2 articles dans le Soleil dans la deuxième d’une série de trois sur le thème de la circulation à Québec
Pont Pierre-Laporte; Une septième voie envisagée
Le ministère des Transports envisage la possibilité d’aménager une septième voie de circulation pour diminuer la congestion sur le pont Pierre-Laporte. Une idée, si elle fait son chemin, qui plaira sûrement aux 114 000 conducteurs qui s’y disputent quotidiennement chaque pouce de bitume.
« Nous croyons qu’il y a l’espace suffisant pour une voie supplémentaire. Le problème est de savoir si la structure supporterait l’ajout », confirme Sonia Fontaine, de Transports Québec Chaudière-Appalaches.
Le ministère se tournerait probablement du côté des Américains, qui ont développé une expertise dans le domaine des ponts suspendus. « Nous ferions faire une étude de soufflerie, c’est-à-dire évaluer l’impact de la poussée des vents afin de vérifier si les modifications apportées à la structure sont techniquement faisables », explique Mme Fontaine. Et c’est probablement la firme de New York qui a conçu le pont dans les années 70 qui recevrait ce mandat. Du moins retournerait-on la consulter.
Mais avant même d’en arriver là, une étude d’un autre type devrait être réalisée. « La première étape est de dresser un portrait précis de la circulation sur les ponts et dans l’axe des ponts et d’évaluer l’évolution du flot de véhicules à long terme. »
Mme Fontaine insiste sur le fait que la problématique de congestion sur le pont doit être prise dans l’ensemble des problèmes de circulation dans les régions de Québec et de Chaudière-Appalaches. « Il ne faut pas regarder ça en pièces détachées. Si on ajoute une voie au pont, nous devons nous assurer de ne pas créer d’effet d’entonnoir plus loin parce qu’il manquera une voie sur une autoroute quelconque. »
A savoir quand sera enclenché ce projet et combien il coûterait, Mme Fontaine souligne que l’idée est encore à l’état embryonnaire et que rien n’assure une réalisation à moyen ou même à long terme.
Mathieu, Isabelle, 12 septembre 2004. Reproduit avec autorisation
Les travers de l’âge; A 40 ans, le réseau routier devient fragile
Quarante ans après sa construction, le réseau routier se ferait-il déjà vieux ? Certains tronçons ne semblent plus répondre adéquatement aux besoins des automobilistes.
Par exemple, plusieurs se plaignent de l’absence de ce qu’on appelle des voies de desserte (de service) à l’autoroute Félix-Leclerc (de la Capitale), ainsi que le grand nombre et la proximité des échangeurs sur cette autoroute.
« Il manque effectivement d’axes de circulation en parallèle à Félix-Leclerc, comme pour d’autres autoroutes de la région », estime Daniel Houle, ingénieur à Transports Québec.
C’est ce qui explique, à certains égards, la fragilité du réseau, selon plusieurs experts consultés. S’il y a un accident sur Félix-Leclerc, les gens peuvent toujours se sortir du pétrin en empruntant une des nombreuses sorties, mais ils tombent immédiatement sur le réseau local et doivent se faufiler d’une petite rue à l’autre jusqu’au boulot.
Entrées, sorties
Autre problème, pour se rendre d’un point A à un point B situé à peine deux ou trois kilomètres plus loin, les automobilistes s’engagent sur l’autoroute et la quittent aussitôt à la sortie suivante.
A l’époque de la construction de cette voie rapide, toutes les villes voulaient leur entrée et leur sortie, rappelle le conseiller municipal de Cap-Rouge, Normand Chatigny, responsable des infrastructures. « Ce qui nous a donné un trop grand nombre d’entrées et de sorties entre Laurentien et Pierre-Bertrand », ajoute-t-il.
« Voilà donc une partie de la solution », direz-vous : aménager des voies de desserte. Malheureusement, il y a loin de la coupe aux lèvres. « Il y a 30 ans, il manquait une route et on la construisait. Aujourd’hui, c’est compliqué. La trame urbaine est plus dense. Il faut tenir compte des expropriations et des règles environnementales très strictes à respecter », ajoute M. Houle.
