Voir aussi : Fêtes populaires et événements publics, Transport en commun.
Annie Morin
Le Soleil
Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a doublé sa commande de midibus avant d’en avoir reçu un seul. En tout, 64 petits autobus hybrides seront déployés sur des parcours peu achalandés en plus du centre-ville au cours des deux prochaines années. (…) Un prototype devait être testé dans les rues de Québec en 2017, mais les procédures d’importation ont pris plus de temps qu’espéré. Si bien que le premier véhicule doit être livré au début de 2018. À la fin de l’année, il y en aura 24. Les 40 autres suivront en 2019. Une trentaine de millions $ supplémentaires sont réservés pour absorber l’ensemble de la facture. (…) Par exemple, il est déjà acquis que les usagers du parcours muséo-touristique numéro 11, né des cendres du parcours 21 autrefois desservi par les défunts Écolobus, pourront voyager en midibus. (…)
Voir aussi : Transport en commun.
Gaston Déry
Point de vue
Le Soleil
Depuis plusieurs mois, l’engorgement de la circulation dans la région de la Capitale-Nationale occupe toute l’attention de la population et des médias. Il faut reconnaître que nous sommes rendus à la croisée des chemins et qu’une solution doive être privilégiée.
Lors d’un récent séjour à Angers, dans la Loire, j’ai pu constater la présence d’un nouveau tramway qui dessert le centre-ville de la capitale ligérienne. Il serpente du nord au sud et a fait d’Avrillé et des Portes de Ste Gemmes un drain tel un «canal de fer» entre la Loire et la Mayenne. Accompagné de mon ami Thierry Dechaume, une personnalité du domaine culturel et universitaire d’Angers, ce dernier me partageait ses commentaires sur cette nouvelle infrastructure urbaine. Voici son témoignage, reflet de celui des Ligériens.
«Le tram d’Angers, c’est plus qu’un moyen de transport. C’est une main tendue vers l’autre, un chemin qu’on emprunte avec bonheur pour voyager de la Roseraie à Verneau, quartiers jadis dotés de qualificatifs péjoratifs et dévalorisants.
Certes, des arbres ont fait les frais de la nécessité de son tracé et de profondes tranchées ont permis d’installer non seulement le réseau des rails, mais aussi d’enfouir des kilomètres de fils. Toutefois, quand après quatre années de patience et d’inconvénients, la première rame s’est ébranlée, vite, on a compris qu’il allait se passer quelque chose.
Nous avons vu le public du centre-ville se diversifier, les habitants de quartiers excentrés empruntant le beau véhicule arc-en-ciel, ont pu en quelques minutes sans se soucier des problèmes de stationnement accéder à la place du ralliement comme on arrive dans un aéroport. Étonnés, jeunes et plus âgés, confortablement installés dans de beaux wagons, se sont endimanchés et sont allés à la découverte de leur ville mal connue!
Les abords immédiats du tracé ont connu une véritable métamorphose, les façades ont été ravalées, une architecture audacieuse et nouvelle a émergé, la qualité, la beauté se sont donné rendez-vous, la vie des citoyens a changé… le Bien, le Bon et le Beau sont devenus maîtres mots et tout un chacun a pris ce présent offert par la Ville comme un ‘‘cadeau’’ gratifiant.
Un boulevard principal, auparavant embouteillé sur quatre voies, pollué par les échappements et les bruits des moteurs, a vu le silence s’installer par la prise de possession en son milieu de deux rails parallèles où se croisent les trams toutes les six minutes, la dictature de la voiture a été stoppée et les quelques irréductibles s’offrent une voie de circulation de chaque côté à partager avec les bus et les vélos.
Une certaine sérénité accompagne ce fleuve et le tramway constitue désormais un lieu de rencontres… tant de gens s’y croisent pour quelques minutes, mais les yeux, les sourires, les voix disent que la vie est belle avec un point commun ‘‘être de cette ville’’ et en être fier.
