Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) annonce que le Métrobus 802 offrira plus de confort aux usagers dès samedi 18 août, puisqu’il sera desservi entièrement en autobus articulés. (…) Signe qu’investir dans le transport en commun rapporte, l’achalandage n’a cessé de croître depuis qu’il a remplacé le parcours 12. De fait, le nombre de passagers s’élève maintenant à 8 473 par jour, alors qu’il était de 6 221 auparavant



17 août 2012 à 20 h 20
Plus de confort ??? On repassera !
Plus de sièges. Oh que oui !
J’avais écrit à quelques reprises afin que ce parcours, Métrobus 802, soit pourvu de véhicules articulés comme tout bon trajet de Métrobus qui se respecte à Québec.
Le RTC savait pertinemment, selon leurs études, que l’achalandage allait croître rapidement. Alors, pourquoi ne pas avoir placé des autobus articulés dès le départ de ce parcours ?
Le RTC avait-il les véhicules articulés en main ??? Ou bien le budget était simplement crevé ?
Quoi qu’il en soit, tout semble rouler sans heurts sur des finalités heureuses. Bravo !
Signaler ce commentaire
22 août 2012 à 14 h 09
«Le RTC avait-il les véhicules articulés en main ??? Ou bien le budget était simplement crevé ?»
Non et oui.
Signaler ce commentaire
17 août 2012 à 23 h 03
C’est très bien de la part du RTC. De même les autobus branchés
à venir.
Mais parlons de VITESSE, le point faible du réseau. Je me souviens
quand j’étais jeune, du parcours No 8 que je prenais pour me rendre au centre-d’achat Laurier. Un parcours d’au moins un demi-heure à partir de Place d’youville. Après il y a eu le PVA, parcours à vitesse accéléré qui malheureusement ses écrasé en cour de route.
La technique à depuis grandement évolué. Autobus plus spacieux,
moteur plus performant…mais délais digne des années 50.
tenez qq exemples, Place d’Youville/Laurier, environ une demi-heure…comme jadis. Place d’youville/Vieux centre-ville de Ste-Foy, environ 40 minutes avec le parcours 7 (Je précise que
Québec trois-Rivières c’est environs une heure). Secteur
Bourgroyal (No 36), bof…1h30 avec les transferts. Amplement
de temps pour allez prendre un café à Baie St-Paul
Avouez que nous avons ici un sérieux problème de vitesse
Mais comment résoudre ce problème récurrent depuis des lustres.
Donnons comme exemple le parcours 800/801. Le fameux métrobus
1/Un boulevard est-il un axe de circulation ou de stationnement?
La question mérite d’être posé. D’ailleurs pourquoi s’acharner à dire « MÉTROBUS ». Cela fait référence sans doute à une ligne de
métro. Si oui, avez-vous déjà vu des automobiles stationner
dans un tunnel de métro? Sûrement -pas. Alors pourquoi
a t-il des automobiles stationner le long du Boul René-Lèvesque
durant les heures d’opérations des « Métrobus ». Tout cela
retarde la fluidité de circulation, surtout dans l’axe Salaberry-
Bourlamaque. Un véritable entonnoir.
Donc, je suggère d’interdire tout stationnement entre sur le bord
de rue entre Place Québec et Myrand. Pour le reste, boul. Laurier
c’est interdit sans que personne ne se plaigne.
2/Les feux de circulation. Devrais-je dire l’orgie de feux de circulation. Exemple, secteur Colline Parlementaire. Bordel,
un feu au 50 mètres. On avance par petit bout
3/La limite de vitesse sur Lévesque c’est 50 kilo, pas 25, 50.
donc, je suggère au RTC d’acheter des semelles de plomb
pour les conducteurs (pour l’accélérateur) et de leurs donner
une formation en aérodynamique pour démontrer qu’il n’y a
aucun risque à ce que la peinture s’écaille ou que le métal
fonde en allant à la vitesse permise de 50 Kilo. (Point de fusion
du métal versus frottement de l’air=1700 kilo heure)
Tenez, c’est gratuit ici le cour d’aéro.
http://fr.wikibooks.org/wiki/Tribologie/Facteurs_de_frottement
Tout ce que je demande au RTC, c’est d’arriver au 21ème siècle et de pouvoir gagner un petit 50% sur la vitesse.
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 07 h 30
Vos commentaires sont pertinents.
La vitesse a toujours été un éternel problème. À cela il faut ajouter les impondérables comme: travaux de voirie, les constructions, le trafic, les incendies et accidents qui provoquent des déviations de parcours. ( Rien pour aider ).
