Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Retrait des supports à vélos sur les Métrobus

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 28 octobre 2010 26 commentaires

De retour en mai 2011

Voir aussi : Transport en commun.


26 commentaires

  1. Pier Luc

    28 octobre 2010 à 21 h 18

    Comme si on ne pouvait pas faire de vélo l’automne. Gagne de crétins!

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  2. Johnny

    28 octobre 2010 à 22 h 06

    Une chose est sure, ce n’est pas un cycliste qui travaille au RTC qui a pris cette décision. Franchement du vélo on peut en faire presque à l’année quand on est passionné!

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  3. Georges-Antoine

    28 octobre 2010 à 22 h 19

    Si on veut pousser pour le développement durable; il va falloir laisser faire du vélo toute l’année ceux qui le veulent!

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    • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

      28 octobre 2010 à 22 h 51

      Pousse mais pousse égal!

      C’est une chose de promouvoir le vélo, c’est une autre chose de dire que l’on promeut le développement durable avec le vélo à l’année. Le développement durable c’est un concept creux à mon avis.

      Les motos sont interdites l’hiver pour une raison, personnellement, je ne crois pas que le vélo l’hiver soit une bonne idée.

      Je sais que les gens vont parler de Copenhague ou Stockholm, mais svp comparez les climats de ces villes avec celui de la ville de Québec avant.

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      • Pier Luc

        28 octobre 2010 à 22 h 59

        À ce que je sache, l’hiver n’est pas encore arrivé. Ils auraient pu attendre à la fin novembre pour les enlever. Puis même là, est-ce nécessaire de les enlever? Ou est-ce que ça vas avec le principe de la « fermeture des pistes cyclables »? Parce qu’en fait, les pistes ne ferment pas réellement tan qu’elles ne sont pas enneigées. Et, le monde ne vas pas se dire: « Ah bien la piste est fermée, c’est écrit sur la pancarte, alors je ne fais plus de vélo ». Si le chaussée est sèche et qu’il fait beau ils vont en faire.

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      • Goldoche Utilisateur de Québec Urbain

        28 octobre 2010 à 23 h 20

        Ok, bon point Pier Luc. On aurait pu les garder jusqu’à la fin novembre.

        Par contre pour les pistes, avec le gel, il se forme de la glace noire assez dangereuse merci, pour avoir moi-même failli tomber dans la rivière st-charles en faisant du vélo en novembre de l’an dernier. Sans doute qu’avec un vélo de montagne, j’aurais eu une meilleur adhérence, mais malheureusement je n’avais qu’un vélo hybride.

        Cela dit, je trouve ça un peu chien pour les autres utilisateurs du TEC que de mettre des racks à vélo. Je pense que si on veut un TEC efficace, il faut le transport avec le moins de contretemps possible.

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      • julien

        29 octobre 2010 à 06 h 26

        @Pier Luc

        Oui, les pistes cyclables sont fermées. Du moins, pour celles en bordure de rue, il n’est plus interdit de s’y stationner, donc les cyclistes ne peuvent plus s’y promener sans zigzaguer entre les autos…

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  4. Philippe

    29 octobre 2010 à 08 h 58

    Que certains d’entre vous sont drôle! Êtes vous sérieux quand vous dites que c’est possible de faire du vélo à l’année!?!? Vous êtes déjà assez dangereux l’été, en roulant sur la route sans vous préoccuper des automobilistes, vous voulez rouler l’hiver, avec la glace, les routes moins larges, la visibilité moindre…???

    Vous êtes sérieux!?!?!?! En tout cas, c’est votre vie…

    Ah et une autre affaire, c’est quoi votre problèmes, les cyclistes, de vous obstiner à rouler sur la route et d’en prendre aussi large? Allez sur le maudit trottoir, je ne risquerai pas de vous frapper!!! Quand vous en prennez aussi large, je dois me tasser, pour quasiment aller dans la vois de gauche, pour vous éviter.

    Tant mieux si les « bus » retire leur « rack ».

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    • Frédéric

      29 octobre 2010 à 09 h 19

      Tut, tut. Le trottoir c’est pour les piétons. On ne règle pas un problème en le pelletant dans la cour des autres. Déjà, au nombre de fois que je me fais siffler les oreilles par un cycliste sur le trottoir de René-Lévesque (passant à un cheveux de me rentrer dans le dos si je décidais de faire un pas de côté pour éviter un obstacle), je n’en veux pas plus.

