Samuel Auger
Le Soleil
(Québec) La Ville de Québec a greffé une nouvelle politique du stationnement dans la version finale de son Plan de mobilité durable. Objectif : exiger moins de stationnements aux promoteurs immobiliers, et convaincre les employeurs de cesser d’offrir gratuitement un espace pour se garer à leurs travailleurs



23 octobre 2011 à 12 h 26
Au risque de me répéter, ces stationnements devraient être transformés en tours contemporaines d’habitation. Le mieux est de vivre près de son travail pour éviter tout déplacement même en transport en commun. Avoir tous les services dans un rayon de 2km. Il n’y a toujours pas de projets intéressants pour St-Roch malgré toutes les promesses depuis 5 ans.
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23 octobre 2011 à 12 h 47
J’ai participé récemment à une émission du Canal Vox (Mise à jour/19 octobre 2011) qui portait justement sur le stationnement et j’y déplorais une absence connue de politiques de la Ville de Québec dans ce dossier. Je crois que maintenant, le dossier est ouvert. Et il y a beaucoup à faire. Québec Urbain va être au colloque sur l’innovation le 25 octobre 2011. On va en parler ! :)
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23 octobre 2011 à 18 h 55
Comme ca les gens vont vendre leur voiture ce qui vas faire que la ville devra trouver un autre moyen de financer le RTC que via les immatriculation et comme l’achalandage va augmenter les frais vont suivre et ce sont les payeur de taxe municipale qui vont récolter la marde pelleter dans leurs cour.
Arrêter de vouloir imposer votre mode de vie au gens!
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23 octobre 2011 à 19 h 55
Pour le moment c’est le mode automobile qui est imposé à tous! Ce que tout le monde veut c’est de pouvoir choisir!
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24 octobre 2011 à 07 h 17
La voiture imposé! Ok je crois que vous êtes aveuglé mon cher.
J’ai pas encore vue de voie de circulation interdite aux autobus pour ma part! Ni de réduction du services!
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24 octobre 2011 à 20 h 41
Quand on parle de dépendance à l’automobile vous pensez qu’on parle de quoi? Au Québec, il n’y a que dans les quartier centraux de Montréal qu’il est facile de vivre sans une voiture. À Québec, c’est seulement facile sur l’axe de la haute ville. Et encore là, c’est bien souvent plus rapide en voiture qu’en transport collectif. Les stationnements sont presque partout gratuit, parfois payé par les employeurs alors que le déplacement en transport collectif ne l’est pas. Combien de rue n’ont pas de trottoir, combien d’environnement ont été conçu sans aucune considération pour les piétons? Quelle superficie et quelles sont les investissements dédié à l’automobile versus d’autres modes? Quel mode a priorité aux feux de signalisation? Il est même permis de tuer au volant au Québec, suffit de ne pas avoir bu et de ne pas conduire à vitesse « excessive »… Je pourrais continuer longtemps…
Il suffit de constaté à quel point tout les sphère de l’aménagement sont normés et dictés en fonction de la voiture pour comprendre que les lobbys automobiles ont bien fait leur travail entre 1920 et 1940. Tous les éléments ont été placé et après la guerre, durant les trentes glorieuses ont est passé au tout à l’auto. Le transport collectif a complètement chuté, notamment après que GM et Exxon aient démantelé de nombreux tramway dans plusieurs villes nord-américaines et maintenant il est très difficile de faire sans une voiture.
Pas besoin de signalisation pour savoir si oui ou non d’autres modes que la voiture sont interdites, la société en général s’en est déjà chargé!
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25 octobre 2011 à 08 h 02
@ Patrick « J’ai pas encore vue de voie de circulation interdite aux autobus pour ma part! Ni de réduction du services! »
comme vous ne semblez pas sortir beaucoup:
http://g.co/maps/4ej3j
Et, je peux vous en trouver plusieurs autres…
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25 octobre 2011 à 20 h 53
@Julien:
1-c’est pas pour le rtc mais pour les touriste
2-C’est parce que les autobus ne passent pas et non pour favoriser les automobilistes contrairement aux voie réservé aux autobus.
@Louis M. « Il est même permis de tuer au volant au Québec, suffit de ne pas avoir bu et de ne pas conduire à vitesse « excessive »… Je pourrais continuer longtemps… »
Vous pouvez arrêtez là je perdrez pas mon temps avec une personne qui utilise ce genre d’argument non fondé et complétement absurde!
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23 octobre 2011 à 20 h 32
En tous cas, la Ville veut peut-être moins de stationnements, ça ne l’empêche pas de faire le dos rond au fédéral et de lui consentir des dizaines de places « temporaires » à D’Estimauville…
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24 octobre 2011 à 08 h 12
Bonjour,
Cette manière de faire ressemble fort à de la concurrence déloyale dans le but d’éliminer un concurrent pour ensuite contrôler un monopole. Éliminer des stationnements, inciter des employeurs à faire payer plus cher le stationnement à leurs employés, voies réservées inutilement prolongées, taxes sur l’essence,et l’immatriculation bref, excéder artificiellement une clientèle pour l’inciter à changer de produit. Une fois le concurrent « automobile » éliminé, les prix du transport en commun pourront être augmentés sans risque de perdre la clientèle.
Qu’en pensez-vous ?