Cette fierté, c’est l’écho du sens de la dignité en optant pour un bel ouvrage que représente le tracé et ses aménagements et en posant sur les voies un véhicule magnifiquement peint des couleurs de l’arc-en-ciel, le sentiment est fort d’être respecté, cela est très important pour le ‘‘bien vivre ensemble’’, bien compris par les initiateurs d’un tel projet.»
Angers est une ville paisible qui se compare à Québec de par sa dimension, sa vitalité économique, sa dimension culturelle, le bonheur d’y vivre et ses citoyens fiers et amoureux de leur cité.
Ce témoignage d’un Ligérien engagé peut inspirer nos autorités politiques pour la mise en place d’un projet de société qui sera plus qu’un moyen de transport, mais aussi source d’une qualité de vie et de fierté.
Gaston Déry, Québec
Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.
Québec, le 20 décembre 2017 – La Ville de Québec a rendu public aujourd’hui le rapport de la consultation menée de juin à septembre dernier sur la mobilité durable et le système structurant de transport en commun. Dans la foulée, elle a également dévoilé les résultats du sondage en ligne. Les conclusions établissent un consensus clair dans la population sur le besoin d’un système structurant de transport en commun. Ce système doit être le cœur d’une série de moyens favorisant les déplacements sur le territoire dans une perspective durable, notamment le transport actif (marche et vélo), les stationnements incitatifs, l’accessibilité universelle et autres.
« Les citoyens nous ont livré un message unanime : Québec a besoin d’un service de transport en commun moderne, confortable, fréquent et à faible coût, a souligné le maire, M. Régis Labeaume. Le constat est clair; l’importante participation à cette consultation en témoigne. La population souhaite se déplacer par une panoplie de moyens de transport, et ce, dans le respect de l’environnement. En effet, plusieurs personnes nous exhortent à tenir compte des répercussions environnementales dans nos propositions de mobilité durable. Forts des résultats de cette vaste consultation, nous élaborerons dans les prochaines semaines au sein du comité consultatif sur la mobilité durable une nouvelle proposition de système structurant de transport en commun pour Québec. Cette proposition sera soumise à la population au moment opportun. »
« Au cours de la récente consultation, les citoyens ont mentionné que le système actuel de transport en commun avait besoin d’être ajusté et bonifié, a pour sa part précisé M. Rémy Normand, membre du comité exécutif responsable des transports et du Plan de mobilité durable et président du Réseau de transport de la Capitale. Le message a été entendu. Depuis plusieurs mois, les équipes s’activent sur ce plan et l’harmonisation avec le nouveau système structurant se fera. Nous avons à cœur que ce futur système de transport soit le plus attrayant possible afin que les citoyens puissent disposer de véritables choix pour leurs déplacements quotidiens. »
Les prochaines étapes
Au cours des prochains mois, les membres du comité consultatif sur la mobilité durable poursuivront leurs réflexions et leurs échanges sur la base des éléments contenus dans le rapport et les résultats du questionnaire.La priorité sera mise sur un réseau structurant de transport en commun. L’acceptabilité sociale, le tracé et le mode seront examinés.
Ces travaux s’harmoniseront avec les exercices de planification de la Ville ou du Réseau de transport de la Capitale (RTC), notamment :
– La planification stratégique du RTC (2018)
o Pôles d’échanges
o Transporteurs régionaux
o Liens entre les modes de transport
o Société des traversiers du Québec
o Mobilité intégrée
– Le Schéma d’aménagement et de développement de l’agglomération de Québec
– La Vision des déplacements à vélo de la Ville de Québec
D’autres sujets d’intérêts mentionnés lors de la consultation seront intégrés par la suite. Un nouveau projet de système de transport en commun structurant émanera dans les prochains mois. La population sera invitée à prendre part à la réflexion par divers moyens à être déterminés.
