Patrick Albert, Vice-président d’Accès Saint-Laurent Beauport
La construction de l’autoroute Dufferin-Montmorency a éliminé la majorité des points d’accès au fleuve dans l’est de la ville. Il y a une barrière physique importante.
Contrainte pour retrouver des accès au fleuve :
multiplicité de ceux qui possèdent les terrains (ports de Québec, etc…)
Réglementation complexe (loi maritime du Canada, lois de l’environnement fédéral et provincial, lois du transport fédérale et provinciale, ainsi que les règlements municipaux
Des visions contradictoires (récréotouristiques, développement socio-économique, etc.)
Ce qui se fait dans d’autres villes :
Objectif : Atteindre un juste équilibre entre le développement récréotouristique et le développement industrialo-portuaire.
Durant la période de questions, nous avons droit au St-Graal de la souveraineté : selon un membre de l’assistance, seule la souveraineté permettra au Québec de ne pas devenir un Nouveau-Brunswick. Selon lui, l’agrandissement de la voie maritime fera que plus de bateaux nous passeront sous le nez sans qu’ils s’arrêtent.
Un autre s’exprime sur le fait que plus de gros bateaux seraient un problème pour les GES. Ils oublient sûrement que plus les bateaux peuvent allez loin, moins il faut utiliser de camion. Le navire est le moyen de transport le moins polluant, et le camion est celui qui pollue le plus.