Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


On éteint les lumières

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 27 mars 2009 40 commentaires

Québec, le 27 mars 2009 – Le samedi 28 mars, les lumières de l’hôtel de ville et de plusieurs autres immeubles et équipements municipaux seront éteintes entre 20 h 30 et 21 h 30. Par cette action symbolique, la Ville de Québec participera ainsi à l’Heure de la terre, ce mouvement mondial de sensibilisation à la lutte contre les changements climatiques.

Le maire de Québec, M. Régis Labeaume invite d’ailleurs les citoyens à participer à l’événement en éteignant les lumières à leur domicile entre 20 h 30 et 21 h 30. « Voilà un petit geste, à la portée de tous, qui, multiplié des milliers de fois, devient un message très fort de volonté populaire »

Le communiqué de la Ville de Québec

Voir aussi : Environnement, Québec La cité.


40 commentaires

  1. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    27 mars 2009 à 17 h 22

    On attend les commentaires de Fernand… :-(

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  2. Fernand

    27 mars 2009 à 19 h 31

    Oupos, on aura pas la chance de voir le cadeau de Paris…

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  3. Jeff-TVQC

    27 mars 2009 à 20 h 01

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  4. Goldoche

    27 mars 2009 à 20 h 02

    Rappelez-moi d’ou vient l’énergie au Québec, et convainquez-moi que ce n’est pas de l’autocongratulation.

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  5. Frédéric

    28 mars 2009 à 08 h 29

    @Jeff-TVQC

    Franchement, ce documentaire a été désavoué même par certains des scientifiques qui y ont participé, disant eux-mêmes que Durkin avait mal interprété, voire trafiqué des données lors du montage.

    À l’un de ces scientifiques qui lui avait écrit un courriel dénonçant les erreurs, la réponse de Durkin fut tout simplement « You’re a big daft cock ». On voit le sérieux du gars.

    Durkin prône un agenda (contrairement aux scientifiques qui n’ont RIEN à gagner avec le réchauffement de la planète), il n’a aucune rigueur scientifique, et ne sait répondre qu’avec des attaques personnelles comme la majorité des imbéciles qui ne peuvent débattre sur le terrain des faits.

    Et en quoi l’opinion d’économistes, de politiciens ou d’écrivains a-t-elle quelque importance que ce soit sur des questions purement scientifiques?

    Citer ce film, c’est comme citer le film Expelled pour parler de la théorie de l’évolution.

    Ou c’est comme accorder de l’importance à l’opinion d’un prêtre sur l’efficacité du préservatif…

    Pas fort.

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  6. Pierre Bédard

    28 mars 2009 à 08 h 45

    Concernant le documentaire, ça fait toujours du bien d’avoir un autre son de cloche.
    Merci Jeff

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  7. Matrix

    28 mars 2009 à 09 h 03

    Fred : il y a plein de scientifique qui ont des preuves que l’humain n’est pas responsable directement du réchauffement (qui n’existe plus depuis 5 ans en passant)… seulement, on en entend jamais parlé dans nos médias pro-catastrophe.

    Très souvent dans les nouvelles prouvant le réchauffement (qui sont fortement médiatisé), il y a eu des erreurs majeurs dans les données.. et quand c’est ensuite dénoncé, c’est JAMAIS repris par ces même journaux.

    Il y a plein de désinformation à ce sujet et c’est rendu une industrie de plus en plus payante et très politique.

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  8. Sébastien

    28 mars 2009 à 09 h 14

    « Il y a plein de désinformation à ce sujet et c’est rendu une industrie de plus en plus payante et très politique. »

    Tout comme ceux qui prônent le négationnisme face aux changements climatique…

    Faites un exercice… écoutez le documentaire de Durkin, notez la rigueur scientifique, et ensuite faites la même chose avec An Inconvenient Truth, de Al Gore.

    Quel docu présente la meilleure rigueur scientifique?

    Durkin lui, semble avoir des comptes à régler…

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  9. Frédéric

    28 mars 2009 à 09 h 24

    Citer une période de 5 ans (ou de 10 comme le fait souvent Fernand), démontre chez ceux qui le font leur incompréhension du modèle scientifique. Comme je l’ai souvent mentionné sur ce blogue, il existe une différence énorme entre une TENDANCE à la hausse et une hausse CONSTANTE.

    Le réchauffement climatique est une tendance à la hausse, qui est perceptible dans le long terme.

    Prenons cet exemple simple : vous avancez de 5 pas, puis vous reculez de 2, vous avancez de 2, vous reculez de 3, vous avancez de 6, vous avancez de 4 puis vous reculez de 2.

    Isoler les 5 ou 10 dernières années pour affirmer que la tendance n’est pas à la hausse revient à isoler un moment de recul dans mon exemple pour affirmer que c’est pas vrai qu’on avance.

    Pourtant au final on a fait 10 pas vers l’avant.

    C’est la différence entre la tendance et la constance. Les scientifiques parlent d’une tendance sur le long terme. Pas d’un réchauffement constant.

    En plus on sait maintenant que le réchauffement climatique entraine des perturbations de tout le modèle climatique, et on sait déjà que ces perturbations inclus des refroidissements périodiques.

    Mais comme on se rend compte que le commun des mortels (qui n’a aucune formation scientifique ou qui ne connait pas la méthodologie scientifique) traduisait mal l’expression « réchauffement climatique », on parle désormais de « changements climatiques », pour englober dans l’expression même les périodes de refroidissements tout à fait normales dans le modèle général du réchauffement de la planète.

    Je le répète encore, 95% des climatologues n’ont aucune raison de faire la promotion d’une idée fausse. Le fardeau de la preuve repose sur les épaules des « conspirationnistes ».

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  10. Matrix

    28 mars 2009 à 09 h 39

    Fred : la période de réchauffement est aussi insignifiante… si tu regardes sur le long terme, on est plutôt en période de refroidissement

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  11. Matrix

    28 mars 2009 à 10 h 10

    Sebastien… je vois que tu as été brainwasher par Al Gore, il y a tellement d’erreur scientifique dans son film de peur, que parler de rigueur scientifique est totalement absurde.

    Tu devrais fouiller un peu sur le sujet. C’est pas pour rien que la court britannique à statué que son film contenait plein de fausse vérité.

    Wiki :
    * En 2007, un directeur d’école, Stewart Dim-mock, a porté plainte contre le gouvernement britannique qui avait annoncé son intention de diffuser le film dans les écoles en l’accusant de faire du lavage de cerveau. En octobre 2007, un juge britannique[47] a décrété que pour pouvoir diffuser ce film le Gouvernement britannique devait modifier le guide de diffusion aux enseignants (Guidance Notes to Teachers) pour mettre en évidence que :

    1. le film est une œuvre politique qui ne montre qu’un seul point de vue
    2. si les enseignants présentent le film sans le signaler clairement, ils peuvent se trouver en violation de la section 406 de l' »Education Act 1996″ et coupables d’endoctrinement politique.
    3. Onze inexactitudes (inaccuracies) doivent être en particulier portées à l’attention des enfants des écoles

    ——————–

    * The film claims that melting snows on Mount Kilimanjaro evidence global warming. The Government’s expert was forced to concede that this is not correct.
    * The film suggests that evidence from ice cores proves that rising CO2 causes temperature increases over 650,000 years. The Court found that the film was misleading: over that period the rises in CO2 lagged behind the temperature rises by 800-2000 years.
    * The film uses emotive images of Hurricane Katrina and suggests that this has been caused by global warming. The Government’s expert had to accept that it was “not possible” to attribute one-off events to global warming.
    * The film shows the drying up of Lake Chad and claims that this was caused by global warming. The Government’s expert had to accept that this was not the case.
    * The film claims that a study showed that polar bears had drowned due to disappearing arctic ice. It turned out that Mr Gore had misread the study: in fact four polar bears drowned and this was because of a particularly violent storm.
    * The film threatens that global warming could stop the Gulf Stream throwing Europe into an ice age: the Claimant’s evidence was that this was a scientific impossibility.
    * The film blames global warming for species losses including coral reef bleaching. The Government could not find any evidence to support this claim.
    * The film suggests that the Greenland ice covering could melt causing sea levels to rise dangerously. The evidence is that Greenland will not melt for millennia.
    * The film suggests that the Antarctic ice covering is melting, the evidence was that it is in fact increasing.
    * The film suggests that sea levels could rise by 7m causing the displacement of millions of people. In fact the evidence is that sea levels are expected to rise by about 40cm over the next hundred years and that there is no such threat of massive migration.
    * The film claims that rising sea levels has caused the evacuation of certain Pacific islands to New Zealand. The Government are unable to substantiate this and the Court observed that this appears to be a false claim.

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  12. Matrix

    28 mars 2009 à 10 h 21

    Je me demande si Al Gore va fermer les lumières de sa maison qui consomme plus d’électricité en 1 mois que la maison d’un américain moyen durant toute une année…

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  13. Carol

    28 mars 2009 à 10 h 35

    Doit-on nécessairement jeter l’Eau du bain avec le bébé, quand on parle de ce film ? Je sais que lors de sa sortie, je me suis posé la question, pourquoi ? quel était son intention avec ce documentaire, surtout provenant d’un ex-politicien
    !
    Ce que je veux dire: que le sujet du réchauffement climatique est toujours possible, même si certain peuvent peut-être en profiter pour se faire du capital politique ou autre.

    La question à 100$ Ce n’Est point de savoir si le réchauffement climatique est vrai ou pas, mais plutôt de savoir jusqu’à quel point l’humain a un impact sur les écosystèmes et la nature avec ses folies…

    De dire que le climat et l’environnement n’Est point influencé par tous nos modes de vies, et nos choix de consommation depuis un siècle, c’Est un peu un gars dépressif qui ne veut pas admettre sa maladie mentale, et qui se fait accroire que tous va bien.

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  14. Yvan Dutil

    28 mars 2009 à 13 h 27

    @Matrix

    Sais-tu ce qu’on en commun le créationisme et les négationistes des changements climatiques? AUCUN article publié dans une revue avec comité de lecture. C’est une chose d’avoir une thèse scientifique, s’en est une autre d epouvoir l’appuyer par des faits. Or, il n’y a AUCUN FAIT qui supportent l’hypothèse des négationistes. Les dernières objections scientifiques valables sont tombées, il y a plus d’une dizaines d’années.

