Du manoir à la Moulinsart de dame Pauline Marois aux médiocres mairies d’arrondissement de Montréal, les relations entre l’architecture et le pouvoir s’étayent encore et toujours à coups de symboles criants et de controverses musclées.
Ce serait chouette de pouvoir exposer aux morts les mutations du monde depuis leur disparition. On aimerait par exemple convoquer le fantôme de Charles-Joseph Coursol, maire de Montréal au début des années 1870, pour lui montrer ce qu’est devenue sa ville adorée (…)
Source: Le Devoir
Stéphane Baillargeon
27 octobre 2007


