Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Conférence Pierre Langlois- Rouler sans pétrole !

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 7 septembre 2009 36 commentaires

Pour ceux que cela intéresse, pour connaitre les tendances (futur) dans le transport toutes catégories.
Pierre Langlois, auteur, conférencier donnera trois conférences gratuites cette semaine.

Endroit: Palais des Arts, 530 Grande Allée (ancienne église à côté de l’Hôtel Le Concorde)

Dates et heures:

– Mercredi le 9 septembre à 20:00 h : Rouler sans pétrole

– Jeudi et vendredi les 10 et 11 septembre à 20:00 h : Les moteurs-roues, la voie de l’avenir dans les transports

La conférence sur les moteurs-roues est nouvelle et comporte une bonne partie de matériel que vous ne trouverez pas dans son livre.

Voir aussi : Message d'intérêt public.


36 commentaires

  1. dave fortier

    7 septembre 2009 à 17 h 13

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  2. Francis Vachon

    7 septembre 2009 à 20 h 24

    J’ai photographié la semaine passé pour The Globe and Mail un « dévoilement privé » d’un projet majeur qui pourrait révolutioner le monde. Rien de moins. Langlois en parlera cette semaine et ce sera dans le Globe probablement demain en primeur.

    Je ne peux en dire plus, mais je vous donner le lien dès que c’est en ligne.

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    • Carol

      7 septembre 2009 à 20 h 28

      Pour révolutionner le monde faudrait entre autre ne point être dépendant d’une source d’énergie contrôlé… par une minorité.

      En tous cas j’ai hâte de voir cela !

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    • dave fortier

      7 septembre 2009 à 20 h 41

      Cela pique ma curiosité.

      Serait-ce 1/La fusion nucléaire a froid, ne surtout pas confondre
      avec la fission nucléaire, ou 2/ L’énergie libre de Helmholtz et de la machine de Palma??? A voir demain.

      Avec l’énergie libre, il y a un gros handicap, un énorme handicap.
      C’est une énergie fabriqué a très faible coût, ce qui ne permet pas
      aux compagnies qui fournissent l’énergie de s’enrichir. Disons que
      ce n’est pas sur les planches de développement des compagnies
      pétrolières.

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  3. Manu

    7 septembre 2009 à 20 h 44

    Considérant que le moteur-roue existe déjà depuis plus de cent ans (incluant certaines marques véhicules commercialisés), et considérant qu’Hydro-Québec s’est « comme fait suggéré » d’abandonner le projet en 1995, la question n’est pas tant de savoir s’il représente l’avenir (plusieurs en sont convaincus) mais plutôt s’il « on » va finir un jour par cesser de lui mettre les bâtons dedans.

    Au moins, cela a refait surface récemment, et c’est Tata Motors qui construit un véhicule à moteur-roue, en association avec TM4, filiale d’Hydro-Québec. http://www.indicavista.com

    Il y a peut-être aussi la déconfiture des géants américains de l’automobile (qui n’ont plus rien de géant outre leurs dettes) qui va peut-être apporter un tel changement.

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  4. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    7 septembre 2009 à 21 h 06

    Le moteur roue n’est pas commercialisé et est encore en prototype. Le problème est l’hiver quand il fait très froid et que ça glace. Il y a d’autres problèmes de sécurité qui ne sont pas réglés. Voilà pourquoi ce n’est pas encore commercialisé les brevets n’onmt pas leur certifications gouvernementales.

    Les fabricants doivent passer une batterie de test, d’approbations et de certifications gouvernementales avant que ça soit sur le marché. On oublie trop souvent ça et on critique.

    Ainsi la Tata vendu 2,000$ en Indes se vendra en amérique 10,000$ car il faut des freins ABS, un volant assisté, des sacs gonflables, des test de sécurité, etc… Les exigences de notre civilisation maternante sont à ce prix…

    J’ai été concessionnaire automobile, je connais le domaine et il est ouvert à toutes améliorations qui peuvent faire qu’une marque devance la concurrence auprès des consommateurs. Je cite en exemple la Prius de Toyota. S’ils le pouvaient, ça ferait longtemps que ça serait sur le marché. Mais les légendes urbaines sont coriaces et laissent sousentendre n’importe quoi …

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  5. Pierre Bédard

    7 septembre 2009 à 21 h 06

    Cette conférence m’intéresse.

    Entre temps, ce gars là n’a pas attendu après les compagnies automobiles.

    http://www.youtube.com/watch?v=xbDo4ugXm8g&eurl=http%3A%2F%2Feso%2Dnews%2Eblogspot%2Ecom%2F&feature=player_embedded

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  6. Goldoche

    7 septembre 2009 à 22 h 04

    Un des problèmes du moteur-roue c’est que le moteur est dans la roue, par conséquent , un gros nid de poule et paf… moteur scrap.

