Louise Lemieux
Le Soleil
(Québec) À compter de mercredi, les clients de Loblaws, de Provigo et de Maxi paieront 5 cents par sac de plastique utilisé pour emballer leurs achats. Le groupe veut encourager l’utilisation des sacs réutilisables et espère ainsi diminuer d’un milliard le nombre de sacs de plastique acheminés vers les sites d’enfouissement, d’ici la fin de l’année, au Canada. (…)
«Les sacs de plastique sont une calamité au centre de tri. Ils baissent la qualité des ballots. Nous perdons 20 $ la tonne, à cause de ces sacs qui sont emmêlés dans le papier ou le verre. Les sacs de plastique sont un handicap. Nous espérons que, d’ici 2010, toutes les entreprises vont imposer des frais de 5 cents ou même de 25 cents par sac de plastique», a expliqué le conseiller, mardi. (…)
Raymond Dion, le conseiller de la Ville de Québec responsable de l’environnement, supplie les gens d’enlever le sac de plastique avant de jeter le contenu du PublicSac au recyclage. Selon des études, à peine 30 % des sacs de plastique seraient réutilisés.
Mise à jour: Les souhaits du gouvernement du Québec
21 avril 2009 à 21 h 40
Je suggère à tous, au moins une fois, d’aller faire votre épicerie, une grosse, et de refuser de payer pour les sacs de plastique et d’aller porter à la main vos items un à la fois à votre voiture. Vous allez encombrer les caisses et faire chier un joyeux paquets de monde. Si on vous reproche votre façon de faire, vous leur direz que l’utilisation d’aucun sac est encore plus écolo que l’utilisation de toute forme de sac et que c’est bon pour votre cardio de faire un peu de marche.
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21 avril 2009 à 21 h 43
@ Shat
Pas sûr que la meilleure façon de convaincre soit celle de « faire chier un joyeux paquets de monde ».
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21 avril 2009 à 21 h 46
C’est peut-être pas la meilleure façon de convaincre, mais c’est la meilleure façon de rendre la pareille à ces commerçants.
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21 avril 2009 à 21 h 52
@ Shat
Dans un an max, tous ces sacs seront interdits. Patience! :) La SAAQ vend maintenant ses produits sans distribuer de sacs, sinon en les payant. Et que font les gens ? Ils sortent de la succursale de la SAAQ avec leur achat dans les mains. Certains ont un sac.
Times are changin..
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21 avril 2009 à 21 h 52
Réglons le problème à la source… plutôt que de demander d’enlever le sac avant de jeter le publi sac trouvons une solution à ceux qui ne veulent pas recevoir ce fameux publi-sac. Du fait même, non seulement on sauve le sac, mais aussi la nécessité de recycler du papier encré qui n’a servi qu’à aller à la poubelle.
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21 avril 2009 à 22 h 07
On écoeure le monde ordinaire avec des problèmes mineurs comme celui des sacs de plastiques pendant que dans les commerces et les bureau il ne se fait à peu près pas de recyclage, sans compter tous les édifices à logements qui ne sont pas encore équipés de bacs de recyclage (parce qu’ils ne sont pas encore obligés) et dont les poubelles extérieures se remplissent en deux jours.
Moi, je me sers des sacs d’épicerie comme sacs de vidanges. S’ils veulent les bannir, je vais faire quoi? M’acheter des sacs blancs, encore moins écologiques parce qu’ils sont plus épais, et que je vais payer plus cher. Wow, gros changement pour l’environnement.
Je suis partisan des gestes à accomplir pour l’environnement, mais cette mesure n’est que de la poudre aux yeux et c’est surement une autre façon d’empocher quelques sous de plus pour ces grandes chaînes d’alimentation.
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21 avril 2009 à 22 h 27
personellement j’exige des sacs où je vais. Pensez vous vraiment que les sacs sont une cause importante de polutions à grande echelle? Ca me rappel les ampoule fluo-compact…une mode !
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21 avril 2009 à 22 h 29
C’est pourquoi il faut ennuyer ces commerçants qui se convertissent à la religion verte. Donnes toi bonne conscience ou essais de te donner une bonne image, mais ne fait pas payer le prix à ta clientèle.
L’équation est simple: Moins de sacs d’épicerie, plus de sacs de vidanges, moins d’argent dans les poches du consommateur et plus d’argent dans les poches de Glad.
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21 avril 2009 à 22 h 55
Ouais effectivement, les grandes chaînes pourraient commencer par arrêter de nous bombarder avec leurs Publi-merdes et encourager davantage l’agriculture locale.
Mais quand les sacs s’accumulent par milliards à la surface de la planète, et défigurent des pays entiers (avez-vous visité l’Afrique récemment?) il me semble que c’est la moindre des choses de s’attaquer au problème. Donc je ne vais certainement pas commencer à chialer contre leur facturation à la pièce.
En fait, les seuls sacs de plastique qui devraient continuer d’être produits sont les sacs à ordure biodégradables, destinées à être enfouis ou incinérés. J’espère que les autres variantes seront rayés de la planète dans la prochaine décennie.
En attendant, je fais des «sacs de sacs» pour que le plastique ne se mélange pas au papier dans mon bac à recyclage.
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21 avril 2009 à 23 h 08
Je travail dans une de ces fameuses, épiceries et je peux vous dires que la seule à la quelle les pdg de ces entreprises pensent c’est le profit. Il n’a jamais été question d’environnement lorsqu’ils ont décidé d’adopter ce consept. Il s’agit juste de marketing. Selont le magasin cela représentre environ 1000 $ pour 400 clients en une journée qui prennent en moyenne 5 sacs chacun. Soit 7000 $ en une semaine, 21 000 $ en un mois … De l’argent neuf puis que les sacs étaient gratuit. En plus avec cela ils essaient de nous vendre des sac réutilisables ou des bacs. L’argent gouverne le monde, le pouvoir le désir d’aservir les autres … Il ne faut pas ce faire d’illusions toutes ces multinationales font parites de ce monde, c’est d’alleure elles qui le dirigent. Nous le peuple dénoué d’esprit critique croyons que notre épicerie défend l’environnement. C’est de la foutaise. Et ce qu’il y a de plus beau c’est que nous devons tous manger.
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21 avril 2009 à 23 h 22
Dsl je me suis tromper en contant , c’est plutot 100 $ par jour pour 400 personnes, et non pas 1000$.
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21 avril 2009 à 23 h 23
Décision écolo ou pas, c’est ben de leurs affaires s’ils veulent charger pour des sacs de plastique. Si on est contre cette idée, ou bien on change d’épicerie, ou bien on traîne nos sacs (qu’on a pris ailleurs). Mais si ces épiceries adoptent de telles mesures, c’est qu’ils estiment que ce n’est pas ça qui va leur faire perdre leur clientèle.
De toute façon, il y a des villes ou ces sacs sont tout simplement interdits.
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22 avril 2009 à 02 h 54
Je ne comprends pas ce problème… Si je n’utilise pas les sacs en plastique des supermarchés, je devrai m’en acheter pour mes poubelles. Ça ne fera que changer le mal de place.
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22 avril 2009 à 04 h 53
Le taux de réutilisation des sacs en plastique des épiceries est plutôt faible donc non, on ne fait pas simplement changer le problème de place.
Perso, je trouve ça excellent, ça va donner une raison de plus pour penser à amener ses sacs réutilisables trop souvent oubliés. Et tant mieux si les épiceries se font de l’argent avec ceux qui par mégarde les oublient.
