Le vélib pour Québec?

Le vélib, c’est une initiative parisienne, des vélos publics à prix minimes pour se déplacer en ville.

10 commentaires

Pierre-Luc Auclair

5 octobre 2007 à 13 h 21

Il y a aussi Vélo’v à Lyon, ouvert un bon deux ans plus tôt que le Vélib’.

À ce que je sache, à Québec y’a aucun projet pour l’instant. Cependant y’aurait fort probablement un peu d’aménagement en faveur du vélo qu’il faudrait commencer à faire! Quelques bandes cyclables dans la basse et haute-ville ça ferait pas de mal!

Le plan de Montréal est assez ambitieux, 2400 vélos! 15 millions en financement!

Est-ce qu’on peut officiellement être jaloux? ;)

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Graeme

5 octobre 2007 à 15 h 54

Oui, et avant Lyon il y a eut beaucoup d’autres villes. Par exemple Rennes, aussi en France, a lancé ce mouvement dès 1998. Ils ont d’ailleurs l’un des plus longs réseaux de pistes cyclables.
L’idée du vélo en libre service est très intéressante, notamment dans le centre-ville et le proche centre-ville (du moins au début ?).
Surtout qu’il y a pas mal de monde à faire du vélo dans la ville. Et ce service supplémentaire serait un atout.

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André

5 octobre 2007 à 20 h 26

Ca existe déjà via certains employeurs

« Vélo-Ville a pour objectif de favoriser l’utilisation du vélo comme mode de transport. Il vise l’implantation de vélos en libre-service auprès des employeurs et des institutions scolaires. Ces derniers se procurent des vélos et les prêtent gratuitement à leur personnel pour les déplacements d’affaires ou de loisir.

En 2006, 38 vélos standards et 10 vélos à assistance électrique étaient disponibles dans neuf sites d’emprunt répartis entre sept partenaires : le ministère des Transports du Québec (3 sites), le Réseau de transport de la Capitale, la Ville de Québec (3 sites), le Service des résidences de l’Université Laval, le Centre de l’Environnement et Bell Canada.

Avec plus de 2 600 prêts et plus 80 000 kilomètres parcourus, les vélos ont réalisé l’équivalent de deux fois le tour de la Terre entre mai et novembre 2006. Réalisés en automobile, ces déplacements auraient produit près de 20 tonnes de gaz à effet de serre (GES). »

Source:
http://www.mobili-t.com/produits_veloville.html

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6 octobre 2007 à 10 h 47

Un programme semblable à Vélo-ville existe à Montréal. C’est une première étape vers le vélo en libre-service. Mais je seconde Pierre-Luc A., il y aurait des aménagements à faire pour rendre la circulation en vélo plus sécuritaire et plus conviviale.

À quand des supports à vélos sur les bus par exemple ? Ce serait une solution idéale pour aider les cyclistes à franchir les côtes aussi passantes qu’apiques.

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Carol

6 octobre 2007 à 18 h 06

« À quand des supports à vélos sur les bus par exemple ? Ce serait une solution idéale pour aider les cyclistes à franchir les côtes aussi passantes qu’apiques »

Cela se fait déja à Sherbrooke, sur certain parcours…

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Jeff M

7 octobre 2007 à 08 h 09

À Québec, je dirais que la première étape, avant de passer au vélib, serais de faciliter l’accès à la haute-ville aux cyclistes. Cet obstacle naturel décourage bon nombre de gens à se servir du vélo comme transport utilitaire. La construction d’une rampe élévatrice comme cela s’est déjà fait dans une certaine ville de Norvège (quelqu’un a plus d’info?) serait l’idéal.

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Lukas

7 octobre 2007 à 13 h 01

»…Est-ce qu’on peut officiellement être jaloux? ;)… »

La réponse est NON !!!!

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Pierre-Luc Auclair

7 octobre 2007 à 14 h 44

Lukas a dit:
>>>>…Est-ce qu’on peut officiellement être jaloux? ;)…
>>La réponse est NON !!!!

Est-ce qu’on peut être incroyablement motivé à faire de même alors? ;)

JeffM:
Oui, celui-ci ( http://www.youtube.com/watch?v=ryCWIjdVF0g ), situé dans la ville de Trondheim en Norvège permet de gravir une pente qui semble plutôt à pic. Cependant je ne sais pas si 1, il y aurait assez de place sur nos côtes et 2, si le système marcherait dans les nombreuses courbes assez serrées.

Je verrais plus un réseau d’ascenseurs ou funiculaires dispersés au long de la falaise, qui feraient un lien rapide et facile entre la basse et la haute ville pour les piétons. Ils pourraient être utilisés dans l’optique de raviver la basse ville entre Langelier et Marie-De-L’incarnation. Peut-être deux en plus de celui qui est déjà en bas de la côte d’Abraham, à la Côte Salaberry ainsi qu’à la hauteur du Parc des Braves?

J’en verrais aussi un, si on reliait le boulevard Central au bas de Nérée-Tremblay (c’est un lien qui serait TRÈS intéressant à mon avis, cas sinon on doit faire un détour d’un peu plus de 5km sur Hamel et St-Sacrement, pas toujours reposant!) ainsi q’un autre près de St-Sacrement.

Plus à l’ouest, je ne connais pas assez le coin pour avancer des endroits intéressants.

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Pierre-Luc Auclair

7 octobre 2007 à 14 h 45

….qui feraient un lien rapide et facile entre la basse et la haute ville pour les piétons >>et les cyclistes

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Jeff M

8 octobre 2007 à 08 h 56