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  15. Fernand

    28 mars 2009 à 13 h 42

    Pour Al Gore, je vous ferai remarquer que c’est un politicien avant tout qui n’a aucune formation scientifique. Il est de ceux qui ont trempé dans le bogue de l’an 2000. Maintenant qu’est ce qu’il a dit concernant son propre film qui lui a rapporté 200 millions. Voici:

    « Je pense qu’il convient de sur-représenter les faits qui montrent à quel point le [réchauffement global] est dangereux pour inciter les gens à écouter les solutions. »
    Al Gore dans un interview en mai 2006 http://www.grist.org/news/maindish/2006/05/09/roberts/

    « Il y a tant de gens qui tirent bénéfice de cette affaire de réchauffement de la planète – tous les grands laboratoires de recherche et autres. L’idée est d’effrayer le grand public afin de recevoir de l’argent et de poursuivre ses travaux. Maintenant que la guerre froide est terminée, nous devons nous fabriquer un nouvel ennemi, commun à tous, pour soutenir la Science et quel est le meilleur ennemi commun pour la planète que les gaz à effets de serre ? » BILL GRAY est professeur émérite (donc retraité) au laboratoire de Sciences Atmosphériques de l’Université de l’Etat du Colorado. 4 novembre 2008

    « Comme la majorité des gens, nous aimerons voir un monde meilleur, ce qui se implique ici que nous travaillions à réduire les risques d’un changement climatique potentiellement catastrophique. Pour cela, nous devons avoir des soutiens importants afin de frapper l’imagination du public ce qui suppose bien sûr d’avoir un maximum de couverture médiatique. Pour cela, nous devons proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simples et dramatiques et éviter de mentionner le moindre doute que nous pourrions avoir. » Stephen Schneider, auteur-coordinateur principal du GIEC

    « Il n’y a aucun lien prouvé entre réchauffement global et activités humaines. » Yury Izrael, vice président du GIEC (Novosti mai 2005)

    « Le fait que l’effet de serre ne peut être détecté dans la basse troposphère, pendant de longues périodes, montre que le réchauffement qui est évident dans les mesures de surfaces ne peut pas être dû à l’effet de serre. » Vincent Gray est depuis 1991 et jusqu’à nos jours inclus, un des relecteurs officiels et attitrés des différents rapports pondus par le GIEC. Spécialiste chevronné du climat, il a été jusqu’à écrire un livre (The Greenhouse Delusion: A Critique of ‘Climate Change 2001) et plusieurs articles, dont un, récemment, en 2007, pour dénoncer les abus et les erreurs commises par cet organisme.

    Bizarre .. et inquiétant. N’est-ce pas ? Le rapport final du GIEC ne tient aucun compte des préventions de son Vice-Président et d’un de ses meilleurs experts. Pas plus d’ailleurs que les vives critiques de trois autres de ses experts officiels : Paul Reiter, Richard S. Courtney et Peter Dietze qui ont tous signé en 2006 une pétition auprès du gouvernement Canadien le mettant en garde contre l’application du protocole de Kyoto sur des base scientifiques infondées. On se demande qui tire les ficelles au GIEC.

    Ici au Québec, le gourou du climat s,appelle Steven Guilbault. Il est diplômé en théologie et en sciences politiques de l’Université de Montréal. Il n’est pas un scientifique et son seul métier a été d,être un activiste de Greenpeace. D’ailleurs son fait marquant a été d,exàscalader la Tour du CN à Toronto pour attirer l’attention sur l’environnement.

    Dans les deux cas ce sont de merveilleux communicateurs qui ont créé cette hystérie du climat au même titre que l’hystérie du bogue de l’an 2000.

    Nos centres météorologiques ont de la misère à nous prédire la température dans 48 heures et les mêmes ordinateurs vont nous prévoit la tempértature en 2100. Bullshit pour faire des $$$ sur les crédules…

    Les ordinateurs permettent à un mauvais modèle d’être précisément faux. William Gray, spécialiste des ouragans

    La plupart des scientifiques ne comprennent pas les mécanismes de base et ils préfèrent s’en référer aux modélisateurs du climat. Les modélisateurs du climat veulent rentrer toutes les données dans les modèles. Ainsi, les modèles climatiques sont supposés vous donner la solution par un coup de baguette magique. Je parierais qu’un grand nombre de scientifiques sont sceptiques mais ils ne l’admettront pas en public. Si vous en discutez avec la plupart des scientifiques qui sont des ardents supporters de cette question (NDLR : du réchauffement climatique anthropogénique), vous réalisez qu’ils ont une vision politique ou idéologique globale qui nécessite que l’humanité cesse de mettre du CO2 dans l’atmosphère. C’est une croyance religieuse et elle est très répandue dans les milieux scientifiques. Roy Spencer Directeur de Recherches sur les questions climatiques à l’Université de l’Alabama (Huntsville). Il a été chef de projet sur la recherche climatique à la NASA.

    « Insister sur les scénarios extrêmes peut avoir été justifié à un moment où le public et les décideurs étaient relativement inconscients du problème du réchauffement global. Maintenant cependant, il est nécessaire d’avoir des scénarios climatiques démontrablement objectifs conformes à la réalité du moment. » James Hansen, Directeur du GISS, Nasa, (Natural Science, 2003)

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  16. Fernand

    28 mars 2009 à 13 h 56

    Hier dans unesalle d’attente à, je suis tombé sur un numéro de mars 2008 de la revue L’Actualité.
    Je l’ai retrouvé sur le web. Il plaira sûrement au prof Dutil…

    Le titre évacateur : « Le climat change, et puis après ? »
    « Il n’y a rien de plus banal que les changements climatiques », dit le célèbre paléoanthropologue Yves COPPENS. Selon lui, l’être humain maîtrisera un jour le climat.

    http://www.lactualite.com/science/article.jsp?content=20080220_173958_6392

    Selon moi, la dernière phrase que l’homme maîtrisera un jour le climat est très prétentieuse de sa part. Par contre entre le rêve et la science la ligne est difficile à tracer parfois…

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  17. jeff-TVQC

    28 mars 2009 à 14 h 01

    Moi c’est cette tendanceà vouloir nous faire croire qu’il y a un consensus scientifique à ce sujet, ce qui est parfaitement faux. Plusieurs scientifiques ne vont pas dans les même sens que les vert!

    Scientists Continue to Debunk “Consensus” in 2008
    http://epw.senate.gov/public/index.cfm?FuseAction=Minority.Blogs&ContentRecord_id=2674e64f-802a-23ad-490b-bd9faf4dcdb7&Issue_id=

    Highlights of the Updated 2008 Senate Minority Report featuring over 650 international scientists dissenting from man-made climate fears:

    “I am a skeptic…Global warming has become a new religion.” – Nobel Prize Winner for Physics, Ivar Giaever.

    “Since I am no longer affiliated with any organization nor receiving any funding, I can speak quite frankly….As a scientist I remain skeptical…The main basis of the claim that man’s release of greenhouse gases is the cause of the warming is based almost entirely upon climate models. We all know the frailty of models concerning the air-surface system.” – Atmospheric Scientist Dr. Joanne Simpson, the first woman in the world to receive a PhD in meteorology, and formerly of NASA, who has authored more than 190 studies and has been called “among the most preeminent scientists of the last 100 years.”

    Warming fears are the “worst scientific scandal in the history…When people come to know what the truth is, they will feel deceived by science and scientists.” – UN IPCC Japanese Scientist Dr. Kiminori Itoh, an award-winning PhD environmental physical chemist.

    “The IPCC has actually become a closed circuit; it doesn’t listen to others. It doesn’t have open minds… I am really amazed that the Nobel Peace Prize has been given on scientifically incorrect conclusions by people who are not geologists.” – Indian geologist Dr. Arun D. Ahluwalia at Punjab University and a board member of the UN-supported International Year of the Planet.

    “So far, real measurements give no ground for concern about a catastrophic future warming.” – Scientist Dr. Jarl R. Ahlbeck, a chemical engineer at Abo Akademi University in Finland, author of 200 scientific publications and former Greenpeace member.

    “Anyone who claims that the debate is over and the conclusions are firm has a fundamentally unscientific approach to one of the most momentous issues of our time.” – Solar physicist Dr. Pal Brekke, senior advisor to the Norwegian Space Centre in Oslo. Brekke has published more than 40 peer-reviewed scientific articles on the sun and solar interaction with the Earth.

    “The models and forecasts of the UN IPCC « are incorrect because they only are based on mathematical models and presented results at scenarios that do not include, for example, solar activity.” – Victor Manuel Velasco Herrera, a researcher at the Institute of Geophysics of the National Autonomous University of Mexico
    “It is a blatant lie put forth in the media that makes it seem there is only a fringe of scientists who don’t buy into anthropogenic global warming.” – U.S Government Atmospheric Scientist Stanley B. Goldenberg of the Hurricane Research Division of NOAA.

    “Even doubling or tripling the amount of carbon dioxide will virtually have little impact, as water vapour and water condensed on particles as clouds dominate the worldwide scene and always will.” – . Geoffrey G. Duffy, a professor in the Department of Chemical and Materials Engineering of the University of Auckland, NZ.

    “After reading [UN IPCC chairman] Pachauri’s asinine comment [comparing skeptics to] Flat Earthers, it’s hard to remain quiet.” – Climate statistician Dr. William M. Briggs, who specializes in the statistics of forecast evaluation, serves on the American Meteorological Society’s Probability and Statistics Committee and is an Associate Editor of Monthly Weather Review.

    “The Kyoto theorists have put the cart before the horse. It is global warming that triggers higher levels of carbon dioxide in the atmosphere, not the other way round…A large number of critical documents submitted at the 1995 U.N. conference in Madrid vanished without a trace. As a result, the discussion was one-sided and heavily biased, and the U.N. declared global warming to be a scientific fact,” Andrei Kapitsa, a Russian geographer and Antarctic ice core researcher.

    “Nature’s regulatory instrument is water vapor: more carbon dioxide leads to less moisture in the air, keeping the overall GHG content in accord with the necessary balance conditions.” – Prominent Hungarian Physicist and environmental researcher Dr. Miklós Zágoni reversed his view of man-made warming and is now a skeptic. Zágoni was once Hungary’s most outspoken supporter of the Kyoto Protocol.

    “For how many years must the planet cool before we begin to understand that the planet is not warming? For how many years must cooling go on? » – Geologist Dr. David Gee the chairman of the science committee of the 2008 International Geological Congress who has authored 130 plus peer reviewed papers, and is currently at Uppsala University in Sweden.

    “Gore prompted me to start delving into the science again and I quickly found myself solidly in the skeptic camp…Climate models can at best be useful for explaining climate changes after the fact.” – Meteorologist Hajo Smit of Holland, who reversed his belief in man-made warming to become a skeptic, is a former member of the Dutch UN IPCC committee.

    “The quantity of CO2 we produce is insignificant in terms of the natural circulation between air, water and soil… I am doing a detailed assessment of the UN IPCC reports and the Summaries for Policy Makers, identifying the way in which the Summaries have distorted the science.” – South Afican Nuclear Physicist and Chemical Engineer Dr. Philip Lloyd, a UN IPCC co-coordinating lead author who has authored over 150 refereed publications.