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22 avril 2009 à 06 h 30
Bon, je ne suis pas sûr qu’emmerder la caissière qui gagne 8$ de l’heure soit vraiment productif. Tout comme « chialer » contre cette mesure. Tu ne veux pas payer 5 cents par sac? Ben n’en utilise pas! Tu as besoin d’autres sacs pour les poubelles? Achète des sacs biodégradables tiens!
Avoir des sacs réutilisables ce n’est qu’UN moyen parmi tant d’autres pour faire sa part pour l’environnement. Quant à moi, le problème est plutôt tout l’accent que l’on met sur cette mesure. Un peu comme si « j’utilise des sacs réutilisables, je suis maintenant 100% vert! » C’est un pas dans la bonne direction, mais ce n’est pas suffisant!
Cela étant dit, je crois que c’est une bonne mesure et je ne vois vraiment pas en quoi c’est révoltant. Comme le disait une madame dans Le Soleil « Cela brime ma liberté ». C’est comme, wo, si tu rattaches le concept de liberté à « pouvoir utiliser des sacs en plastique » qui dans le fond, ne sont pas terrible pour l’environnement, je pense que revoir ta définition du concept de liberté s’impose… (Et je dis ça sur un ton humoristique quand même!)
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22 avril 2009 à 06 h 42
Ne me dites surtout pas que ces sacs sont tous réutilisés. Loin de là!
Et que le commerçant fasse de l’argent avec ça, eh ben ça veut peut être dire que le capitalisme peut sauver la planète.
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22 avril 2009 à 07 h 04
« C’est pourquoi il faut ennuyer ces commerçants qui se convertissent à la religion verte. »
Tient ça ressemble au propos de Fernand !
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22 avril 2009 à 07 h 24
Après une épicerie, si on prend des sacs jetables, on peut se retrouver facilement avec 10 sacs… J’ose espérer que ceux qui utilisent leurs sacs d’épicerie comme sac de poubelle n’ont pas 10 sacs de poubelle par semaine (sans compter les sacs d’autres magasins…)
Aussi, le gouvernement se fait damer le pion par les entreprises. Si c’était le gouvernement qui taxait 5 sous chaque sac de plastique, au moins l’argent nous reviendrait et pourrait servir au bien public.
Et, si vous voulez ennuyer les commerçants qui ont cette politique, la meilleure façon de les ennuyer, c’est effetivement d’aller ailleurs…
@Pierre, pour ne pas recevoir le Publi-Sac, il s’agit de mettre un collant à cet effet sur votre boîte aux lettres. Je crois que vous pouvez l’obtenir à votre bureau d’arondissement. Et si malgré tout votre calelot vous livre le publi-sac, faites une plainte à la compagnie et ça devrait arrêter assez rapidement.
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22 avril 2009 à 07 h 24
Je suis d’accord avec William
Le seul but des supermarchés est de diminuer les dépenses. Loblaws dit espérer l’économie de 1 miliards de sacs d’ici 2010. À 0,05$ le sac, faites la calcul et ça monte assez vite.
Je suis pour les gestes pour l’environnement mais contre les entreprises qui nous mentent et qui font passer des gestes purement économiques comme si c’était pour l’environnement. Dites donc la vérité aux gens et dites que c’est pour l’économie.
Si les supermarchés pensaient vraiment écologie, ils y auraient bien d’autres choses à faire comme réduire les publicités papiers ou diminuer les déchets liés au tramsport des marchandises (pallettes en bois qui vont au vidange plutôt qu’en plastique réutilisable par exemple…)
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22 avril 2009 à 07 h 25
c’est ridicule, c’est de la pub gratuite qu’ils se font. Et de plus, les supermarchés auraient eu à payer une nouvelle taxe donc en nosu fesant payer 5 cents par sacs, ils se remboursent comme ca.
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22 avril 2009 à 08 h 37
Tout le monde est dans le champ y compris le conseiller Dion qui n’a pas été capable de répondre à ma question. Quels sont les débouchés (clients) pour les matières recyclées et quelle utilisation en fait-on et pourquoi ne travaillez-vous pas sur le développement d’un marché ?
Les sacs de plastiques sont apparus à cause de la campagne « Sauvons un arbre » des écolos. Pourtant les sacs en papier bruns étaient faits avec du papier recyclé. Après on s’étonne que les centre de tri n’aient plus de débouché. On a tué la poule et on a conspué l’oeuf…
Vrai qu’il faut séparer le plastique du papier pour avoir des matières recyclables de bonne qualité. Mais un centre de tri ca fait quoi ???
Nous avons payé des dizaines de millions pour un centre de tri qui ne fonctionne pas et pour le rendre efficace, on décide que c’est le citoyen qui va fait le tri à la place du centre de tri… Wow quelle logique. Puis la facture s’allonge car le dégat est loin d’être tout épongé…
J’ai en mains des sacs de papier. Un de la SAQ et l’autre d’IGA. Sur les deux apparait le sigle de recyclage et c’est marqué ceci: » Ce sac d’emballage est produit au Québec et contient de la fibre recyclée ». Cherchez l’erreur boréale…
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22 avril 2009 à 08 h 37
Dur, dur, dur de changer ses petites habitudes et on peut le comprendre mais de là à invoquer le principe de la *libâaaaarté* pour ne rien changer à ses habitudes de vie polluantes, y a comme de la mauvaise foi sous roche ou simplement de la paresse.
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22 avril 2009 à 08 h 52
Quand je vais chercher un deux litres de lait, je refuse le sac en disant: « Pas besoin en autant que personne ne criera « au voleur » quand je sortirai. » La caissière rie aussi et j’ai fait ma part…
Les sacs de plastiques, je les recycle dans les paniers de la chambre de bain, dans nos chambres, à coté de l’ordi et pour la litière du minou. Alors,ils servent de contenant pour expédier à l’incinérateur et économiser l’achat de sacs GLAD. Cependant j’achèete un rouleau de sacs GLAD pour les déchets de table…
Le manque de civisme oblige les autorités à créer des situations extrêmes et diminuant notre liberté et notre autonomie. Si on prenait nos responsabilités on aurait pas besoin que l’état les prenne à notre place. Mais dans la charte des droits et liberté, ce chapitre est absent…
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22 avril 2009 à 09 h 00
Avec cette manière de faire, vous êtes justement libre. C’est la beauté de la chose!
Vous ne voyez pas en quoi la diminution de l’utilisation des sacs de plastique est bénéfique pour l’environnement. Eh bien, vous êtes libre d’en consommer. Mais vous allez payer!
Et vous devrez vous y habituer. Ça sera bientôt comme ça pour les émissions de carbone et autres types de pollution. Les temps changent.
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22 avril 2009 à 09 h 02
@ Shat : Je pense que tu te fou pas mal de l’environement à la manière que tu parle.
Je crois qu’il est très important de diminuer le nombre de sac de plastic sur les marchées, car il y en a beaucoup qui ne les utilisent pas par après.Ils se ramassent dans les dépotoir et prennent des centaines d’années à se dégrader.
L’abolition de ces sacs est une très bonne idée d’après moi et ce n’est qu’un petit début pour contribuer à un environement meilleur.
Maintenant vas falloir s’attaquer aux voitures apres les sacs…
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22 avril 2009 à 09 h 04
L’argent ammassé avec les sacs de plastic iront à : LA PROTECTION DE LA FAUNE DU CANADA. Merci
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22 avril 2009 à 09 h 09
Bonne initiative, yaurais du faire ca depuis ben longtemps déjà..En Europe eux autre ca doit faire une dizaine d’année que c’est déjà commencé. Les autres épiceries suivront elle. Métro, Iga, … ???