Dans tout cela, encore faut-il que l’autobus passe à son arrêt à l’heure indiquée. Si non, la capacité de vitesse est affectée gravement. La fidélité de l’horaire demeurera une science inexacte au sein du RTC. Malheureusement !
Avez-vous déjà remarqué tous ces gens qui, avant même de monter à bord de l’autobus, posent des questions interminables au chauffeur pour finalement décider de ne pas embarquer. ( Souvent, dans ces cas, le chauffeur s’est transformé en guide touristique par courtoisie ).
*******************
Par ailleurs, voici un problème qui afflige les clients du RTC qui paient leur passage en monnaie exacte à la station du Zoo qui utilisent le parcours Métrobus 801, direction Pointe Ste-Foy:
– En embarquant à la station du Zoo pour se rendre vers les centres d’achats de Ste-Foy, le transfert ou la correspondance offerte par le chauffeur ne dure que 1h30, alors le parcours est tellement long parfois que le client n’a presque plus de temps de disponible sur sa correspondance à l’arrivée dans le secteur du boul. Laurier. Cela lui enlève de la flexibilité et de la polyvalence. Ce client est donc clairement désavantagé en comparaison avec d’autres parcours.
– Donc, en conséquence, je conseillerais au RTC d’allonger pour la peine la durée de leur correspondance sur ce parcours.
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 10 h 42
Bon point.
Il y a aussi l’éternel problématique des bus à moitié plein qui
passe « free » à l’arrêt tout cela a cause de floussy qui sont incapable
de ce rendre complètement à l’arrière et qui ce compacte comme
des moutons dans le milieu du bus.
Pensez-vous qu’avec l’arrivé du tram’ que le problème de vitesse
va ce régler? QUE NON
Place d’Youville/Laurier c’est environ 5 kilo. A une demi-heure
pour ce rendre, c’est du 10 kilo à l’heure.
1898, construction de la première voiture Renaud grand public.
Vitesse maximum 11 kilo à l’heure.
2012 autobus articulé, vitesse de croisière (D’Youville/Laurier)
10 kilo à l’heure.
AVOUONS QUE NOUS AVONS UN SÉRIEUX PROBLÈME
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 15 h 38
Vitesse moyenne d’une voiture en milieu urbain: 13km/h. Le problème n’est peut-être pas si sérieux que ça. Le problème est peut-être davantage l’étalement de la ville qui fait en sorte que ces trajets soient aussi long en temps qu’en distance.
Le tramway pourrait réduire les temps de parcours pour plusieurs raisons. Le temps de descentes/montées serait réduit par la présence de plusieurs portes. Les feux de circulation peuvent être (et le sont généralement dans les villes ayant des tramways) synchronisé avec l’arrivée d’une rame de tramway à une intersection. Finalement, le tramway peut circuler en site propre et ainsi éviter d’avoir des véhicules dans son chemin. Un temps de parcours entre Place d’Youville et le boul. Laurier à Ste-Foy pourrait surement être réduit de 5 minutes.
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 12 h 45
la vitesse moyenne d’un autobus sera toujours bien en deça de celui d’une automobile, d’un métro ou même d’un vélo.
Pourquoi? Parce que premièrement, ormis les arrêts réguliers de la route comme les feux rouges, où les stops, les autobus doivent s’arrêter à leurs arrêts de services. Il y a des arrêts à tous les 150 mètres environ. Sur certain parcours c’est beaucoup trop. Il faudrait peut-être en enlever un sur trois, et le bus gagnerait déjà quelques minutes sur une distance donnée.
Deuxièmement, les autobus sont d’énormes véhicules, dont la largeur rend presque impossible le dépassement de celle-ci sur un cycliste sans déborder sur la ligne jaune ou dans la voie de gauche. Prenez par exemple ce qui a été dit un peu plus haut;
«Alors pourquoi a t-il des automobiles stationner le long du Boul René-Lèvesque durant les heures d’opérations des « Métrobus ». Tout cela retarde la fluidité de circulation».
Sachez qu’il est emplement possible pour un taxi ou pour un automobiliste de circulez sur la voie de droite même lorsque des voitures y sont stationnée. Car la voie de droite est presque aussi large qu’une voie double la majorité du temps. Les chauffeurs ont aussi l’ordre de ne pas changer de voie (le moins possible du moins) excepté dans les cas où leur voie régulière est barré ou perturbé par un accident. Donc, si leur voie fonctionne au ralentie, n’espérez pas voir le chauffeur zizgagué pour se défaire d’une situation de ralentissement comme le fait un chauffeur de taxi ou un automobiliste.
