Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Pénurie de terrains d’ici trois ans à Québec

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 9 mars 2009 65 commentaires

Pierre-André Normandin
Le Soleil

(Québec) Se faire construire une maison à Québec pourrait devenir pratiquement impossible d’ici à peine trois à quatre ans. Une croissance plus rapide que prévue de la population combinée à une rareté des terrains con­structibles sonne le glas du bungalow dans la capitale. À l’instar des motels, la Ville devra-t-elle bientôt afficher complet?

La suite et la position de la Ville de Québec

Mise à jour: La banlieue s’éloigne

Voir aussi : Québec La cité.


65 commentaires

  1. Charles

    9 mars 2009 à 08 h 02

    Ce qui est rare doit coûter cher. La solution est toute simple. Vous utilisez de l’espace? Payez-le. Ou à l’inverse, pourquoi ne pas diminuer les taxes de ceux qui font le choix du condo et de la maison de ville? Si on ne le fait pas, cela revient à subventionner le gaspillage. Et les factures reliées à l’étalement urbain finiront pour nous tomber dessus, collectivement et individuellement.

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  2. dave deux

    9 mars 2009 à 08 h 19

    Charles a raison. mais le problème est plus fondamental.

    1/Si l,environnement n,est plus capable d,absorbé un surplus de
    population, pourquoi vouloir absolument désirer que cette population augmente a tout prix. A long terme c’est un cul-de-sac économique et écologique. Les gens qui voient dans l,augmentation de la population un accroissement économique sont tout simplement des insconcients sociales. L’idéal est de calibrer le nombre en fonction des ressources

    2/Les terres seront dans un proches avenir un bien des plus précieux, il n’est donc pas question de gruger de ce côté.
    Le calcul est facile a faire, plus qu’il y a de monde et plus que
    ce surplus grugent sur les terres agricoles et plus qu’il y a de
    monde et plus que nous avons besoin de terre agricole pour
    l’aimentation. Cercle vicieux.

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  3. Sébastien

    9 mars 2009 à 08 h 24

    Pour continuer dans la même veine…

    L’article ne mentionne pas que la pénurie de terrain sur le territoire de la Ville de Québec favorise les municipalités satellites que sont Ste-Catherine, Pont-Rouge, Stoneham ou Ste-Brigitte. Avant la CUQ perdait 20% de son marché… aujourd’hui ça atteint 40% des nouvelles constructions qui sont érigés à l’extérieur de la Ville de Québec. C’est paradoxal à dire, mais maintenant Québec n’aura pas le choix d’aggrandir son périmètre d’urbanisation afin de freiner l’étalement urbain…

    Faudra donc étendre nos réseaux d’aqueduc et d’égouts vers le nord, en plus des routes, du déneigements, de la cueillette des ordures. Tout ça pour éviter de froisser le babyboomer de Sillery qui voit une atteinte à son droit de propriété si son voisin aménage un logement pour ses vieux parents… Je caricature ici, mais c’est quand même un peu ça!! ;-)

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  4. Pierre-E. Paradis

    9 mars 2009 à 08 h 40

    La densification douce est la solution.

    Étendre encore plus les routes et réseaux d’aqueduc serait fiscalement irresponsable… Les générations futures seront tout simplement incapables de payer pour l’entretien de tout ce «parc» d’infrastructures.

    N’oubliez pas que la croissance de la ville de Québec est un euphémisme pour désigner: «espérance de vie allongée chez les personnes âgées» et «jeunes qui quittent les régions». Mais en fait la population de la province stagne, et va même diminuer sans un apport massif d’immigrants.

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  5. Matrix

    9 mars 2009 à 08 h 58

    Charles : « Ou à l’inverse, pourquoi ne pas diminuer les taxes de ceux qui font le choix du condo et de la maison de ville? »

    ———–

    Pourquoi baisser les taxes de ceux qui vivent au centre-ville ?? c’est pas comme s’il y avait plein d’espace libre et que les gens n’avaient pas les moyens d’y rester. Il n’y a presque plus d’endroit à batir au centre-ville… donc baisser les taxes ne peut pas amener plus de gens.