    “Many [scientists] are now searching for a way to back out quietly (from promoting warming fears), without having their professional careers ruined.” – Atmospheric physicist James A. Peden, formerly of the Space Research and Coordination Center in Pittsburgh.

    “All those urging action to curb global warming need to take off the blinkers and give some thought to what we should do if we are facing global cooling instead.” – Geophysicist Dr. Phil Chapman, an astronautical engineer and former NASA astronaut, served as staff physicist at MIT (Massachusetts Institute of Technology)

    “Creating an ideology pegged to carbon dioxide is a dangerous nonsense…The present alarm on climate change is an instrument of social control, a pretext for major businesses and political battle. It became an ideology, which is concerning.” – Environmental Scientist Professor Delgado Domingos of Portugal, the founder of the Numerical Weather Forecast group, has more than 150 published articles.

    “CO2 emissions make absolutely no difference one way or another….Every scientist knows this, but it doesn’t pay to say so…Global warming, as a political vehicle, keeps Europeans in the driver’s seat and developing nations walking barefoot.” – Dr. Takeda Kunihiko, vice-chancellor of the Institute of Science and Technology Research at Chubu University in Japan.

    “The [global warming] scaremongering has its justification in the fact that it is something that generates funds.” – Award-winning Paleontologist Dr. Eduardo Tonni, of the Committee for Scientific Research in Buenos Aires and head of the Paleontology Department at the University of La Plata.

    “Whatever the weather, it’s not being caused by global warming. If anything, the climate may be starting into a cooling period.” Atmospheric scientist Dr. Art V. Douglas, former Chair of the Atmospheric Sciences Department at Creighton University in Omaha, Nebraska, and is the author of numerous papers for peer-reviewed publications.

    “But there is no falsifiable scientific basis whatever to assert this warming is caused by human-produced greenhouse gasses because current physical theory is too grossly inadequate to establish any cause at all.” – Chemist Dr. Patrick Frank, who has authored more than 50 peer-reviewed articles.

    “The ‘global warming scare’ is being used as a political tool to increase government control over American lives, incomes and decision making. It has no place in the Society’s activities.” – Award-Winning NASA Astronaut/Geologist and Moonwalker Jack Schmitt who flew on the Apollo 17 mission and formerly of the Norwegian Geological Survey and for the U.S. Geological Survey.

    “Earth has cooled since 1998 in defiance of the predictions by the UN-IPCC….The global temperature for 2007 was the coldest in a decade and the coldest of the millennium…which is why ‘global warming’ is now called ‘climate change.’” – Climatologist Dr. Richard Keen of the Department of Atmospheric and Oceanic Sciences at the University of Colorado.

    “I have yet to see credible proof of carbon dioxide driving climate change, yet alone man-made CO2 driving it. The atmospheric hot-spot is missing and the ice core data refute this. When will we collectively awake from this deceptive delusion?” – Dr. G LeBlanc Smith, a retired Principal Research Scientist with Australia’s CSIRO. (The full quotes of the scientists are later in this report)

    #

    This Senate report is not a “list” of scientists, but a report that includes full biographies of each scientist and their quotes, papers and links for further reading. The scientists featured in the report express their views in their own words, complete with their intended subtleties and caveats. This Senate report features the names, biographies, academic/institutional affiliation, and quotes of literally hundreds of additional international scientists who publicly dissented from man-made climate fears. This report lists the scientists by name, country of residence, and academic/institutional affiliation. It also features their own words, biographies, and weblinks to their peer reviewed studies, scientific analyses and original source materials as gathered from directly from the scientists or from public statements, news outlets, and websites in 2007 and 2008.

    The distinguished scientists featured in this new report are experts in diverse fields, including: climatology; geology; biology; glaciology; biogeography; meteorology; oceanography; economics; chemistry; mathematics; environmental sciences; astrophysics, engineering; physics and paleoclimatology. Some of those profiled have won Nobel Prizes for their outstanding contribution to their field of expertise and many shared a portion of the UN IPCC Nobel Peace Prize with Vice President Gore. Additionally, these scientists hail from prestigious institutions worldwide, including: Harvard University; NASA; National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) and the National Center for Atmospheric Research (NCAR); Massachusetts Institute of Technology; the UN IPCC; the Danish National Space Center; U.S. Department of Energy; Princeton University; the Environmental Protection Agency; University of Pennsylvania; Hebrew University of Jerusalem; the International Arctic Research Centre; the Pasteur Institute in Paris; the Belgian Weather Institute; Royal Netherlands Meteorological Institute; the University of Helsinki; the National Academy of Sciences of the U.S., France, and Russia; the University of Pretoria; University of Notre Dame; Abo Akademi University in Finland; University of La Plata in Argentina; Stockholm University; Punjab University in India; University of Melbourne; Columbia University; the World Federation of Scientists; and the University of London.

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  18. Fernand

    28 mars 2009 à 14 h 38

    Oupos je ne suis plus seul à avoir le même discours.

    Gore veut des bourses du carbone car il veut faire des échanges payantes avec la sienne. Il est en conflit d’intérêt manifeste, lui qui détient une part importante de la Bourse du carbone de Chicago.

    C’edst pas pour rien qu’il est venu à Montréal avec son kamikase David Suzuky car la nouvelle bourse du carbone de Montréal s’est affilié à la sienne…

    Suzuky est mon avis le seul scientifique du coté des alarmistes. Lui qui avec ses recherches sur la génétiq

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  19. Fernand

    28 mars 2009 à 14 h 47

    Oupos je ne suis plus seul à avoir le même discours.

    Gore veut des bourses du carbone car il veut faire des échanges payantes avec la sienne. Il est en conflit d’intérêt manifeste, lui qui détient une part importante de la Bourse du carbone de Chicago.

    C’edst pas pour rien qu’il est venu à Montréal avec son kamikase David Suzuky car la nouvelle bourse du carbone de Montréal s’est affilié à la sienne…

    Suzuky est mon avis le seul scientifique du coté des alarmistes. Lui qui avec ses recherches sur la génétique a découvert une bactérie qui a été utilisé militairement au Vietnam. Déçu que ses recherches servent à la guerre plutôt qi’à l’évolution de la science, il devient chroniqueur télé. En environnement il n’a aucune formation tout comme moi. Sauf que moi, je ne suis pas payé largement pour partir en croisade.

    N’oubliez pas qu’au dernier sommet de Bali, il y avait assis 400 activistes de groupes écolos venus des quatres coins du monde. Qui finance ça ???

    Enfin Jean Lemire, ce héros québécois, dans son seul voyage en antarctique a réussi à contredire des milliers d’études scientifiques sur ce pôle et des centaines de scientifiques renommés. À l’instar de son mentor, Al Gore, il a fait un film pour payer son seul voyage. Vraiment on nage dans l’hystérie du bogue de l’an 2100…

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  20. Fernand

    28 mars 2009 à 15 h 15

    Le bonhomme barbu qui apparait sur le vidéo que Jeff nous recommande est Richard Lindzen, titulaire de la chaire Alfred P. Sloan de météorologie au MIT. Il a démissionné avec fracas après la publication du troisième rapport de GIEC auquel il avait pourtant collaboré. « Le processus engagé par le GIEC relève de la politique et non pas de la science » a notamment déclaré le chercheur. Motif initial de sa colère : la manière dont le GIEC a résumé le chapitre 7 (où il collaborait) consacré aux processus physiques du climat et à leur modélisation – les fameux modèles qui permettent d’anticiper des hausses et d’en alerter les décideurs. Dans son contenu réel, le chapitre montre l’extrême pauvreté des modèles en ce qui concerne (entre autres) la prise en compte de la vapeur d’eau et des nuages. C’est un peu gênant car la vapeur d’eau est, de très loin, le principal gaz à effet de serre de la planète (au moins 60% de l’effet). Or, cet aveu objectif de grande incertitude est devenu dans le résumé pour les décideurs : « Les connaissances relatives à l’évolution du climat et leur incorporation dans les modèles climatiques se sont améliorées, notamment en ce qui concerne la vapeur d’eau, la dynamique des glaces de mer et le transport thermique océanique ».

    La critique de Lindzen ne s’arrête pas là. « Le problème le plus épineux [dans le rapport du GIEC] est qu’il est présenté comme un consensus impliquant des centaines, peut-être des milliers de scientifiques… mais aucun d’entre eux ne s’est vu demander s’il acceptait quoi que ce soit dans l’ensemble du rapport, hormis deux ou trois pages sur lesquelles il travaillait ». Lindzen n’est pas tendre pour l’esprit « moutonnier » qui préside à la fabrication du consensus : « quand des fonctionnaires chargés des relevés météo en Nouvelle-Zélande ou en Tanzanie se voient désignés comme ‘des scientifiques du climat de renommée internationale’, il n’est pas étonnant qu’ils en viennent à soutenir le processus ».

    Voici son impressionnant CV

    http://www-eaps.mit.edu/faculty/lindzen/CV.pdf

    D’autres chercheurs de renom ont préféré démissionner ou s’éloigner du GIEC (Groupement intergouvernemental sur l’évolution du climat, IPCC en anglais), dont ils contestent les préjugés et les méthodes. Un exemple parmi d’autres du manque d’objectivité entourant aujourd’hui l’expertise des questions climatiques.

    Le 17 janvier 2005, Chris Lansea a fait savoir par une lettre ouverte à la communauté scientifique qu’il renonce à participer aux travaux du futur 4e rapport du GIEC (2007). Ce spécialiste international des cyclones avait participé aux 2e et 3e rapport du GIEC. Or, il a constaté que le futur auteur principal du chapitre concerné (Kevin Trenberth) s’est répandu dans la presse dès 2004 sur le lien probable existant entre le réchauffement du climat et la gravité des cyclones. Outre le devoir de réserve qui s’imposait à Trenberth, il se trouve que cette assertion est contredite par les faits et que la majorité des experts en ce domaine considère comme très improbable un effet significatif de la température sur la fréquence ou l’intensité des cyclones. Chris Landsea en a tiré les conclusions qui s’imposent : « Je ne peux personnellement et en toute bonne foi continuer à contribuer à un processus dont je considère qu’il est motivé par des objectifs préconçus et qu’il est scientifiquement non fondé ».