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22 avril 2009 à 09 h 53
@ArtByte
C’est bien d’avoir l’esprit critique et ne pas prendre pour du cash tout ce qu’on nous dit. Par contre, il ne faut pas tomber dans l’autre extrème et systématiquement refuser tout changement pour la simple raison que ça ne règle pas 100% du problème. Ca a pris 200 ans d’industrialisation pour arriver à polluer autant. On ne règlera pas tout du jour au lendemain. C’est à force de poser de petits gestes plus ou moins importants qu’on va finir par changer le portrait global.
Pour ce qui est de l’intérêt des chaines d’alimentation pour ce changement, tu as raison leur motivation est sûrement le profit. Mais je dis tant mieux! Si le respect de l’environnement n’entre pas en contradiction avec leur buisness, tout le monde est gagnant.
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22 avril 2009 à 09 h 54
Ce qui m’agace c’est les entreprises qui donnent l’illusion de se préoccuper de l’environnement en se servant de telles méthodes pour seulement sauver eux-mêmes des sous.
Moi j’ai plutôt envie de les boycotter… du moins jusqu’au jour où je ne pourrai plus le faire car je serais obligé de boycotter toutes les épiceries et me laisser mourir de faim.
C’est curieux autrefois on utilisait des sacs de papiers qui équivalaient à plusieurs sacs de plastique, et maintenant les papetières sont toutes sur le bord de la faillite. Etait-ce si polluant que cela d’utiliser du papier?
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22 avril 2009 à 10 h 06
Pauvre Étienne, le carbone est sous différentes formes dans l’atmosphère même en diamant. Les émissions automobiles sont du monoxyde de carbone ( CO ) et naturellement ça lui prend une unité d’oxygène pour faire le CO2. Ce sont les plantes et les arbres par photosythèse qui dégage l’oxygène requis. Diminuer le CO2 c’est diminuer l’atmosphère et la nature doit compenser à ce moment pour autoréguler celle-ci. C’est ainsi que les volcans qui produisent plus de CO2 que les humains se réveillent pour compenser l’activisme écolo.
Le vrai combat en est un entre le pétrole et les spéculateurs comme Gore qui veulent utiliser l’Éthanol. D’ailleurs Richard Branson, milliardaire ami de Gore, a investi 400 millions dans la fabrication d’Éthanol à base de canne à sucre rendant le sucre raffiné plus rare et par le fait même plus dispendieux. Le reste est du charabia dénoncé de plus en plus par les scientifiques conscient qu’on galvaude la science pour des fins politiques.
On a sauvé nos arbres mais on a créé des chômeurs. Richard Desjardins, entre deux joints, s’attaque maintenant aux mines qu’il veut fermer. On va vivre de quelle activité économique sinon de billets de banque de monopoly comme Obama en fait…
La loi du marché est maître du jeu, vouloir tricher le marché par toute sorte de bébelles écolos subventionnées mènera à un cul-de-sac… La preuve, les sables bitumineux sont au ralenti car le prix du baril est trop bas pour être rentable. C’est pas les cris de Guilbault qui ont fait ça mais demain Mme marois pleurera que la péréquation diminue comme neige au soleil sans dire que les redevances sur l’exploitation des sables bitumineux n’exitent plus…
Certains écolos sont rendus à lutter pour diminuer la population humaine, êtes-vous prêt à mourrir pour la cause ??? Voici le site du Mouvement pour l’extindàction volontaire de l’humanité…
http://www.vhemt.org/findex.htm
Quant aux bourses du carbone, une idée de Gore qui détient celle de Chicago dont Monsanto est membre, je vous laisse sur une intervention de Steven Guilbault devant le Comité permanent de l’environnement et du développement durable de la Chambre des Communes en février 2005. Il répondait à une question du député bloquiste Bernard Bigras. Vous allez comprendre comment on manipule les crédules dans une pensée unique.
» Bernard Bigras: Y a-t-il une limite à tenter d’augmenter l’objectif d’aller chercher les crédits d’émissions à l’étranger?
Le président: Monsieur Guilbeault, une courte réponse, s’il vous plaît.
M. Steven Guilbeault: Il n’y a pas de limite prévue dans le cadre du protocole de Kyoto, donc, théoriquement the « sky is the limit ». Évidemment, là où cela devient problématique c’est que cela pourrait être perçu comme une fuite de capitaux. Je suis d’accord avec votre collègue du Parti conservateur, ce qu’on ferait c’est qu’on financerait ailleurs des réductions d’émissions, du développement technologique, alors que nous restons pris avec nos vieilles affaires polluantes. Je ne pense pas que ce soit une stratégie de développement économique qui fasse beaucoup de sens. »
Au fait la spéculation sur les crédits de carbone sont au plus bas. Montréal 1,01$ la tonne et Chicago 1,65$us la tonne. On est loin des promesses de nirvana de $$$ vertes à 30$ la tonne…
http://www.chicagoclimatex.com/
http://www.mcex.ca/trading_quotes_en
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22 avril 2009 à 10 h 29
« Ce qui m’agace c’est les entreprises qui donnent l’illusion de se préoccuper de l’environnement en se servant de telles méthodes pour seulement sauver eux-mêmes des sous. »
Il faut s’y faire, ça a toujours été comme ça…
Les compagnies aériennes ont été parmi les premières à interdire de fumer, parce que ça diminuait la quantité d’air requise dans la cabine et augmentait donc la puissance ds réacteurs (donc, diminution de la comsommation d’essence).
Je pense, au contraire de vous, qu’il faut se servir de l’appât du gain pour que les entreprises modifient leur comportement. Cela peut être fait avec la réglementation.
Par exemple, si on taxe de façon importante les emballages de plastique non recyclables, les entreprises qui veulent faire plus d’argent aurant deux choix: hausser leurs prix, ou encore avoir des emballages recyclables. Et, comme nous consommateurs fonctionnons aussi à l’argent, nous risquons d’acheter le moins cher.
Des exemples comme ça, on pourrait en trouver plein. En faisant en sorte que ce soit plus payant pour une entreprise d’opter pour une solution écologique, vous pouvez être sûr qu’elle y adhèrera…
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22 avril 2009 à 10 h 46
« Nous avons payé des dizaines de millions pour un centre de tri qui ne fonctionne pas et pour le rendre efficace, on décide que c’est le citoyen qui va fait le tri à la place du centre de tri… »
Le problème n’aura pas été aussi grand si cela aurait été dans les mains d’une coopérative comme via.
« J’ai en mains des sacs de papier. Un de la SAQ et l’autre d’IGA. Sur les deux apparait le sigle de recyclage et c’est marqué ceci: ” Ce sac d’emballage est produit au Québec et contient de la fibre recyclée”. Cherchez l’erreur boréale… »
Attention Fernand, cela ne veut pas dire recycler avec nos propres déchets de papiers. IL faut qu’il soit indiqué recyclé post-consommation, sinon ce ne sont que des retailles de fabrication de papiers qu’il remette dans le processus de fabrication. Bref du recyclage à l’interne.
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22 avril 2009 à 11 h 03
« En faisant en sorte que ce soit plus payant pour une entreprise d’opter pour une solution écologique, vous pouvez être sûr qu’elle y adhèrera… »
Hum ! mais aussi il y un travail de conscientisation qui devra être fait aussi par ces corpo. Sinon ce ne seront que des mesures n’ayant pas de profondeur d’Action, c’est-à-dire que le travail ne sera pas fait en profondeurs pour remettre en question les comportements.
