Pierre-André Normandin
Le Soleil
(Québec) Pour Pierre-Claude Poulin, la différence entre une bonne et une mauvaise journée pour sa boulangerie repose sur un simple tableau disposé sur le trottoir devant son commerce. Mais depuis que la Ville de Québec interdit aux commerçants de recourir aux affiches mobiles, le propriétaire du Panetier-Baluchon rue Saint-Jean estime perdre 45 000 $ par année
Un billet précédent
* Une question de sécurité et de visuel ? Pas sûr que je comprends bien …




24 avril 2011 à 17 h 14
Vraiment, on est supposé vivre dans un pays libre, oui nous pouvons critiquer mais nous sommes quand même soumis à un tas d’interdits.
J’aimais les affiches mobiles, ça mettait de la vie.
Signaler ce commentaire
24 avril 2011 à 18 h 52
C’est bien ça.
Une interdiction pour pourrir la vie des honnêtes gens productifs. Je suppose, un lot d’inspecteurs pour forcer à respecter cette chose immonde, et une bonne taxe bien augmentée par dessus le marcher. Ben oui, faut bien payer tout ce petit monde de fonctionnaires qui ne sert à rien.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 10 h 10
Voià un autre exemple de la pensée écologique de certains qui trouvent ces affiches polluantes. C’est vrai faut être vert dans tous les sens même si ca nuit aux commercants qui payent des taxes d’affaires plus lourdes que les citoyens propriétaires résidentiels. L »esthétique visuel prend le pas sur les affaires. On s’en fout, il peut crever ce boulanger. Après on s’étonne que certains locaux commerciaux soient vacants et que dans les vieux murs il ne reste que des commerces touristiques et que ceux de proximité disparaissent…
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 12 h 33
« La pensée écologique… » Encore une fois, tu te surpasses Fernand. Toujours une bonne raison pour taper sur les écologistes et les environnementaux. Si je juge la réglementation clairement exagérée, comme son application, il doit y en avoir une pour ne pas revenir à l’époque des néons dans le Vieux Québec il y a moyen de faire des compromis je crois. Quant aux pauvres commerçants, et devrait taper plutôt sur leurs confrères qui considèrent le trottoir que l’expansion de leur commerce. J’invite les piétons et les personnes à mobilité réduite, plus particulièrement, qui doivent contourner certaines entraves commerciales sur les trottoirs, à ne pas se gêner pour les envoyer balader… Et finalement par rapport à d’autres commentaires minables qui tapent sur les fonctionnaires, sachez qu’ils ne sont là que pour appliquer la réglementation. Ce sont les élus qui l’adoptent.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 22 h 44
D’après ce que j’en comprend. Le véritable problème c’est que les pancartes nuisent à la circulation des gens sur le trottoir. On pourrait peut-être trouver une solution acceptable pour tous.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 11 h 24
Excusez pour la nature cru de mon commentaire mais en bon québécois, Calice que c stupide!!
Monsieur le Maire, vous qui appréciez le modèle Européen, vous avez certainement remarqué qu’en Europe, les petites rues regorges de cafés et de petits commerces de proximité qui affichent leur petits panneau »pince à linge » pour afficher la promo ou le menu du jour??
Pourtant, ces petits commerces ne »polluent » pas autant les yeux que le font les publicités durants les pauses commerciales à la télé n’es-ce pas?
Je présume qu’il est plus dérangeant de regarder un de ces petits panneaux par choix et par curiosité, que d’être forcé de regarder une pub télé apparaissant directement dans votre face n’es-ce pas!!
Sarcasme OFF/
En somme, ce n’est certainement pas une politique qui favorise l’économie locale.
Et ce sont encore les grosses chaînes et les magasins multinationals qui vont être contents.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 11 h 30
C’est dégueulasse!
Pourquoi pas transformer Québec en musée pour personnes agées tant qu’a y être?
Gang de précieux… C’est absolument pitoyable. Québec est sensée être une Capitale!!!
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 12 h 07
Cher geoir gey
Pourquoi « musée pour personnes âgées »? Ce ne sont pas elles qui sont contre, un exemple j’ai moi-même 79 ans.
C’est insultant.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 14 h 33
Je suis désolé je ne voulais pas vous insulter, je comprends ce que vous voulez dire. C’était une image.
Transposez cette image: un musée asceptisé pour personnes hypersensibles à la vie urbaine.