Un autobus est un gros véhicule qui doit constamment être à l’affut des obstacles. J’imagine donc que d’augmenter leur vitesse de croisière de 5 ou 10 kmh pourrait grandement diminuer leur temps de réaction face aux situations imprévues. De même que beaucoup de passagés de tous âges sont debout alors jouer de la pédale gas/frein de manière secchès ou nerveuses ne rend pas l’expérience très agréables pour ceux-ci. Qui n’a jamais perdu bien lors d’un relachement de freinage suivi d’une accélération lorsque debout dans un autobus?
Pour gagner de la vitesse il y a deux moyen selon-moi. Allez-y en auto ou en vélo. Le taxi s’avère plus dispendieux mais profites des avantages de voie réservés en plus d’être aussi rapide qu’un automobiliste.
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 13 h 03
Pour: dans le 1000
Vos commentaires sont empreints d’une riche expérience.
J’imagine facilement que vous avez été ou êtes chauffeur d’autobus !
Merci de lever le voile sur certains problèmes.
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 14 h 37
D’accord, il y a des impondérables comme vous vous en faites mentions. Mais il est quand même paradoxale que l’on puisse
mettre des véhicules coûteux et techniquements performants
sur la route avec une foule de contrainte qui fait en
sorte de les utiliser en-deçà de leur capacité technique.
Cela rend pertinent ma proposition, UN COULOIR UNIQUE pour
le métrobus, PAS DE STATIONNEMENTS et surtout pas de
cyclistes sur le parcours qui font augmenter les coûts
d’utilisation et environnementaux du transport en commun.
Tout R.Lévesque devrait être réservé au Métrobus (Aux heures
de pointe) et ce dans les deux sens
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 15 h 02
Il ne faut pas exagérer non plus. Les usagés du transport en commun ne sont pas les seuls à utiliser la route. $75 par mois pour pouvoir se déplacer a peu près n’importe où en ville ce n’est pas cher payer en comparaison de ceux qui utilisent la voiture. À ce prix là on ne peut pas demander la lune non plus. L’autobus c’est plus long mais beaucoup moins cher. Choisissez votre option. Mais ne pas négligé le fait que les automobilistes ont eux aussi droit de circuler normalement sur tous les grands axes routier car ils paient la majorité des frais lié à l’entretient des routes et au financement des transports en commun.
L’autobus n’a pas non plus l’ambition de remplacer un vrai métro.
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 15 h 47
« [les automobilistes] paient la majorité des frais lié à l’entretient des routes et au financement des transports en commun»
Des sources s’il vous plait!!!
Mais vous n’en trouverez pas, car ce que vous avancer est faux. La majorité des frais pour l’entretien des routes, c’est le contribuable (automobiliste ou non) qui le paie. Pour ce qui est du transport en commun, l’automobiliste n’en paie qu’une somme marginale (moins de 10%), le gros étant payé par le contribuable également (grosso modo: 30% par les utilisateurs, 30% par la municipalité, 30% par le gouvernement, la différence par quelques autres sources de revenus).
Signaler ce commentaire
18 août 2012 à 22 h 04
« Pour gagner de la vitesse il y a deux moyen selon-moi. Allez-y en auto ou en vélo. Le taxi s’avère plus dispendieux mais profites des avantages de voie réservés en plus d’être aussi rapide qu’un automobiliste. »
Ce qui va sans dire gagne souvent à être dit
Signaler ce commentaire
22 août 2012 à 14 h 16
@Dans le 1000
«Il y a des arrêts à tous les 150 mètres environ. Sur certain parcours c’est beaucoup trop. Il faudrait peut-être en enlever un sur trois, et le bus gagnerait déjà quelques minutes sur une distance donnée.»
Tout à fait exact. Le 125 part 15 min plus tard que le 25 à Place d’Youville. Pourtant, au niveau de l’Église, ils sont un en arrière de l’autre. Méchant gain de vitesse!
Signaler ce commentaire
19 août 2012 à 12 h 05
Les articulés ne sont pas utilisés « en deçà de leur capacité technique ». Ils ne peuvent aller plus vite tout simplement en raison de leur dimension et du temps utilisé aux arrêts (sur les lignes Metrobus, presque tous les arrêts sont faits). Cela fait en sorte que les fameux feux synchronisés à 50 km/h ne fonctionnent pas réellement sur un parcours Metrobus, le bus étant souvent à l’arrêt.
Les voitures stationnées sur René-Lévesque ne changent pas grand chose à la donne, le bus devant quand même s’arrêter aux arrêts et y laisser du temps en bout de ligne.
Enfin, il y a la question de la sécurité. Un articulé est passablement plus long à arrêter à vitesse élevée (50 km/h) qu’une voiture ou même un bus standard (40 pieds).