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22 avril 2009 à 11 h 15
Ça me fait penser que Costco, symbole de la surconsommation nord-américaine (c’est très discutable, mais c’est une perception répandue) n’a jamais utilisé de sacs en plastique, ni même de sac de papier. Il n’y en a pas tout simplement! On utilise des fonds, des dessus ou des moitiés de boîte de carton. C’est de la réutilisation, ce qui est encore mieux que le recyclage selon moi (bien sûr, en bout de ligne, le consommateur enverra probablement ce carton au recyclage, mais au moins, il aura été réutilisé au moins une fois).
C’est sûr qu’à l’épicerie on a souvent beaucoup de petits articles, contrairement au Costco où les gens on surtout quelques plus gros articles, et ça tiendrait moins bien dans un « couvercle de boîte ». Mais pour tous ceux qui ne sont pas à pied, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas aussi (dans le sens de « si le client le désire ») emballer les achats dans les boîtes que l’épicerie doit soit jeter ou faire recycler (ce qui lui coûte de quoi dans tous les cas, et lui sauverait donc des coûts si elle refilait ses boîtes au consommateur). Il me semble même me rappeler, lorsque j’étais enfant, que parfois, une partie de l’épicerie était livrée dans des boîtes de carton (« caisses » de bananes, cornichons, etc)
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22 avril 2009 à 11 h 40
Ce qui est choquant dans cette nouvelle religion qu’est la « verdure » c’est qu’on ne donne plus le choix, comme à la SAQ. On essaie d’imposer un modèle unique pour tout le monde. J’y vois un dangeureux penchant vers la dictature, qui a changé de cible au fil des décennies. Et remarquez bien que je suis pour la préservation de l’environnement mais pas pour la rigidité maniaque des nouveaux gourous. Bientôt, il y aura beaucoup d’autres choses qui seront interdites, vous n’avez rien vu. Le délire « vert » s’est installé en Amérique du Nord ainsi que l’hypocrisie des grandes chaînes qui ne pensent qu’à leur profit, et non à la protection de l’environnement.
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22 avril 2009 à 11 h 52
« Ce qui est choquant dans cette nouvelle religion qu’est la “verdure” c’est qu’on ne donne plus le choix, comme à la SAQ. On essaie d’imposer un modèle unique pour tout le monde »
Je vous ferais remarquer que cette tendance s’observe dans bien des domaines, pas justes l’environnement…
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22 avril 2009 à 12 h 29
Vous ne comprenez rien en ce qui est du 5 cents par sacs. Ce 5 cents est au profits De la protection de la faune du canada et non aux commerçants. Les épicerie vont rien récolter.La seule affaire c’est qu’il vont économiser sur l’achats des sacs en plastic..Mais en fait non car il ont des sacs réutilisable dont ca revient pas mal plus cher pour la compagnie.
L’environement faut y openser tu suite, car ce n’est pas en se renfermant comme vous le faite que ca vas changer de quoi pour le futur.
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22 avril 2009 à 12 h 35
Sacs à 0,05$: Rona emboîte le pas
Éric Moreault
Le Soleil
(Québec) La vague des sacs à 5 cents prend de l’ampleur. Rona, le plus important détaillant canadien d’articles de quincaillerie, emboîte le pas dans la foulée de la Société des alcools du Québec (SAQ), d’Ikea et des marchés d’alimentation Loblaws, Maxi et Provigo. Les consommateurs devront payer pour les sacs de plastique à usage unique à compter du 1er juin.
Allez voir cette aritcle.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/200903/27/01-841027-sacs-a-005-rona-emboite-le-pas.php
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22 avril 2009 à 12 h 36
Sacs à 0,05$: Rona emboîte le pas
Éric Moreault
Le Soleil
(Québec) La vague des sacs à 5 cents prend de l’ampleur. Rona, le plus important détaillant canadien d’articles de quincaillerie, emboîte le pas dans la foulée de la Société des alcools du Québec (SAQ), d’Ikea et des marchés d’alimentation Loblaws, Maxi et Provigo. Les consommateurs devront payer pour les sacs de plastique à usage unique à compter du 1er juin.
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22 avril 2009 à 12 h 37
Rona feras payer aussi 5cents par sacs dès le 1er juin 2009
Voici le lien de l’article:
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/200903/27/01-841027-sacs-a-005-rona-emboite-le-pas.php
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22 avril 2009 à 12 h 39
[Les sacs peuvent prendre jusqu’à 400 ans à se dégrader dans la nature ou les lieux d’enfouissement.]
Pensez y bien a celle là!!!
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22 avril 2009 à 12 h 47
Je suis le débat aux États-Unis provoqué par la volonté d’Obama de déclarer le CO2 à l’index.
http://epw.senate.gov/public/index.cfm?FuseAction=Minority.Blogs&ContentRecord_id=2158072E-802A-23AD-45F0-274616DB87E6
Une citation d’un japonais membre du GIEC, Dr. Kiminori Itoh PhD environmental physical chemist, m’a fait sursauter: « Warming fears are the “worst scientific scandal in the history…When people come to know what the truth is, they will feel deceived by science and scientists.”
Tout ça est un devenu un dossier strictement politique…
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22 avril 2009 à 12 h 52
Gagne de cave ceux qui vont payer pour des sacs.. Boycotons ces épiceries là et allons au métro, iga et supec c.
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22 avril 2009 à 12 h 54
@Jeff [Les sacs peuvent prendre jusqu’à 400 ans à se dégrader dans la nature ou les lieux d’enfouissement.] haha imagine toute le reste ya pas juste les sacs qui se retrouve dans les site d’enfouissement ya plain d’autre chose donc pkoi ne pas faire payer pour toute tant qu’à ça.HAHA
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22 avril 2009 à 13 h 52
« Vous ne comprenez rien en ce qui est du 5 cents par sacs. Ce 5 cents est au profits De la protection de la faune du canada et non aux commerçants »
Je sais pas pourquoi, mais j’ai comme l’impression que l’argent donné par les épiciers qui va à la protection de la faune est considéré comme un don de charité, donc déductible d’impôts..
C’est donc dire qu’avant, ils payaient les sacs qu’ils nous donnaient et maintenant, ces sacs qu’ils vendent ne leur coûteront plus rien, car le prix de production va équivaloir à la baisse d’impôts qu’ils vont recevoir en donnant à une fondation…
Donc, on paie pour le sac, et les compagnies paient moins d’impôts…brillant comme stratégie…
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22 avril 2009 à 14 h 11
@shat
« haha imagine toute le reste ya pas juste les sacs qui se retrouve dans les site d’enfouissement ya plain d’autre chose donc pkoi ne pas faire payer pour toute tant qu’à ça.HAHA »
C’est pas drôle, c’est bien ça qui va bientôt être la norme. Pourquoi? Parce que l’être humain n’est pas capable de se discipliner sans que l’on touche à son portefeuille.
Donc, shat, ta réaction au projet de faire payer les sacs justifie le recours à cette pratique. Regarde-toi et dis-toi que c’est à cause de gens comme toi qu’il faut contraindre les gens à payer pour qu’ils modifient leurs comportements…
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22 avril 2009 à 14 h 38
Carol une deuxième vie au papier c’est recycler.
Au fait pour ceux qui conspuent les pétrolières, BP petroléum vient d’accorder une bourse de 500 millions au laboratoire Voigt de l’Université Berkeley de Sacramento en Californie pour développer un carburant synthétique àa base de résidus non alimentaires. Ça ouvre une nouvelle voie. Il semble que les molécules de cette essence synthétiq..
http://www.sfgate.com/cgi-bin/article.cgi?file=/c/a/2007/02/01/MNGM8NSSDP1.DTL
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22 avril 2009 à 14 h 39
Carol une deuxième vie au papier c’est recycler.
