Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’auto en duo ou en trio: mon char pis moé

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 8 septembre 2008 4 commentaires

« L’organisme Mobili.T le dénonce haut et fort. Le covoiturage au quotidien n’est pas du tout encouragé à Québec. Dans les entrailles des administrations municipales québécoise et lévisienne, il n’y a pas une initiative qui vive.

«Toutes les villes normales dans le monde ont au moins un site Internet qui permet de jumeler les automobilistes qui veulent covoiturer. Ce n’est pas sorcier et ça ne coûte presque rien à mettre en place! La Ville de Québec manque vraiment d’initiative en matière de transport, autre que l’automobile et le RTC (Réseau de transport de la Capitale)», soutient Pascal Laliberté, directeur général de Mobili.T, un organisme sans but lucratif qui lutte contre l’auto en solo dans la région de Québec. (…)

La suite et ce ce billet précédent

Source: Le Soleil Patricia Cloutier 30 août 2008

Voir aussi : Message d'intérêt public.


4 commentaires

  1. Marie

    8 septembre 2008 à 15 h 29

    Il n’y a pas plus d’initiative parce que les personnes intéressées à faire du covoiturage sont encore rares ou se manifestent peu. L’automobiliste unique est roi et maître sur les routes à l’heure de pointe. Les gens sont très attachés à leur individualité (veulent être seuls dans leur char), du moins c’est l’orientation dominante dans les milieux de travail.

    Pis si vous êtes différents (déplacement à pied, vélo, covoiturage) bin vous êtes un spécimen pour vos collègues, qui vous trouvent donc courageux/organisé. Sauf que bien sûr, votre option de déplacement n’est jamais bonne pour eux… Prendre l’auto c’est moins compliqué.

    L’autobus est mieux accepté, parce que plus utilisé.

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  2. Erick

    8 septembre 2008 à 15 h 52

    Beaucoup de citoyens de Québec, particulièrement dans les gouvernements et institutions publiques ou parapubliques, ont des emplois à « heures variables » (heure de départ/arrivée) et/ou en aménagement du temps de travail (4 jours/semaine), ce qui rend difficile le co-voiturage avec un ou des covoitureur(s) fixe(s) sans y perdre cette flexibilité.

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  3. Fernand Trudel

    8 septembre 2008 à 19 h 33

    Il faut une concentration plus grande des travailleurs habitant le même quartier et travaillant au même endroit. La population de Québec n’est pas assez nombreuse encore. Mobili T, la patente à Jérôme Vaillancourt serait mieux à Montréal dans la Maison du développement du ravble d’Équiterre à Steven Guilbault. Vous savez la bâtisse de 7 étages qu’on veut bpâtir sur le terrain de 1,3 million donné par Hydro rue Ste-Catherine. Ca serairt surement un bon endroit pour semer des tomates bio en hauteur…

    http://www.maisondeveloppementdurable.org/

    De toute façon, il y a vingt organismnes écolos et trois dirigeants qui comntrôlent tous ceux-ci. On a multiplié les noms pour avoir plus de subventions…

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  4. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    8 septembre 2008 à 22 h 04

    « Pis si vous êtes différents (déplacement à pied, vélo, covoiturage) bin vous êtes un spécimen pour vos collègues, qui vous trouvent donc courageux/organisé. »

    Je suis le seul à venir à vélo à notre immeuble du secteur Lebourgneuf, et on me trouve bien courageux de me taper parfois à pied les 7 km qui me sépare de la maison! ;-)

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