Ce ne sont pas des illustrations définitives car il reste plusieurs modifications à faire pour satisfaire la Ville. Quant aux plans, après communication avec le courtier, ils ne sont pas disponibles en ce moment.
C’est bien parti pour l’esthétique selon moi. Dans le même segment de marché, c’est un projet plus contemporain que le SWL, qui s’enligne pour être une autre tour vitrée style 2003.
Mais pourquoi nommer le projet Galléon? Le mot français est galion. On vise les investisseurs étrangers?
Pour paraphraser Pierre Falardeau, «L’Accent d’Amérique» mérite mieux qu’un nom anglais avec une plume dans le cul pour faire autochtone.
Je comprends les préoccupations autour du nom « Galléon » et du choix de branding dans les projets immobiliers, surtout dans un contexte où l’identité linguistique et culturelle est importante. Cela dit, je ressens un certain malaise à voir encore aujourd’hui des références à Pierre Falardeau brandies comme étendard d’authenticité.
Falardeau a marqué l’imaginaire, mais il incarne aussi une mentalité de conquis, figée dans une posture de confrontation perpétuelle. Cette vision binaire — nous contre le reste du monde — me semble dépassée et stérile. Le Québec a besoin d’avancer, de créer, de s’affirmer sans se refermer ni rejeter systématiquement ce qui vient d’ailleurs. On peut défendre notre langue et notre culture sans tomber dans le repli ou la caricature identitaire.
Cherchons plutôt à bâtir des projets ancrés dans leur milieu, qui parlent à la fois aux gens d’ici et à ceux qui souhaitent s’y investir. Ce n’est pas en criant au scandale pour un nom un peu cosmétique qu’on fait avancer la fierté québécoise. C’est en proposant une vision inclusive, audacieuse, confiante… loin des plumes, des postures et des rancunes d’un autre temps.
Il ne faut pas oublier que les coûts de construction de 2017 et 2025 sont différent, oui le projet de 2017 est plus beau, mais ce n’est pas la réalité d’aujourd’hui.
12 juillet 2025 à 15 h 58
🔲 Je comprends que les goûts ne se discutent pas sauf que, perso, je trouve ça moche;
🔲 Qui plus est, et probablement que c’est dû à mon âge avancé, je n’ai pas réussi à trouver les plans détaillés des différents “condos locatifs”;
🔲 “Goude loc” quand même 🙏
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12 juillet 2025 à 18 h 51
Ce ne sont pas des illustrations définitives car il reste plusieurs modifications à faire pour satisfaire la Ville. Quant aux plans, après communication avec le courtier, ils ne sont pas disponibles en ce moment.
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12 juillet 2025 à 20 h 47
C’est bien parti pour l’esthétique selon moi. Dans le même segment de marché, c’est un projet plus contemporain que le SWL, qui s’enligne pour être une autre tour vitrée style 2003.
Mais pourquoi nommer le projet Galléon? Le mot français est galion. On vise les investisseurs étrangers?
Pour paraphraser Pierre Falardeau, «L’Accent d’Amérique» mérite mieux qu’un nom anglais avec une plume dans le cul pour faire autochtone.
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12 juillet 2025 à 21 h 45
Je comprends les préoccupations autour du nom « Galléon » et du choix de branding dans les projets immobiliers, surtout dans un contexte où l’identité linguistique et culturelle est importante. Cela dit, je ressens un certain malaise à voir encore aujourd’hui des références à Pierre Falardeau brandies comme étendard d’authenticité.
Falardeau a marqué l’imaginaire, mais il incarne aussi une mentalité de conquis, figée dans une posture de confrontation perpétuelle. Cette vision binaire — nous contre le reste du monde — me semble dépassée et stérile. Le Québec a besoin d’avancer, de créer, de s’affirmer sans se refermer ni rejeter systématiquement ce qui vient d’ailleurs. On peut défendre notre langue et notre culture sans tomber dans le repli ou la caricature identitaire.
Cherchons plutôt à bâtir des projets ancrés dans leur milieu, qui parlent à la fois aux gens d’ici et à ceux qui souhaitent s’y investir. Ce n’est pas en criant au scandale pour un nom un peu cosmétique qu’on fait avancer la fierté québécoise. C’est en proposant une vision inclusive, audacieuse, confiante… loin des plumes, des postures et des rancunes d’un autre temps.
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13 juillet 2025 à 08 h 39
On reconnaît l’évolution païenne de la société moderne.
On propose un édifice aux lignes droites dénudé d’architecture et de beauté comme pouvaient le faire les architectes d’il y a 100 ans.
On n’évolue pas dans notre monde contemporain.
Voici une publication de Qc Urbain du 16 mars 2017, démontrant les plans intelligents proposés par l’innovateur Lessard, qui ont été rejetés.
https://www.quebecurbain.qc.ca/2017/03/16/eglise-saint-coeur-de-marie-les-9-travaux/
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13 juillet 2025 à 11 h 47
Il ne faut pas oublier que les coûts de construction de 2017 et 2025 sont différent, oui le projet de 2017 est plus beau, mais ce n’est pas la réalité d’aujourd’hui.
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