Au fait pour ceux qui conspuent les pétrolières, BP petroléum vient d’accorder une bourse de 500 millions au laboratoire Voigt de l’Université Berkeley de Sacramento en Californie pour développer un carburant synthétique àa base de résidus non alimentaires. Ça ouvre une nouvelle voie. Il semble que les molécules de cette essence synthétique est en tout point semblable chinàmiq..
http://www.sfgate.com/cgi-bin/article.cgi?file=/c/a/2007/02/01/MNGM8NSSDP1.DTL
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22 avril 2009 à 14 h 40
Carol une deuxième vie au papier c’est recycler.
Au fait pour ceux qui conspuent les pétrolières, BP petroléum vient d’accorder une bourse de 500 millions au laboratoire Voigt de l’Université Berkeley de Sacramento en Californie pour développer un carburant synthétique àa base de résidus non alimentaires. Ça ouvre une nouvelle voie. Il semble que les molécules de cette essence synthétique est en tout point semblable chimiquement au pétrole ce qui permettrait de l’utiliser sans modifier nos véhicules…
http://www.sfgate.com/cgi-bin/article.cgi?file=/c/a/2007/02/01/MNGM8NSSDP1.DTL
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22 avril 2009 à 15 h 01
Fernand quelques fois j’ai « l’impression » que vous ne semblez point comprendre ce que j’écris ?!
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22 avril 2009 à 15 h 46
Si on veut interdire un jour les sacs de plastique, faudrait pas juste s’attaquer aux épiceries, mais aussi à tous les autres commerces au détail.
Pour ce qui est de la récupération de style « second usage », j’utilise ces sacs de plastique dans ma poubelle de cuisine, alors quand il n’en restera plus je devrai « acheter » des sacs de plastique! Je fais aussi de même avec les fameuses bouteilles d’eau, je les réutilise avec l’eau du robinet, et même parfois en y transvidant du jus pour mon lunch. Je les réutilise bien 10 fois chacune avant de les flusher parce que trop abimées. Et ce n’est pas du tout mon coté « écolo » qui parle, mais plutôt mon coté « gratteux ».
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22 avril 2009 à 15 h 50
p.s. actuellement la plupart des épiceries vous tonne un crédit de 5c du sac que vous apportez.
Le pire c’est que j’ai l’impression de me faire avoir avec mes 2 super gros sacs de chez IGA qui logent pour 50$ d’épicerie chacun, au lieu de plusieurs petits sacs comme la plupart du monde.
D’ailleurs les super gros sacs en question sont super pratique et pas juste pour faire l’épicerie!
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22 avril 2009 à 17 h 14
J’vais payer le 5 ¢ par sac. J’irai pas acheter des sacs de vidanges Glad qui vont coûter 3-4 $. Ça fait cher pour envoyer littéralement aux vidanges. Ça revient encore moins cher 5 ¢ par sac de plastique, comparé à ce que peut coûter un paquet de sacs Glad.
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22 avril 2009 à 17 h 31
Je suis d’accord avec Manu : chez Costco, il n’y a pas de sac aux caisses mais en plus, ils vendent des sacs biodégradables. 22$ la caisse.
Mais ce qui m’irrite, c’est que l’on retrouve cette pratique seulement dans 1 chaîne d’épicerie et 1 chaîne de quincaillerie, pourquoi ne pas étendre cette politique partout ? En plus, il y a un logo pour recycler ce sac mais on reçoit la consigne que ces sacs ne sont pas recyclables, comment me fier à tous les codes de reclyclages alors ? Dans plusieurs villes canadiennes, on doit payer pour les sacs de plastique. Même chose ailleurs dans le monde. Alors, tous pour un et un pour tous!
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22 avril 2009 à 20 h 16
En Europe, cèa fait des années que tous le monde paye pour leur sac en plastique. Personne en est mort que je sache. Le sur-emballage est moins présent aussi.
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22 avril 2009 à 21 h 19
« !En Europe, cèa fait des années que tous le monde paye pour leur sac en plastique »
J’y vais chaque année passer quelques semaines et je ne me ballade pas avec des sacs réutilisables. Et comme je fais souvent des achats imprévus; On me DONNE un sac comme on le fait avec les autres clients.
On ne doit pas visiter les mêmes pays! Je crois même qu’ils sont beaucoup moins constipés là-bas qu’ici. En à bien des égards.
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22 avril 2009 à 21 h 21
….et à bien des égards.
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22 avril 2009 à 21 h 24
La crise environnemental se résume ainsi:
ON CONSOMME TROP, et INUTILEMENT, cela dans tous les domaines, notamment au chapitre des transports. C’est à ce niveau qu’il d’abord agir. C’est tout!
On parle maintenant de la « religion des verts », mais Cibole qu’on pourrait discuter longtemps de tous ces créateurs de nouveaux besoins qui nous matraquent de publicité encore, toujours et partout! Et pour la conscience environnementale des compagnies pétrolières, on repassera…
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22 avril 2009 à 21 h 39
Malgré les positions parfois éloignées de tout le monde ici, je trouve l’ensemble commentaires quand même très pertinents et avec un peu de recul, on voit que le petit 5 cents a l’effet escompté : réaliser qu’un sac de plastique c’est « quelque chose ».
Ne partez à rire… je veux dire par là que si on ne le paie pas, qu’on en fait un sac à poubelle et qu’on le jette après, c’est un peu comme s’il n’avait jamais existé, comme l’air qu’on respire qui « est là tout bonnement et qu’on utilise ».
Mais le sac continue d’exister par après, il n’est pas disparu, et c’est une pure perte après tout, du vrai gaspillage : on le produit, on le consomme à peine, et on le jette pratiquement intact. Et ça s’empile comme ça jour apès jour, année après année.
Bon, je sais, bien des gens sont conscient de tout cela, mais plusieurs ne le sont pas et l’absence de « prix » sur ces sacs les rends presque immatériels.
Toutefois, maintenant qu’on lui attribue une valeur arbitraire de 5 cents, ah! tout d’un coup il a une valeur, il devient une marchandise. Quelque chose qu’on achète et qu’on utilise. 5 cents ça ne fait pas un trou dans le budget, mais par pur principe, puisqu’on l’achète, là tout à coup on réflichit à l’usage qu’on en fait.
Alors qu’on achète des sacs à 5 cents pour nos petites poubelles, ou des « vrais » sacs à poubelles, on va penser à ce qu’on en fait. On peut par exemple jeter uniquement du « sec » dans les petites poubelles, vider le contenu dans une plus grosse poubelle avec un sac biodégrdable, et ne changer celui de la petite poubelle que lorsqu’il semble « dû pour être changé ». Résultat : on fera une utilisation plus rationelle de ce qu’on a et on produira beaucoup moins de déchet en bout de ligne.
Ce n’est qu’un exemple pour montrer jusqu’où ça peut aller un petit 5 cents. Ce n’est pas parce que ça fait un trou dans le budget (car ça n’en fait pas…) mais simplement par principe : quand on paye pour quelque chose et, par surcroît, à chaque fois qu’on en achète (contrairement à l’aqueduc par exemple qu’on paye annuellement, qu’on consomme beaucoup ou peu), on réfléchit à ce qu’on en fait. L’ensemble des commentaires ici montrent bien que certains en étaient déjà conscient, et que les autres le sont maintenant.
