Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Urbanisme: Les boisés (suite)

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 11 mai 2009 9 commentaires

Éric Moreault
Le Soleil

Une arme à deux tranchants (Québec) Québec a roulé des muscles la semaine dernière en retirant (temporairement) au Groupe Platinum son permis après que celui-ci eut abattu illégalement des arbres, à Sainte-Foy. La Ville veut faire passer un message aux promoteurs, mais il s’agit d’une arme à deux tranchants, tant sur les plans économique qu’écologique.

Dans le dossier de la protection des espaces verts, Québec est victime de son propre laissez-faire et de son tour de taille. On a trop longtemps toléré les comportements délinquants, ce qui a engendré une culture de l’abattage forcené. Avant les fusions, les promoteurs avaient beau jeu. Trop de contraintes et ils s’en allaient tout simplement vers des villes de banlieue moins regardantes.

De nos jours, les mêmes pourraient être tentés d’aller plus loin en périphérie, dans des zones où la nature est encore vierge. Voilà pourquoi il devient de plus en plus urgent que la Communauté métropolitaine de Québec (Québec, Lévis et les trois MRC des environs) dépose son schéma d’aménagement sur lequel elle planche depuis… 2003!

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Voir aussi : Québec La cité.


9 commentaires

  1. François

    11 mai 2009 à 08 h 55

    «L’administration Labeaume ne reprendrait pas à son compte la citation de Ronald Reagan, en 1981 : «Les arbres causent plus de pollution que les autos.» »
    non, mais on attend une un autre tirade de notre ami Fernand…

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  2. Fernand

    11 mai 2009 à 09 h 10

    Je ne suis pas comtre les arbres mais contre les extrémistes qui utilisent toutes sortes de subtergàfuges pour militer pour leur point de vue. Effectivement dans cet article on en parle ainsi: « certains citoyens, qui veulent parfois protéger des boisés qui n’en méritent pas tant et qui ne leur appartiennent pas. »

    Voilà l’exagération est dans les deux cotés car tant qu’il aura des hommes , il y aura de l’hommerie. Dabns tout ça , on met en exergue des cas extr^mes pour réglementer plus drastiquement les gens qui se comportent déjà en bon citoyen et ils sont majoritaires.

    Un promoteur qui agit mal ne dure pas longtemps, sa réputation est entachée et il doit aller ailleurs. Par contre , il y a des écolos qui agissent comme les bérets blancs de Gilberte-Coté Mercier et ilfaut les tolérer et même suivre leur agiossement sans mot dire. Deux poids, deux mesures aveuglés par une mode verte par toujours logique…

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  3. Carol

    11 mai 2009 à 09 h 36

    « non, mais on attend une un autre tirade de notre ami Fernand… »

    tu viens de l’avoir hi hi hi

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  4. Fernand

    11 mai 2009 à 09 h 58

    Carol , soupir…

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  5. regis

    11 mai 2009 à 22 h 15

    dans le projet de saint foy on parle de seulement 16 arbres vous allez faire du chichi pour ca ca ne vaut meme pas le peine que l on en parle .Ces extremistes me font pities ils ont rien d autre a faire de leur journée se sont c est memes personne qui sont contr l étalement urbain de plus comme je suis contre ce phenomene la ville de quebec est deux fois plus grosse en kilometre carrés selon moi la ville pourrait acceuilir plus d un quart de million de personnes en plus sur son terrictoire ce qui porterais a une densification superieure de 1600 au km carrés soi la moitiée de la ville de montreal

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  6. Manu

    11 mai 2009 à 22 h 56

    C’est 16 arbres sur un seul terrain, qui devaient rester… La centaine d’autres qu’il y avait, toujours sur ce même terrain, pouvaient être rasés sans problème. Le problème n’est pas « 16 arbres en moins », mais plutôt : quelques arbres, déjà identifiés semble-t-il, devaient rester, mais là il n’y en a plus aucun. Ça aurait pu être un ruisseau, des roches, un dénivelé, un talus, n’impore quoi. La problème ici est qu’il y avait des conditions dans le permis de construction, et certaines n’ont pas été respectées.

    J’imagine que la ville veut simplement se servir de ce cas comme exemple, puisqu’il bénéficiait déjà d’un bonne couverture médiatique. C’était donc plus facile sur ce cas qu’un autre pour faire passer le message aux autres constructeurs.

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  7. Manu

    11 mai 2009 à 23 h 11

    Une espèce de Oh Henry mal digérée je dirais plutôt.

    Ça fait aussi penser au grosses bulles blanches dans la veille série télé britannique « The Prisoner » (67-68). D’ailleurs, une bonne partie du mobilier « d’époque » dans cette série s’apparentait à cette oeuvre proposée. Tout avait une forme sphérique ou ovoïde : les fauteuils, les lampes, les bureaux, etc. En fait, parlant de ces années, j’ai vraiment l’impression que ce qu’on va avoir aurait pu se retrouver à l’Expo 67.

    Mais tout ce que je dis ça n’a rien d’un reproche! D’ailleurs pris tout seul, je trouve ça super. Toutefois, un coup rendu sur les bouts inutilisés de bretelles, j’ai comme la drôle d’impression que c’est légèrement hors-contexte… mais quand même beaucoup moins hors-contexte que des cubes sur Place Royale!

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  8. Manu

    11 mai 2009 à 23 h 12

    Oups!

    oubliez le dernier commentaire, c’était pas le bon billet!

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  9. Carol

    12 mai 2009 à 08 h 32

    « Carol , soupir… »

    ;-)

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