Le journal Le Soleil fait mention d’une pétition qui circulerait à l’effet qu’un laissez-passer hebdomadaire soit créé par le RTC. Quel est votre avis sur le sujet ?
Développement: Le RTC ouvert au laissez-passer sept jours
RTC: Laissez-passer hebdomadaire ?
Par 
Gérald Gobeil le 27 octobre 2010 38 commentaires
Voir aussi : Transport en commun.
38 commentaires
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27 octobre 2010 à 10 h 01
Je crois que ce serait une excellente idée. Cela offrirait une alternative pour ceux qui doivent utiliser le service plus d ‘une journée, mais qui n’ont pas, non plus, besoin de payer pour un mois complet .
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27 octobre 2010 à 12 h 01
Je suis d’accord.
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27 octobre 2010 à 10 h 12
Plus il y a d’options pour que les gens puissent utiliser le transport en commun mieux c’est!!
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27 octobre 2010 à 10 h 51
C’est une bonne idée. Les billets ça reviens chaire et plein de monde préfèrerais surement payer pour 7 jours même s’ils utilisent la bus juste 3 ou 4 jours pour économiser.
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27 octobre 2010 à 11 h 00
Pratique pour les touristes. Solution abordable pour utiliser le transport en commun à volonté sans tracas.
En principe le prix d’un tel laisser passer devrait être moins cher que 7 passes quotidiennes, mais plus cher par jour qu’un laisser passer mensuel.
Là ou le RTC risque de se faire jouer des tours c’est durant les périodes de vacances d’été et de noel, ou les petits wise vont acheter deux laisser-passer hebdomadaires pour les 2 semaines qu’ils travaillent plutot que de payer une passe pour un mois qui sert a rien pendant les 2 autres semaines.
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27 octobre 2010 à 13 h 25
À deux billets par jours, on fait 14 jours d’aller-retour (plus un aller simple, donc tout près de 3 semaines de travail) vant d’atteindre le prix d’un laisser-passer mensuel, alors c’est déjà parfois avantageux.
Mais peu importe, une passe hebdomadaire à environ 25$ (le prix d’environ 4 laisser-passer quotidien, ou de 10 billets simples) serait sûrement bienvenue.
Je trouve aussi que ce serait super pour les touristes.
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27 octobre 2010 à 11 h 33
pourquoi pas!
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27 octobre 2010 à 11 h 34
Cela fait longtemps qu’Accès transports viables suggère au RTC de modifier sa tarification pour la rendre plus flexible et attrayante et ainsi attirer les usagers occasionnels pour qui ça revient plus cher de prendre le bus pour aller au cinéma en couple que de prendre leur char.
Cela devrait aller encore plus loin que d’offrir uniquement un laissez-passer hebdomadaire. À titre d’exemple, nous proposions dans notre plateforme tarifaire: d’offrir un rabais à l’achat de 10 billets, un tarif réduit de soir et de fin de semaine, de modifier le principe de correspondance pour qu’un titre de transport soit valide 120 minutes sur l’ensemble du réseau (retour compris), étendre la gratuité aux enfants de moins de 12 ans.
Lors de l’implantation de la carte OPUS, ce système était présenté comme « un plus ». Malheureusement, malgré les possibilité technologiques que cet outil offre, force est de constater que l’usager n’y gagne rien, voire il y perd: resserrement des règles sur les correspondances, achat de la carte nécessaire, difficulté de visualiser adéquatement le solde de la carte, problèmes techniques occasionnels, billets disponibles uniquement en multiples de 4…
Il est grand temps que le RTC entre dans la modernité en matière de tarification. Avec le même système de carte, la STM offre un choix de titres de transport beaucoup plus alléchant, surtout pour les usagers occasionnels.
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27 octobre 2010 à 12 h 41
Et à quand un système permettant de recharger sa carte par internet ou dans un guichet conçu à cet effet, comme dans toutes les grandes villes ?
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27 octobre 2010 à 13 h 20
Je crois qu’.il serait impossible de recharger une carte OPUS par Internet puisque le titre de transport est encodé SUR la carte elle-même. Un terminal est donc nécessaire pour écrire sur la carte…
Dans d’autres villes, la carte est seulement un moyen d’identification et le titre est « dans le système ». On peut recharger sa carte à distance, mais chaque lecteur (autobus, etc) doit être connecté d’une facon quelconque au système… Je suppose que la carte à puce est plus facile à gérer pour les services de transport….
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27 octobre 2010 à 13 h 32
En ligne, je ne crois pas que ce soit possible avec le système OPUS. Par contre, dans une borne conçue à cet effet, c’est tout à fait envisageable. Il existe de telles installation dans les stations de métro à Montréal, il est possible d’y payer en argent ou par carte. Il serait très simple d’en installer dans les principaux terminus de Québec. Ces bornes peuvent aussi servir à valider le solde disponible sur la carte, un point faible du système de Québec, vous ne voyez ce qu’il y a sur votre carte qu’au dépanneur ou lorsque la machine débite un billet.