    L’autre point ce serait de regarder quel type de moteur est présent dans le moteur roue? Avant, seul les moteurs AC pouvaient avoir une grand efficacité, aujourd’hui on peut avoir des moteurs DC à commutation électronique aussi efficace que des moteurs AC.

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    • Carol

      7 septembre 2009 à 22 h 12

      « Un des problèmes du moteur-roue c’est que le moteur est dans la roue, par conséquent , un gros nid de poule et paf… moteur scrap »

      As tu participer aux essais ???

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      • Goldoche

        7 septembre 2009 à 22 h 20

        Vous avez raison, je n’y ai pas participé. Cependant, je maintiens qu’il s’agit ici d’un point à clarifier.

        Il y a ensuite le coût à considérer. On peut faire une voiture 100% électrique, mais serait-elle accessible à M. et Mme tout le monde?

        Ça reste qu’un des problèmes des autos électriques est le poids des batteries, il faut beaucoup plus de volume et de masse pour stocker la même quantité d’énergie qu’avec un réservoir d’essence. Je n’ai pas les chiffres exacts, mais la densité d’énergie de l’essence est au moins 20 fois plus dense que n’importe quelle batterie.

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      • Goldoche

        7 septembre 2009 à 22 h 29

        je ne suis pas contre les autos électriques, loin de là.

        Cependant, parfois c’est trop beau pour être vrai..

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    • Francis Vachon

      7 septembre 2009 à 22 h 18

      Langlois répond à ce point, et à plusieurs autres, dans sa conférence.

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  7. jocelyn

    8 septembre 2009 à 07 h 14

    En attendant LA révolution, je continuerai à profiter de mon HEMI qui n’a aucun problème de gel ou de quoi que ce soit…

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  8. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    8 septembre 2009 à 10 h 47

    Tata motors a décidé d’essayer le moteur-roue.

    http://www.tm4.com/nouvelles.aspx

    Mais il demeure qu’en Inde, le climat n’est pas le même qu’ici et le niveau de certification des produits est à son plus bas… Avant que ça se rende au Canada, il se passera des décennies… Trouver un prototype et l’essayer ce n’est pas le distribuer à la grandeur de la planète. C’est deux choses complètement différentes…

    Les fabricants d,autiomobiles ont divers prototypes car la recherche pour remplacer l’essence se fait intensément. Nos réserves de pétrole sont de 60 ans avec les exploitations actuelles. Les réserves de gaz naturel sont encore plus grosses. Ceci ne comprend pas les nouvelles découvertes comme celle de BP dans la golfe du Mexique ou celle au large du Brésil ou simplement l’exploitation dans le golfe St-Laurent qui s’imtensifie ou les découvertes en Gaspésie aussi… Mais c’est du « off shore » qui se heurte au études environnementales qui prennent des décennies à accoucher ce qui ralenti le rhytme de mise en service de ces découvertes et raccourci le temps nécessaire à un virage correct.

    http://argent.canoe.ca/lca/affaires/international/archives/2009/09/20090902-080822.html

    http://argent.canoe.ca/lca/infos/international/archives/2008/04/20080415-104415.html

    On ne peut se permettre de tuer l’exploitation pétrolière sans amener une alternative qui permet à 6 milliards de personnes de continuer à vivre sans problème d’approvisionnement d’énergie. On a beau lancer les projets à gauche et à droite, ça vire pas sur un dix cennes.

    Il demeure que le moteur à essence est le plus économique actuellement et que toute alternative est plus dispendieuse à produire ou en quantité insuffisante. Il faut tabler sur la recherche inytensive pour garantir un approvisionnement en énergie capable de faire le tour de la planète. Les alternatives sont nombreuses mais aucune ne se démarque actuellement.

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  9. Carol

    8 septembre 2009 à 11 h 13

    « Je connais bien le discours de monsieur Langlois. Son plus gros défaut est d’être beaucoup trop optimiste »

    Bon bon ! faudrait être pessimiste ? Heil ! pour une fois qu’il y a quelqu’un d’optimiste ! Ça apporte un son de cloche différent !

    Mais dans toutes choses cela permet d,utiliser son discernement !

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    • Manu Utilisateur de Québec Urbain

      8 septembre 2009 à 12 h 30

      Jamais personne n’a dit qu’il fallait être pessimiste… En fait, être optimiste serait très bien plutôt que d’être « trop optimiste ».

      Il y a une différence entre « optimiste » et « trop optimiste ». Optimiste, ça veut dire qu’on envisage que les choses vont aller pour le mieux. Trop optimiste veut plutôt dire qu’on suppose des choses déraissonables comme étant possibles. C’est intéressant pour rêvasser, mais ça ne fait avancer ni les choses ni les idées.

