Source: Samuel Auger Le Soleil, 22 juin 2006
Ils viennent d’aussi loin que l’Abitibi. Ils renient, le temps d’une journée, leur Bas-du-Fleuve natal. Et ils boudent même Montréal… Pour ces jeunes, la fête nationale, ça se passe à Québec.
Trois autos bien remplies, une dizaine de chums prêts à festoyer jusqu’à l’aube. Pour Cédric Pinard, la fête nationale ne pouvait tout simplement pas se dérouler autrement. Même si sa vie se trouve en Mauricie, son cœur de nationaliste n’en a que pour les festivités sur les Plaines. « À Québec, c’est historique, c’est symbolique. C’est notre Woodstock annuel », confie l’étudiant trifluvien.
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