    John Christy, l’un des rares experts internationaux dans l’interprétation des données satellitaires relatives au climat, responsable de la plus ancienne base de données en ce domaine (Université de l’Alabama, Huntsville). Christy n’a pas démissionné, contrairement à ses collègues, et s’est même dit favorablement impressionné par le sérieux du travail effectué dans son chapitre. Mais ses réserves sont bien réelles. Lui aussi a été irrité par le fameux « Résumé à l’intention des décideurs » – il est vrai le texte le plus important, puisque la totalité du rapport ne sera lu que par les experts eux-mêmes ou les rares passionnés du sujet. « Pourquoi, par exemple, une page entière est-elle consacrée à des graphiques d’évolution des températures de surface montrant un réchauffement considérable, avec une demi-page supplémentaire de commentaires, alors que les changements dans l’ensemble de l’atmosphère, autrement plus important pour la physique des gaz à effet de serre, n’occupe que sept phrase ? » Ce choix n’est évidemment pas neutre et c’est l’un des nombreux « détails » qui font douter de l’objectivité du résumé. Mais Christy connaît bien sûr la réponse à la question, comme le démontrent ses impressions : « Bien que j’ai eu plaisir à travailler avec le GIEC, j’ai trouvé que la plupart des auteurs majeurs approuvaient clairement le Protocole de Kyoto. Plusieurs d’entre eux m’ont clairement dit que le rapport devait apporter toutes les preuves nécessaires pour que les gouvernants adoptent le traité (…) Du sommet à la base de l’organisation du GIEC, il existait un préjugé évident chez une majorité d’auteurs en faveur de certaines politiques spécifiques. S’il l’on avait fait un sondage, je dirais qu’au moins 80% des auteurs principaux soutenaient le protocole de Kyoto. Vu cette situation, il n’est pas très difficile de repérer des sections du rapport qui s’éloignent de l’objectivité scientifique risquant de nuire à la vue selon laquelle les changements climatiques dangereux sont une certitude, tel que le projettent les modèles ». (Christy in Michaels 2005).

    En février 2007, j’ai dénoncéé l’étrange pratique consistant à publier un Résumé pour décideurs sans publier simultanément le rapport scientifique complet permettant de légitimer les assertions de ce Résumé. La lecture des chartes méthodologiques du GIEC / IPCC permet de comprendre le sens de ce décalage. C’est simple : l’expression scientifique est soumise à l’orientation politique.

    Sur son blog Climate Audit, Steve McIntyre attire l’attention sur une procédure assez particulière du GIEC / IPCC, décrite dans le texte de méthodologie Principles Governing IPCC Work, texte non disponible en français à notre connaissance. En point 4.2 de ce texte, on peut lire :
    Changes (other than grammatical or minor editorial changes) made after acceptance by the Working Group or the Panel shall be those necessary to ensure consistency with the Summary for Policymakers or the Overview Chapter.

    C’est-à-dire : « Les changements (autres que des modifications grammaticales ou éditoriales mineures) faits après l’acceptation du rapport par le Groupe de travail ou le Panel doivent être ceux nécessaires à la cohérence avec le Résumé pour décideurs ou avec la synthèse du chapitre ».

    Concrètement, cela signifie que l’auteur principal (et son équipe réactionnelle restreinte) d’un chapitre peut être amené à modifier légèrement le contenu scientifique du rapport en vue de le faire coïncider avec la synthèse politique. Et ces changements ne sont pas seulement grammaticaux ou stylistiques.

    Les gens ne sont pas dûpes surtout quand on réclame des millirads poiur un problème de changement climatique cyclique. L’arnaque a assez duré, les auteurs doivent être démasqués : l’ONU et sa filiale le GIEC, les groupes écolos financés pour médiatiser ces faussetés et les politiciens qui en tirent profit et se font élire en se déguisant en vert…

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  21. Yvan Dutil

    28 mars 2009 à 15 h 44

    @Fernand

    Le dernier sondage dans le domaine indique de 97% des climatogues sont convaincus que les changements climatiques sont réel, important et d’origine anthropique.

    En passant, lors de la dernièr conférence des sceptiques climatique, Lindzen a pourfendu les autres scientifiques pour leur incompétence crasse. Mais, cà cela n’a pas fait la manchette.

    Votre discussion me fait penser qu’à chauqe fois que l’on parle à quelqu’un d’astronomie, on se fait toujours dire que c’est une idée contestée. Dans le pratique, il n’y a plus personne dans le domaine qui soutient le contraire.

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  22. Fernand

    28 mars 2009 à 16 h 40

    Le petit prof Dutil ne mettra sûrement pas en doute le célèbre paléoanthropologue Yves COPPENS.

    http://www.lactualite.com/science/article.jsp?content=20080220_173958_6392

    Voici les questions et réponses de l’interview de ce scientifique renommé.

    L’Actualité : Que pensez-vous du changement climatique que notre espèce a provoqué ?

    Yves Coppens : Il n’y a rien de plus banal que les changements climatiques. Pour le géologue et le paléontologue, ils font partie de l’histoire de la Terre. Ils constituent le quotidien de nos disciplines. On ne les considère pas comme des événements. Ce qu’on étudie, c’est leur importance, leur séquence, leurs rythmes.

    L’Actualité : Ce n’est donc pas la première fois que l’homme doit faire face à un bouleversement du climat ?

    Yves Coppens : Non. Il y a 70 ou 80 millions d’années, le continent euraméricain réunissait l’Amérique du Nord, le Groenland et l’Europe. Lorsqu’on découvre un fossile incomplet du côté de Reims, on va chercher la partie manquante dans le Colorado ! Puis, l’Atlantique Nord s’est ouvert, exactement comme on tire une fermeture éclair. En paléontologie, on est habitué à ces changements de paysages, de niveaux des eaux et des glaces. Au sud-ouest de la Finlande, on a récemment découvert une sorte de petit abri-sous-roche. Il y avait des restes de feux, des outils. Cent mille ans avant notre ère, des Néandertaliens ont vécu là. La Finlande ressemblait donc à ce que l’on en connaît aujourd’hui.

    Est-ce assez clair. Les changements climatiques ont toujours existé. Les ordinateurs pour étudier ces phénomènes n’ont que quelques décennies et ce sont des modèles informatiques pour baser toute la théorie du GIEC. Certains politiciens se sont emparé du dossier pour se draper de vert et justifier de nouvelles taxes.

    Je n’ai jamais dis que l’homme ne doit pas respecter la nature et éviter de la polluer. Mais il est prétentieux de croire que l’homme si intelligent soit-il peut contrôler l’univers. Je dis que ces changements sont cycliques et que l’homme n’est en pas la cause. Certains comme Carol, Jean et M Dutil prétendent que l’homme amplifie le phénomène alors pourquoi après avoir suivi les ordonnances du GIEC on arrive cent ans plus tard à un maigre 0,3 degré de différence pour des milliers de milliards dépensés. L’homme commence à découvrir et ébaucher des théories. Les solutions sont pas pour demain quoiqu’en pense M. Dutil …

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  23. Fernand

    28 mars 2009 à 17 h 10

    Quand l’assiette à beurre est bien garnie, je vois mal des scientifiques de s’en priver…

    C’est un faux fuyant Monsieur Dutil que vous nous apportez.

    On perd un temps précieux sur des priorités secondaires et on élude les vrais problèmes qu’affronte l’humanité : le sida, la faim, la soif et la corruption politique…

    Je privilégie l’approche du Consensus de Copenhague.

    http://www.copenhagenconsensus.com/CCC%20Home%20Page.aspx

    Le consensus de Copenhague est un projet lancé en 2004 qui cherche à établir les priorités pour faire avancer le bien-être de l’humanité. C’est une initiative de Bjørn Lomborg, co fondateur de greenpeace, auteur de L’Écologiste sceptique et directeur de l’Institut d’évaluation de l’environnement du Danemark.

    Les priorités établies et les solutions proposées concernent les sujets suivants: le réchauffement climatique, les maladies infectieuses, les conflits, l’éducation, la crise financière, la corruption gouvernementale, la lutte contre la malnutrition et la faim, les migrations humaines, l’assainissement, en particulier de l’eau, les subventions et les barrières douanières. Les résultats obtenus en 2004 ont été mis à jour en 2006 et 2008.

    Un jury d’experts en économie, comprenant huit des plus éminents économistes du monde, fut invité à examiner ces sujets. Les membres étaient Jagdish Bhagwati de l’université de Columbia, Robert Fogel (prix Nobel) de l’université de Chicago, Bruno Frey de l’université de Zurich, Justin Yifu Lin de l’université de Pékin, Douglass North (prix Nobel) de l’université de Washington à Saint Louis, Thomas Schelling de l’université de Maryland, Vernon Smith (prix Nobel) de l’université George Mason, et Nancy Stokey de l’université de Chicago.

    On demanda au jury d’examiner les dix domaines de défi et de répondre à la question : « Quelles seraient les meilleures manières d’améliorer le bien-être global, et particulièrement le bien-être des pays en développement, en supposant que 50 milliards de dollars de ressources supplémentaires sont à la disposition des gouvernements ? ». Dix rapports sur ces défis, commandés à des autorités reconnues dans chaque domaine d’action, définissaient plus de 30 propositions soumises à l’appréciation du jury. Pendant une semaine de conférence, le jury examina ces propositions en détail. Chaque rapport fut longuement discuté avec son auteur principal et avec deux autres spécialistes à qui l’on avait commandé des appréciations critiques, puis les experts se sont réunis en session privée. Le jury a ensuite rangé les propositions, par ordre décroissant de préférence, comme suit :

    TRÈS BONS PROJETS
    1. Maladies : Lutte contre le HIV / sida
    2. Malnutrition : Distribution de micronutriments
    3. Subventions et barrières commerciales :Libéralisation du commerce
    4. Maladies : Lutte contre le paludisme

    BONS PROJETS
    5. Malnutrition : Développement de nouvelles technologies agricoles
    6. Eau et assainissement : Technologie à petite échelle pour l’eau de subsistance
    7. Eau et assainissement : Distribution et assainissement de l’eau gérés par la communauté
    8. Eau et assainissement : Recherche sur le rendement de l’eau dans la production alimentaire
    9. Gouvernance et corruption : Réduction du coût de création d’une nouvelle entreprise

    PROJETS MOYENS
    10. Migration : Abaissement des obstacles à la migration des travailleurs qualifiés
    11. Malnutrition : Amélioration de l’alimentation du nourrisson et de l’enfant
    12. Malnutrition : Réduction de la prévalence de l’insuffisance pondérale à la naissance
    13. Maladies : Amélioration des services de santé de base

    MAUVAIS PROJETS
    14. Migration : Programmes d’incitation à la migration des travailleurs non qualifiés
    15. Climat : Taxe optimale sur le carbone
    16. Climat : Le protocole de Kyoto
    17. Climat : Taxe probabiliste sur le carbone

    Note : Pour certaines propositions, le jury trouva que l’information était trop maigre pour permettre de porter un jugement. Ces propositions, dont certaines pourraient être intéressantes après un examen plus approfondi, furent donc exclues du classement.

    En règle générale, le jury nota que de plus hauts standards de gouvernance et des progrès institutionnels nécessaires au soutien du développement des pays pauvres du monde avaient une importance primordiale.

