Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’autopartage rentable, selon une étude

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 mars 2007 2 commentaires

Vieille nouvelle, mais quand même pertinente !

Source: Éric Clément, La Presse, 20 février 2007

Si le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal collaboraient au succès de l’autopartage plutôt que de le tolérer, cela pourrait réduire les émissions de CO2 dans l’atmosphère de 168 000 tonnes par an, ce qui dépasserait par six fois les objectifs du Plan d’action québécois sur les modes de transport alternatifs, créé dans le cadre de Kyoto.

Voir la suite.
Voir aussi ce billet.

Voir aussi : Message d'intérêt public.


2 commentaires

  1. Sims

    19 mars 2007 à 16 h 23

    La question est de savoir si ça intérese vraiment le ministère des voitures et les municipalités de réduire la dépendance à l’automobile.

    C’est tellement plus beau (et politiquement plus payant)d’investir 50 millions dans un bout d’autoroute.

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  2. Manu

    20 mars 2007 à 10 h 13

    Bien que je n’en sois pas utilisateur, je l’admets, j’ai toujours admiré le principe de Communauto et sa bonne gestion qui réduit les coûts au minimum. Je ne connais pas toutefois le taux de satisfaction des usagers du service, mais les quelques usagers que je connais sont bien satisfaits.

    L’ennui c’est que Communauto a du mal à « étendre son marché ». Le prix chargé aux membres ne permet pas de dégager de profits substantiels, et Communauto n’a alors pas vraiment de « budget de promotion » pour s’installer là où il y pourrait potentiellement y avoir une demande. Elle doit plutôt s’en tenir aux endroits où il y a une réelle demande.

    Comme quoi on ne peut pas être « contre la vertue », ça serait évidemment « bien » que les différents paliers de gouvernements mettent en oeuvre des incitatifs à l’utilisation et à l’offre de ce service.

    Cependant, on pourrait aussi considérer que ces éventuelles mesures créeraient une concurrence déloyale envers les entreprises de location d’automobiles ou les chauffeurs de taxi (ces derniers doivent bien souvent faire des journées épouvantablement longues pour être moindrement rentables).

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