    Et les gens refusent les nouvelles constructions et la densification douce (n’est-ce pas dave deux ??)

    donc on tourne en rond !

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  6. Charles

    9 mars 2009 à 09 h 17

    @ Matrix

    Les maisons de ville et les condos ne se trouvent pas uniquement au centre-ville. Les taxes s’appliqueraient au prorata du terrain utilisé, incluant les nouvelles constructions dans les quartiers neufs. La densification coûte moins cher en infrastructures (égoûts, électricité, transports, déneigement, etc.). Le prix des terrains ne réflèterait qu’une réalité évidente.

    @ Dave deux

    Inutile de vouloir stériliser les Québécois, ils le font eux-mêmes. Avec le taux de natalité que nous connaissons, bien inférieur au renouvellement des générations, notre population va diminuer avant longtemps. Quant aux immigrants, n’espérez pas de raz-de-marée. Les pays occidentaux vivent tous plus ou moins la même situation démographique que la nôtre.

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  7. Erick

    9 mars 2009 à 09 h 33

    Si les gens du centre-ville veulent payer moins de taxes, faudrait qu’ils apprennent à conserver ce qu’ils ont plutôt que les reconstruire 3 fois.

    Et si les taxes baissaient au centre-ville, la valeur marchande des propriétés s’y trouverait augmentée, ce qui inciterait encore moins les gens à aller y rester.

    @Sebastien

    « C’est paradoxal à dire, mais maintenant Québec n’aura pas le choix d’aggrandir son périmètre d’urbanisation afin de freiner l’étalement urbain… »

    Vrai. L’équation est simple: si vous n’etes pas capable d’offrir à un acheteur « ce qu’il cherche », il ira le chercher ailleurs. Si c’est un bungalow avec 200 pi2 de terrain qu’il cherche, inutile d’essayer de lui vendre un condo dans Montcalm.

    p.s. attention, l’exemple du déneigement n’est pas un bon exemple car c’est l’exemple qui contredit la règle. Contrairement à l’aqueduc, rues, etc., le déneigement, lui, coûte moins cher en banlieue qu’en ville.

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  8. Louis.cho

    9 mars 2009 à 09 h 54

    …et l’article est optimiste.

    Il y a déjà tres peu de terrain disponible. en tout cas pour un prix raisonnable car l’article parle des nouvelles familles, et ce sont ces famille qui se butte au problème. Présentement, il est presque impossible de se trouver une maison unifamilialle pour moins de 200 000$ dans un rayon de 30 minute de la ville(sans traffic).

    Je suis d’accord avec la densification, mais densifier val-bélair ou charlesbourg ne regle rien.

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  9. Sébastien

    9 mars 2009 à 10 h 10

    Si au moins l’effet positif de cette crise pourrait inciter les jeunes familles à demeurer en ville, plutôt que d’obtenir à tout prix leurs carré de verdure déboisés sur lequel trône leur cube en vinyle et leur piscine hors terre…

    Un duplex dans St-Sauveur ou Limoilou revient au même prix qu’un bungalow à Charlesbourg ou Beauport, soit au alentour de 200 000$, en plus tu as un revenu pour t’aider à payer ton hypothèque, et des espaces verts, loisirs, écoles pas trop loin. Souvent ça te donne les moyens de te débarrasser d’une deuxième auto…

    Bref, beaucoup d’économies de $$ en perspective, pour un style de vie qui est selon moi plus agréable, même pour une jeune famille… Mais c’est juste selon moi! ;-)

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  10. Erick

    9 mars 2009 à 10 h 17

    Faudrait pas oublier aussi qu’on est en récession et que c’est un leurre de croire que Québec va y échapper. On voit déjà plus de maisons « à vendre » qu’il y a un an. Cette croissance exponentielle qu’on laisse miroiter va finir par se calmer les nerfs. Et on parle particulièrement du goût de la banlieue des baby-boomers, pour qui c’est maintenant la distance du terrain de golf qui importe plutôt que celle du travail, mais attendez 10-15 ans lorsque ceux-ci vieilliront et ne seront plus autonomes, ils auront automatiquement tendance à se rapprocher des hôpitaux etc., et on n’aura plus de besoin de nouveaux terrains pour construire des maisons neuves car il y aura plein de maisons usagées disponibles.