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27 octobre 2010 à 12 h 54
Effectivement, la carte Opus et les fonctionnalités potentielles qui l’entourent sont largement sous-exploités. Honnêtement, même si la ville ou le RTC diront que c’est un « pas en avant », je trouve qu’il est très timide et que dans l’ensemble, on fait dur à cet effet.
Petite correction: on n’a pas resseré les règles de correspondances à ce que je sache. Auparant c’était de 90 minutes, sans possiblité de reprendre le parcours d’origine, alors que maintenant, c’est 120 minutes. Il y a peut-être d’autres détails qui m’échappent.
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27 octobre 2010 à 13 h 22
En effet, on ne peut pas dire que le règlement a été resserré, mais son application oui. Voici quelques précisions sur le règlement sur les correspondances qui selon nous ne marche pas.
1- Le temps impartis avec les transferts papiers était d’au minimum 90 minutes, mais pour pallier à la longueur de la course (i.e vous embarquez 25 minutes après le départ du 801 à partir du terminus du zoo) elle était dans les faits de 119 minutes. Donc un léger gain de ce côté.
2- Par contre, le règlement 230, qui stipulait qu’il était interdit d’utiliser une correspondance pour revenir sur ses pas ou reprendre le même parcours n’était pas appliqué à la lettre. Tous les chauffeurs tolérait l’utilisation d’une correspondance sur le même parcours à condition de ne pas revenir sur ses pas. Maintenant c’est la machine qui décide. Alors si vous devez arrêter au dépanneur, ou chercher votre enfant à la garderie et que vous débarquez 10 minutes du parcours 7, il vous en coutera un autre billet pour poursuivre votre route. Ce n’est pas très convivial pour l’usager qui perd une flexibilité appréciable.
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27 octobre 2010 à 13 h 26
C’est effectivement 120 minutes maintenant, mais toujours sans possibilité de prendre le même parcours 2 fois dans un trajet. Avant, la restriction était « le même parcours DANS LA MÊME DIRECTION ».
Il n’est donc plus possible, par exemple, de prendre le 801 de Marly à l’Université, le 330 jusqu’au terminus Charlesbourg, puis à nouveau le 801 (vers le nord ou le sud). Au pire attendez un 800 à Marly… :)
C’est un petit détail tannant… Mais ca ne doit pas bouleverser grand monde et c’était probablement la règle la plus simple pour gérer les correspondances.
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27 octobre 2010 à 23 h 18
Merci pour ces précisions…
D’ailleurs, la seule fois où j’ai dû tester la limite des correspondances, c’était par un samedi soir, pour un trajet de banlieue à banlieue, en 4 autobus, embarqué dans le premier à 23:35 et dans le dernier à 1:02, donc 87 minutes (puis descente plus tard, mais ça ne compte pas dans le 90 minutes).
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27 octobre 2010 à 13 h 40
Ils l’ont déjà fait ca de permettre un aller-retour sur une correspondance et ils se faisaient frauder à tour de bras, notamment par les étudiants qui s’étaient fait des boites d’échange de correspondance à l’entrée des cégeps & université. Ils ont fini par arrêter ca. Ce système serait moins fraudable avec des Opus et autres laisser-passer que le client est obligé de conserver.
Pour ce qui est des tarifs variables, le problème c’est que c’est la guerre entre les clients et les chauffeurs lors des changements d’heure.
En fait c’est peut être globalement « le bus » qui devrait être en tout temps à un tarif inférieur au métrobus et aux express, vu qu’il offre un service carrément poche.
Mais n’oublions pas que tout se paie, quand on fait un « spécial » à une catégorie de clients, c’est les autres qui payent plus cher… et j’ai pas envie de payer plus cher.
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27 octobre 2010 à 12 h 00
Une impression: si les clients trouvent que ce serait avantageux pour eux, et que le RTC a refusé jusqu’à maintenant de l’offrir, c’est que le statu quo est plus rentable pour le RTC aux dépens du client. Sinon, si le RTC y avait trouvé son compte, ce serait déjà offert.
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27 octobre 2010 à 13 h 09
Ou encore, c’est parce que le système de tarification et de gestion des titres de transport, maintenant sur Opus, n’est pas assez flexible. Je ne parle pas de la carte Opus elle-même, mais plutôt la manière dont le RTC gère le tout, autant du côté de leur matériel, leurs logiciels, et probablement les administrateurs…
Le tout est probablement juste une réplique « plus électronique qu’avant » du système traditionnelle de billet et de passes (quotidiennes et mensuelles). Comme si on n’avait pas pensé qu’on pouvait faire autrement.