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22 avril 2009 à 21 h 40
@ Carol
Cette tendance s’observe dans plusieurs domaines, c’est justement ça le pire. On ne se contente pas des campagnes de publicité qui incitent les gens à moins « gober » de sacs de plastique, on ne donne PLUS LE CHOIX. S’il faut payer le sac, je vais le faire, comprenez-vous. Et à force de payer, il m’arrivera souvent à l’avenir de prévoir mes achats. Mais ce n’est pas toujours le cas. Je le répète, j’en ai contre les nouvelles dictatures dictées par le « politiquement correct » qu’on veut nous imposer dans tous les domaines. Il n’y a plus de place à l’improvisation, il faudra tout prévoir: apporter ses sacs en tout temps, manger bio (sinon on est mal perçu), ne pas fumer en public même dehors (car on se fait regarder de travers par les « sauveurs » de l’humanité), ne plus prendre son auto (car on nous accuse de contribuer au réchauffement de la planète), etc. Voyez dans quelle société on vivra demain: une société aseptisée, devenue stérile en fait car il n’y aura plus de place à la différence. Ça s’appelle de la dictature et on sait où ça peut mener. L’histoire nous montre que les régimes de ce genre ont engendré des guerres et des conflits basés sur la non-acceptation des différences: religions, races, orientation sexuelle et j’en passe. Je ne dis pas que nous nous dirigeons directement vers une société qui veut imposer SA manière de concevoir la vie, mais je dis simplement que les mentalités glissent dangeureusement vers une certaine forme de dictature insidieuse et malsaine.
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22 avril 2009 à 21 h 52
@Jeff : merci pour le lien sur l’article.
Mais l’auteur est « dans le champ » pour le prix du sac en Irlande. Depuis 2007, il est à 0,22 euros, soit environ 35 cents ici. C’est 7 fois plus que le petit 5 cents d’ici.
Il est toutefois raisonnable d’attendre avant d’augementer ce 5 cents. En effet, au début, en 2002 (!), les sacs payants ont fait réfléchir les gens (et c’est partout en Irlande, pas juste chez certains commerçants, car c’est une taxe nationale). Toutefois, avec le temps, de plus en plus de gens se sont mis à acheter des sacs, les considérant comme des « frais usuels » ou comme une taxe de vente finalement (le genre « qu’on paye et ainsi soit-il »). L’augmentation de 50% en 2007 a servi de rappel et semble-t-il que ça a fonctionné (j’étais d’ailleurs en Irlande 3 à 4 semaines après cette augmentation, et on en parlait encore dans les médias… même si on en avait parlé des mois avant).
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23 avril 2009 à 07 h 49
À compter du 1er Juillet, plusieurs communes de Wallonie adopteront une nouvelle méthode de collecte des ordures.
http://www.monconteneur.be/
Un tarif et une quantité de base de vidanges sont calculés en fonction du nombre de personnes dans le ménage. Au-delà de cette quantité, la collecte est facturée en fonction du nombre de levées et du poids – la matière organique est ramassée séparément dans un autre conteneur et facturée moins chère. Cela est rendu possible grâce à l’utilisation de conteneurs à puce. Un conteneur est ainsi attribué à chaque ménage.
Les projets pilotes ont indiqué que le remplissage par autrui ou le vol de conteneur était rare, mais je ne sais pas si cela sera le cas une fois le système davantage connu et généralisé. Il y a un système de verroux offert en option. Le remplacement du conteneur est à la charge du sous-traitant, Intradel en l’occurence.
Ce type de collecte vise à encourager les gens à trier davantage leurs déchets à la source. Il est évalué que la matière organique représente environ la moitié des vidanges. Étant facturé moins chère, les tirer permet donc de faire des économies. Cette matière organique est envoyée dans des centres de compost ou dans des usines où un processus de biométhanisation permet de produire de l’énergie.
Sur le site vous pouvez voir aussi que le papier et ce qu’il nomme PMC (conserve, carton ciré,…) sont collecté séparément. Le verre doit être déposé soi-même dans des « bulles à verre ».
Auparavant la collecte était effectuée par l’emploi de sacs payant émis par la commune – Pour que tes vidanges soient ramassées, elles devaient donc être dans un certain type de sac de la commune vendait elle-même. Ainsi, ils n’avaient pas l’habitude d’utiliser des sacs de plastique d’épicerie comme sac à vidanges. Ca n’a pas empêché de rendant les sacs de plastique d’épicerie payant depuis déjà longtemps.
Je donne cette exemple simplement pour montrer qu’ailleurs ont fait les choses bien autrement. Je ne dis pas que c’est mieux et que ca peut convenir à une ville comme Québec – les communes en question étant d’une population généralement d’envrion 10 000 habitants. Mais il y a peut-être des choses desquelles on peut s’inspirer.
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23 avril 2009 à 09 h 07
Le problème en écologie c’est que les mots rentabilité et clientèle sont absents du vocabulaire.
Moi faire un centre de tri qui coûte plusieurs millions pour revenir au même point car on a pas développé la clientèle et un marché pour ses matières aprèes être recyclées est une mauvaise gestion coûteuse et inutile. J’en suis rendu à utiliser mon petit bac bleu car le gros qu’on a payé 11 millions pour en donner à tout le monde ne se remplit plus en quinze jours. J’ai enlevé les bouteilles de plastique, les bouteilles de verre, le sacs en plastiques et les cartons cirés des litres de lait. J’en suis rendu à enlever le cellophane sur les boites de kleenex pour trier à la place du centre de tri…
Tout ça parce qu’un gouvernement ayant cédé aux lobby écolo a conçu un plan irrréaliste et cul-de-sac. Pour augmenter le volume en 5 ans, on nous a dit qu’on acceptait presque tout. C’était faux, d’abord le centre de tri s,est embourbé et ensuite les matières recyclées avaient diminuées de qualité et sont devenues invendables. Pas grave, le gouvernement versera des subventions pour nous aider à nous sortir de notre bourbier. Voilà le prix de notre hâte irraisonnée…
C’est de même partout quand on parle écologie. « Sky is the limit » leur dit le théologien Steven Guilbault. La dernière qui va faire achopper Kyoto II à Copenhague en décembre prochain est la demande de l’Afrique. En pleine crise économique ou les gouvernements sont dans le rouge, l’Afrique apporte sa facture de 267 milliards.
L’illogisme à son meilleur ou tous les gestes humains sont remis en cause pour toute sorte de raison plus frivoles les unes après les autres. Faut pas péter on dégage du méthane 24 fois plus polluant que le CO2. On modifie les comportements des humains mais on oublie de punir les irresponsables qui n’ont aucun civisme en tirant leurs détritus à gauche et à droite sans vergogne. Nettoyer somn perron devrait faire partie des enseignements…
Prenons nos responsabilités et éduquons les gens à agir de façon civilisé au lieu d’imposer toute sorte de folleries qui irritent les citoyens qui agissent correctement en nettoyant leur perron.