Et je parle en connaissance de cause, je suis chauffeur ;)
Signaler ce commentaire
19 août 2012 à 12 h 28
Merci beaucoup pour les informations.
Signaler ce commentaire
19 août 2012 à 12 h 46
Finalement, c’est quoi l’avantage des articulés?
Un avantages de temps, NON
Un avantage de capacité? Peut-être…à condition que les gens
qui remplissent le milieu ce déplace vers l’arrière…ce qui arrive rarement.
D’ailleurs, je profite de votre présence pour satisfaire ma
curiosité, pourquoi donc que les usagers debout s’arrêtent
machinalement dans le milieu de l’autobus et en plus en tas
comme des moutons. J’irais même plus loin dans mon
questionnement, il arrive souvent que le conducteur fasse
rentrer des usagers au ras la porte (d’en avant) et que
ceux du milieu qui constate le trop plein ne BOUGE MÊME PAS.
A t’il une étude socio-psychologique qui explique cela?
Merci
Signaler ce commentaire
20 août 2012 à 12 h 41
« Finalement, c’est quoi l’avantage des articulés? »
Entre autre, un seul chauffeur à payer au lieu de deux.
De plus, cela règle un problème d’opération que vous avez dû constater souvent lorsque la fréquence d’un parcours devient suffisament élevée: un petit retard dans le 1er véhicule entraine une augmentation du temps passé aux arrêts (puisqu’il y a plus de monde à embarquer), ce qui retarde encore plus le 1er véhicule. Le 2e véhicule rattrape tranquillement le 1er véhicule. On a donc deux véhicules à la queue-leu-leu, le 1er étant plein à craquer le 2e étant vide. Le 2e véhicule reste soi en arrière du 1er véhicule et prend lui aussi du retard, ou il le double et prend la tête. Dans tous les cas, ça fout le bordel dans le respect d’horaire et la planification (synchronisation des transferts, etc).
Signaler ce commentaire
21 août 2012 à 23 h 32
Déjà si les feux de circulations s’adaptaient au passage de l’autobus pour qu’ils soient presque toujours verts, (plutôt que synchronisés pour un véhicule à 50km/h qui n’arrête pas en chemin, donc toujours rouge pour l’autobus) ça irait pas mal mieux.
Exemple concret pour le 802: à part la portion sur Hamel et trois intersections majeures (18e/Henri-Bourassa, Marie-de-L’Incarnation/Charest et Belvédère/René-Levesque) on peut facilement « jouer » avec tous les autres feux pour s’adapter à l’autobus.
Pour les 800/801 c’est un peu plus compliqué, surtout dans les sections où circulent aussi plusieurs autres parcours commes les express. Mais pour le reste, même sans donner la priorité (feu vert) aux autobus, on peut toujours ajuster la synchronisation de feux pour tenir compte des arrêts (d’autobus). Ce ne sera pas parfait, mais on pourrait probablement sauver la moitié des feux rouge.
Reste finalement le problème du metrobus plein qui retarde et qui se remplit plus parce qu’il retarde et qu’il retarde plus parce qu’il se remplit plus… jusqu’à se faire rattraper par les deux suivants. Ainsi, même sur le tronçon en haute-ville, on se retrouve avec 3 autobus aux 10-15 minutes plutôt qu’un autobus au 3-5 minutes selon les heures. Les bus articulés allègent un tantinet ce problème, mais ça prendrait aussi une mesure plus appropriée.
J’imagine par exemple, un affichage électronique dans la porte d’entrée qui dit « désolé, prennez le suivant » dès qu’un métrobus se fait rattraper (ou presque) par un autre qui a la même destination. Ça demeurerait ainsi jusqu’à ce que le bus devant ait rattrapé un peu son retard par exemple. Ce ne serait pas géré par les chauffeurs, mais plutôt centralement
(GPS et autres). En fait, peu importe ce qu’on choisit comme conditions, l’idée est simplement de conserver une fréquence assez stable (et de ne pas avoir deux bus « désolé » de suite), surtout aux heures de pointe où c’est la fréquence plus que l’horaire qui importe (i.e. que tous les bus soient en retard de 5 minutes importe peu si la fréquence est de 3 minutes). Peut-être légèrement broche à foin comme solution, mais j’ai du mal à trouver une solution simple et efficace (et je ne dois pas être le seul, sinon on en aurait implanté une depuis longtemps!)
Signaler ce commentaire
29 octobre 2012 à 10 h 40
Génial! Merci d’avoir posté ceci. Bien que je ne prends jamais le Métro, je préfère les services de taxi quebec; je pense tout de même que c’est une excellente idée. Les locomotives de transport doivent en effet offrir un peu de confort. Merci encore!
Signaler ce commentaire