Par exemple, une carte de crédit n’est pas qu’une version plastique de l’argent liquide pour payer à la caisse. C’est aussi un moyen de payer par à distance, par téléphone ou Internet. C’est aussi un moyen de gérer des déplacements de fonds avec cet argent qui nous est prêté (malheureusement pour plusieurs, avant qu’ils obtiennent l’argent « réel », avec l’endettement qui s’ensuit). C’est aussi une limite des dommages (parfois faible ou nulle) dans le vol ou la perte.
L’analogie n’est pas parfaite, mais c’est pour illustrer que le RTC ne semble pour l’instant qu’avoir converti le papier en plastique. Ainsi chaque changement dans ce système peu flexible demande alors un effort plus grand que ce qui pourrait être fait si on faisait d’abord un seul effort initial pour se « convertir » pour la peine.
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27 octobre 2010 à 13 h 29
La réponse qu’on nous a fait est qu’il s’agit d’un problème de programmation du système et que des frais s’appliqueraient pour effectuer des modifications. Cela est aussi vrai pour les nouveaux tarifs que pour les correspondances. Il serait possible de modifier le système, mais le RTC ne semble pas prêt à aller de l’avant immédiatement. En espérant que cette pétition mette un peu de pression. Il pourrait s’agir d’un outil de promotion efficace.
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27 octobre 2010 à 20 h 47
Quant on regarde le coût du système OPUS et le résultat, j’ai l’impression qu’on en a pas eu pour notre argent (pour rester poli).
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27 octobre 2010 à 20 h 47
Correction: Quand et non Quant
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27 octobre 2010 à 21 h 02
C’est l’impression que j’ai. Le seul avantage que je vois c’est que maintenant on n’a plus de tapon de vignettes collées les unes sur les autres dans un coin de la carte.
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27 octobre 2010 à 23 h 22
Merci ATV, cela confirme mon intuition. Et si c’est ainsi, c’est parce que l’administration a décidé qu’il en serait ainsi, et qu’ils ont fait faire, ou acheté, je ne sais pas, un système informatique en ce sens.
Donc de ce que je comprends, ils ont troqué le papier pour du plastique, mais ont demandé un nouveau système qui fait sensiblement la même chose que l’ancien, en bon dinosaure sans aucune vision.
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27 octobre 2010 à 17 h 56
Bon, nouvelle fraîche. Lors du conseil d’administration du RTC, M. Dion a confirmé que de nouveaux titres de transports seraient proposés en novembre… Reste à voir les tarifs proposés!
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27 octobre 2010 à 18 h 06
Et des bornes pour recharger les cartes OPUS ?
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27 octobre 2010 à 21 h 05
Et un site internet pour renouveler l’abonbus de manière intuitive? Présentement on a un formulaire bâtard mais aucune interface web 2.0. Quand on veux faire un changement, il faut les appeler. On se croirait dans les années 90 quand les achats par internet était une excentricité.
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27 octobre 2010 à 22 h 01
Québec aurait un statut de ville internationale. Tant mieux. Mais de ce côté, quand on a voyagé ne serait-ce qu’un peu, on constate que notre RTC a des choses à améliorer. J’ai confiance toutefois que le conseiller responsable (Raymond Dion) saura nous faire des annonces bientôt. L’obstacle habituel des coûts afférents ne tiens plus. La technique est là. Le transport en commun à Québec est en 2010 ou ne l’est pas.
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27 octobre 2010 à 23 h 44
D’emblée, il faudrait réellement qu’un utilisateur occasionnel ou régulier du RTC puisse (une « possiblité », pas une « obligation ») complètement éliminer le « dépanneur » dans la chaîne d’opération. Youhou! on est en 2010, ce n’est pas normal qu’on doive encore se transporter jusqu’à un point de vente pour acheter… des titres de transport! D’autant plus qu’on doive le faire dans les heures d’ouvertures de ces commerçants.
Juste à titre de comparaison, il y a presque 10 ans, j’utilisais une « carte d’appel internatinonaux » (ça me revenait qqc comme 4 cents la minute appeler de l’Australie à ici…). Une carte tout à fait « el cheapo ». Un bout de carton avec un dépliant mal traduit en plusieurs langues Ben cré-moé cré-moé pas, je pouvais la « recharger » en 2 minutes 24h/24 par un simple appel téléphonique (en même temps que j’appelais ici par exemple) et une carte de crédit.
Autre exemple, on peut aussi acheter un chandail en alpaca de l’autre bout du monde par internet, à une petite entreprise familiale. Pas besoin de s’appeley eBay pour faire du commerce en ligne.
2010…
Entk, je reviens au sujet.
