Isabelle Porter
Le Devoir
De Québec à Montréal, des gens créent des modes d’habitation alternatifs pour contrer l’isolement de la vie en ville.
Québec — Depuis l’été dernier, une centaine de résidants de Québec partagent une grande part de leur quotidien avec leurs voisins, de la cour à la cuisine en passant par les services informels de gardiennage. Incursion dans l’univers de Cohabitat, un modèle d’habitation unique au Québec.
Cohabitat fait des petits à Montréal * Isabelle Porter (Le Devoir)
9 mars 2014 à 00 h 01
C,est super-intéressant comme expérience et je leur souhaite bonne chance!
Seul la durée dans le temps pourra nous permettre d’avoir une meilleure évaluation du projet!
Quand même , on ne peut que saluer leur audace!
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Mes réserves personnels (liés a mes goûts personnels)
Une phrase m’a fait tiquer:
– » Si tu veux rester chez toi et [ne] rien partager, t’es pas bien à Cohabitat. »
-« On procède par consentement… »
Ils ont donc choisi une formule de cohousing qui privilégie le communautaire et l’obligation de « vivre avec le voisin » (comme dit le titre)
Pourtant d’autres formules de cohousing que j’avais lus sur internet
insistaient plutôt sur le CHOIX et non l’obligation du communautaire:
La salle communautaire est bien présente mais des habitats plus « private » sont dispersés autour.
Tu as donc le choix et la possibilité de te retirer en privé et/ou de t’associer pour partager des services , a la salle communautaire.
C,est une formule mixte qui enlève la pression de… et l’obligation de…
Le message de cette formule: « On n’est pas obligé de dévaloriser la vie privé (on doit aussi la valoriser) pour valoriser le partage…
Conclusion: je trouve leur expérience super-intéressante quand même car ca va ouvrir le chemin pour d’autres formules …
Ce sont des genres de pionnier!
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