(mais là les personnes hypersensibles vont se sentir insultées)
mais encore. Mes excuses, et merci d’être contre cette contrainte aberrante. Mes respects .
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 12 h 35
Je crois que c’est important de remettre les choses en perspective : plusieurs commerçants ont exagérés avec ce genre d’affiche, et c’est pour ça que le règlement est entré en fonction. C’est tout à fait normal que la ville légifère sur ce genre de comportement, autrement tous les commerces voudraient avoir une affiche plus grosse que les autres.
Ensuite, est-ce que le nouveau règlement est approprié ? Il faut voir. Mais en attendant, est-ce qu’il y a des solutions de rechange pour les commerçants ? Par exemple, une affiche dans la vitrine ? Ou mettre les informations à même l’enseigne commerciale ?
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 12 h 43
J’ai vu des affiches de ce genre, sur les trottoirs, dans plusieurs villes du monde et le tout ne semblait pas du poser un problème. Ici, à Québec, la Ville a pris un raccourci, soit l’interdiction totale. J’comprends pas. Qu’un certain gabarit soit imposé, la chose se comprendrait. Que les affiches soient présentes pendant seulement une partie de la journée, je comprendrais aussi. Mais interdiction totale sous motifs de « Sécurité et Visuel » ? Les commerces qui se plaignent de perdre des ventes n’inventent pas la chose.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 12 h 40
La réglementation devrait changer pour n’autoriser qu’au commerce alimentaire, à l’exception des dépanneurs et des chaînes d’épiceries et de restauration, de pouvoir avoir une enseigne mobile, avec une taille maximale et, par exemple, que les spéciaux du jour. Ce serait, à mon avis, un compromis très acceptable.
Pour le moment, le règlement est probablement le même pour tous les commerces. Ça manque surement de flexibilité et si la ville l’autorise pour l’un (la boulangerie), elle ne peut pas l’empêcher pour l’autre (la station-service qui vend de la grosse Laurentides).
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 13 h 32
À moins que je sois complètement dans le champ, on parle ici de ces panneaux doubles encombrants carrément installés sur le trottoir, comme si le trottoir était une extension et la propriété d’un commerce.
À ce que je sache, les affiches dans les vitrines ou apposées normalement sur le mur, l’entrée d’un commerce ( menus du jour, etc), sont toujours permis.
Comme disait Shakspeare: much ado about nothing, n’en déplaise aux défenseurs de la libaaaaaarté qui se sont manifestés sur ce sujet.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 14 h 39
Décidément lui n’a rien compris.
Nous parlons d’affiches de taille raisonnable telles que vues dans TOUTES les villes du monde dignes de ce nom, mises sur le trottoir FACE à la circulation pietonnière.
Imposez des limites de taille mais laissez les. Déjà qu’on a toujours pas le droit d’avoir des vendeurs de nourriture ambulants et autres attraits urbains communs… Allez, VOYAGEZ UN PEU!!!
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 14 h 59
« …qu’on a toujours pas le droit d’avoir des vendeurs de nourriture ambulants et autres attraits urbains communs… Allez, VOYAGEZ UN PEU!!! … »
Tst! Tst! Tst! , encore une image ? Tu affirmes des choses ne connaissant rien de ma vie …. :-)
Comme autres attraits urbains communs, pourquoi pas des putes dans les vitrines comme à Amsterdam ou encore des vendeurs de rue qui proposent des articles contrefaits comme sur Canal Street à New York ….. :-)
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 15 h 27
Anyway, des travailleuses du sexe, dans la rue ou dans une vitrine, où est la différence? On serait aussi bien de recueillir les taxes de tout ça!
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 16 h 34
Je ne suis pas contre l’opinion de Réal : le trottoir est d’abord un lieu public, pas une extension du commerce. On doit d’abord s’en servir pour se déplacer, pas pour des fins publicitaires.
En contrepartie, il existe d’autres formats, ou dans les airs : afficher directement au mur par exemple. Évidemment c’est moins voyant, mais si on s’assure que tous les commerçants respectent le règlement, au moins ils seront sur un pied d’égalité.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 16 h 24
Moi je pense:
– Il faudrait imposer un format fixe.
– Matériel: bois ou fer forgé
– Uniquement pour les commerces alimentaires artisanaux (restaurants, boulangerie, pâtisserie, chocolaterie, etc.).
– Seulement si le trottoir fait plus de X cm de large.
– Uniquement de la promotion ayant un lien directe avec les produits de l’entreprise.