Tant qu’à avoir un carte qui contient des titres de transport, pourquoi pas avoir un système de « crédits ». C’est comme un billet, mais tu peux avoir différents coûts selon les heures ou les trajets. Par exemple, soirs et fin de semaine c’est un crédit, ou deux en « temps normal ». Ça peut aussi être un crédit en temps normal et un demi en période plus creuse. Peu importe, on choisira ce qui semble être le plus simple à comprendre pour tout le modne.
Un laisser-passer mensuel devient alors simplement un nombre illimité de crédits pour le mois en question. On peut aussi avoir un laisser-passer hebdomadaire qui est un nombre illimité de crédits pour 7 jours à partir de la première utilisation (s’il n’y a pas de laisser-passer mensuel en cours bien sûr). Même chose pour le laisser-passer quotidien (qui passe après les mensuel et hebdomadaire s’il y a lieu). À défaut d’avoir ces laisser-passer, ce sont les « billet-crédits » qui sont débités (à un taux variable si on veut).
En fait, j’avais l’impression que c’était un peu comme ça que ça fonctionnait, mais semble-t-il que c’est présentement beaucoup plus limité et rudimentaire.
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28 octobre 2010 à 10 h 32
J’ai vu récemment un documentaire à TV5 sur Helsinki, Finlande, « home of Nokia ». Ils peuvent acheter des boissons gazeuses dans une machine distributrice simplement en signalant le numéro de téléphone sur la machine, de même qu’ils peuvent s’informer des horaires à une station de tramway (ou de bus on s’en fout) en photographiant avec l’appareil photo du cellulaire (que juste qu’ici j’ai toujours trouvé totalement inutile) l’espèce de cote à barre nouvelle génération qui apparait sur l’abri-bus. On peut en déduire que ce sera possible un jour de simplement acheter des billets de bus avec un cellulaire ou qqchose du genre…
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28 octobre 2010 à 22 h 08
« D’emblée, il faudrait réellement qu’un utilisateur occasionnel ou régulier du RTC puisse (une « possiblité », pas une « obligation ») complètement éliminer le « dépanneur » dans la chaîne d’opération. Youhou! on est en 2010, ce n’est pas normal qu’on doive encore se transporter jusqu’à un point de vente pour acheter… des titres de transport! D’autant plus qu’on doive le faire dans les heures d’ouvertures de ces commerçants. »
Ne voit pas où est le problème du dépanneur… (chercher des problèmes où est-ce qu’il en a pas ! ) Surtout que le dépanneur a justement des heures d’ouvertures assez longues…
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28 octobre 2010 à 09 h 00
@Manu
C’est déjà possible d’éliminer le dépanneur pour un utilisateur occasionel… payer comptant. Cette possibilité n’existe pas dans beaucoup d’autres grands réseaux…
Ceci dit, j’aime bien votre idée de crédits. D’ailleurs, quelqu’un sait si on peut charger des billets sur la même carte qu’un laissez-passer mensuel? Lorsque le laissez-passer expire, ce sont les billets qui sont utilisés??
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28 octobre 2010 à 11 h 10
Pour payer comptant, il faut avoir le montant juste et c’est un tantinet plus cher qu’avec des billets. Et à quoi bon avoir une carte Opus dans ce cas…
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28 octobre 2010 à 09 h 07
Quand on a la carte OPUS avec le forfait de Communauto, la carte est chargée automatiquement à chaque mois. J’en déduis que le chargement par internet devrait être possible aussi. Simple manque de volonté.
D’ailleurs le RTC devrait s’inspirer du SPM qui vient de gagner un beau prix
http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201010/28/01-4336866-la-stm-elue-meilleure-societe-de-transport-en-amerique-du-nord.php
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28 octobre 2010 à 11 h 13
hehe, STM, pas SPM. Le seul usage de l’acronyme SPM que je connaisse n’est pas vraiment une source d’inspiration!
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28 octobre 2010 à 11 h 29
Manu,
t’as bien raison. STM. Avec le lien ça devenait quand même compréhensible, je pense?
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28 octobre 2010 à 22 h 00
Bien sûr, c’était juste drôle :)
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28 octobre 2010 à 23 h 05
Moi j’aimerais pouvoir payer ma carte Opus dans un guichet ou une caisse interac. Il y en a partout. Ce serait plus pratique que d’aller dans un point de vente. Évidemment il faudrait que le RTC modifie son système d’encodage.
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3 novembre 2010 à 10 h 21
Une info: Les gens qui ont acheté une carte OPUS qu’on utilise occasionnellement (achat de 4 billets à la fois), ne peuvent s’en servir dans l’Écolobus car ce serait le prix d’un billet ($2.50) qui serait débité et non $1. Vérification faite auprès du RTC (le chauffeur ignorait tout là-dessus).
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