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  11. nicogag

    9 mars 2009 à 10 h 19

    C’est vrai qu’il faut adapter le système de taxation aux exigences du développement durable. C’est probablement l’avenue la plus efficace pour obtenir des résultats en aménagement du territoire.

    Il faudrait par exemple taxer «à la marge». Comme pour à peu près n’importe quoi, le coût marginal est excessivement plus élevé que le coût moyen (par exemple, desservir 1000 maisons en aqueduc et égoûts coûte peut-être 2000 $ par maison, mais la 1001e maison va coûter 2 000 000 $, parce qu’il va falloir agrandir l’usine de filtration etc.) Comme les tarifs d’hydro-Québec, il devrait y avoir différents taux de taxes sur les terrains : un taux de base uniforme pour le 1er 250 m2 par logement (par exemple) qu’il est «normal» d’utiliser, voir indispensable, puis un taux beaucoup plus élevé pour la superficie excédentaire.

    Ainsi, ce n’est pas la consommation d’espace qui est surtaxée, mais le gaspillage d’espace. C’est la logique du tarif d’électricité.

    La même chose devrait être faite avec l’essence. On devrait monter substanciellement la taxe sur l’essence (1 ou 2 $ le litre de plus) quitte à offrir un remboursement de taxe de 1000 $ par citoyen. Ainsi, la surconsommation d’essence serait taxée au juste prix, en lien avec les coûts environnementaux, sociaux et économiques qu’elle engendre.

    Une vraie belle taxe sur l’essence et on règle du même coût, de manière durable, le problème de l’étalement urbain.

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  12. Fernand

    9 mars 2009 à 10 h 44

    Ca tombe bien j’ai 35 terrains bloqués par des tours de l’Hydro qui passent en plein centre structurant de l’arrondissement historique de Beauport. Je ne sais si la tour Effeil dans le centre de la rue Du Temple est un attrait touristique…

    Sébastien, votre propos est à point et réflète la réflexion que font les élus en place. Faut pas oublier que le premier projet de fusion de L’Allier englobait l’ile d’Orléans et la rive-sud…

    Si vous allez voir les feux Loto-Québec aux Chutes, prenez la peine de regarder sur le cap de Boischatel, vous allez voir des demeures luxueuses qui poussent comme des champignons. Oui, certains fuient la ville et ses taxes. On assiste à l’émergence d’une autre ceinture qu’il faudra fusionner à moyen terme. Empêcher le monde d’être attiré par une région prospère, n’est pas une solution. L’humain ça raisonne ainsi, l’argent attire…

    Pour les sauveurs de boisés, ils n’ont pas fini leur calvaire…

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  13. Rémi

    9 mars 2009 à 11 h 01

    Tant qu’on aura pas réussi à convaincre les gens que d’élever une famille en ville c’est possible, les gens vont continuer à vouloir leur terrain, leur maison et leur char… Actuellement, on a pas ce qu’il faut pour vendre l’idée.

    Peut-être qu’avec le projet de revitalisation de Saint-Roch on sera en mesure de convaincre les gens que la vie de quartier a ses avantages.

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  14. Antoine

    9 mars 2009 à 11 h 05

    système de taxation relié au développement durable, excellente idée… mais les banlieusards éloignés risqueraient d’écoper… la priorité devrait être à la densification avant tout,

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  15. Erick

    9 mars 2009 à 11 h 06

    @Fernand

    Est-ce le montant des taxes qu’ils fuient, ou la façon dont elles sont utilisées. Au moins le gars qui paie des taxes à Boischatel a l’assurance que ses taxes soient utilisées chez lui (…)

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  16. Manu

    9 mars 2009 à 11 h 52

    @Charles et dave deux : ce que vous proposez, c’est déjà pratiqment le cas! Du moins, pour tout quartier neuf nécessitant l’ouverture de nouvelles rues.