    Certaines des propositions (par exemple, l’abaissement des obstacles au commerce ou aux migrations) butent sur une résistance politique. Surmonter une telle résistance peut être considéré comme un « coût » de mise en œuvre. Le jury fut d’avis que de tels coûts politiques devaient être exclus de leurs calculs : ils se préoccupèrent seulement des coûts de mise en œuvre, y compris les coûts des réformes institutionnelles de soutien spécifiques, qui seraient rencontrés une fois prise la décision politique de se lancer.

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  24. Fernand

    28 mars 2009 à 17 h 14

     » C’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il y aurait juste frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique  »
    Stanley B Goldenberg, spécialiste des ouragans à la NOAA

    Monsieur le prof Dutil cessez de nous mentir.

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  25. Yvan Dutil

    28 mars 2009 à 18 h 12

    @Fernand

    Monsieur Goldenberg peut penser ce qu’il veut. Les données ne lui donne pas raison. Tous ces sceptique n’arrivent pas à produire des observations convaincquantes supportant leur point.

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  26. Yvan Dutil

    28 mars 2009 à 18 h 14

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  27. Fernand

    28 mars 2009 à 19 h 03

    (sourec; site : http://www.friendsofscience.org/ )

    IPCC criticism of the week

    The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) officially released its Fourth Assessment Report (AR4) in 2007. This document is often regarded as the definitive word on the science behind global warming. However, AR4 gives a distorted, misleading, and often erroneous picture. Examples of these distortions will be listed here each week, with attention focused on the Working Group 1 Report « The Physical Science Basis » (WG1), and in particular its Summary for Policymakers (SPM).

    1 August 2008: How the IPCC invented a new calculus. The IPCC authors invented a new way of measuring the slope of a graph, in order to create the false impression that global warming is accelerating.

    8 August 2008: The table that didn’t add up. The WG1 SPM was approved by the IPCC even though it contained a table with arithmetic errors. The table was quietly corrected with no admission of the error.

    15 August 2008: False statement about Antarctic sea ice. The IPCC claims that there is no significant trends in Antarctic sea ice. In fact several papers (ignored by the IPCC) show a significant positive trend.

    22 August 2008: Misleading claims about sea level rise. AR4 gives the misleading impression that the rate of sea level rise is increasing, using the trick of switching from one measurement system (tide gauges) to another (satellites).

    29 August 2008: Incorrect calculation of an average. An arithmetic error was made in the calculation of an average of a contribution to radiative forcing. Hence four diagrams in AR4 are wrong and misleading.

    5 September 2008: False claims about Antarctic ice sheet. The IPCC claims that the Antarctic ice sheet is melting and that this is contributing to sea level rise, but recent research papers show that in fact the ice sheet is thickening.

    12 September 2008: Dubious claims about Greenland ice sheet. The IPCC claims that the Greenland ice sheet is melting and causing sea level to rise – ignoring or misrepresenting research that shows the opposite.

    19 September 2008: Erroneous claims about snow cover. The IPCC makes the false claim that snow cover is decreasing in both hemispheres.

    26 September 2008: Exaggerated claims about water vapour. The IPCC summary claims that water vapour has increased. In fact studies show no significant trend or in some cases a decrease.

    3 October 2008: Erroneous claims on increased tropical cyclone activity. The IPCC states that tropical cyclones have increased, but research papers find no evidence of this.

    10 October 2008: The IPCC contradicts itself over the medieval warm period. The IPCC’s own data shows clear evidence that the medieval warm period was as warm as the late 20th century, but the text states the opposite.

    17 October 2008: False statement about paleoclimate studies. The IPCC claims that there is increased confidence in proxy temperature reconstructions, but in fact the opposite is the case.

    24 October 2008: Proxies that aren’t proxies. The IPCC makes use of ‘proxy’ data such as tree rings to justify their claim that current temperatures are unusual – but this data doesn’t match measured temperature.

    31 October 2008: Downplaying the urban heat island effect. The IPCC significantly underestimates the influence of the fact that many temperature measurement sites are located in cities.

    7 November 2008: The UN misquotes its own report. A UN press release coinciding with the release of AR4 blatantly misquoted the report, incorrectly claiming that man-made global warming was unequivocal.

    14 November 2008: Not the IPCC this week, but a special issue on the latest GISS temperature errors.

    21 November 2008: Underestimating past variation in carbon dioxide. The IPCC claims that variation of carbon dioxide levels in the atmosphere was very low, ignoring published research that shows much greater variation.

    28 November 2008: Biased reporting of the literature. One of many examples where the IPCC ignores or disparages research that does not support its agenda, in the area of past solar activity.

    5 December 2008: Where’s the beef? The crucial step of the argument for global warming – how carbon dioxide causes heating – is barely mentioned and the numbers not justified by the IPCC.

    12 December 2008: Hypothetical positive feedback. The alarming predictions of the IPCC rely on the assumption of a strong positive feedback, for which there is no evidence.

    19 December 2008: The lost continent of Antarctica. A world map of ‘global warming’ in the SPM omits Antarctica, where there has been cooling.

    26 December 2008: Misleading claims about increased greenhouse effect. The IPCC claims that observations show an increase in the greenhouse effect, referring to one paper but ignoring more recent ones.

    2 January 2009: Misleading statement about ocean heat. The IPCC SPM says that ocean heat content is increasing, without mentioning a paper that shows recent ocean cooling.

    9 January 2009: Ignoring research that does not fit the agenda. Work of a Finnish research team with 34 publications in the field of tree ring temperature reconstructions is completely ignored by the IPCC.

    16 January 2009: Inconsistent statement about wind strength. The IPCC SPM claims that the strength of westerly winds has increased – but if true this would be evidence for cooling of the atmosphere.

    23 January 2009: Error regarding total radiative forcing. The ‘total net anthropogenic radiative forcing’ given by the IPCC is incorrect, according to climate scientist Roger Pielke.

    30 January 2009: Unfair citation of criticism. IPCC author Kevin Trenberth cites his own criticism of the work of other authors, but does not mention those authors’ response to his criticism.

    Acknowledgements: These examples come from many different sources. Many originated from a thread at climate audit, so thanks are due to those who contributed to that – especially Max. Several also come from Roger Pielke’s Climate Science blog.

    globwarmqs at googlemail.com

    Éteingnez les lumières le prof Dutil arrive…

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  28. Fernand

    28 mars 2009 à 19 h 18

    Pendant que Guilbault et ses 400 amis activistes des groupes écolos voyagant sur le bras des gouvernements étaient reçus en roi à Bali, une association regroupant des scientifiques éminents dont les travaux contredisent factuellement le discours officiel, l’International Climate Science Coalition, a voulu organiser une conférence de presse lors du sommet de Bali, mais en a été empêchée par les organisateurs. Les membres de cette association se sont vus interdire de participer aux travaux du sommet. Est-ce ça un consensus ou l’on préfère des activistes à des scientifiques?

    Certains d’entre eux ont écrit au secrétaire général des nations unis. Voici la teneur :

    Le 13 décembre 2007

    Re : La conférence des Nations Unies sur le climat conduit le monde dans une très mauvaise direction

    Cher Monsieur le Secrétaire général,

    Il n’est pas possible d’arrêter le changement climatique, phénomène naturel qui a affecté l’humanité au fil des ans depuis très longtemps. L’histoire géologique, archéologique, orale et écrite, atteste des défis profonds qu’ont du relever les sociétés du passé lorsqu’elles ont été confrontées à des changements non anticipés de température, de précipitations, de vents, et d’autres paramètres climatiques. Il faut que les pays du monde se donnent les moyens de mieux résister à tout l’éventail des phénomènes naturels en favorisant la croissance économique et la création de richesses.

    Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a divulgué des conclusions toujours plus alarmantes concernant l’influence sur le climat de dioxyde de carbone (CO2) produit par les hommes, un gaz non polluant qui est essentiel pour la photosynthèse végétale. Nous avons observé les données qui ont conduit les experts à considérer les émissions de CO2 comme nocives, et nous disons que les conclusions du GIEC ne peuvent justifier la mise en œuvre de politiques qui réduiront nettement la prospérité future. En particulier, il n’est pas établi qu’il soit possible de changer significativement le climat global en réduisant les émissions humaines de gaz à effet de serre. De surcroît, parce que les tentatives de réduire les émissions ralentiront le développement, l’approche des Nations Unies en matière de réduction du CO2 est à même d’accroître, et non de diminuer la souffrance humaine qui résultera des futurs changements climatiques.

    Les résumés à l’intention des décideurs sont, parmi les textes du GIEC, ceux qui sont les plus lus par les politiciens et les non scientifiques, et ils sont la base de la formulation de la plupart des propositions politiques en matière de changement climatique. Ces résumés, néanmoins, sont rédigés par une équipe relativement restreinte, et leur texte final est approuvé au mot près par les représentants des gouvernements. La majorité des contributeurs du GIEC, et les dizaines de milliers d’autres scientifiques qui ont qualité pour commenter ces sujets, ne sont pas impliqués dans leur rédaction. Et les résumés ne peuvent être considérés, en ces conditions, comme le reflet d’un consensus parmi les experts.

    Contrairement aux impressions données par les derniers résumés :

    -Les observations récentes de phénomènes tels que le retrait des glaciers, la montée du niveau des mers et les migrations d’espèces sensibles aux températures ne signalent pas de changements climatiques anormaux, car aucune des fluctuations constatées ne se situe à l’extérieur des limites de la variabilité naturelle connue.
    -Le taux de réchauffement moyen (0,1 à 0,2 degrés Celsius par décennie) enregistré par les satellites au cours de la dernière partie du vingtième siècle se situe dans les limites du réchauffement et du refroidissement naturels tels que constatés au cours des 10 000 dernières années.
    -Les principales autorités scientifiques, y compris des membres éminents du GIEC, reconnaissent que les modèles informatiques utilisés aujourd’hui ne peuvent permettre de prédire le climat. En dépit des prédictions informatiques de hausses de température, et en conformité avec ce que nous venons d’écrire, il n’y a pas eu de réchauffement global depuis 1998. Que les températures actuelles se stabilisent après une période de réchauffement à la fin du vingtième siècle correspond à la continuation aujourd’hui de cycles climatiques multi décennaux et millénaires.

    En contraste brut avec l’affirmation souvent répétée selon laquelle la science du climat a établi les faits de façon irréfutable, des recherches récentes et très sérieuses ont mis en doute davantage encore que ce n’était le cas l’hypothèse d’un réchauffement climatique global dangereux causé par les hommes (voir http://ipcc-wg1.ucar.edu/wg1/docs/ wg1_timetable_2006-08-14.pdf). Mais parce que les groupes de travail du GIEC ont reçu la consigne de ne prendre en compte que les travaux publiés avant mai 2005, les découvertes importantes issues de ces recherches n’ont pas été prises en compte : le dernier rapport du GIEC est, en ces conditions, d’ores et déjà concrètement périmé.

