Annie Morin
Le Soleil
(Québec) La première politique québécoise du transport collectif visait une augmentation globale de 8% de l’achalandage et de 16% de l’offre de services entre 2006 et 2011. L’achalandage a plutôt grimpé de 11%, le nombre d’heures de services de 19% et le nombre de kilomètres parcourus en autobus et en métro de 23% en cinq ans. À Québec, le Réseau de transport de la Capitale a fait légèrement mieux que cette moyenne.
19 avril 2012 à 18 h 27
Où était les cible de réduction des dépenses?
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19 avril 2012 à 21 h 28
les cibles de réduction de fautes d’orthographe n’ont pas été atteintes dans votre cas…
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20 avril 2012 à 07 h 06
wow ça c’est pertinent comme commentaire
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20 avril 2012 à 09 h 49
Il n’est pas nécessaire de répondre à ce genre de commentaires, ils sont suffisamment descriptif de l’auteur.
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20 avril 2012 à 10 h 50
Et j’imagine que le commentaire de pbegin était pertinent?
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21 avril 2012 à 08 h 33
« Où étaient les cibles de réduction des dépenses? »
J’accepte le commentaire pour les fautes, je n’ai pas trouvé de fonctions d’édition, mais pour la pertinence voici ce qu’il y a derrière : On est en déficit, on a une dette monstrueuse, on se paie des services de luxe, les gouvernements, les médias et les groupes de pression sont déconnectés du reste de la population et se paient un party avec l’argent des autres…
Les verdoyants, les porteux de carré rouge et une certaine catégorie de travailleurs profitent du service en commun, le reste de la population paie et ne veut rien savoir de ce service, d’où le besoin de faire le ménage et de réduire les dépenses… Pas de réduire la croissance, effectuer une décroissance!
Vivement l’utilisateur payeur pour le transport en commun.
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21 avril 2012 à 10 h 52
… et vivement l’utilisateur payeur ( aussi bien les compagnies de camionnage que l’automobiliste lambda) pour les infrastructures routières ou encore pour les garderies et j’en passe ???
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21 avril 2012 à 13 h 48
C’est un peu gros comme argument, car même les automobilistes profitent du transport en commun qui est un moyen économique d’augmenter la capacité des infrastructures routières.
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21 avril 2012 à 16 h 18
Très bon point M. Dutil!
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