Source: Marie Claude Girard La Presse, 25 juin 2006

Voici un exemple que l’on peut améliorer le quotidien de notre vie avec peu de chose, toute simple…

Des jardins hydroponiques sur les balcons, des arbres fruitiers entretenus par des citoyens, des jardins collectifs dans les cours d’école, des cuisines collectives qui prennent des leçons sur la mise en conserve. Pour lutter contre l’insécurité alimentaire tout en favorisant une saine alimentation, la Maison de quartier Villeray a choisi de s’attaquer à toute la chaîne alimentaire. Ici, on ne se contente pas de faire pousser un plant de fève en classe. On le suit jusque dans l’assiette!

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Source: David Bombardier La Tribune, 31 mai 2006

Autre chose que Québec peut s’inspirer pour réduire l’utilisation des sites d’enfouissements et de l’incinérateur peut-être ?

Les déchets sherbrookois pourraient être éventuellement transformés en éthanol, une composante d’un carburant automobile dit vert. La fiction de Retour vers le futur, où des détritus permettaient à Marty McFly de se déplacer à bord de sa Delorean volante, n’est plus très loin de la réalité.

« Vos poubelles, on peut en faire une raffinerie », illustre Vincent Chornet, vice-président exécutif d’Enerkem Technologies.

À la demande du Comité de développement durable, cette entreprise sherbrookoise a récemment soumis à la Ville de Sherbrooke un projet de gazéification des déchets envoyés au site d’enfouissement. Ce procédé, en voie d’être adopté à Londres, permet de convertir les déchets en biocombustibles et en bioénergie.
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Source: Claude Plante La Tribune, 1 juin 2006

C’est peut-être une bonne idée de refaire certains parcours ici à Québec… Ce sera un peu cahotique au début…

La Société de transport de Sherbrooke (STS) propose une refonte complète de ses circuits avec le nouveau plan de transport présenté jeudi avant-midi en conférence de presse.

La STS propose un schéma des circuits en lignes plus directes en évitant les boucles, de manière à diminuer les temps d’attente. Les trajets d’autobus seront plus court, a indiqué la direction de la STS. De plus, 85 pour cent des résidences sherbrookoises seront à moins de 400 mètres d’un arrêt d’autobus.

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Source: Isabelle Audet, La Presse 23 mai 2006

La récupération à son maximum !?

Vivre dans un conteneur? C’est la dernière trouvaille d’une poignée d’artistes britanniques, qui se sont installés sur le bord de la Tamise, à l’ombre des édifices futuristes du quartier des affaires de Londres. Rien à voir avec un bidonville, le projet fait l’envie des promoteurs… jusqu’à Montréal.

Container City ressemble à un immense jeu de Lego. Comme des blocs empilés par les mains maladroites d’un enfant, les conteneurs forment un ensemble asymétrique coloré. Avec des loyers moins chers que la moyenne londonienne, il n’en fallait pas plus pour que des artistes s’approprient ces immeubles originaux.

Les 60 appartements, construits à partir de 123 conteneurs, sont empilés au bout d’un quai négligé dans Docklands, un secteur maritime encore très industriel de Londres. À un jet de pierre, les pinces du ferrailleur voisin ne feraient certainement qu’une bouchée du complexe métallique. (…)

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Info trouvé dans le journal la Tribune à Sherbrooke, et je pensais que cela pourrais s’appliquer ici à Québec… Une idée sois-dit en passant.

Source: Denis Dufresne, La Tribune 11 mai 2006

Avec plus du quart de sa population qui vit sous le seuil de la pauvreté, la Ville de Sherbrooke doit s’assurer que les services municipaux et les événements publics, comme les fêtes populaires, soient accessibles à tous.

C’est l’objectif visé par la Table d’action contre l’appauvrissement (TACA), l’arrondissement de Fleurimont et la chaire McConnell de l’Université de Sherbrooke avec la publication de deux guides: un sur la participation citoyenne et l’autre sur la sensibilisation des élus municipaux.

« Nous voulons d’une part que les élus tiennent mieux compte de la pauvreté lors de la prise de décision, qu’ils facilitent la participation citoyenne des personnes appauvries aux prises de décision », explique Line Marcoux, coordonnatrice de la TACA.

Les élus et les décideurs seront invités notamment à combattre les préjugés, faciliter la communication avec la municipalité, structurer la participation des citoyens et déterminer leurs compétences, en mettant dans le coup les organismes communautaires.

Source: Les Éditions Continuités, 7 novembre 2005.

En 1985, Québec joignait les rangs des villes reconnues comme faisant partie de l’héritage de l’Humanité. Cette marque internationale est venue consolider les efforts sur le terrain pour mettre en valeur le patrimoine exceptionnel de l’arrondissement historique du Vieux-Québec. Le maire de l’époque, Jean Pelletier, avait endossé cette démarche et participé étroitement à cette reconnaissance. Depuis, Québec est une ville du patrimoine mondial avec toutes les responsabilités et tous les défis que cela comporte. (…)
– Louise Mercier, directrice et rédactrice en chef.

Voir le sommaire du numéro courant de Continuité.

Quelques trucs intéressants à Toronto et qui pourraient intéresser les gens de Québec.
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Not many people outside of eastern Missouri have heard of New Town at St. Charles, but that is likely to change. New Town is a large project with a head of steam in a geographic area that has seen little New Urbanism. Its understated, well-proportioned house designs are surprisingly affordable.

À lire sur New Urban News

Un nouveau développement de 20000 habitants interdits aux voitures? Fonctionnant entièrement à l’énergie solaire? Des magasins à distance de marche?

Évidemment, ce n’est pas à Québec. Vive San Francisco!

Il aura fallu quatre ans � l’organisme Vivre en ville pour réaliser la trousse d’actions Vers des communautés viables, qu’elle a lancée mardi, un ouvrage qui présente pas moins de 200 projets de développement durable réalisés autant en Amérique qu’en Europe.

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