Le processus en chiffres
Rappelons la participation aux différentes étapes de la consultation publique sur la mobilité durable et un réseau structurant de transport en commun tenue de juin à septembre dernier.– 650 participants aux 4 séances d’information;
– 11 038 répondants au sondage en ligne;
– 143 mémoires reçus;
– 6 séances d’auditions de mémoires pour 59 présentations;
– 312 participants aux séances de la tournée des arrondissements par le RTC sur « le nouveau réseau, vision et enjeux »;
– 413 participants au Sommet international sur la mobilité urbaine.
Voir aussi : Message d'intérêt public, Transport en commun.
Québec, le mardi 19 décembre 2017 – Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a présenté aujourd’hui son budget de fonctionnement 2018 et ses investissements 2018-2020 au conseil municipal de la Ville de Québec.
Le budget de fonctionnement 2018 est équilibré à 219,4 M$, en hausse de 2,4 % (5,2 M$) par rapport au budget réel projeté de 2017.
« Le budget que nous présentons aujourd’hui traduit notre objectif d’offrir une solution de déplacement confortable, fiable et performante à la population de l’agglomération, a souligné le président du conseil d’administration du RTC, M. Rémy Normand. Il s’inscrit dans la continuité, au seuil d’une année qui verra l’avenir du transport en commun à Québec se dessiner. »
Le transport en commun fera en effet l’objet de beaucoup de discussions en 2018. Tout d’abord, le RTC déposera son Plan stratégique 2018-2027, avec comme toile de fond le concept de mobilité intégrée, qui permet de développer une complémentarité entre les différents modes de transport. Pour préparer la mise en place éventuelle de la mobilité intégrée et en assurer la gestion, le RTC a d’ailleurs a prévu une somme de 1 M$ au budget 2018 pour débuter l’implantation d’une solution de transport à la demande.
Ensuite, les analyses découlant des consultations Construisons le réseau de l’avenir se poursuivront afin que le RTC présente un projet bonifié de réseau répondant aux réalités et aux besoins présents et futurs. Enfin, la Ville de Québec présentera un nouveau projet de réseau de transport en commun structurant.
Hausse des déplacements en 2017
La rigueur budgétaire, la création et l’amélioration de parcours, le développement de nouveaux outils technologiques et les investissements pour bonifier le confort de la clientèle ont porté fruit et ont résulté en une hausse des déplacements en 2017.« Cette hausse des déplacements assure au RTC de terminer l’année avec un bilan financier positif, a précisé M. Normand. De plus, elle permettra de limiter la hausse de la portion des revenus provenant des utilisateurs à 1,6 % en 2018.»
Investissements 2018-2020 : les bases du nouveau réseau
Des investissements à la hauteur de 303,6 M$ sont prévus en 2018-2020. Ils sont financés par des programmes de subvention des gouvernements du Québec et du Canada à hauteur combinée de 75 %. Le 25 % restant du financement relève du budget de fonctionnement du RTC, qui inclut notamment la contribution de l’Agglomération de Québec.Un total de 175,7 M$ (58 %) est alloué au maintien du patrimoine au cours de cette période, dont 132,7 M$ au parc de véhicules. Le RTC fera l’acquisition de 129 véhicules hybrides – dont 64 midibus – qui offriront un confort rehaussé et une meilleure performance énergétique. Le reste, soit 43 M$, est consacré aux infrastructures dont la plus grande part (27,7 M$) sera utilisée pour des travaux majeurs de réfection du centre Lebourgneuf construit en 1979.
Du côté du développement, le RTC annonce un montant de 127,9 M$ (42 %) sur trois ans. Des investissements de 75,9 M$ sont prévus dans le développement des services, avec, entre autres, la poursuite de la mise en place de pôles d’échanges (41,7 M$) dans les secteurs D’Estimauville, Saint-Roch et de l’Université Laval. Le déploiement du réseau de Parc-O-Bus d’envergure régionale se poursuivra afin d’assurer une meilleure desserte des zones les plus congestionnées à partir de la périphérie. Enfin, les investissements concernant le renforcement de l’expérience client, comme les nouveaux abribus, les stations tempérées et les terminus, totaliseront 11,9 M$.