    La conférence des Nations Unies sur le climat à Bali a été conçue aux fins de conduire le monde vers des restrictions drastiques d’émissions de CO2, sans que soient tirées les leçons de l’échec du protocole de Kyoto, de la nature chaotique du marché européen du CO2, et de l’inefficacité d’autres initiatives coûteuses destinées à diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Les analyses basées sur un calcul avantage/coûts ne viennent pas justifier l’introduction de mesures globales destinées à limiter et à réduire la consommation d’énergie aux fins de réduire les émissions de CO2 . Il est, qui plus est, irrationnel de recourir au « principe de précaution » dès lors que la plupart des scientifiques reconnaissent que le réchauffement, aussi bien que refroidissement, sont des possibilités réalistes dans le moyen terme
    La focalisation actuelle de l’ONU sur le « combat contre le changement climatique », illustrée par le communiqué de lancement du Rapport sur le développement humain par l’ONU le 27 novembre dernier distrait les gouvernements et les conduit à ne pas envisager une adaptation aux menaces des changements climatiques naturels inévitables et divers. Une anticipation nationale et internationale de ces changements est nécessaire, et doit être centrée sur les moyens à même de permettre aux êtres humains les plus vulnérables de s’adapter aux conditions futures. Les tentatives de prévenir le changement climatique global sont essentiellement futiles et constituent un gaspillage de ressources qui seraient mieux dépensées si elles étaient utilisées pour répondre aux problèmes réels et pressants auxquels l’humanité est confrontée.

    Bien sincèrement.

    Don Aitkin, PhD, Professeur, chercheur, ancien Président, Université de Canberra, Australie

    William J.R. Alexander, PhD, Professeur émérite, Département.d’Ingéniérie des biosystèmes, Université de Pretoria, Afrique du Sud; membre du comité scientifique et technique des Nations Unies sur les désastres naturels, 1994-2000.

    Bjarne Andresen, PhD, physicien, Professeur, Niels Bohr Institute, Université de Copenhague, Danemark.

    Geoff L. Austin, PhD, Professeur, Département de physique, Université d’Auckland, Nouvelle Zélande

    Timothy F. Ball, PhD, consultant en environnement, ancien Professeur de climatologie, Université de Winnipeg, Canada.

    Ernst-Georg Beck, Biologiste, Merian-Schule, Fribourg, Allemagne.

    Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Enseignante au Département de Géographie, Hull University, Rédactrice en chef, Energy & Environment journal, Royaume Uni.

    Chris C. Borel, PhD, scientifique, Etats-Unis.

    Reid A. Bryson, PhD, DSc, DEngr, ancien chercheur au Center for Climatic Research, Professeur émérite de météorologie, de géographie, et d’études environnementales, Université du Wisconsin, Etats-Unis.

    Dan Carruthers, M.Sc., biologiste, consultant, spécialiste de l’écologie animale dans les régions Arctiques et Subarctiques, Alberta, Canada.

    R.M. Carter, PhD, Professeur, Laboratoire de géophysique marine, James Cook University, Townsville, Australie.

    Ian D. Clark, PhD, Professeur d’hydrogéologie et de paléoclimatologie, Département. de sciences de la terre, Université d’Ottawa, Canada.

    Richard S. Courtney, PhD, consultant en sciences du climat et de l’atmosphère, expert au GIEC, Royaume-Uni.

    Willem de Lange, PhD, Département des sciences de la terre et de l’océan, School of Science and Engineering, Université Waikato, Nouvelle Zélande.

    David Deming, PhD (Géophysique), Professeur, College of Arts and Sciences, Université d’Oklahoma, Etats-Unis.

    Freeman J. Dyson, PhD, Professeur émérite de physique, Institute for Advanced Studies, Princeton, New Jersey, Etats-Unis.

    Don J. Easterbrook, PhD, Professeur émérite de géologie, Western Washington University, Etats-Unis.

    Lance Endersbee, Professeur émérite, ancien doyen du Département d’ingéniérie, Monasy University, Australie.

    Hans Erren, géophysicien et spécialiste du climat, Sittard, Pays-Bas.

    Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Département d’ingéniérie mécanique, Ohio State University, Etats-Unis.

    Christopher Essex, PhD, Professeur de mathématiques appliquées, Directeur adjoint du programme de physique théorique, University of Western Ontario, Canada.

    David Evans, PhD, mathématicien, ingénieur en informatique, Directeur de « Science Speak », Australie.

    William Evans, PhD, éditeur, Naturaliste, Département de sciences biologiques, University of Notre Dame, Etats-Unis.

    Stewart Franks, PhD, Professeur, Hydroclimatologue, Université de Newcastle, Australie.

    R. W. Gauldie, PhD, Professeur, Hawai’i Institut de géophysique et de planétologie, Ecole des sciences et technologies de l’océan, Université de Hawai’i à Manoa

    Lee C. Gerhard, PhD, Scientifique émérite, Université du Kansas; ancien Directeur, Kansas Geological Survey, Etats-Unis.

    Gerhard Gerlich, Professeur de physique mathématique et théorique, Institut fur Mathematische Physik der TU Braunschweig, Allemagne.

    Albrecht Glatzle, PhD, Agro-Biologiste et Gerente ejecutivo, INTTAS, Paraguay

    Fred Goldberg, PhD, Professeur, Institut Royal de Technologie et d’Ingéniérie mécanique, Stockholm, Suède.

    Vincent Gray, PhD, expert au GIEC, auteur de The Greenhouse Delusion: A Critique of « Climate Change 2001 »,Wellington, Nouvelle Zélande.

    William M. Gray, Professeur émérite, Département. de sciences de l’atmosphère, Colorado State University, directeur du Tropical Meteorology Project, Etats-Unis.

    Howard Hayden, PhD, Professeur émérite de Physique, University of Connecticut, Etats-Unis.

    Louis Hissink MSc, M.A.I.G., éditeur, AIG News, consultant en géologie, Perth, Australie.

    Craig D. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.

    Sherwood B. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.

    Andrei Illarionov, PhD, Chercheur, Center for Global Liberty and Prosperity; fondateur et Directeur de l’Institute of Economic Analysis, Etats-Unis.

    Zbigniew Jaworowski, PhD, physicien, Président du Conseil scientifique du Laboratoire central de protection radiologique, Varsovie, Pologne.

    Jon Jenkins, PhD, MD, computer modelling -virology, Australie.

    Wibjorn Karlen, PhD, Professeur émérite, Département. de géographie physique et de géologie, Université de Stockholm, Suède.

    Olavi Karner, Ph.D., Chercheur associé, Département de physique atmosphérique, Institut d’astrophysique et de physique de l’atmosphère, Toravere, Estonie

    Joel M. Kauffman, PhD, Professeur émérite de chimie, University of the Sciences, Philadelphie, Etats-Unis.

    David Kear, PhD, géologue, ancien Directeur Général, Department. of Scientific & Industrial Research, Nouvelle Zélande.

    Madhav Khandekar, PhD, ancien chercheur à Environment Canada; Rédacteur en chef, Climate Research (2003-05); membre du bureau de Natural Hazards; expert au GIEC, 2007, Canada.

    William Kininmonth M.Sc., ancien chef de l’Australia National Climate Centre, consultant pour la Commission de climatologie de l’Organisation météorologique mondiale, Australie.

    Jan J.H. Kop, MSc, Professeur émérite d’ingéniérie en santé publique, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    R.W.J. Kouffeld, Professeur émérite, Conversion de l’énergie, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    Salomon Kroonenberg, PhD, Professeur, Département de géotechnologie, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    Hans H.J. Labohm, PhD, économiste, ancien conseiller au Clingendael Institute, Pays-Bas.

    Lord Lawson of Blaby, économiste; Président du Central Europe Trust; ancien Chancellor of the Exchequer, Royaume-Uni.

    Douglas Leahey, PhD, météorologue et consultant en qualité de l’air, Calgary, Canada.

    David R. Legates, PhD, Directeur, Center for Climatic Research, University of Delaware, Etats-Unis.

    Marcel Leroux, PhD, Professeur émérite de climatologie, Université de Lyon, ancien directeur du Laboratoire de climatologie et de risques environnementaux au CNRS, France.

    Bryan Leyland, International Climate Science Coalition, consultant et ingénieur en énergie, Auckland, Nouvelle Zélande.

    William Lindqvist, PhD, consultant en géologie, Californie, Etats-Unis.

    Richard S. Lindzen, PhD, Alfred P. Sloan Professor of Meteorology, Département des Sciences de la terre et de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology, Etats-Unis.

    A.J. Tom van Loon, PhD, Professeur de géologie, Université Adam Mickiewicz, Poznan, ancien président de l’European Association of Science Editors, Pologne.

    Anthony R. Lupo, PhD, Professeur de sciences de l’atmosphère, Department. of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, Université du Missouri, Etats-Unis.

    Richard Mackey, PhD, Statisticien, Australie.

    Horst Malberg, PhD, Professeur de météorologie et de climatologie, Institut fur Meteorologie, Berlin, Allemagne.

    John Maunder, PhD, Climatologue, ancien Président de la Commission for Climatology de la World Meteorological Organization (89-97), Nouvelle-Zélande.

    Alister McFarquhar, PhD, économie internationale, Downing College, Cambridge, Royaume-Uni.

    Ross McKitrick, PhD, Professeur, Département d’économie, University of Guelph, Ontario, Canada.

    John McLean, PhD, analyste de données climatologiques, chercheur en informatique, Australie.

    Owen McShane, PhD, économiste, directeur de l’International Climate Science Coalition, Directeur, Centre for Resource Management Studies, Nouvelle Zélande.

    Fred Michel, PhD, Directeur, Institute of Environmental Sciences, Professeur de sciences de la terre, Carleton University, Canada.

    Frank Milne, PhD, Professeur, Département d’économie, Queen’s University, Canada.

    Asmunn Moene, PhD, ancien Directeur du Centre de prévision, Institut de Météorologie, Norvège.

    Alan Moran, PhD, Economiste en énergie, Directeur de la IPA’s Deregulation Unit, Australie.

    Nils-Axel Morner, PhD, Professeur émérite Paléogéophysique et Géodynamique, Université de Stockholm, Suède.

    Lubos Motl, PhD, Physicien, Université Charles, Prague, République tchèque.

    John Nicol, PhD, Professeur émérite de physique, James Cook University, Australie.

    David Nowell, M.Sc., Chercheur à la Royal Meteorological Society, ancien président du Groupe météorologique de l’OTAN, Ottawa, Canada.

    James J. O’Brien, PhD, Professeur émérite, météorologie et océanographie, Florida State University, Etats-Unis.

    Cliff Ollier, PhD, Professeur émérite (Géologie), Research Fellow, University of Western Australia, Australie.

