vous dirais de vous méfier.

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  17. Guill

    4 avril 2009 à 11 h 15

    Ce qui me désole, c’est que nous devrons démolir nos camps d’extermination construits pour éliminer tous les méchants entrepreneurs…

    Nous savons tous que ces camps sont nombreux dans la ville de Québec. C’est la go-gauche (une force tellement puissante à Québec) qui les entretient…

    On pourrait peut-être les convertir en Normandin ou projeter des grosses images dessus! Tout ne serait pas perdu!

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  18. Fernand

    4 avril 2009 à 12 h 08

    Dave deux parlez nous donc du projet de la Cité Verte sur le terrain des soeurs du Bon-Pasteur par la SSQ qui devant le barrage d’opposition citoyenne a failli abandonner le projet. N’est-ce pas l’opposition inconsidérée des citoyens qui a forcé le conseil de ville a faire fi des assemblées de consultations ? Est-ce à quoi avec l’ilot Lapointe que le maire voulait faire allusion ?

    Le leadership c,est de sortir des sentiers battus pour améliorer notre sort. Le maire Labeaume en a à revendre. En tout cas il y aura toujours des gérants d’estrade qui ne feraient pas mieux qui chialent…

    C’est le printemps, les corneilles croassent…

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  19. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    4 avril 2009 à 12 h 19

    Dans sa toujours aussi intéressante émission du samedi matin, Radio-Canada faisait état de cet article portant sur Québec, publié dans Le Devoir, et mettant au premier plan la qualité de vie à Québec « faisant baver de jalousie les Montréalais »:

    http://www.ledevoir.com/2009/04/04/243756.html

    PS: dommage que la suite soit réservées aux abonnés…

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  20. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    4 avril 2009 à 13 h 30

    @ Jean Cazes

    Justement. Abonnez-vous :)
    Voici la suite de l’article. Bonne lecture :)

    C’est d’abord une capiteuse odeur qui titille les narines en pénétrant dans le nouvel hôtel Pur, cet établissement de la basse-ville où on a compris que bien des gens puisent leur dose de caféine dans autre chose que ces breuvages insipides encore allègrement servis même dans les institutions les plus étoilées d’Amérique du Nord.

    Mais la bonne étoile de cet hôtel planté au beau milieu du Nouvo Saint-Roch, un quartier en voie de branchitude avancée, ne s’arrête pas à l’espresso ou au cappuccino offerts en tout temps dans le lobby et qui, d’ailleurs, finissent souvent par susciter les échanges «interpersonnels».

    Les propriétaires du Pur, Ark Investment Partners, possèdent également trois hôtels dans la Grosse Pomme (Shoreham, Franklin et Mansfield). Si cette appartenance a entraîné pour le Pur de la vieille capitale une influence résolument new-yorkaise, l’ambiance, le personnel et le décor restent purement à l’enseigne Québec-ville, savez, là où les gens surfent encore sur leurs célébrations du 400e…

    Dans cet ancien Holiday Inn, rue de la Couronne, seule la charpente de béton a été gardée pour recréer tout le reste, et même les couloirs sillonnant les 241 chambres incitent à la détente: sombres, ils le sont, dans des tons de noir, de gris et de blanc. Par contraste, des fenêtres pleine hauteur font presque office de luminothérapie tellement elles irradient l’espace, à l’intérieur des chambres autant que de certaines aires communes donnant sur l’urbanité grouillante autour de l’édifice de neuf étages.

    Dans une atmosphère d’auberge familiale, le Pur (www.hotelpur.com) propose les services d’un grand hôtel: piscine intérieure largement fenestrée, sauna, pièce de conditionnement physique, salle de bal, centre d’affaires, Internet haute vitesse sans fil… À chaque unité, les designers ont eu la bonne idée d’installer le lit face aux ouvertures panoramiques jouxtées d’un fauteuil récamier, comme une invitation à épouser les paysages citadins qui s’y collent, du Vieux-Québec au fleuve Saint-Laurent ou à l’île d’Orléans.

    Tout cela s’intègre dans un aménagement à ce point épuré que l’accueil pourrait facilement souffrir de froideur. Mais le directeur général, Vincent Dufresne, veille au grain: «J’ai voulu faire en sorte de créer une ambiance chaleureuse dans un décor très tendance», dit-il.

