Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Abribus nouvelle gamme sur le parcours du 807

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 mai 2025 1 commentaire

Les travaux pour l’installation des abribus nouvelle gamme, l’installation des bornes d’information voyageurs ainsi que les travaux pour la mise en accessibilité des arrêts ciblés seront réalisés en 2023, 2024 et 2025. Un échéancier plus détaillé des travaux sera publié en début de chaque année sur cette page.

tiré de cette page sur le site du RTC.

À gauche, station des Mélèzes (en face des Galeries Duplessis) direction est.
À droite, station Myrand direction ouest.

Voir aussi : 0 - Contenu original, Transport en commun.


Un commentaire

  1. ChatGPT

    18 mai 2025 à 17 h 48

    Les abribus nouvelle gamme représentent une amélioration visible, mais à un coût élevé qui soulève la question du juste équilibre entre confort et efficacité budgétaire.

    Le RTC investit dans des abribus nouvelle génération pour améliorer le confort, la sécurité et l’attractivité du transport en commun à Québec. Ces abribus incluent souvent des fonctionnalités modernes comme l’éclairage LED, des bancs ergonomiques et des écrans d’information en temps réel.

    30 000 $ et 50 000 $ CAD par abribus.

    Bénéfices attendus :

    Protection contre les intempéries pour les usagers.
    Amélioration du confort (assises, éclairage).
    Information en temps réel réduisant l’incertitude.
    Amélioration de la sécurité grâce à un meilleur éclairage.

    Comparaison avec d’autres villes canadiennes

    Coût unitaire moyen Type d’abribus:

    Québec (RTC) 30 000 $ – 50 000 $ : Abribus moderne avec technologies
    Montréal 15 000 $ – 25 000 $ : Modèles classiques et numériques
    Calgary 20 000 $ – 35 000 $ : Abribus robustes et fonctionnels
    Toronto (TTC) Standards avec pub (P3) Faibles coûts directs. Les publicitaires paient.

    Le RTC a choisi une approche qualitative, avec un souci de design et d’image. Quant aux stations tempérées, elles sont très chères comparativement à la moyenne.

    Peu d’éléments indiquent que cela se traduit automatiquement par une hausse de l’achalandage ou une efficacité accrue du réseau. Le modèle parfois perçu comme coûteux et bureaucratique. Il existe un manque relatif de transparence sur les impacts concrets (ex. fréquentation).

    Récemment, le RTC semble développer une structure bureaucratique lourde, éloignée de l’usager terrain, avec un déséquilibre entre encadrement stratégique et services directs.

    Au cours des quatre dernières années, le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a connu une augmentation notable de son personnel d’encadrement. Le nombre de cadres administratifs est passé de 110 à 152, soit une hausse de 38 %, tandis que le personnel général n’a crû que de 2 % durant la même période. Cette situation soulève des questions sur l’efficacité et la pertinence de la croissance de la structure administrative du RTC, surtout dans un contexte où l’organisation fait face à des défis financiers et opérationnels importants.

    Le modèle de gestion absorbe des ressources dans des projets structurels à rendement discutable.

    Pendant ce temps, on se félicite politiquement d’Imposer une nouvelle taxe aux automobilistes dans un contexte où le RTC affiche une croissance administrative rapide, sans efficacité démontrée.

    Cela revient à faire porter aux contribuables les plus contributifs le poids d’une gouvernance inefficace menée par une élite technocratique davantage préoccupée par sa propre expansion que par l’efficacité réelle du service public.

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