Michel Bédard
Québec Hebdo
Retirés de la circulation en août 2011 à la suite d’un problème d’emballement thermique qui a entraîné une surchauffe de batterie, les minibus électriques du Réseau de transport de la Capitale (RTC), communément appelés les Écolobus, reprendront du service en juin prochain. Pour assurer la sécurité des usagers, les batteries d’origine ont été remplacées par des piles de nouvelle génération et le tracé a été modifié à quelques endroits pour réduire le nombre d’accélérations et de montées
D’autres informations sur le site du RTC
* Merci à un très fidèle lecteur (André Bernatchez)
8 mai 2012 à 19 h 39
Étrange, selon les dernières nouvelles, je m’attendais à ce que le tracé soit prolongé jusqu’à l’avenue Cartier. Non seulement, ce n’est pas le cas, mais en plus il s’en éloigne et quitte le secteur de la Grande-Allée. Il me semble pourtant que la topologie de ce secteur n’est pas si problématique.
Par contre, bonne idée de faire passé le tracé plus proche du château Frontenac ainsi que la Gare du Palais.
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8 mai 2012 à 20 h 53
J’avais pris connaissance d’un projet de tracé faisant en sorte que l’Écolobus se rendait effectivement sur l’avenue Cartier, pour ensuite continuer dans le quartier St-Jean-Baptiste, remonter sur Honoré Mercier, continuer sur Grande-Allée et atteindre l’avenue Cartier Signaler ce commentaire
8 mai 2012 à 21 h 44
Oui, et plus récent encore, une proposition des commerçants de la rue Cartier.
http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/201204/24/01-4518608-les-commercants-de-lavenue-cartier-misent-sur-la-culture.php
J’imagine qu’il y a aussi une question de fréquence vs nombre d’écolobus disponible. Mais il me semble que ce détour, attendu depuis le lancement de l’écolobus, n’est pas si long.
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8 mai 2012 à 22 h 18
J’aimerais bien que la question soit posée lors de la prochaine séance du conseil municipal. Ainsi on saurait. Peut-être que la conseillère Anne Guérette en aura l’idée. C’est pourtant le territoire qu’elle doit représenter.
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8 mai 2012 à 21 h 48
J’espère qu’avec les modifications, il y aurait moins de panne et plus d’incendies.
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8 mai 2012 à 22 h 13
je vous invite à prendre connaissance des communiqués du RTC. Tout y est expliqué.
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8 mai 2012 à 22 h 31
Je l’ai lut. Maintenant reste à voir ce que ça vas donner.
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8 mai 2012 à 22 h 51
lu
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8 mai 2012 à 22 h 24
Bon, on a remplacé les batteries par des piles de nouvelle génération. Pour des raisons de compatibilité j’imagine que ce sont encore des piles au sodium liquide.
L’ancienne génération de ces piles coûtait 63 000 $ par ecolobus. J’imagine que les nouvelles piles sont plus sécuritaires (et plus chères?).
Et qu’a-t-on fait des anciennes piles? Le sodium est un produit dangereux qu’il faut mettre à l’abri de l’humidité. Sinon… http://www.youtube.com/watch?v=LVr3pw2Ot38
Quelqu’un peut obtenir plus d’informations sur ces questions?
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9 mai 2012 à 09 h 42
Dans l’article du Soleil, on parle de 33 000$ par batterie:
« Et c’est sans compter les 10 batteries neuves qui ont coûté 33000 $ chacune. »
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9 mai 2012 à 23 h 48
Je crois qu’il faut 2 batteries par ecolobus. À confirmer.
Ça ferait donc 66 000 $ par ecolobus, ce qui est cohérent avec le 63 000 $ des anciennes batteries.
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11 mai 2012 à 17 h 01
Il y a 8 minibus. Une batterie par autobus, plus 2 de réserve me semble adéquat.
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9 mai 2012 à 10 h 40
Malheureusement en anglais:
http://en.wikipedia.org/wiki/Molten_salt_battery
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9 mai 2012 à 10 h 51
Quant au danger du sodium, ce que l’on voit dans la vidéo c’est du sodium métal et non des sels de sodium liquides tel qu’utilisés dans ce type d’accumulateurs. Le sel de table est un sel de sodium (chlorure de sodium) et ne réagit pas violemment au contact de l’eau. (on aurait quelques problèmes dans les cuisines)
Il ne faudrait pas causer de panique inutile, ce type d’accumulateurs est parfaitement sécuritaire si implémenté correctement.
Le RTC aura donc participé à l’amélioration du design de ces autobus et à l’utilisation de ce type d’accumulateurs. On avance donc…
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9 mai 2012 à 23 h 52
Voilà une information importante!
Je croyais qu’une batterie au sodium liquide fonctionnait avec du sodium métallique fondu.
Zut.
Il aurait été si simple de nommer ces batteries avec un nom plus précis… batterie au sel de sodium fondu, par exemple.
Veuillez m’excuser, je ne cherchais pas à créer de panique inutile.