Les coûts élevés de construction sont aussi pris en compte. C’est connu, les routes souffrent de sous-financement. Le gouvernement devrait investir beaucoup plus que les 62,7 millions $ alloués au budget cette année dans la capitale et en périphérie. Et c’est ainsi dans toutes les régions.
C’est donc pour ces raisons de natures technique et financière que les Québécois devront probablement vivre encore longtemps avec la fameuse bretelle d’accès qui mène à l’autoroute du Vallon Nord via l’autoroute Charest Ouest. « On voudrait bien la modifier, mais il faudrait refaire l’échangeur qui traverse du Vallon et tenir compte de la présence du chemin de fer à proximité », explique l’ingénieur.
Sans dire qu’il s’agit ici, comme à d’autres endroits, d’erreurs de conception, M. Houle avoue que le ministère ne « referait pas aujourd’hui bien des choses qui ont été faites par le passé ».
Au ministère, les mots sont choisis pour qualifier le réseau. Ainsi, les personnes rencontrées parlent d’un réseau autoroutier mature et non « vieux ou âgé ». Tout de même, force est d’admettre que certaines infrastructures arrivent au bout de leur vie utile. A l’époque, avec la qualité des matériaux disponibles, on parlait d’une durée de vie d’une quarantaine d’années. Aujourd’hui, c’est plutôt 75 ans.
Le chroniqueur de circulation Gaby Drolet connaît bien les problèmes de congestion de la capitale. Par le fait même, il a son idée sur ce qui devrait être fait en priorité pour améliorer la situation. « Oubliez le projet de prolongement de l’autoroute du Vallon. Il a, entre autres, des implications environnementales trop grandes. Les gens sont allés se construire dans le clos, qu’ils vivent avec. Il faudrait plutôt aménager une voie supplémentaire dans les deux sens sur l’autoroute Henri-IV pour contrer l’effet d’entonnoir qui se crée dans ce secteur », croit-il.
Consolider et réparer
Avec son objectif de densification du territoire, la Ville de Québec n’entend pas étendre son réseau routier, mais plutôt le consolider.
Ce qui voudrait dire privilégier des projets comme la prolongation de l’avenue Saint-David ou de la montée Mendell, cette voie qui pourrait relier le boulevard de la Chaudière et du Versant-Nord à Cap-Rouge.
La décongestion de certaines artères passe aussi, dit la Ville, par la refonte de carrefours achalandés comme celui de Lebourgneuf-Pierre-Bertrand ou Henri-IV et Industrielle.
Mais en même temps qu’elle doit consolider, la Ville doit aussi réparer toujours davantage ses 2500 km de rues, soit l’équivalent de la distance qui la sépare de Winnipeg, au Manitoba.
Comme le pavage a une vie utile qui varie de 15 à 30 ans et que 60 % de la ville a grandi après 1950, on peut comprendre que plusieurs rues, si elles n’ont pas été refaites, sont dans un piteux état.
Pour garder son pavage en état, la Ville devrait investir 26,5 millions $ par année, alors que le budget alloué à la réfection n’est que de 12 millions $.
Résultat, le taux de désuétude des rues de Québec est de 21 %- il faudrait refaire 21 % du kilométrage de rues chaque année – , alors qu’une ville canadienne en bon état a un taux de désuétude de 10 %. Dans ses travaux de réfection, la Ville de Québec va au plus urgent et au plus achalandé. Les artères reçoivent donc 70 % du budget et les rues locales, 30 %.
LA CIRCULATION A QUÉBEC VUE PAR NOS LECTEURS
Vos réponses, qu’en pensez-vous?
Qu’est-ce qui vous fait rager dans la circulation ?
Négligence
Deux voies de circulation seulement sur Pierre-Bertrand (direction nord et sud) entre Lebourgneuf et des Tournelles, c’est insuffisant compte tenu de la densité de la circulation. L’accotement en gravelle dans ce secteur est toujours plein de nids-de-poules. La Ville est très négligente concernant l’entretien de cette artère.