    Garth W. Paltridge, PhD, physique de l’atmosphère, Professeur émérite, ancien Directeur de l’Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Australie.

    R. Timothy Patterson, PhD, Professeur, Département. de Sciences de la terre (paléoclimatologie), Carleton University, Canada.

    Al Pekarek, PhD, Professeur de géologie, Département de sciences de la terre et de l’atmosphère, St. Cloud State University, Minnesota, Etats-Unis.

    Ian Plimer, PhD, Professeur de géologie, School of Earth and Environmental Sciences, Université d’Adelaide, Professeur émérite de Sciences de la terre, Université de Melbourne, Australie.

    Brian Pratt, PhD, Professeur de géologie et de sédimentologie, Université du Saskatchewan, Canada.

    Harry N.A. Priem, PhD, Professeur émérite de géologie planétaire et de géophysique, Université d’Utrecht, ancien Directeur de l’Institut de Géosciences, Pays-Bas.

    Alex Robson, PhD, Economiste, Australian National University, Australie.

    Colonel F.P.M. Rombouts, Responsable de la sûreté et de la qualité de l’environnement, Royal Netherland Air Force, Pays-Bas.

    R.G. Roper, PhD, Professeur émérite de sciences de l’atmosphère, Georgia Institute of Technology, Etats-Unis.

    Arthur Rorsch, PhD, Professeur émérite, Génétique moléculaire, Leiden University, Pays-Bas.

    Rob Scagel, M.Sc., spécialiste des microclimats, consultant, Pacific Phytometric Consultants, Canada.

    Tom V. Segalstad, PhD, (Géologie/Géochimie), directeur du Musée de géologie, Professeur de géologie environnementale, Université d’Oslo, Norvège.

    Gary D. Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, Californie, Etats-Unis.

    S. Fred Singer, PhD, Professeur émérite de sciences de l’environnement, University of Virginia ; ancien directeur du Weather Satellite Service, Etats-Unis.

    L. Graham Smith, PhD, Professeur, Département. of géographie, University of Western Ontario, Canada.

    Roy W. Spencer, PhD, climatologiste, chercheur, Earth System Science Center, University of Alabama, Huntsville, Etats-Unis.

    Peter Stilbs, TeknD, Professeur de chimie physique, Ecole de sciences chimiques, KTH (Institut royal de Technologie), Stockholm, Suède.

    Hendrik Tennekes, PhD, ancien Directeur de recherche, Royal Netherlands Meteorological Institute, Pays-Bas.

    Dick Thoenes, PhD, Professeur émérite d’ingéniérie physique, Eindhoven University of Technology, Pays-Bas

    Brian G Valentine, PhD, PE (Chem.), Technology Manager -Industrial Energy Efficiency, Department of Energy, Washington, DC, Professeur de sciences, University of Maryland at College Park, Etats-Unis.

    Gerrit J. van der Lingen, PhD, géologue et paléoclimatologue, consultant en changement climatique, Geoscience Research and Investigations, Nouvelle-Zélande.

    Len Walker, PhD, Ingénieur en énergie, Australie.

    Edward J. Wegman, PhD, Department of Computational and Data Sciences, George Mason University, Virginie, Etats-Unis.

    Stephan Wilksch, PhD, Professeur de gestion et de technologies de l’innovation, Université de technologie et d’économie, Berlin, Allemagne.

    Boris Winterhalter, PhD, ancien chercheur, Geological Survey of Finland, ancien professeur de géologie marine, Université d’Helsinki, Finlande.

    David E. Wojick, PhD, P.Eng., consultant en énergie, Etats-Unis.

    Virginia Raphael Wust, PhD, chercheuse, Sédimentologie et géologie marine, James Cook University, Australie

    A. Zichichi, PhD, Président de la Fédération mondiale des Scientifiques, Genève, Suisse, Professeur émérite de Physique, Université de Bologne, Italie.
    (Copie transmise aux chefs d’Etat des pays dont les signataires sont citoyens).

    Hey professeur Dutil, C’est du monde scientifique en titi ça et pas des illustres inconnus.

    Ça doit tous être des hérétiques.

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  29. Fernand

    28 mars 2009 à 19 h 35

    Le prof Dutil a osé dire: « En passant, lors de la dernièr conférence des sceptiques climatique, Lindzen a pourfendu les autres scientifiques pour leur incompétence crasse. Mais, cà cela n’a pas fait la manchette. »

    Pour qui se prend t’il pour critiquer l,un des plus brillant scientifique que nous connaissons.
    Voici son impressionnant CV

    http://www-eaps.mit.edu/faculty/lindzen/CV.pdf

    En passant, j’ai suivi par les journaux ce rassemblement du 8 au 10 mars à New York organisé par le Heartland Institute dont parle Dutil.

    Voici, une traduction de l’allocution prononcée le 08 mars 2009 par Jim Blast, président de l’Institut Heartland lors de l’ouverture.

    « Bonsoir, et bienvenue à la Conférence internationale 2009 sur le Changement climatique. Je suis Joseph Bast, président de l’Institut Heartland, et je suis honoré de vous accueillir ce soir et pour les deux jours à venir.

    Environ 700 personnes se sont inscrites à cette manifestation, près de deux fois plus que l’an dernier. Nous sommes heureux de montrer une fois de plus l’ampleur et la qualité du soutien que les vues
    « sceptiques » sur le Changement climatique reçoivent.

    Les intervenants à cette conférence traiteront des questions qui sont au cœur même du débat sur le réchauffement de la planète.

    – La stagnation de la température du globe pendant ces huit dernières années est en contradiction avec les prévisions des modèles informatiques?

    – Les données accessibles des climats anciens contredisent-ils la façon dont les modèles informatiques définissent le rôle du dioxyde de carbone dans le changement climatique?

    Le réchauffement actuel porte-t-il l’empreinte des gaz à effet de serre?

    * Y-a-t-il lieu pour les gouvernements de légiférer sur des émissions de gaz à effet de serre?

    Huit des plus éminents économistes au monde ne le croient pas: Ils ont mis la réduction des émissions de CO2 au dernier rang d’urgence parmi 30 raisons de dépenser $ 75 milliards.

    Le Consensus de Copenhague montre bien que le changement climatique n’est pas seulement une question scientifique, mais aussi économique et politique.

    C’est le coût énorme de la réduction des émissions de gaz à effet de serre qui ont conduit le chroniqueur George Will, récipiendaire du Prix Pulitzer à écrire que la législation sur le réchauffement de la planète « pourrait entraîner au cours de ce siècle plus de morts que ceux dus au siècle dernier par Hitler, Staline, Mao, Pol Pot. , alors qu’elles seraient évitables »

    La législation sur le réchauffement de la planète constitue également une menace pour nos libertés civiles et économiques : ainsi Charles Krauthammer – un autre lauréat du prix Pulitzer – a averti que  » qu’en dehors du rationnement alimentaire, il n’y a pas plus d’instrument de contrôle social plus puissant que le rationnement de l’énergie. »

    Certains des principaux porte-parole de la gauche ont également exprimé des préoccupations sur le réchauffement de la planète. Alexander Cockburn a écrit dans The Nation, «de grandes quantités d’argent seront dépensée inutilement pour des programmes qui ne fonctionneront pas contre un ennemi qui n’existe pas. Pendant ce temps, des menaces environnementales réelles et curables seront mises de côté ou ignorées. L’hystérie mène le monde, effaçant des initiatives environnementales utiles. …  »

    Si la communauté scientifique était véritablement convaincue que nous pouvons prévoir de façon fiable le climat futur ou que certaines conséquences du réchauffement seront catastrophiques, alors il n’y a peut-être pas de prix trop élevé à payer pour sauver la Terre. Mais ce n’est pas ce que la communauté scientifique de nous dit. Selon le plus récent sondage international auprès de scientifiques du climat,

    – La plupart des scientifiques croient que le réchauffement de la planète « est un processus déjà en cours. »

    – Mais ce « consensus » tombe en dessous de 60 pour cent lorsqu’on leur demande si « le changement climatique est principalement le résultat de causes anthropiques ».

    – 65 pour cent des scientifiques du climat ne croient pas que « les modèles climatiques peuvent prévoir avec précision le climat à venir. »

    – 68 pour cent ne croient pas que « l’état actuel des connaissances scientifiques est en mesure de fournir une prévision de la variabilité climatique sur les échelles de temps de dix ans. »

    – 73 pour cent ne croient pas qu’il est possible de prévoir le climat à 100 ans.  »

    – Environ 70 pour cent des climatologues pensent que « le changement climatique pourrait avoir des effets positifs pour certaines sociétés. »

    – Enfin, sur la question qui peut avoir le plus d’importance, les scientifiques du climat sont parfaitement divisés sur la question de savoir s’ils en savent assez sur le réchauffement de la planète pour inciter les politiques à prendre des mesures, avec 44 pour cent que disent que oui et de 46 pour cent disent que non.

    Ces opinions divergentes au sein de la communauté scientifique ne se reflètent pas dans les rapports du Groupe d’experts intergouvernemental sur le changement climatique. Pourquoi ? Peut-être parce que, pour citer encore Alexander Cockburn, «Le GIEC repose sur une armée de fonctionnaires et d’habitués des subventions, saupoudrée de scientifiques avec un diplôme initial de climatologie ou de physique de l’atmosphère. »

    En effet, il a été récemment reconnu que 80 pour cent des contributions pour le dernier rapport du GIEC ne proviennent pas de scientifiques du climat.

    Le docteur Fred Singer, l’un des nombreux éminents scientifiques avec nous ici ce soir, demande dans la préface du prochain rapport du Non Gouvernemental International Panel on Climate Change (NIPCC), « Pourquoi les rapports du GIEC ont été l’objet de controverses et si souvent contredits par des recherches ultérieures ? Certes, son mandat de prouver le rôle de l’homme dans le changement climatique est une raison majeure ; son statut d’organisation intergouvernementale redevable d’un agenda politique est une autre raison majeure, et les gratifications professionnelles et financières aux scientifiques et aux
    bureaucrates prêts à tordre les faits scientifiques pour ces programmes politiques est une troisième raison majeure « .

    Et que dire des scientifiques qui contestent le »consensus » revendiqué du GIEC ? Ils sont appelés « négationnistes », accusés d’être au service de l’industrie de l’énergie fossile, hors circuit ou encore d’être des
    idéologues extrémistes. Tout ceci en dépit des preuves, de la raison et du bon sens : ce sont les sceptiques, non pas les pro-réchauffement, qui probablement découvriront et sauront discuter publiquement et de la vraie science du changement climatique et de son économie.