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10 mai 2012 à 00 h 30
Après quelques vérifications je crois encore qu’il y a du sodium métallique liquide dans les batteries utilisées par les ecolobus.
Tout d’abord dans le lien de Wikipedia on peut lire, dans la section Secondary cells que le sodium (Na) est utilisé pour l’électrode négative. Un peu plus loin on précise le point de fusion: 98 C. C’est le point de fusion du sodium métallique, pas d’un sel de sodium.
Ensuite sur le site du fabricant, Fiamm Sonick, on peut lire: « Every battery is made up of single cells connected in series and in parallel. During charging, the salt (NaCl) and nickel (Ni) are transformed into nickel chloride (NiCl2) at the cathode and sodium (Na) in the anodic section. » Il y a donc du chlorure de sodium mais aussi du sodium métallique dans les batteries ZEBRA. (site de la compagnie: http://www.fzsonick.com/innovation-revolution.php … veuillez ne pas trop demander de news, de links ou de press…)
Cet article confirme encore la présence de sodium pur dans une batterie ZEBRA: https://prof.hti.bfh.ch/fileadmin/home/mik1/Batterie_en_sodium.pdf
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10 mai 2012 à 13 h 02
Ah? ben oui coudon.
Il y a donc un danger si une cellule fend et que le sodium est exposé à de l’eau. Je ne voudrais pas être assis dessus. J’avais mal lu l’article, j’imagine qu’il y a des dispositifs de sécurité en cas d’emballement thermique. C’est pas vraiment toxique mais ça peu devenir chaud en titi et rapidement.
Donc si feu, pas d’eau là-dessus…
Merci pour le complément d’infos !
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9 mai 2012 à 00 h 17
Il me semble que le parcours pourrait être moins tortueux encore. Le détour pour aller au terminus D’Youville aurait pu être évité. On aurait pu simplement passer devant le palais Montalm comme celà se faisait avant, puis remonter sur Honoré Mercier et sur René Lévesque. C’est quelques minutes de sauvé qui nous permetterait de se rendre au moins jusqu’au parc de l’Amérique française.
Comme cela a été mentionné, je regrette qu’il ne se rende pas jusqu’à la rue Cartier.
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9 mai 2012 à 04 h 03
En autant que l’on ne réduise pas la fréquence des passages comme on s’apprête à le faire avec la navette 400. La meilleur façon de tuer un parcours, c’est d’en réduire la fréquence de passage. Il semblerait qu’avec le 400, on s’enligne avec un passage à l’heure, à certaines périodes de la journée. Vous êtes à 30 secondes de l’arrêt d’autobus au retour de votre balade, l’autobus vous passe au nez, vous devrez attendre une heure pour le prochain : et on appelle ça amélioration du service à la clientèle.
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10 mai 2012 à 20 h 27
1- Je me réjouis du retour de l’Ecolobus tout en nous souhaitant qu’il ait, cette fois-ci, une longue vie.
2 – Par contre, j’aurais souhaité une consultation de la part du RTC eu égard au nouveau parcours, auquel cas j’aurais exprimé ma dissidence notamment sur ce qui suit :
– Tout comme « Jeff M » (sic), le détour au terminus d’Youville me semble inutile et superflu;
– Au lieu de lui faire faire une boucle face à l’hôtel Delta j’aurais privilégié l’extension de son parcours pour qu’il l’effectue au moins au niveau du Grand Théâtre;
3 – Sans limiter ce qui précède, je souhaite que le RTC fasse au moins le point en septembre prochain pour voir s’il n’y aurait pas lieu de peaufiner le tout.
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10 mai 2012 à 23 h 34
J’étais avec un ami de Calgary aujourd’hui et lui ai parlé de l’Écolobus. Il en était ravi et déçu de partir sans l’essayer. Lui ai parlé aussi du trajet vers l’avenue Cartier. Il était étonné que ce ne soit pas ainsi. Septembre ? Un peu tard. Par son site internet, le RTC pourrait savoir beaucoup plus rapidement ce qu’il en est.
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11 mai 2012 à 08 h 50
Il ne faut pas oublier que l’Écolobus roule sur batteries et que leur autonomie n’est pas infinie. Ça explique certainement la longueur du trajet.
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12 mai 2012 à 12 h 32
Mais ils font le trajets plusieurs fois avant d’aller recharger. Moi je pense plutôt que c’est pour assurer une haute fréquence de passage. Plus le trajet est court, plus vite les bus peuvent le terminer et le refaire.
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12 mai 2012 à 22 h 46
@jb:
Effectivement l’autonomie des batteries n’est pas infinie. Elle est de 100 km. Ça prend 8 heures pour recharger les deux batteries d’un écolobus (qui coûtent 66 000 $) pour obtenir une autonomie de 100 km à une vitesse maximale de 33 km/h.
Source: http://www.tc.gc.ca/fra/programmes/environnement-pdtu-etudesdecasservice-1707.htm#link5
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