Pierre Fournier, Québec
Trois voies sur du Vallon
L’autoroute du Vallon en direction Nord est régulièrement le théâtre d’accrochages ou d’accidents avec blessés à la bretelle qui donne accès à du Vallon en provenance de Charest. Il faudrait réaménager tout le secteur pour donner trois voies sur du Vallon dans les deux sens.
Benoît Arsenault, Charlesbourg
Route mal foutue
La route du Pont, à Saint-Nicolas, près de l’autoroute 20, est tellement mal foutue que l’heure de pointe y est toujours un enfer. Essayez d’aller à la SAQ en arrivant de la 20 et d’en ressortir en tournant à gauche.
Jérôme Bilodeau, Lévis
Entrée et sortie
Concernant les intersections dangereuses, l’autoroute Charest Est et Henri-IV Sud, ainsi que Charest Est et du Vallon Sud ; deux endroits où nous retrouvons une entrée d’autoroute et une sortie d’autoroute au même endroit. Je ne sais pas où l’ingénieur avait la tête…
Christian Courchesne, Sainte-Foy
Saletés de VUS
Qu’est-ce qui me fait rager dans la circulation ? La présence de plus en plus grande des véhicules utilitaires sport qui, en plus d’être une menace par leur poids, augmentent la consommation de carburant et la pollution. Un autre danger provient du sentiment de supériorité que semblent développer plusieurs conducteurs de ces véhicules.
Marc-André Roberge, Sainte-Foy
Moi, moi, moi
A voir le nombre de grosses cylindrées, de roulottes et de motorisés longs comme un bloc à appartements, je ne peux qu’en venir à la conclusion que le message écolo n’a pas passé pour plusieurs. Bref, c’est le me, myself and I. Plus on parle de changements climatiques, de pollution de l’air et de pollution par le bruit, plus les gens achètent des grosses cylindrées et plus il y a de motos qui pétaradent.
Jean Langlois, Québec
Jean-Talon inachevée
Je suis exaspéré par les routes inachevées, mal élaborées qui contraignent la circulation ou qui ne mènent nulle part, par exemple le boulevard Jean-Talon. Originalement, il devait permettre le lien d’est en ouest au nord de Québec ; il donne toujours dans un cul-de-sac.
Roger Maltais, Québec
Lignes réclamées
Les lignes blanches et jaunes sur l’asphalte sont bien absentes, il me semble. Elles sont pourtant très utiles…
Jacqueline Savoie, L’Ancienne-Lorette
Entonnoir laurentien
L’autoroute Laurentienne se transforme en entonnoir entre le boulevard de la Capitale et la sortie de la rue Soumande. On fait arriver la circulation issue de la Capitale et celle de Laurentienne sur deux voies ; c’est un grave problème de conception à l’origine qui occasionne des bouchons quotidiens. Trois ou quatre voies sur moins d’un kilomètre régleraient le problème.
Marcel Gilbert, Lac-Saint-Charles
Dangereux Champlain
Le boulevard Champlain est en très mauvais état (surtout en se rapprochant du Vieux-Port) ; la chaussée est remplie de trous et de dénivellations. C’est dangereux en auto, en moto et à vélo.
Bernard Vidal
Route de démolition
Faites un tour sur le boulevard Laurier entre les ponts et du Vallon : catastrophique, on démolit nos autos et c’est en plus l’entrée de la ville. Les touristes doivent rire de nous. Les bordures de rue sont désagrégées, il n’y a pas de trottoir à plusieurs endroits, on a l’air fou. Il y avait une chicane avant les fusions sur qui allait payer. Maintenant, le problème ne se pose plus.
Denys Aubert, Cap-Rouge
PARC AUTOMOBILE EN CHIFFRES
– Le nombre de véhicules neufs vendus ou loués dans la capitale nationale et sur la Rive-Sud (Lévis) est passé de 29 976 en 1996 à 47 320 en 2002. Ces deux régions comptent 57 concessionnaires automobiles.
– Le nombre de véhicules par ménage est de 1,10 sur le territoire de la ville de Québec.