      Le problème, c’est quand les cyclistes s’obstinent à passer par de grands boulevards sans piste cyclable, alors qu’il existe une multitude de petites rues parallèles pas mal plus sécuritaires. De la rue Eymard près de l’Université jusqu’au Vieux-Québec, il n’y a AUCUNE raison pour un cycliste d’emprunter René-Lévesque, pour citer cet exemple d’actualité.

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    • Louis

      29 octobre 2010 à 11 h 39

      Quel effort insurmontable que de vous demander de nous dépasser en changeant de voie!! Ouf, une chance qu’on vous a mis un volant dans votre voiture!

      Pensez vous vraiment que les cyclistes ne se préoccupent pas des automobilistes? C’est notre principale préoccupation parce qu’il y en a toujours un qui passe près de nous tuer. Si on roule large c’est justement pour vous obliger à changer de voie au lieu de nous frôler. Vous ne risquez pas de nous frapper si vous savez conduire.

      @ Frédéric
      Oui il y a une raison de circuler sur les artères plus importants, c’est les même que pour les voitures: plus direct (surtout que le cycliste fournis lui-même l’effort contrairement à l’automobiliste), parce que sa destination y est peut-être, parce qu’il y demeure peut-être, parce qu’il y a moins d’arrêt, etc. C’est comme si vous demandiez aux automobilistes de circuler uniquement sur les autoroutes, assez absurde vous l’admettrez…

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      • Frédéric

        29 octobre 2010 à 14 h 22

        Faire du vélo est un choix, on ne m’amadouera pas avec la notion d’effort. Prenez le bus si l’auto vous apparaît comme le véhicule de Satan et que le vélo est trop exigeant physiquement. Ou l’hélicoptère, si ça vous branche tant de faire le trajet le plus direct possible…

        J’ai jamais entendu un cycliste dire « Moi je fais du vélo pour demeurer en forme, mais je veux juste aller en ligne droite parce que tourner ça fait bobo ».

        On me répondra « Ouais mais aller en ligne droite permet de sauver du temps! ». D’accord. Donc sauver 5 minutes est plus important que de sauver votre peau? Ah bon. Étrange sens des priorités, surtout quand on peut partir 5 minutes plus tôt pour compenser. Et là on parle de ceux qui font du vélo pour se rendre au travail. La notion de « sauver du temps » ne tient pas pour les cyclistes qui roulent pour le plaisir.

        « Ouais mais il y a moins d’arrêts que sur les petites rues! ». Peut-être, pour quelqu’un qui fait tous ses stops, ce que peu de cyclistes font d’ailleurs. N’empêche, le feu rouge requiert une immobilisation bien plus longue. Hors de la théorie, en pratique l’argument ne tient pas la route (!). J’ai voyagé de l’Université à la rue Cartier en vélo pour aller travailler pendant mes études, et c’était plus rapide (et sécuritaire) par Raymond-Casgrain et Père Marquette que par René-Lévesque.

        À moins que votre trip ce soit de rouler comme un défoncé qui prépare le Tour de France. Là, effectivement, vous vous fondrez plus dans la masse sur René-Lévesque que sur Père-Marquette, mettons.

        Quant à la destination, si vous vous rendez chez Izba Spa à partir de l’Université, ce n’est pas une raison pour faire tout le trajet sur René-Lévesque. On peut facilement y monter seulement à l’approche de sa destination. Idem si le cycliste demeure sur René-Lévesque.

        Tous ces arguments qu’invoquent les cyclistes qui s’obstinent à emprunter René-Lévesque (ou n’importe quel grand boulevard) apparaissent assez faiblards, quand on met dans la balance leurs intérêts face à ceux des automobilistes, utilisateurs du transport en communs et commerçants qu’ils vont emmerder avec leurs sens uniques et leurs réductions du nombre de voies et des espaces de stationnement.

        Emmerder la majorité pour satisfaire les marottes d’une très petite minorité semble un phénomène à la mode.Mais lorsqu’on veut s’attaquer au mode de vie des autres, il faut avoir des arguments plus solides que : « le vélo ça fait mal aux jarrets, alors donnez-nous des voies directes ».

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      • Louis

        30 octobre 2010 à 11 h 45

        Vous semblez être convaincu de ce que vous prétendez, soit qu’il n’y a pas de raison de circuler sur un artères importants à vélo. Alors s’il n’y a pas de raison pourquoi les gens le font? Est-ce des gens sans cervelles? Ce serait ce moquer des gens de penser ainsi! Surtout que ceux qui le font de façon utilitaire, sur R-L, sont dans bien des cas des étudiants universitaires ou des gens travaillant sur la colline parlementaire. Pensez-y deux minutes, il est certain que ces gens savent réfléchir.
        Alors maintenant qu’il y a un constat que les gens le font, trouvons une solution pour que cette pratique ce fasse de façon plus sécuritaire et en meilleure cohabitation avec ces fou furieux d’automobilistes (10% d’entre-eux, dont vous faite peut-être parti vu cette intolérance qui semble transparaître dans votre propos… à vous de me prouver le contraire) et ces mastodonte d’autobus.