    Par exemple, lorsqu’on ouvre quelques rues pour y construire 100 maisons unifamiliales, les infrastructures sont à la charge du promoteur, qui refile donc la facture aux futurs propriétaires, par le biais de la valeur du terrain par exemple. Ainsi, le coût des égoûts, de la rue, etc. est distribué parmi les 100 propriétaires. De la même façon, la facture de construction d’une petite rue de 100m pour accéder à 100 condos sur 6 étages sera refilée aux 100 propriétaires. Évidemment, dans le premier cas, les propriétaires paieront beaucoup plus cher (disons 20000$) ce partage que dans le second (disons 1000$).

    Et pour l’entretien et la maintenance des services? Ceux-ci sont financés par les taxes, lesquelles sont proportionelles à la valeur des propriétés. Dans l’exemple ci-haut, le coût supplémentaire de la propriété associé à la construction d’infrastructure génère, année après année, une certaine quantité de taxes (disons à un taux d’imposition de 1,5%, 300$ pour ceux qui ont payé 20000$, et 15$ pour ceux qui ont payé 1000$).

    De ce point de vue, la réalité rejoint donc déjà vos propos.

    Évidemment, là où il y a une certaine différence entre les quartiers ou les types d’habitation, c’est l’offre et la demande. Ainsi, sans égard au « coût des infrastructures inclus dans le prix », un nouveau terrain près du centre-ville coûte généralement un peu plus cher qu’en banlieue par unité de surface. La différence est quand même plutôt faible pour de nouveaux développements. C’est plutôt avec le temps (disons 25 ou 50 ans) que se creusent des écarts entre les secteurs qui ont été continuellement en demande, et ceux qui ne l’ont pas été.

    Reste que pour un offre et une demande similaires, ceux qui ont été peu nombreux à se partager le coût des infrastructure paieront plus de taxes que ceux qui étaient plus nombreux.

    Finalement, pour les terrains déjà désservis, en ville ou en banlieue, la valeur est surtout une question d’offre et de demande, puisqu’il n’y a pas de coût d’infrastructures à absorber. Donc dans ces cas, il y aurait peut-être matière à réflexion. Toutefois, cela ne concerne qu’une petite partie des terrains à l’intérieur du périmètre d’urbanisation (ce dont parle l’article).

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  17. ArtByte

    9 mars 2009 à 12 h 30

    «Ca tombe bien j’ai 35 terrains bloqués par des tours de l’Hydro qui passent en plein centre structurant de l’arrondissement historique de Beauport.» Fernand

    Ça c’est un point que personne semble n’envisager. Mon idée (probablement utopique à cause des coûts, mais bon, on peut rêver…) c’est de récupérer une partie des TRÈS nombreux terrains condamnés par les postes de transformation et lignes à haute tension qui appartiennent à Hydro-Québec. Avez-vous idée de la part de terrains qui leur appartient dans la ville et combien on pourrait en ouvrir au développement? À mon avis, y en a beaucoup trop. En plus, ça défigure les quartiers, car la plupart de ces lignes ont été implantées à une époque où elles ne traversaient que des champs.

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  18. Erick

    9 mars 2009 à 12 h 32

    @Manu

    T’as 100% raison.

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  19. ArtByte

    9 mars 2009 à 12 h 36

    Pour compléter mon énoncé précédent, certaines lignes à haute tension pourraient être soit enfouies (dans les zones urbaines seulement), déplacées ou concentrées dans des «couloirs». Comment payer cela? En récupérant les centaines de terrains qui valent une fortune dans les quartiers pour les revendre à des promoteurs, il y aurait là une bonne source de revenus pour défrayer les coûts de l’opération.