– Le territoire de la ville de Québec compte 169 stations-services et dépanneurs avec essence.
Nombre de véhicules de promenade (capitale nationale en 2002)
Automobiles et camions légers (promenade) : 244 525
*Véhicules commerciaux : 42 195
Motocyclettes : 6 863
Cyclomoteurs : 1 051
Total : 294 634
*A Lévis, en 2002, il y avait 70 374 véhicules de promenade en circulation et 10 159 véhicules institutionnels, professionnels et commerciaux : automobiles, autobus, poids lourds, tracteurs, etc.
Malgré la mise au rancart de plus de 100 000 véhicules par année à Québec, le nombre d’automobiles a augmenté de près de 9 % depuis 1998, suivant ainsi la tendance provinciale. Au Québec, en 2003, il y avait 5 063 449 véhicules en circulation.
Sources : Concessionnaires automobiles INFOGRAPHIE LE SOLEIL de Québec, SAAQ et Ville de Québec
CHANTIERS A VENIR
Québec compte 2500 km de rues et 103 km d’autoroutes (703 km de voies circulables incluant les bretelles)
Les grands chantiers à venir avec les années projetées :
- Boulevard Champlain (entre rue Champlain et des Sapeurs): 2004
- Secteur d’Estimauville-Sainte-Anne: 2005
- Boulevard Laurier près des ponts: 2006
- Boulevard Charest : Marie-de- l’Incarnation à Langelier (à déterminer)
- Grande Allée : entre le Concorde et des Érables : 2005 et 2006
- Chemin Saint-Louis, de Holland à la Place Mérici : 2005 et 2006
- Trait-Carré à Charlesbourg : 2005
- Côte du Palais : 2006
- Avenue des Hôtels : 2005
- Charest entre Langelier et Anna : 2005
Jean-François Néron, 12 septembre 2004. Reproduit avec autorisation
13 septembre 2004 à 09 h 41
Ce qui est plate dans ces articles, c’est que le lien entre surcapacité autoroutière et surmotorisation (possession et utilisation de l’automobile) des ménages n’est pas souligné.
Autrement dit, c’est peu être à cause de nos nombreuses autoroutes qu’il y a de en plus de gens sur les routes (et de moins en moins de gens dans les voitures….).
Mais on mentionne toujours la solution «route» pour (tenter de) règler le problème «congestion», sans allumer sur le fait que justement, c’est cette solution qui créer en bonne partie le problème…
On parle d’un nouvelle voie pour les automobiles sur le Pont Pierre-Laporte!!!! Ça fait 10 ans qu’on parle d’une voie réservée au transport en commun Interrives et on étudie encore sur le comment favoriser l’auto! …
Que d’espaces perdus à faire des grandes surfaces à la tête des ponts du côté de la rive-sud, quand on aurait pu en faire de ce secteur un quartier super mixte avec une excellent desserte en TC, entre autres à cause de la voie réservé facilitant le transport collectif, un peu comme la station de métro Longueuil, mais en plus beau.
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14 septembre 2004 à 00 h 40
J’apporterais une nuance au commentaire de Pascal. Dans les articles du Soleil, on ne fait que peu de distinction entre route et autoroute. Or, selon moi, le développement du réseau routier, et non autoroutier, pourrait réellement améliorer autant le traffic automobile que les autres moyens de transport (TEC, vélo, etc.). Autrement dit, ajouter des routes me semble une bonne idée.
Par exemple, un lien est-ouest entre Hameel et Capitale pour relier du Vallon et Laurentien, ou encore des liens nord-sud partant de Ste-Foy (d’ailleurs, il y a 3 autoroutes reliant Ste-Foy à tout ce qu’il y a au nord, mais AUCUNE route, vraiment aucune)
Pour le reste, les voies réservées sur le Pont Laporte sont évidemment une très bonne idée qui ne semble malheureusement pas avoir l’appuis de personnes infuentes…
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14 septembre 2004 à 02 h 34
Ça ressemble à une campagne en vue de mieux faire accepter aux quelques récalcitrants les projets de transports pour la région de Québec, dont le premier d’envergure sera le prolongement de l’autoroute du Vallon.