Par ailleurs, des investissements de 40,1 M$ seront réalisés pour améliorer la performance du réseau et sa fluidité, entre autres dans le secteur du boulevard Hochelaga, notamment à travers le projet de préemption aux feux. L’implantation d’un système d’information intégrée, qui soutiendra les objectifs de performance en matière de gestion et d’exploitation, se poursuivra également.
Voir aussi : Transport en commun.
Gabriel Béland
La Presse
L’apôtre du tramway Richard Bergeron se réjouit de voir que le maire de Québec considère sérieusement ce mode de transport pour sa ville. Il exhorte Régis Labeaume à ne pas se contenter du « pis-aller » que représente le SRB.
« Kitchener, Waterloo et Cambridge inaugurent leur système de tram au printemps. Ottawa le fera l’année prochaine. Toronto a deux réseaux de tramway différents, énumère le fondateur de Projet Montréal en entrevue à La Presse. Finalement, tout l’Ontario va y passer et nous, on va encore être à faire des SRB. On est vraiment en retard. » (…)
L’idée d’un tramway pour Québec n’est pas nouvelle. Richard Bergeron raconte que l’ancien maire Jean-Paul L’Allier l’avait fait venir dans la capitale en 2003. L’urbaniste et expert en mobilité devait s’adresser au comité exécutif pour vendre l’idée d’un tramway.
« Avant que je rentre dans la salle, M. L’Allier m’avait dit : « Vas-y Richard, un dernier petit coup de pouce, c’est tout ce qu’il manque. » C’est vous dire comment on était proches. »
Un an plus tôt, ce partisan invétéré du tramway s’était rendu à Bordeaux en compagnie du maire de Québec. « M. L’Allier allait voir le maire Alain Juppé, qui était son ami, raconte Richard Bergeron. Le tramway était en construction là-bas à l’époque. Le maire s’était engagé à ce que M. Juppé vienne, pour le 400e de Québec, en 2008, inaugurer le tramway chez lui. »
Le projet ne s’est finalement jamais réalisé. Des années plus tard, Richard Bergeron a questionné Jean-Paul L’Allier. « Il m’a répondu simplement qu’il ne voulait pas laisser une dette de 1 milliard derrière lui. »
Voir aussi : Tramway à Québec.
Gaétan Gosselin (Lévis)
Point de vue
Le Soleil
Lettre à Véronyque Tremblay, ministre déléguée aux Transports
Je me pose sérieusement des questions en ce qui concerne le transport en commun au Québec. Il y a la carte OPUS qu’on peut acheter soit mensuellement, soit à l’unité. Je réside à Lévis. Autrefois, je travaillais à Québec et j’utilisais ma carte mensuelle OPUS. Je montais dans l’autobus à Lévis pour me rendre au traversier, qui acceptait ma carte OPUS puisque j’étais détenteur d’un titre mensuel.
Je suis présentement à ma retraite, donc je n’ai plus besoin du laissez-passer mensuel, mais je conserve ma carte OPUS avec des titres de transport à l’unité. J’en ai de la STLÉVIS, du RTC et de la STM. Je n’en ai cependant pas de la STQ, qui ne vend pas de titre de transport autre que mensuel. Lorsque j’ai affaire sur la rive nord — par exemple au centre-ville — je prends l’autobus du STLÉVIS jusqu’à Laurier Québec et je prends ensuite le Métrobus jusqu’à destination. Au retour, je fais l’inverse. Cela m’a couté 3,50 $ (départ de Lévis), 3,50 $ (direction centre-ville de Québec), 3,50 $ (départ de Québec) et 3,50 $ (pour rentrer chez moi à Lévis), pour un montant total de 14 $. C’est habituellement le prix pour une place de stationnement.
