Voir aussi : Scènes urbaines.
Francis Vachon, photographe émérite du populaire site web Québec urbain, a passé proche de la mort par noyade et hypothermie aujourd’hui. En pleine séance photos à la chute Montmorency pour ses célèbres Scènes urbaines, la couche de neige et de glace a soudainement cédé sous le poids de ses 225 livres et l’eau glacée de la rivière lui a monté jusqu’au genou droit. Prenant appuis sur son autre jambe pour se tirer hors de ce mauvais pas, la glace a de nouveau cédé et la jambe gauche se retrouva également à l’eau. Heureusement, la température clémente l’a sauvé d’une hypothermie certaine. En entrevue à Québec urbain, Vachon a déclaré que « mourir pour mon carnet aurait été une noble et heureuse mort ». Heureusement, il a pu revenir avec quelques images.
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Bon, ça va, j’ai légèrement exagéré. N’empêche que je peux vous confirmer : la rivière Montmorency est frette en cal*** en hiver, surtout lorsque tu es à 5 minutes de ta voiture, et à 30 minutes de la maison! Plus de peur que de mal.
Voir aussi : Scènes urbaines.
Voir aussi : Scènes urbaines.
À Chicago, il est interdit aux photographes d’immortaliser la sculpture Cloud Gate dans le Millennium Park. L’oeuvre, réalisée par l’artiste Anish Kapoor et payée par la ville 270 millions de dollars (!!), est protégée par « copyright ». Ceux qui sortent leur appareils photo se font demander leur permis de photographier par des agents de sécurité.
Selon le directeur du parc, « Le droit d’auteur pour les améliorations artistiques du Millennium Parc est possédé par les artistes qui les ont créés. Donc, toute personne voulant reproduire ces oeuvres, particulièrement dans un but commercial, doit avoir la permission de l’artiste » (The copyrights for the enhancements in Millennium Park are owned by the artist who created them. As such, anyone reproducing the works, especially for commercial purposes, needs the permission of that artist.)
L’histoire complète [ang]
Quand est-il à Québec?
Voir aussi : Art urbain.
A la suite de la mise en lumière récente de nombreux monuments et édifices dans la capitale nationale, dont les églises Saint-Michel de Sillery et Saint-Félix de Cap-Rouge, des questions se posent. Faut-il vraiment déguiser nos églises en icônes touristiques porteuses d’une modernité de pacotille ? Faut-il vraiment faire le déballage complet de nos monuments religieux ou institutionnels en les trafiquant pour en faire un produit gonflé artificiellement par des kilowatts de lumière ? Est-ce bien utile pour les résidants-contribuables de mettre en valeur une culture du « m’as-tu-vu » en gratifiant de nombreux édifices gouvernementaux, commerciaux, touristiques, religieux d’une pluie de paillettes pour créer de toutes pièces dans notre ville un tel tapage lumineux et une pollution en plus ? En avons-nous besoin ? Au fait, pour qui et pourquoi un tel déploiement, voire un acharnement à éclairer tous azimuts la nuit sans avoir auparavant jaugé les conséquences d’un tel « vaste programme de mise en lumière » ?
Voir aussi : Message d'intérêt public.
Après avoir concentré la majeure partie de ses actions autour du parlement, la Commission de la capitale nationale (CCNQ) se tourne maintenant vers tous les arrondissements de la nouvelle ville.
Voir aussi : Message d'intérêt public.
Selon le président de la Commission de la capitale nationale, Pierre Boulanger, la promenade Samuel-de-Champlain peut être réalisée pour les fêtes du 400e anniversaire de la Ville de Québec, en 2008.
Cette promenade doit redonner le fleuve aux Québécois et faire revivre la plage du Foulon. M. Boulanger affirme que ce projet demeure bel et bien vivant, même s’il admet qu’il sera peut-être plus
Suite du texte et reportage audio sur Radio-Canada
Voir aussi : Projet - Promenade Samuel de Champlain.
La Société du Pont, qui a dû abandonner un projet de 10 millions de dollars pour la construction d’un immeuble à bureaux de sept étages à l’angle du boulevard Charest et de la rue Dorchester, a d’autres projets sur la table à dessin.
Le premier projet est tombé à l’eau parce que les promoteurs, déjà propriétaires d’une bonne partie du terrain, n’ont jamais réussi à mettre la main sur deux propriétés voisines. Un représentant des promoteurs, Richard Thibault, explique que s’il n’est pas possible d’acquérir les deux immeubles voisins, un projet d’habitation pourrait voir le jour.
Suite du texte et reportage audio sur Radio-Canada
Voir aussi : Arrondissement La Cité - St-Roch.