    Le Nouvo Saint-Roch, autrefois moche et mal famé, est une sorte de Plateau Mont-Royal en puissance, version Québec-ville, bien entendu: surtout, ne jamais ressembler à Montréal! Et même s’il reste encore des traces de cette morosité qui enveloppait autrefois le quartier, on y trouve les signes irréversibles d’une revitalisation déjà bien campée, dans un îlot encore restreint, toutefois, autour de l’hôtel Pur et de la bibliothèque Gabrielle-Roy, avec ses boutiques, pâtisseries, cafés et restos d’une autre génération.

    L’Utopie (www.restaurant-utopie.com) est du nombre, avec sa convivialité urbaine et son menu tout en surprises: on craque volontiers pour celui qui offre un accord vins-mets tout au long du repas, concocté par le chef sommelier Jean-Sébastien Delisle, l’histoire de chacun des cépages à l’avenant. Quant au Panache de la magnifique auberge «archéologique» Saint-Antoine (www.saint-antoine.com), un peu plus loin, il reste égal à lui-même: un endroit charmant installé à même un site historique, où la table fait toujours honneur au chef François Blais.

    Puis il y a aussi le théâtre de la Bordée, le théâtre Impérial à l’étonnante devanture, et tous ces gens dont l’allure ne trompe pas sur la nouvelle vocation d’un arrondissement où l’on imagine volontiers, entre autres fréquentations, les jeunes loups de la culture, de la finance et de l’informatique.

    Mais surtout, surtout, l’horrible mail Centre-Ville, une ex-croissance qu’on avait probablement voulue calquée à l’époque sur les centres commerciaux, est tombé sous les pics des démolisseurs: quelques centaines de mètres de la rue Saint-Joseph avaient littéralement été recouverts. Et nous étions loin des emballages à la Christo!

    Cette atrocité enveloppait même une partie de l’église Saint-Roch, un bâtiment, après tout, seulement de style néogothique… Même s’il gagnerait beaucoup à être illuminé le soir venu, le monument religieux, aujourd’hui réhabilité, en impose. Et on imagine aisément les moments de pur plaisir qu’offrirait une terrasse de l’hôtel sur l’une des artères qui le bordent, la rue du Parvis, à l’ombre du lieu de culte. Des commérages de perron d’église peut-être pas toujours catholiques, mais ô combien sympathiques.

    Le projet figure d’ailleurs dans les cartons de Vincent Dufresne, qui planche toutefois, ces temps-ci, sur l’ouverture du restaurant de l’hôtel, fin mai ou début juin. «Nous y proposerons une bonne table, mais accessible, promet-il, dont le menu fraîcheur sera mijoté par le chef François Privé. Il y aura aussi un bar où on pourra également casser la croûte.» À en juger par la «table» de l’actuel service aux chambres, ça promet.

    Sur la piste des pentes

    Et s’il nous prend l’envie, autour de cette envolée urbaine, de profiter des derniers jours skiables, la station Stoneham, entre autres, offre de tout pour tout le monde à moins d’une demi-heure du centre-ville de Québec (www.ski-stoneham.com). On vient d’y investir plus de 700 000 $ dans une structure permanente de demi-lune pour le parc à neige, en complément de ses 32 pistes réparties sur trois montagnes. Et le restaurant Feu Follet propose, au pied des pentes, un menu qui s’aventure bien au-delà des poutines et autres fast-food très courants dans ce genre d’endroit: carpaccio de cerf, foie de caille, jarret de porc, coq, boudin, pétoncles, thon, crevettes, basa… Et pas besoin de skier pour aller prendre un bon repas avec vue sur la montagne. Même l’été, où le centre dispose également de tout un programme d’activités.

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  21. jeff-TVQC

    4 avril 2009 à 15 h 12

    je trouve cette initiative du Maire très intéressante et surtotu enfin un décideur qui veut faire bouger les choses!

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  22. dave deux

    4 avril 2009 à 16 h 02

    Kamarade fernand, si vous voulez que je vous parle de la cité
    verte je peux vous en glissée un petit mot. N’est-ce pas cet
    développement qui a été vendus aux citoyens sous le prétexte
    de rajeunir le quartier. Je suis sûre que les petites maisons de ville a $300,000 ca va rajeunir le quartier.

     » La cité verte va permettre de conserver une moyenne d’âge moins élevé. Il faut que les jeunes achètent les maisons dans le quartier
    YVON BUSSIÈRES, Le Soleil 5 août 2008
    Compte tenu que St-Sacrement est un des plus vieux quartiers
    urbains du Québec, on peut dire que l’arrivée de jeunes de 60 ans va drôlement rajeunir le quartier. Car il ne faut pas ce le cacher, des maisons de $300,000 c,est pas des tites familles
    qui vont s’installer là.

    C’est le printemps, le vieilles marmottes sortent.

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