(…) Le marché des logements en copropriété dans le Vieux-Québec est en effervescence. En raison, entre autres, de la valeur de notre dollar qui convainc souvent les Américains propriétaires de vendre et les Européens d’acheter. Le 400e accroissant l’achalandage. (…) Bref, aujourd’hui, on ne vend plus aux Américains. Ce sont les Européens qui prennent le relais. Encore que ce ne sont pas tous les propriétaires américains de condos qui vendent, insistent Mme Péladeau. «Mais ceux qui le font ne rachètent pas», précise-t-elle. Ils s’en vont. En revanche, ce sont les Français, les Belges et… les Trifluviens qui seraient les plus nombreux à en vouloir. (…)
Source: Le Soleil Gilles Angers 31 juillet 2008
31 juillet 2008 à 07 h 47
Et c’est de cette façon que le « vieux » et devenue une terre aride
sans culture et vie sociale…sauf pendant la saison touristique, c’est
a-dire deux mois par année.
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31 juillet 2008 à 13 h 18
En effet! Le journaliste a donné une entrevue à Evelyn Péladeau… il est possible d’admirer son visage un peu partout dans le Vieux.
C’est elle qui a vendu mon »bloc » d’appartements. Elle est venue à ma porte avec un client sans téléphoner ou avertir… Bref, j’ai eu l’impression que pour elle le Vieux n’est qu’un vaste terrain de jeu pour les agents imobiliers et qu’elle se fout complètement des habitants.
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31 juillet 2008 à 16 h 06
De toute évidence, le journaliste n’a pas relevé ce fait. Un beau
travail de ploguage
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