      Je ne connais toutefois pas assez les détails du discours de M. Langlois pour juger de son optimisme.

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    • Yvan Dutil

      8 septembre 2009 à 21 h 27

      Le gros problème de monsieur Langlois c’est qu’il prend des technologies au stade expérimental en labo et s’imagine que cà va apparaître sur le marché en criant ciseau.

      Pour une fois, je suis d’accords avec Fernand. Il y a un paquet d’infrastructures à dévelloper pour tranformer ces technologies en réalité pratique. Et cà va prendre un pas mal de temps.

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  10. Carol

    8 septembre 2009 à 11 h 17

    « Cependant, parfois c’est trop beau pour être vrai.. »

    Hum ! le pessimiste de cette humanité me sidère des fois !? :0

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    • Goldoche

      8 septembre 2009 à 23 h 04

      Carol, je travaillle dans le domaine, alors je trouve ça parfois dommage de voir des supposés experts (je ne parle pas de M. Langlois dans ce cas-ci) dire que la solution parfaite existe…

      On verra ce que ça va donner la Volt…

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  11. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    8 septembre 2009 à 22 h 24

    Merci Monsieur Dutil d’être d’accord avec moi. Il est certain que plusieurs cherchent à sauter des étapes de la commercialisation. Je vois que plusieurs n’ont jamais été dans la vraie compétition industrielle. Avant de mettre sur le marché on doit satisfaire à une batteries de réglements et de normes gouvernementales à en décourager plusieurs. L’hommre a fait des progrès remarquables dans les dernières décennies. la recherche continue et doit être encouragée. Je suis optimiste envers l’intelligence de l’homme pour trouver les solutions aux problèemes d,applications que requièrent certaines innovations.

    Quant aux réserves de pétrole, voici un article qui arrive à point et qui me conforte dans ma position et permettràez-moi de diverger avec vous Monsieur Dutil. Loin de diminuer et s’en aller vers la dernière goutte de pétrole, les réserves dépassent de plus en plus la consommation :

    http://www.antagoniste.net/?p=6428

    Ce qui est repris par l’Institut Économique de Montréal sous le titre : Le Point sur le pic pétrolier .

    http://www.iedm.org/main/show_publications_fr.php?publications_id=244

    Je vous rappelle que comme vérificateur externe on m’a mandaté pour effectuer des vérifications comptables dans toutes les compagnies pétrolières et leurs filiales ayant des affaires au Québec soit en distribution en gros ou au détail, soit en raffinage ou soit en transport par divers moyens (pipeline, bateau et camion-citerne). J’ai même visité les installation de Shell et de Gaz Métro dans le comté de Lotbinière (Fortierville et Ste-Croix) où deux camions-citernes faisaient la navette constante sur la 20 afin d’alimenter en gaz naturel les Ciments du St-Laurent et Brique Citadelle à Beauport dans les années 80-90. Je devaits décrire l’activité économique de chaque établissement au Québec et les situer dans les organigrammes corporatifs pour fins de tarification actuarielle.

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    • Yvan Dutil

      9 septembre 2009 à 09 h 25

      @Fernand Comme d’habitude vous bouffer de l’information qui conforte votre vision du monde sans en connaître les tenants et aboutissants. Pour qu’il n’y ait pas de problème d’approvisionnement en pétrole. Il faut découvrir et mettre en production l’équivalent de 3 Arabie Saoudite en 20 ans. Ce qui est strictement impossible. Fathi Birol de l’Agence internationnal de l’énergie a envoyé plusieurs signaux en ce sens depuis des années.

      Il n’y atout simplement pas de gisments pétroliers qui vont apparaître du néant pour combler l’effondrement de la production de grands gisements comme la mer du Nord ou Cantarel au Mexique. Même le gisement de Ghawar en Arabie Saoudite est sur ces derniers milles. On va bien faire des découvertes, mais ce sera insufisant pour combler les besoins.

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  12. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    9 septembre 2009 à 12 h 52

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  13. Manu

    9 septembre 2009 à 20 h 52

    Et le commentaire de Pierre Langlois (tant qu’à parler de lui ici) en réponse à cet article :

    http://www.ledevoir.com/2009/09/09/commentaires/0909091120607.html

    Dans ce cas-ci, ces propos me semblent très intéressants et probablement pas « trop optimistes ». D’ailleurs, je n’y vois pas grand chose d’extravagant comme technologie dans tout cela, alors ça me semble réalisable. Il faudrait toutefois des études plus poussées j’imagine pour mieux estimer le coût réel (les chiffres lancés par les différents « clans » ne sont même pas du même ordre de grandeur)

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