    Les 80 scientifiques, économistes et des experts en politique qui vont parler à cette conférence n’ont aucun intérêt personnel ou institutionnel à amplifier les risques du changement climatique, et ils se plient devant aucun gouvernement. Ils viennent de 14 pays et 28 universités. Ils s’opposent à ce que le GIEC, de nombreux membres de gouvernements et les médias prétendent être un consensus parce que leurs propres recherches les conduisent à penser autrement.

    Nous attirons respectueusement l’attention des politiques et des leaders d’opinion sur ces distingués et courageux individus, afin qu’ils considèrent la véritable science du changement climatique global et son économie avant de décider de législations coûteuses et probablement inutiles.

    Je tiens à adresser mes remerciements pour les 59 autres organisations qui ont parrainé cette manifestation. Ils sont listés dans votre programme et sur les écrans pendant le dîner. Je remercie également les personnes et les fondations dont les dons ont permis cette conférence possible. Comme ce fut le cas l’année dernière, aucune des sociétés commerciale ou industrielles n’a co-financé cette conférence.

    Après le dîner, nous écouteront deux personnes tout à fait remarquables, le président Vaclav Klaus de la République tchèque, et le Dr Richard Lindzen, le professeur de météorologie du Massachusetts Institute of Technology.

    Nous reprendrons à 7h30. Bon appétit. »

    Post et traduction : Araucan

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  30. Yvan Dutil

    28 mars 2009 à 19 h 39

    Le hearthland institute c’est un groupe de pression payer par l’industrie pétrolière. Le sondage qu’il présente est bidon. Cela a été montré il y a un bout de temps.

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  31. Goldoche

    28 mars 2009 à 21 h 06

    Moi je suis sceptique des deux côtés, d’un côté, je crois qu’il est fort probable qu’avec le CO2 et le méthane qu’on rejette dans l’air, qu’on puisse influencer le climat.

    Cependant, il est fort possible que la variation naturelle du climat soit bien plus importante que la contribution de l’homme.

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  32. Yvan Dutil

    28 mars 2009 à 21 h 42

    @Goldoche

    C’est possibel d’expliquer en détail pourquoi on est quasiment certains que les humain sont responsables. Mais, cà prend du temsp et cà dépasse les arguements d’authorité. Pour chaque théorie scientifique tu vas être capable de trouver une expert bardé de diplome qui va s’y opposer pour des raisons le plus souvent philosophiques. Dans le cas des changements climatiques, il s’agit d’une situation évidente. Plusieurs scientifiques s’opposent à cette idée par que les conséquences leur font penser au communisme.

    Au final, la réalité a toujours raison. D’ici la fin de l’année, la nina va se terminer et les records vont recommancer à tomber.

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  33. Carol

    29 mars 2009 à 09 h 27

    Pour en revenir au sujet, en passant la ville de Lévis va participer à l’évènement.

    http://www.levisurbain.ca/2009/03/entry_2075.php

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  34. Goldoche

    29 mars 2009 à 09 h 46

    @Yvan,

    oui je sais très bien que la plupart des scientifiques sont d’accord avec le fait que le réchauffement est principalement causé par l’homme.

    Cependant, le climat est un système fortement non-linéaire, donc il est difficile de prédire. Il y a tellement de facteurs qui influencent.

    Les modèles sont « bons » pour faire fitter le passé, mais moins bon à prédire l’avenir. Je me souviens, l’hiver dernier (2008), on avait prédit qu’il n’y aurait plus de banquise arctique pendant l’été, or ce ne fut pas le cas. Pour 2009, on ne parle plus d’océan arctique libre de glace.

    L’autre point sur lequel j’accroche, ce sont les méthodes choisies pour « combattre » les changements climatiques.

    Au lieu d’éteindre les lumières, geste totalement inutile selon moi, on pourrait mettre une taxe de 25 cents le litre supplémentaire pour l’essence. Ça inciterait les gens à prendre moins leur auto, à prendre plus le transport en commun, à s’approcher des services et de leur travail. Les revenus de cette taxe seraient redistribués en baisses d’impôts ailleurs de façon à favoriser ceux qui consomment peu d’essence et à pénaliser ceux qui en consomment beaucoup.

    Oui ça ressemble au plan vert de Dion, pas un mauvais plan, mais très mal vendu et surtout pas au meilleur moment (la crise)

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  35. Yvan Dutil

    29 mars 2009 à 11 h 31

    @Goldoche

    « Les modèles sont “bons” pour faire fitter le passé, mais moins bon à prédire l’avenir. Je me souviens, l’hiver dernier (2008), on avait prédit qu’il n’y aurait plus de banquise arctique pendant l’été, or ce ne fut pas le cas. Pour 2009, on ne parle plus d’océan arctique libre de glace. »

    Trouve moi la référence à ce sujet. Aucun modèle n’a prédit un réduction aussi rapide de la glace que ce qui a été observée.

    Je suis d’accords avec toi, la taxe sur le carbone ou la bourse du carbone seraient des moyens efficaces de reduire la production de gaz à effets de serre. Mais, personne n’en veut.

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  36. Carol

    29 mars 2009 à 12 h 05

    « Au lieu d’éteindre les lumières, geste totalement inutile selon moi, »

    Vu que l’on est au Québec, un des endroits où se dépense le plus d’électricité sur la planète, je ne crois point que c’Est inutile. Ne serais-ce pour sensibiliser les gens, sur leurs consommations d’énergie.

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  37. Goldoche

    29 mars 2009 à 13 h 16

    @Yvan

    http://news.nationalgeographic.com/news/2008/06/080620-north-pole.html

    « North Pole May Be Ice-Free for First Time This Summer »

    L’article est cependant plus nuancé que le titre. Parfois à force d’exagérer les catastrophes, les tenants du réchauffement de la planète se nuisent.

    Il faut aussi revenir à la distinction entre tendance et événement ponctuel. On peut dire qu’avec le réchauffement il va y avoir plus d’inondations et tout ça, mais on ne peut pas affirmer que l’inondation de la rivière Rouge est due au réchauffement de la planète non plus. Il s’agit d’une des faiblesses du film d’Al Gore selon moi.

    @Carol

    On peut aussi utiliser des lampes à LED, ou des ampoules fluorocompactes pour réduire sa consommation. On devrait aussi augmenter les tarifs d’Hydro-Québec, ça aurait des effets bien plus importants et plus immédiats qu’un événement qui dure 1/24*1/365 d’une année.

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  38. Fernand

    29 mars 2009 à 16 h 36

    La bourse sur le carbone n’est qu’une permission de polluer en déboursant en échange d’un certificat de crédit. Une vrai arnaque ou les verts espèrent se créer des jobs.

    Ainsi, en Europe en avril 2006 les bourses se sont effondrées à moins de 2$ la tonne devenant une aubaine pour les pollueurs obligés de diminuer leurs émissions selon une évaluation bureaucratique de l’État sous peine de payer une pénalité que le gouvernenement du Canada a fixé à 15$.

    Mais tout ça a besoin d’une bureaucratie immense pour d’abord déterminer le nombre de tonnes que l’entreprise doit diminuer, fixer des normes et lui indiquer une échéance pour diminuer ses émissions. C’est un coût énorme pour le gouvernement et c’est pour ça que le gouvernement Harper hésite et que les groupes environnementaux insistent car eux veulent se dénicher des jobs d’inspecteurs gouvernementaux.

    Une fois son diagnostic connu, l’entreprise est forcée de diminuer ses émissions. Elle a trois choix:

    1) Faire les travaux pour diminuer les GES dans la proportion fixée par l’inspecteur du gouvernement.

    L’entreprise fait faire une estimation des coûts et se rend compte que c’est cher. Alors elle va envisager les deux autres choix pour savoir si elle économisera des $$$.

    2) Payer la pénalité gouvernementale à raison de 15$ la tonne.

    Encore là même en Europe c’est très rare que la pénalité soirt perçue…

    3) Acheter des crédits à la bourse selon le prix en cours.

    Récemment à la bourse de Chicago, propriété d’Al Gore et affiliée à celle de Montréal, la tonne se transigeait à 2,35$.

    C’est une aubaine pour l’entreprise car elle sauve de l’argent continue à polluer et n’est plus importunée par les fonctionnaires, elle répond aux normes avec ce certificat de crédir d’émissions de carbone. Quelle belle arnaque kyotiste…

    Ainsi Rabaska par l’entremise de Gaz Métro s’est procuré un certificat de crédit de carbone qu’elle affichera fièerement dans le hall d’entrée de sa nouvelle usine de Lévis. Zéro pollution, c’est tu beau ça !!!

    Déjà les odeurs de scandales commence à sortir au sujet de l’argent ainsi transigé et transféré à la Banque Mondiale gérée par l’ONU.

    Ainsi j’ai trouvé au Maroc qu’une centrale électrique est en construction et sera alimentée au gaz naturel. La banque mondiale grâce aux argents des bourses du carbone européennes finance le projet.

    Or cette centrale mue au gaz naturel alimentera essentiellement une usine de fabrication de GNL pour l’exportation. D’ailleurs cette usine est elle aussi en construction dans le port de Tanger (Sonatrach dans lequel Gaz de France est partemçnaire). On risque de retrouver du GNL de Sonatrach ici à Lévis surtout avec le retrait des russes (Gasprom). Alors les verts qui sont contre Rabaska ont été dupés par d’autres verts européens…

    Une belle arnaque ou des politiciens comme Gore aime naviguer surtout quand l’argent rentre car sa bourse n’est pas reliée à L’ONU, les États-Unis n’étant pas signataire du protocole de Kyoto…

    Mis à par l’Europe ou les bourse n’ont pas atteint leur objectif, les autres bourses ont peu de volume. Kyoto tire à sa fin en 2012 et rien ne fonctionne sur le sens. 75% des pays signataires n’ont pas atteint leur cible actuellement. Mais ça personne chez les verts s’en vante, ils ont échoué et blâme les dirigeants canadiens. Le ballon se dégonfle et à Copenhague, ils se rendront à l’évidence tragique qu’en dimunuant d’une tonne au Canada, il s’en crée deux dans les pays émergents comme le Brésil, les Indes et la Chine.

    Récemment, la Tata Motors était fière de présenter au monde sa voiture à faible coût soit 2,000$. Ce que j’ai remarqué, c’est que la même voiture vendue au Canada avec le paquet de normes standard de sécurité et de pollution qu’on a instaurée, couterait 8,500$. Les hindous sont donc au stade de la fabrication des nos autos des années 50 mais en plus petit cylindré.

    Oups, qui a dit qu’on ne faisait pas d’efforts pour l’environnement ???

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  39. Matrix

    29 mars 2009 à 17 h 11

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  40. Yvan Dutil

    30 mars 2009 à 05 h 51

    @Fernand

    L’idéee de la bourse de carbone vient d’un concept qui a trè sbien marché au USA pour le contrôle des émissions causant les pluies acides. Le hic c’est que personne n’a eu le courage d’appliquer effectivement les règles.

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