Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’affichage à Québec: Des normes

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 avril 2008 8 commentaires

Le paysage de Québec s’apprête à passer sous le bistouri du service d’urbanisme. Ce soir, la Ville lance la première de huit séances d’information qui présentera à la population le nouveau règlement d’urbanisme.

Il y a fort à parier que les commerçants suivront de près ces démarches puisqu’ils seront les premiers touchés. Plusieurs d’en­tre eux devront en effet revoir complètement la présentation de leur commerce pour se conformer au règlement devant être adopté en décembre. Et la facture associée à ces changements risque d’en faire crier plus d’un. (…)

La suite et ce billet

Source: Le Soleil Pierre-André Normandin 28 avril 2008

Voir aussi : Commercial, Québec La cité.


8 commentaires

  1. Fernand Trudel

    28 avril 2008 à 09 h 37

    On comprends que le DG de la Ville est celui que Mme Boucher avait à Ste-Foy. Voilà d’où provient l’idée…

    Il y a d’abord un respect des droits acquis et ensuite on peut discipliner l’affichage sans l’éliminer comme le projet sur la table semble le faire. Je me rappelle des débats houleux à Ste-Foy. Or, certains commerces ont fermé à cause de cette réglementation extrême. Mme Bioucher n’a pas pu éliminer toutes les annonces malgré son réglement. Mais les nouveaux commerces ont eu la vie dure…

    A moins de vouloir fermer les magasins ou qu’on n’ait pas l’esprit mercantile, on ne peut être d’accord avec une telle position extrême. «No business town » est à proscrire. Ce qui est surprenant esrt le silence de notre cher Maire qui se dit pour l’économie. En tout cas le sondage du 93.3 sur la question ce matinb est révélateur que cette mesure n’est pas populaire…

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  2. regis

    28 avril 2008 à 10 h 52

    concernant ce dossier le service de l urbanisme ils ont tu du temps a perde me semble qu ont aurait d autres chose a faire. de plus si les commercants perdent de l argent a cause de ce ramacie de merde de loi moi si j etait un homme d affaire je poursuivrai la ville pour le maque a gagner

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  3. Jeff M

    28 avril 2008 à 12 h 12

    On n’a qu’à interdire les affiches partout. Alors personne ne pourra dire que la clientèle s’est déplacé ailleurs parce que les autres commerces étaient plus visibles.

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  4. ArtByte

    28 avril 2008 à 12 h 46

    Ce n’est certainement pas moi qui vais se plaindre de la disparition des camions-affiches qui polluent le Vieux-Québec pendant l’été et qui n’ont pas leur place à cet endroit, ni des cochonneries qui sont énumérées dans l’article.

    Il faut faire attention de ne pas tomber dans l’extrémisme dans un sens comme dans l’autre. La répression risque de provoquer bien des gens, et à l’image des commentaires précédents, certains lisent les articles en diagonale ou ont la mèche très courte…

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  5. Paul

    28 avril 2008 à 15 h 06

    Allez donc faire un tour sur Lebourgneuf dans le coin des Galeries, puis ensuite sur l’Ormière et Hamel…

    Vous allez voir la différence quand on impose des normes strictes comme sur Lebourgneuf et quand on laisse le free for all comme ailleurs…

    Pourtant les commerces sur Lebourgneuf semble marcher très bien, malrgé l’absence d’une forêt de pylones criards… Même Wal-Mart s’est conformé sans rechigner.

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  6. PP

    29 avril 2008 à 20 h 42

    Je suis d’accord avec Paul. Une règlementation intelligente sur l’affichage ne peut qu’être positive pour l’image de la ville sans causer la fermeture des commerces. Le secteur des Galeries de la Capitale en est un excellent exemple d’intégration harmonieuse (en particulier la sation-service ESSO).

    Hamel est une erreur et surtout une horreur.

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  7. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    29 avril 2008 à 20 h 58

    Aux dernières nouvelles, les gens d’affaires concernés ne semblent pas avoir objection. Si je me trompe, j’aimerais bien qu’on me l’indique. :-)

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  8. Fernand Trudel

    4 mai 2008 à 10 h 50

    Paul a raison. On peut imposer de nouvelles normes quand on bâti.

    Après des années, on enlève des droits acquis en resserrant les normes…

    Quand les commerces se sont établis, les conditions étaient plus souples. On ne peut reprocher aux commercants se suivre les règles lorqu’ils se sont implantés. Quand on change les exigences, ils faurt respecter le patrimoine bâti, même l’affichage. Vous vous rappelez le tollé qu’avait provoqué la mairesse à Ste-Foy ??? Des droits acquis ca se respecte, faut savoir ca…

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