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14 septembre 2004 à 10 h 08
Il manque des routes certes, mais surtout des boulevards (et là, je ne parle pas du «boulevard urbain du Vallon», au nom traficoté pour faire passer cette quasi-autoroute).
C’est comme si on avait sauté un stade, que nous étions passé du stade «rue» au stade «autoroute», sans passer par le stade «boulevard». Conséquences : 1) le développement s’est fait n’importe comment et étalé, sans concentration autour d’axe important de TC
2) le TC, surtout Banlieue-Centre, roule sur des autoroutes congestionnées, se remplit au point A et se vident au point B. Donc, c’est moins rapide et moins rentable.
Mais la solution n’est surtout pas de construire des voies d’accès (ce qui ne sont pas des routes, mais des annexes aux autoroutes), par exemple sur de la Capitale. Ça ne fait qu’augmenter la capacité.
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15 septembre 2004 à 15 h 32
Les problèmes de congestions ont été étudiés par les américains. Hé oui, eux aussi ont des problèmes de congestion en dépit d’infrastructures routières tant tellement meilleures. Louis-Gilles Francoeur en traite dans Le Devoir du lundi 13 septembre 2004, « Automobile : perte de contrôle aux États-Unis ».
Je trouve déplacéela couverture de ce dossier faite par le Soleil . Il sagit d’un faux problème. Comment ne pas s’interroger sur les intentions du journal en poussant ainsi ce sujet en première page ?
JT
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31 mars 2008 à 12 h 47
1 – Est-ce que rajouter une voie sera la solution quand 90% des écoles de conduite enseignent de ne PAS utiliser la voie de droite ?
2 – l’émergence des SUV est partiellement causée par un gouvernement cheap sur la qualité des asphaltes, l’Ontario, le vermont est New-York ont notre climats mais de bien meilleure routes. Le gouvernement décline toute responsabilité quand vous pétez des organes de suspension sur votre civic ou autre petite auto, quand on est rendu à acheter des suv pour ne pas aller aligner notre roue, changer des bearing et des booshing de suspension, des pneu … c’est grave.
SUV consomme plus oui, mais les solutions écologiques existent, mon tundra 2007 4,7L ne rejette que de la vapeur d’eau (0 pollution, entièrement respirable). Le gouvernement refuse de reconnaître le système (à 300$) parce que malgré le baratin dans les média, notre gouvernement est anti-écologique.
3 – une société individualiste devra subir le traffic 80% des automobilistes sont SEULS dans leur véhicules, même si c’est une van !!!
4 – Le gouvernement n’est pas intéressé à réduire le trafic, sinon, plutôt que d’essayer de décourager l’usage de la moto sous de faux prétextes (50% des accidents de moto impliquent une auto, aux dire de Mr Harbour, or les motocyclistes ont un cour de 31h obligatoire, et pas les auto … en connaissance de cause, les autos sont bien moins prudentes. Il y a plus de « fous » en civic que de « fous » en moto : regardez le journal de montréal à l’année longue de lundi, vous verrez qui prend le champs). OR ! Comme à Paris par exemple, le gouvernement AURAIT DÛ sensibiliser, former et inciter l’usage du 2 roues pour des raisons de pollution et de trafic : REMPLACEZ CHAQUE AUTO PAR UNE MOTO, fini le traffic ! J’ai vu à Paris des hommes d’affaire en costume et cravatés aller travailler en scooter !
Finalement les solutions existent, mais nos dirigeants préfèrent voter une loi débile après une brosse (l’usage du cell, mais continuez de parlez, et bouffer et fumer, et changer de CD …. , les pneu d’hiver … en 2006/2007 j’ai roulé tous les jours jusqu’au 26 dec avec ma moto et une peu chaque mois de l’hiver … assez pour ne pas avoir à charger ma batterie au printemps !) plutôt que de tous mettre en oeuvre pour appliquer des solutions EXISTANTE depuis des lustres !!!
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