– Obligation d’entretenir l’affiche. Rouille interdite, pourriture interdite, affiches maganées interdite, affiche décolorée par la pluie ou le soleil interdites, etc.
Donc, pas de pubs de cellulaires. Pas de gros cornets en coroplast, pas de pancarte dans les jambes, pas de panneaux négligés et dégoutants…
Uniquement le nécessaire pour que les entreprises puissent faire leur promotion.
J’en profite pour parler des poubelles. La ville a fait concevoir de belles poubelles en plastic résistant avec des séparations pour le recyclage et pour les autre déchets. Elles sont très bien et leur design est de qualité. Mais, ça ne ressemble pas à une corbeille alors certaines personnes ont décidés que c’était laid. Moi quand je regarde les corbeilles en baguettes de bois, esti que je trouve ça let! Et encore plus quand je constate que 80% des déchets qu’il y a dedans sont recyclables!
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 16 h 30
Des affiches de bon goût, de grandeurs raisonnables, durant les heures d’affaires, bien disposées pour minimiser une « nuisance appréhendée ! », sur une rue où on retrouve boutiques ou restos, quitte à les enlever les jours de nettoyage, je suis pleinement d’accord.
Un exemple parmi tant d’autres ?
La 3e ave, dans Limoilou, une rue dont le développement se fait à petits pas et qui ne peut que bénéficier au quartier et à la ville.
Même si c’est encore en nombre restreint, que penser du resto Hosaka-Ya et de son «affiche» à la fois discrète et de bon goût ?
Selon moi, à l’évidence, ça « ajoute » .
Je souhaite qu’il en soit d’ailleurs ainsi et sous peu pour d’autres excellents endroits.
Soit dit en passant, et pour vous mettre l’eau à la bouche ( ! ), si vous ne connaissez pas, je me permets de vous recommander notamment le Végé-Don au Hosaka-Ya, ça fait « seulement » au moins une douzaine de fois que je m’en suis délecté ! *
* P.S. Non, je n’ai aucun intérêt direct ou pas dans ce resto, si ce n’est d’aimer m’y sustenter, seul, en famille ou entre amis !
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 19 h 13
Je rejoins l’opinion de bien des gens, tant que l’affiche ne prend pas trop de place, c’est correct. L’important c’est de ne pas obstruer le passage des gens, en particulier ceux à mobilité réduite.
Je ne pense pas qu’une loi résoude le problème, car selon la largeur du trottoir, une affiche pourrait faire l’affaire sur la 3e avenue, mais pas sur Cartier.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 19 h 25
Francois tu préfère le Portofino qui a envahi le trottoir pour mettre ses tables ou Le Pailleur qui ne respecte pas la réglementation en vigueur sur St-Jean et n’est jamais embêté par la police de l’affiche.
Il semble qu’il y a deux standards dépendant des amitiés à l’jhôtel-de-Ville. Pourquoi on ferme la rue pour des commercants sur la Grande Allée et qu’on police les commerces ailleurs ? Pourquoi on a refait la chaussée sur Grande-Allée pour permettre aux café terrasses d’envahir la rue ??? Pourquoi sur St-Jean devenu piétonne on voit des commercants =enf=-vahir la rue sans problème ???
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 20 h 47
Si il y a des personnes qui sont mécontentes de tel ou tel affichage, qui ne respecte pas la réglementation, qu’elles portent plainte. Quant aux rues piétonnes, c’est bien un autre dossier que celui de l’affichage. Et plus y aura-t-il de rues piétonnes, plus je m’en réjouirai.
Signaler ce commentaire
26 avril 2011 à 10 h 06
J’aime bien les rues piétonnes, à la condition que ce soit « songé ».
Un bel exemple, à Québec, si on considère que sa conception remonte à déjà plusieurs décennies :
– La rue du Trésor.
Un mauvais exemple :
– La rue St-Jean.
En effet, pour moi, il ne suffit pas de « planter » des tréteaux aux extrémités d’une rue et de la « déclarer » piétonne.
Signaler ce commentaire
25 avril 2011 à 21 h 14
Je pense que dans ces deux derniers cas c’est à la demande des dits commerces après quelques essais positifs.
Signaler ce commentaire
26 avril 2011 à 13 h 59
Belle logique, par conséquent on devrait tout interdire?
Ça ne tient pas comme logique. À moins que votre but soit de castrer le développement de la très belle ville pleine de potentiel qu’est Québec.
Signaler ce commentaire