        On ne règle pas de problème en le reniant!

        Concernant les arrêts, j’explique cet aspect dans un commentaire plus bas.

        «On peut facilement y monter seulement à l’approche de sa destination»: lorsque vous croisez un cycliste êtes-vous en mesure de savoir c’est le cas? Je ne crois pas, en voiture vous n’avez pas le temps. Donc ne portez jamais de jugement trop vite sur ces gens, respectez-les, c’est tout.

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  5. Maude G

    29 octobre 2010 à 10 h 48

    Bonjour Philippe,
    Le trottoir est interdit aux vélos, non seulement pour protéger les piétons, mais aussi parce que ça causerait un nombre incroyable de collisions lorsque le vélo est sur la voie prioritaire et les voitures sur la voie secondaire.

    Pense y un instant. Un vélo sur le trottoir sur Chemin Ste-Foy, Cartier, Maguire ou la 3ième avenue, impossible à voir venir pour les voitures qui croisent l’intersection. Les automobilistes regardent (parfois) le trottoir pour ne pas couper les piétons, mais regardent à une distance où il est probable de voir un piéton (1 à 2 mètres). Mais puisqu’un vélo roule de 10 à 35km/h, le conducteur pensera t’il vraiment à regarder sur le trottoir à 10 ou 50 mètres de l’intersection ? Non, jamais.

    Quand je roule à vélo, je prend de la place pour une simple raison : ma sécurité. Les automobilistes sont entrainés pour éviter les collisions avec les voitures donc sont très attentifs à ce qu’il y a au centre de la rue. Pas sur le trottoir, pas dans le stationnement, pas sur l’extrémité limite droite de la voie. C’est ainsi que je suis le plus en sécurité, au grand drame des voiture, j’en conviens, je suis aussi une automobiliste et je comprend.

    Rouler relativement au centre évite aussi de me faire doubler par une voiture qui tourne à droite. Ça semble drôle, mais j’ai 2 collisions à mon actif à ce sujet datant de l’époque où je roulais trop sur la limite de la chaussée. C’est simple, la voiture me double juste avant de tourner à droite, c’est un cas fréquent de collision qui n’arrive plus lorsqu’on roule un peu plus au centre. Finalement, un dégagement protège des portières et laisse de l’espace à droite pour éviter les obstacles de dernière minute car par la gauche, on se fait doubler si proche qu’on a aucun espace pour les obstacles.

    Bref, selon mon expérience, la position sécuritaire en vélo, est à 1.5 mètre de la limite droite de la chaussée (PAS DANS LE PARKING). C’est un peu déplaisant pour les automobilistes, mais la plupart sont très polis et trouvent moyen de dépasser un moment opportun ( en cycliste civilisée, je leur donne une chance) et le tout se fait de façon très polie et fluide.

    Je roule de 25 à 30km, parfois moins quand le traffic m’y force (et oui, le traffic me ralentit aussi). Je crois que c’est une vitesse de croisière urbaine correcte et que les voitures ont toujours l’autoroute s’ils veulent rouler plus vite.

    À bien y penser, les voitures me ralentissent pas mal plus que je ne les ralentit. Pensez à toutes ces lumières où je dois attendre, si la circulation n’était faite que de vélo (impossible, j’en conviens) la géométrie serait très différente et nous, vélos aurions un parcours vraiment plus rapide.

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  6. Maude G

    29 octobre 2010 à 10 h 52

    J’oubliais, je ne comprend pas le problème à aller dans le voie de gauche pour doubler. N’est-ce pas justement ça, la définition de doubler, aller dans la voie de gauche ? S’il n’y a pas de place, c’est peut-être qu’il ne faut pas doubler non ?

    Si je me place plus au centre, je force la voiture à me doubler « quand il y a de la place ». Quand je suis à droite, elle me double très serrée, pensant qu’elle croise et je peux vous jurer que parfois, il y en a qui abusent. Bien entendu, je suis respectueuse et je laisse une chance quand le moment est opportun. Mais ce moment dépend de la circulation, et non de votre retard à votre rendez-vous, ça, j’en ai pas le contrôle.