La folie verte a un prix, 200 milliards au Canada, on en a déjà dépensé presque le quart sans résultat, quand arrêterons nous le gaspillage? Le mythe kyotiste a assez duré, il est temps d’avoir du gros bon sens et de mesurer le pour et le contre de chaque action environnementale sans émotion, ni dogme. On est en train d’avilir la science au rang de serviteur des politiciens en mal de popularité. Au point ou les scientifiques de renom se lèvent pour dénoncer la fraude intellectuelle du réchauffement amorcée par Gore et ses amis voraces de $$$ vertes.
http://epw.senate.gov/public/index.cfm?FuseAction=Minority.Blogs&ContentRecord_id=2158072E-802A-23AD-45F0-274616DB87E6
J’entend toute sorte de théories plus abracadabrantes les unes que les autres. La dernière est de privilégier le chauffage thermique. J’ai fait faire un estimé sans dire qu’à trois pieds de creux on était obligé de dynamiter car je suis sur le roc. Eh bien ça coûte 25,000$ pour sauver de l’énergie dans une condition idéale pour creuser. Imaginez ce que ça coûtera quand ils seront obligés de dynamiter pour faire l’installation, ça deviendra hors de prix. Financer 25,000$ avec les intérêts pour sauver 1,000$ par année, le système ne s’autofinance pas. Pas grave y a des subventions. Ce qu’on dit pas, les subventions sont imposables et l’année suivante les gouvernements viennent nous rechercher la moitié en impôts. Voilà des plans de nègres comme nos écolos nous pondent. Je pourrais parler des ampoules fluocompactes et du problème après usage, de rénoclimat, etc…. Sans oublier l’Éthanol qui affame le tiers-monde. Les écolos ont réalisé leur erreur et s’en distancent maintenant pourtant le plan vert à bÉchard conseillé par Guilbault a comme strratégie d’utiliser l’éthanol.
Le problème avec les alarmistes c’est qu’ils ne pratiquent pas leur principe de précaution et sautent trop vite aux conclusions. Résultat des cul-de-sacs à répétition en gaspillant nos taxes…
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23 avril 2009 à 10 h 53
@ AlainQc
Ouais il y a un fond de vérité dans ce que tu dis !
Mais peut-être qu’on en est rendu là à cause de l’inaction et l’inertie de la plupart des gens dans ces domaines, en ne prenant point leurs responsabilité et l’avoir donnés à toutes formes de gouvernances extérieurs à eux !?
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23 avril 2009 à 10 h 56
oups ! leurs responsabilités !
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23 avril 2009 à 11 h 05
Carol, je te suggère un article dont voici le lien:
http://www.quebecoislibre.org/09/090415-9.htm
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23 avril 2009 à 12 h 33
@Fernand : non mais c’est quoi le rapport de tous ces exemples avec les sacs à 5 cents? Il faut faire la disctinction entre des principes (par exemple, « améliorer le taux de recyclage des déchets domestiques ») et leur mise en application (par exemple « tout mettre dans un même bac, même ce que le ‘recycleur’ ne prend pas »). Ce n’est pas le lobby-ecolo-si-on-suppose-que-ça-existe qui s’occupe de la mise en application.
Tu auras beau parler tant que tu veux sur Steven Guilbault ou Al Gore, ça ne peut pas servir d’argument contre un principe (comme préserver l’environnement, recycler les déchets, etc). C’est comme de dire que la radio ou la télévision n’a pas sa place dans notre société sous prétexte qu’on peut donner des exemples de conneries qu’on a pu voir ou entendre de ces médias.
Même chose pour le chauffage géothermique… c’est évident que ça coûte plus cher pour une maison (c’est rentable seulement dans d’autres cas) Qu’on invoque des arguments écologiques pour nous arnaquer ne change rien au principe non plus. Oui, la géothermie est plus écologique, mais le fait que ça coûte plus ou moins cher qu’une autre technologie n’a rien à voir avec l’écologie. Il s’agit plutôt d’argument de vente (souvent frauduleux) comme on en trouve dans la vente de n’importe quoi.
Je le répète, il faut faire la distinction entre les principes et leur mise en application, sinon on tombe dans le discours démagogique comme vous savez si bien le faire (comme des groupes écolos d’ailleurs, vous êtes de la même trempe)
Bref, pour revenir au vif du sujet, pouvez-vous nous expliquer, à la lumière de vos « arguments », ce qui est dérangeant pour les sacs à 5 cents?
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23 avril 2009 à 13 h 31
Manu c’est pas parce qu’on parle environnement qu’on doit être dogmatique et non logique, que money is no objet. Il faut sauver la planète et ça n’a pas de prix. On a déplacé les priorités. Mourrir de faim ou de soif n’est moins important qu’un degré dans cent ans… Oui, il faut respecter son environnement mais de là à en devenir hystérique, il y a un large fossé…
Ces environnementalistes ont banni les sacs en papier recyclés des épicerie pour les remplacer par des sacs en plastique et réalisent leur erreur… Ces gens ont exagéré les faits pour créer une mode verte… Quand on s’apercevra qu’on s’est fait mener en bateau comme le bogue de l’an 2000, on comprendra mes propos… Quand on s’apercevra que toutes les simagrés que l,on nous a contraint n’a pas donné de résultat promis malgré les milliardss engloutis, on me comprendra…
Entre temps on a créé des centre de tri pour justement donner une deuxième vie à certaines matières recupérables que l’on jetait au dépotoir avant. On s’est affolé et récupéré n’importe comment au point ou les clients ne veulent plus des produis sortis de notre centre de tri. On recycle pourquoi? Qu’est ce qu’on fait pour trouver des débouchés rentables pour que ces centres ne soient pas seulement des dépenses de plus en plus lourdes à supporter. Combien de milions devra t’on mettre encore pour réparer les dégats de l’hystérie écolo qui a ébauché des solutions à la hâte sans en évaluer les conséquences de leur solution magique. Eux qui nous brandissent à tout bout de champ le principe de précaution, ont été imprudents. C’est le fun, on est vert mais à quel prix ???
La majorité des gens sont plus attentifs à la crise économique qui leur fait serrer leur ceinture bien plus que cette campagne pour faire payer aux clients pour soi-disant nous conscientiser sur l’environnement.
C’est tout ce que soutend la décision sur les sacs de plastique arrivée le Jour de la Terre…
Un autre trip écolo qui va nous coûter une beurrée…
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23 avril 2009 à 13 h 39
Les commercants n’ont qu’a utiliser des sacs de plastique biodegradable. Ca eviterai d’ajouter un autre type de sac dans nos depotoires et nous ferais economiser èa terme, a tous, beaucoup d’argent. Un simple reglement pourrait obliger l’utilisation exclusive de ces sacs biodegradables. Ce serait simple, efficace et economique…
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23 avril 2009 à 14 h 04
« Un autre trip écolo qui va nous coûter une beurrée… »
Pas plus que les excès de toutes corporations et cies (gouverne-ments) sur l’environnement et notre santé.
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23 avril 2009 à 14 h 40
http://www.provigo.ca/fr/coupon.aspx?WT.ac=+-+IP+-+Freen+green+box
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23 avril 2009 à 18 h 39
Je viens de recevoir une réponse de la SAQ concernant les bouteilles en verre. Incroyable mais vrai la SAQ a subventionné la collecte sélective à la hauteur de dizaines de millions pour encourager la récupération…
J’ai expédié à Gérald copie de mon e-mail dont voici une reproduction partielle.
« La SAQ est à l’origine de la collecte sélective au Québec, et ce, depuis le début des années 90. Elle a pour sa part déjà versé plus de 12 millions de dollars à Collecte sélective Québec et depuis plus de 15 ans, pas moins de 30 millions de dollars ont été injectés dans la filière de la récupération et du recyclage du verre. C’est aussi grâce au financement de la SAQ que les municipalités ont pu implanter la collecte sélective.
De plus, la SAQ finance plusieurs projets dont la fondation, à l’Université de Sherbrooke, de la Chaire SAQ en valorisation du verre dans les matériaux. Nous poursuivons nos programmes d’aide financière aux centres de tri et maintenu notre soutien à la collecte sélective.