Pas de stress et cela fonctionne très bien. Même chose pour aller voir les grands voiliers l’été dernier. Mais là où le bât blesse, c’est si je suis accompagné de mon épouse. Le prix double : 28 $. Je me prive d’un certain confort (air climatisé, banquette confortable et pas d’attente à l’arrêt de bus). Que pensez-vous qu’on privilégie? Mon «char», naturellement.
Voici donc ma suggestion :
Qu’un titre de transport acheté dans l’une ou l’autre des sociétés de transport du Québec soit valide partout au Québec et qu’il soit valide pour la continuité du transport, sans devoir redébourser pour continuer sa route, comme mon exemple de repayer à Laurier Québec pour continuer vers le centre-ville. De plus, inclure la STQ, sous votre mandat, pour offrir des titres de transport occasionnels sous la carte OPUS.
Tous les contribuables du Québec paient pour le transport en commun, pas juste les villes et les usagers. Pourquoi n’en profiteraient-ils pas? Cela pourrait même intéresser les gens des régions, en vacances ou pour leur travail, à laisser leur «char» à l’hôtel et prendre le transport en commun.
Voir aussi : Transport en commun.
Stéphanie Martin
Journal de Québec
Le maire Régis Labeaume ramène le tramway parmi les «ypothèses sérieuses» pour un réseau de transport collectif structurant à Québec.
«Actuellement, pour nous autres, ça devient une hypothèse sérieuse», a révélé le maire, jeudi matin. «On remet le tramway dans les fortes hypothèses parce que le gouvernement, visiblement, est prêt à embarquer».
Un billet précédent en 2014: Un tramway à Québec ? Le dossier est clos
Voir aussi : Tramway à Québec, Transport en commun.
Gabriel Béland
La Presse
(Québec) Dix jours après les déclarations de Philippe Couillard sur la « logique insoutenable de toujours plus de routes pour plus de voitures », son gouvernement réitère son appui au projet de nouveau lien routier entre Québec et Lévis.
« C’est clair qu’il y a une volonté gouvernementale, on croit qu’un troisième lien est utile pour relier Québec et Lévis », a lancé lundi matin Véronyque Tremblay, ministre déléguée aux Transports.
Le gouvernement a annoncé lundi avoir franchi une étape de plus vers la réalisation d’un troisième lien, projet qui divise la région de la Capitale-Nationale. Le maire de Québec, Régis Labeaume, présent lors de l’annonce, n’a d’ailleurs pas caché ses réserves. (…)
Ses conclusions seront remises au gouvernement du Québec en 2020. Celui-ci décidera ensuite de mettre en oeuvre ou non les recommandations. (…)
C’est à Québec que les travailleurs utilisent le plus la voiture pour se rendre au travail, selon le recensement de 2016. Seuls 11,1 % de la population active de la grande région de Québec utilise les transports en commun pour se rendre au travail. C’est beaucoup moins qu’à Montréal (22,3 %), Toronto (24,3 %) ou Ottawa-Gatineau (18,3 %).
Troisième lien: trois «familles de solutions» Annie Morin (Le Soleil). Un extrait: « Les solutions explorées dans l’étude d’opportunité sur un nouveau lien entre Québec et Lévis ne nécessiteront pas toutes du béton et de l’asphalte. Les consultants du ministère des Transports du Québec devront proposer des moyens de mieux utiliser les ponts, le transport en commun et les réseaux ferroviaire et maritime pour améliorer la circulation entre les deux rives. La technologie est aussi appelée à la rescousse.«
La folle idée du troisième lien Québec-Lévis Valérie Borde (L’Actualité)
Voir aussi : Transport en commun.
Jonathan Lavoie
Radio-Canada
Québec
C’est à Québec que les travailleurs utilisent le moins le transport en commun à travers les grandes régions métropolitaines du pays. À peine 11,1 % de la population active se rend au travail de cette façon, selon les données du recensement de 2016. La voiture demeure donc reine dans la capitale.
Voir aussi : Transport en commun.