Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’étalement urbain

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 17 octobre 2017 3 commentaires

Smart property institute

While a suburban mortgage may look cheaper, it’s perpetuating a problem for municipalities, businesses, and taxpayers. Canadian municipalities, and their taxpayers, are also faced with billions of dollars in unfunded costs for new suburban developments. Sprawl is one of the major contributors to air pollution, which the World Health Organization had identified as one of the leading causes of cancer, and also contributes to climate change, loss of farmland and nature, vehicle injuries and death, and risk of chronic disease.

Although many municipalities have goals for reducing future sprawl and creating more liveable communities, many unintentionally encourage sprawl with charges and taxes that obscure the real costs. To restrain sprawl, local governments must turn prices around and so that they reward denser, healthier and more liveable development. When we do so, we will reap significant economic and environmental benefits.

La suite

Voir aussi : Étalement urbain.


3 commentaires

  1. urbanoïd

    17 octobre 2017 à 22 h 45

    Merci pour l’information. Très apprécié.

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  2. urbanoïd

    18 octobre 2017 à 16 h 48

    On dirait que la psychose entourant le 3e lien va à l’encontre de ce document.

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  3. Insider

    18 octobre 2017 à 20 h 41

    «Sprawl is one of the major contributors to air pollution, which the World Health Organization had identified as one of the leading causes of cancer, and also contributes to climate change, loss of farmland and nature, vehicle injuries and death, and risk of chronic disease.»

    Pour ce qui est des coûts reliés à la santé, j’aime la conclusion qu’a fait Sabine Host dans sa revue bibliographique des études scientifiques sur le sujet:

    «Conclusion

    La pollution atmosphérique de proximité fait aujourd’hui l’objet de plus en plus d’attention. La caractérisation de ses zones d’influence et de ses modes d’exposition majoritaires s’améliore, ce qui devrait permettre d’identifier plus finement les populations les plus exposées ou susceptibles de l’être. En ce qui concerne l’étude des effets sanitaires, une littérature abondante a vu le jour au cours de la dernière décennie. Bien que la plupart des indicateurs d’exposition utilisés dans les études épidémiologiques ne prennent en compte que partiellement l’exposition à ce type de pollution, et parfois même de manière grossière, ils permettent d’approcher des contrastes d’exposition bien réels qui se manifestent par un état de santé plus dégradé des populations résidant à proximité des sources de trafic routier. Ces résultats sont plus particulièrement étayés en ce qui concerne les phénomènes d’exacerbation de l’asthme chez l’enfant.

    Les résultats de ces études ne peuvent pas être directement transposés d’une région à une autre compte tenues des spécificités en termes de bâti, d’urbanisation, de parc automobile et d’habitudes de vie (notamment les modes de déplacement) qui peuvent être observées. Toutefois, ils fournissent les premiers éléments permettant de guider l’action publique en termes de gestion de la qualité de l’air. Par ailleurs, un certain nombre de travaux a montré que les populations les plus défavorisées étaient d’une part les plus exposées à la pollution atmosphérique (Havard et al., 2009; Declercq et al., 2007), et qu’elles présentaient d’autre part une susceptibilité accrue à ses effets (Jerrett et al., 2004). En conséquence, la pollution de proximité agit sur la production d’inégalités d’expositions environnementales et d’inégalités de santé. En termes de gestion, s’il est évident qu’une action sur les sources permettant de limiter les émissions de polluants est nécessaire, en particulier concernant le trafic routier, des actions sur les aménagements urbains pourraient aussi permettre de limiter la surexposition de certaines populations. En effet, les choix de l’implantation des bâtiments ainsi que des aménagements routiers devraient être pensés afin de minimiser l’impact de la circulation routière sur l’air des espaces fréquentés par la population.»

    Citation:
    Sabine Host, « Exposition à la pollution atmosphérique liée au trafic routier et risques sanitaires », VertigO – la revue électronique en sciences de l’environnement [En ligne], Hors-série 15 | février 2013, mis en ligne le 18 octobre 2012, consulté le 18 octobre 2017. «URL : vertigo.revues.org/12816» ; DOI : 10.4000/vertigo.12816

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