Pour ce qui est de l’entreposage des bouteilles vides en succursales, vous noterez que, nos succursales n’ont pas l’espace suffisant et ne sont pas équipées pour reprendre les contenants vides. Ajoutons qu’à l’heure actuelle, 74% (selon l’étude de caractérisation des matières résiduelles du secteur résidentiel au Québec 2006-2007) des bouteilles vendues à la SAQ pour la consommation à domicile sont récupérées. Ce taux grimpe à 84% dans le cas des maisons unifamiliales plus spécifiquement. En pourcentage, les contenants de la SAQ occupent le premier rang des matières recyclées via les bacs de récupération.
Certains croient qu’en implantant un système de consignation sur les contenants de la SAQ, cela permettrait à cette dernière de réutiliser les contenants de verre récupérés. Rien n’est plus faux. Un système de consignation à remplissage unique ne ferait rien de plus que de conduire au recyclage des contenants qui s’y rendent déjà.
La consignation des contenants de boissons alcooliques de la SAQ ne présente aucun avantage, ni d’un point de vue environnemental, ni d’un point de vue social, ni d’un point de vue économique, ni d’un point de vue industriel. »
Cette réponse provient du Service à la clientèle de la Société des alcools du Québec
Voici un exemple de responsabilité et de civisme qu’on aurait eu mérite à imiter au lieu de refiler aux consommateurs la responsabilité par une consigne de 5 cents le sac et de verser cet argent à la faune…
Je verrais très bien que les épiciers adoptent des sacs en papier recyclés resultat de la recherche, ce qui créerait un débouché sûr pour nos centres de tri… Au fait j’ai des sacs en papier recyclé d’IGA et de la SAQ mais pas de la chaine PROVIGO…
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24 avril 2009 à 07 h 52
« “La SAQ est à l’origine de la collecte sélective au Québec, et ce, depuis le début des années 90. »
Petite correction la collecte sélective tel que connu maintenant, provient de deux individus, qui ont dans les années 70-80 parties ce mouvement au Québec.
On parle de Jean-Guy Renaud pour le Lac-St-Jean et Normand Maurice qui était dans le centre du Québec.
Mais principalement ce fut Normand Au milieu des années 1970, mettait sur pied Récupération Bois-Francs, l’un des premiers centres de tri au Québec.
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24 avril 2009 à 08 h 17
@Claude
« “!En Europe, cèa fait des années que tous le monde paye pour leur sac en plastique”
J’y vais chaque année passer quelques semaines et je ne me ballade pas avec des sacs réutilisables. Et comme je fais souvent des achats imprévus; On me DONNE un sac comme on le fait avec les autres clients.
On ne doit pas visiter les mêmes pays! Je crois même qu’ils sont beaucoup moins constipés là-bas qu’ici. En à bien des égards. »
Effectivement, ils fonctionnent sans sacs dans les épiceries (je m’y suis fais prendre car que je n’étais pas au courant), mais dans les autres magasins, ils fournissent les sacs. C’était d’alleurs pour moi une source de rigolade car ils demandent souvent « voulez vous un petit sachet? ».
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24 avril 2009 à 10 h 10
Carol ce ne sont pas mes paroles mais celles de la SAQ. Quant à moi, je constate que le recyclage a encore des coûts inconnus quand la SAQ parle de dizaines de millions versés aux centres de tri qui emmagasinent les matières recyclées car ils n’ont pas d’acheteurs sans parler des millions versés par la ville qui demande au gouvernement de le dépêtrer avec d,autres millions. Un gâchi qui nous place au point de départ des centres de tri… Pire au lieu de régler le problème du bac bleu, on veut en ajouter un autre avec d’autres problèmes…
Je dirait et redit que les écolos ont oublié d’appliquer le « principe de précaution » dans leur solutions hâtives et qu’on paye des milliards pour leurs erreurs. L’expérimentation globale est dispendieuse et ne diminue aucunement les GES. N »est-ce pas vous qui vous plaignez que Kyorto n’est pas respecté. Pourtant combien de simagrées vous nous faites faire pour rien avec des anticipations irréalistes. Combien d’efforts ont été fairts pour rien… Pas grave on est vert!!!
La bourse du carbone devait tout régler, Kyoto le dit. Pourtant la Ville a voté une résolution sur la promesse de Ann Bourget et Jérôme Vaillancourt que la ville vendrait des crédits . On a combien de revenus de prévu au budget en 2008 et 2009 ? Zéro… Au fait on nous avait promis qu’à la bourse, la tonne de carbone se transigerait à 30$ la tonne. Actuellement ça se transige à 1,01$ la tonne, une autre vérité qui dérange…
http://www.mcex.ca/trading_quotes_en
Quand le monde réalisera qu’on a dépensé des milliards ( au Canada près de 50 milliards) pour se faire mener en bateau par des idéologues assoifés de subventions, ils se rebelleront…
Carol du Centre de l’Environnement n’y fait pas exception…
Déclaration du Dr. Kiminori Itoh, membre du GIEC et spécialiste de renommée mondiale en chimie-physique de l’environnement:
“Warming fears are the worst scientific scandal in the history. When people come to know what the truth is, they will feel deceived by science and scientists.”
On a trafiqué les rapports du GIEC financé par le milliard de Ted Turner, ami de Gore, pour créer une hystérie verte que Carol et compagnie entretiennent pour se créer une job sur notre dos. Voilàa la vrité qui dérange, même manu quio se demande pourquoi je profiràte de dossiers envràironnemtaux pour ratisser plus large. Mon cher Manu, ces gens refusent le débat sur les données qui ont créé l’hystérie verte et qui sont fausses. Le débat se fait présentement au sénat américain ou Obama est entrain de se faire dire la vérité. Voici le site qui en témoigne…
http://epw.senate.gov/public/index.cfm?FuseAction=Minority.Blogs&ContentRecord_id=2158072E-802A-23AD-45F0-274616DB87E6
Pour revenir aux sacs de plastique, ce sont les écolos qui ont fait campagne « Sauvons un arbre » qui ont amené les sacs de plastique dans les épiceries. Pourtant les sacs d’épicerie en papier recyclé respecte les 3R et aurait le mérite de créer une clientèele aux centre de tri… Il y a un article là dessus dans l’opinion du lecteur du Soleil…
Jean Cazes vive les anorexiques…
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24 avril 2009 à 12 h 00
@Fernand… relisez donc mon commentaire avant de répondre n’importe quoi. Vous me citez encore des exemples de mauvaises applications de principes écologiques qui eux, ne sont pas nécessairement mauvais. Ou bien vous lisez trop vite, ou bien vous n’êtes pas en mesure de comprendre quelque chsoe d’aussi simple (ça devait être beau de vous voir en politique municipale, incapable de distinguer les principes de leur mise en application… ouf!)
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11 juin 2009 à 11 h 00
Selon moi, tout le plastique n’est pas forcément à banir de notre quotidien. Ce que font les épiceries ces derniers temps est une étape obligée pour amener les québécois à se conscientiser sur la chose… mais cela ne veut pas dire que tous les plastiques sont mauvais.
De nombreuses entreprises font beaucoup d’effort pour utiliser un plastique éco-responsable qui blesse moins la Planète.
L’entreprise que je représente par exemple propose depuis peu une gamme de sacs plastiques fait à: 100% de plastique recyclé 100% oxodégradable 100% recyclable. Exposés à l’air, ces sacs et ces toiles de protection EconoVert se dégradent entièrement en 2 ans après usage…. Bien plus rapide qu’un sac-poubelle ordinaire et surtout que les sacs d’épicerie!
Pour plus de renseignements vous pouvez visiter le site web:http://www.jigaloo.com/ca/f_products_econogreen.php
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