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    • Philippe

      29 octobre 2010 à 12 h 10

      Le problème c’est quand je dois me « bouger » brusquement pour éviter un vélo, je n’ai pas nécéssairement la chance de me tasser à ma gauche, soit à cause qu’une voiture est déjà à ma gauche, ou qu’une voiture s’enviens.

      Alors, je suis daccord que la voie de gauche est pour dépasser, mais je ne peux pas me permettre de supposer que je peux virer à gauche subitement pour éviter un piéton

      (croyez moi, Maude, j’ai failli être dans les nouvelles de 18h à cause qu’un cycliste est apparu d’entre deux voitures garé sur le bord de la route, j’ai du l’éviter et par le fait même j’ai failli faire un joli accident… je suis un peu plus sur les « nerfs » depuis cet incident…)

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      • Louis

        29 octobre 2010 à 12 h 26

        Si un seul « presque accident » peut vous mettre sur les nerfs, imaginez les cyclistes qui doivent vivre de tels évènements une fois sur 2, surtout que ces accidents mettent pas mal plus leur vie en danger que celle de ceux qui sont douillet dans leur voiture.

        Je tiens aussi à rappeler aux automobilistes qu’ils ont aussi l’option de ralentir lorsqu’il y a un vélo: ralentir, patientez un peu (rarement plus de 15 sec.) et dépasser de façon sécuritaire dès que la voie est libre. Ça parait simple et logique, mais en pratique il y en a beaucoup qui ne l’ont pas encore compris… Je remercie par contre ceux qui font attention, bien que ça devrait être naturel.

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  7. Maude G

    29 octobre 2010 à 10 h 58

    Frédéric :
    La raison pour laquelle on emprunte René-Lévesque est simple : un vingtaine de stop.

    Vélo ou voiture, on prend René-Lévesque parce qu’il est plus rapide.

    Ceci dit, il y a place à amélioré le design de la rue secondaire pour y permettre un trafic de vélo fluide, ça j’en conviens.

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    • Frédéric

      29 octobre 2010 à 11 h 20

      Vingt stop ne restent-ils pas plus rapides que 5 ou 6 lumières rouge? Cela dit, je vois bien des cyclistes qui ne respectent ni les lumières rouge, ni les stop…

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      • Louis

        29 octobre 2010 à 11 h 50

        L’avantage d’un feux de circulation est que le vélos peut s’avancer jusqu’à la lumière contrairement à l’automobiliste qui doit rester à l’arrière de la file. Plus il y a de trafic, plus ça deviens avantageux d’être à vélo.
        Un arrêt (stop) obligent de s’arrêter à tout coup, ou du moins, en pratique, à ralentir suffisamment pour s’assurer que la voie est libre (la vitesse d’un vélo et le fait d’être beaucoup plus en relation avec son environnement que peut l’être un automobiliste permet de simplement ralentir, un peu à la façon d’un céder le passage).

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    • Julien

      29 octobre 2010 à 11 h 52

      Personnellement, je préfère les 20 stops aux lumières rouges… Comme les feux sont synchronisés pour les autos et que je roule moins vite qu’elles je me trouve très souvent arrêté…

      Et, effectivement, il est impossible de rouler trop collé contre le trottoir. C’et la que se trouve tout le sable de la route (même en été il y en a!) et aussi, il y a les bouches d’égoût sur lesquelles il est difficile de rouler, car il y a souvent des trous ou des bosses près des bouches d’égoût…

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  8. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    29 octobre 2010 à 14 h 47

    Servez vous de votre génie et imaginez le beau rack à vélo devenant un beau support jammé dans un épaisse couche de neige glacé et se détériorant dans le calcium.

    Je serais curieux combien il y en a ici qui laissent leur support à vélo sur leur char pendant l’hiver…

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  9. J.

    29 octobre 2010 à 16 h 29

    Réalisez-vous que ce service ne sera pas offert durant plus de 6 mois (sur douze!) !!! Et on compte transformer René-Levesque pour y faire passer une piste cyclable ? En laissant entendre qu’on a à coeur le déplacement en vélo ? On veut convaincre les gens de moins utiliser leur voiture, d’utiliser les modes alternatifs dont le vélo et on suspend pour 6 mois par année le simple service de transporter son vélo sur le devant de quelques autobus et jamais plus de deux à la fois ?. Y a des élus au conseil municipal qui se moquent du monde.

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    • Pier Luc

      29 octobre 2010 à 18 h 20

      C’est le conseil d’administration du RTC qui est con. C’est géré par du monde qui arrivent au travail en voiture. La ville devrait enlever le stationnement du garage du RTC et agrandir le garage avec l’espace récupéré. Le garage serait plus efficace puis le conseil d’administration connaitrait mieux la réalité.

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