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24 octobre 2011 à 14 h 01
Si la ville applique toutes les mesures qu’elle souhaite (et c’est un gros si), on passera de quoi 85% de part modale à l’auto à 75% ? Alors je crois que le terme « éliminé l’automobile » est pas mal fort.
Vous devriez justement prendre votre exemple de monopole, mais à l’inverse. Actuellement à Québec, l’automobile monopolise le transport. Si on lui enlève juste un peu de places pour en donner à d’autres types de transports, alors on est collectivement gagnant.
Votre réaction ressemble malheureusement à la réaction de trop de citoyens à Québec. Penser que le plan de mobilité durable va enrayer l’automobile et forcer tout le mode à prendre le tramway ou le vélo, c’est une erreur qui est aussi grossière que l’exemple que je viens de donner.
Au contraire, en diversifiant les modes de transports, l’économie de la ville, province et du pays ne s’en portera que mieux. Et je crois qu’à l’heure actuelle, nous en avons grandement besoin.
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24 octobre 2011 à 08 h 26
Notons ici que le titre est un peu trompeur. Il n’est pas proposé de réduire le nombre de stationnement existants, mais plutôt de construire moins de nouveaux stationnement que ce qui peut se faire présentement. Donc pas trop de changement en vue pour personne dans l’immédiat…
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24 octobre 2011 à 08 h 59
Ne pas enlever ce qu’il y a déjà mais réduire les aménagements de nouveaux me semblent tout à fait logique et pas trop restreignant pour la population.
Si on ne veut pas se retrouver avec les mêmes problèmes qu’à Montréal qui croule sous la circulation et les problèmes que ca entraine, il faut agir à la base et je crois que c’est un bon moyen pour y arriver.
Mais bon, quand on voit les tonnes de stationnements construits pour la cité verte, pas certaine que la ville est concordante avec sa politique ou sa volonté de bien paraître!
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24 octobre 2011 à 16 h 31
Je ne dis pas que c’est un mauvaise chose collectivement parlant. Ce que je déplore , c’est la manière de s’y prendre.
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25 octobre 2011 à 11 h 23
Et pourquoi il faut toujours que ce soit l’automobile qui finance les transport en commun? Une taxes de 1.5cents /litre d’essence.. (à venir), un 30$ sur mon immatriculation, etc…
Donc moi sur la côte-de-beaupré je vais payer mon essence plus cher sans pouvoir prendre l’autobus!? C’est complètement fou…. je suis vraiment décourager du pouvoir grandissant du « vert ».
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25 octobre 2011 à 13 h 13
Je peux comprendre votre indignement… Par contre, si on considère que cette route sur la Côte de Beaupré est probablement empruntée par moins d’utilisateurs que certaines rues en milieu urbain (qui sont aussi plus courtes en général), son coût de construction est donc probablement plus élevé. Là où je veux en venir, c’est que construire des routes en « campagne » coûte plus cher qu’en ville et ce, pour moins d’utilisateurs. Je n’ai pas de statistique, mais c’est mon impression.
Pour les autres personnes chialent contre les voies réservées, je crois qu’il ne faut pas voir cela comme un empêchement à une centaine d’automobiles d’y circuler pour qu’un autobus y roule facilement, mais plutôt empêcher 100 personnes d’y circuler pour qu’une centaine d’autres y roule plus facilement… Si quelqu’un a des statistiques sur le nombre de personnes circulant sur les voies réservées de René-Lévesque VS celles dans les voies automobiles, ce serait intéressant!
Bref, je crois que la frustration., autant du côté des automobilistes que des usagers du TEC vient du manque de compréhension de l’autre? Ceci dit, j’ai quand même une fore préférence pour les TEC! ;)
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25 octobre 2011 à 14 h 59
Mais ces routes de « campagne » comme vous dites, son remplies d’habitants de la ville qui va voir les feuilles dans les arbres du Mont-Ste-Anne. Il y a vraiment beaucoup de circulation sur le boulevard Ste-Anne, surtout les fins de semaine ou il fait beau. Mais étrangement, tous ses habitants de la ville viennent sur la Côte en voitures…. ah ben.. je croyais que la voiture servait à rien….
Ah oui, et j’aimerais bien avoir les statistiques du nombre de vignettes de stationnement émises par la Ville de Québec à des citoyens du centre-ville qui possèdent une voiture. Avant de « battre » les habitants des banlieues à cause de leurs automobiles, commencé donc par diminuer le nombre de voiture que les habitants du centre-ville possède. Car à entendre parlez les gens, c’est super facile vivre en ville sans voiture.. vous attendez quoi pour nous le prouver.
Oufff.. héhéhé
En gros, je suis tanné de passer pour un « tueur » parce que je ne vis pas en ville et que j’ai une voiture. Puis-je vivre comme je le veux svp!?
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26 octobre 2011 à 13 h 15
Il n’est pas dit qu’une taxe sur l’essence, s’il y en a une, s’appliquerait en dehors de Québec (ou Québec et Lévis). Ça pourrait très bien demeurer inchangé en dehors. Au pis allé, même si ça s’applique à l’ensemble de la région, si tu fais pas mal de route (étant sur la Côte-de-Beaupré), disons 20 000 km/an à 8 l/100km, ça fait toujours ben juste 24$ par année en taxes supplémentaires.
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