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  20. Erick

    9 mars 2009 à 12 h 58

    @AirByte

    L’avantage de ces lignes électriques c’est qu’elles préservent des terrains « linéaires » qui pourraient servir dans le futur. Vous voudriez tout bâtir et ne pas laisser un seul terrain vacant, mais lorsque plus tard vous venez pour construire un tramway ou un stade, il n’y a plus de place et il n’y a plus moyen de le construire à un prix raisonnable. L’abandon éventuel de terrains en milieu urbain pourrait apporter des avantages dans le futur…

    D’ailleurs, le fameux stade de soccer en bois qui est présentement en construction à Neufchatel, tout porte à croire que son stationnement sera érigé sous les lignes d’hydro. Des stationnements c’est à peu près la seule chose qu’on peut construire sous les lignes électriques, où hydro-québec se réserve un droit de passage en tout temps.

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  21. christian

    9 mars 2009 à 13 h 46

    Vous voulez le savoir pourquoi tant de gens « s’étendent » et vont dans de nouveaux
    développements au lieu d’aller en ville ? C’est le sentiment de ne pas en avoir du tout pour son argent, de payer des prix de fous pour des bâtiments qui devront subir des rénovations majeures, et de voir que même si les évaluations municipales ont été réajustées avec le nouveau rôle d’évaluation, beaucoup essaient encore de faire une passe d’argent, ce qui en fait fuir plus d’un (je m’inclu dans le lot)…

    Des exemples?

    Sainte-Foy
    Évaluation municipale: 172 000$
    Prix demandé: 308 000$
    http://duproprio.com/recherche.php?topic=details&from=map&pid=115607

    Vieux-Québec
    Évaluation municipale: 130 000$
    Prix demandé: 224 000$
    http://duproprio.com/recherche.php?topic=details&from=map&pid=86581

    Quartier St-Jean-Baptiste
    Évaluation municipale: 156 000$
    Prix demandé: 259 000$
    http://www.remax-quebec.com/fr/inscription/Q/8108732.rmx?fromsearch=true

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  22. Carol

    9 mars 2009 à 15 h 43

    « Les gens qui voient dans l,augmentation de la population un accroissement économique sont tout simplement des insconcients sociales. L’idéal est de calibrer le nombre en fonction des ressources »

    Point de vue intéressant !

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  23. Goldoche

    9 mars 2009 à 17 h 38

    Mais les ressources sont bien plus limitées par le génie humain que par la Terre elle-même.

    Carol aurait sûrement fait partie de ceux qui en 1960 prédisaient de nombreuses famines partout dans le monde. Ou ceux qui prévoyaient qu’en 2000 on n’aurait plus de ressources naturelles.

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  24. dave deux

    9 mars 2009 à 17 h 48

    Nombreuses famines a travers le monde MAIS GOLDOCHE NOUS
    SOMMES EN PLEIN DEDANS.
    Plus de ressources naturelles en l’an 2000 MIAS GOLDOCHE CELA
    ARRIVE A GRANDE VITESSE.

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  25. Antoine g

    9 mars 2009 à 18 h 02

    Les famines, ce n’est pas parce qu’il y a trop de gens, c’est parce que les ressources sont mal gérées et parce qu’il y a trop de gaspillage.

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  26. Goldoche

    9 mars 2009 à 18 h 06

    Il n’y a pas de pénuries de ressources naturelles.

    Si c’était le cas, le recyclage serait beaucoup plus payant.

    Arrêtez-donc de prendre vos désirs pour des réalités.

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  27. Goldoche

    9 mars 2009 à 18 h 07

    Antoine g, parfaitement d’accord avec toi.

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  28. Matrix

    9 mars 2009 à 18 h 18

    Dave Deux : si tu regardes les statistiques, il y a moins de famines de nos jours que dans les décennies précédentes. C’est un des bon côté de la mondialisation (oh mon dieu j’ai dit le gros mot).

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  29. dave deux

    9 mars 2009 à 18 h 19

    Antoineg@
    Ca c’est l’argument des gouvernements occidentaux dont le but
    est de faire porter la cause des famines sur les pays touchés.
    Je suis convaincu qu’une région ou un pays doit adapter sa démo-
    graphie en fonction de ses ressources naturelles, surtout ce qui
    concerne l’eau. Si la région de Québec a atteint son quota de population il faut donc la stabiliser et non pas l’augmenter simple
    loi naturelle et économique

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  30. Jeff M

    9 mars 2009 à 18 h 20

    Les lois du marché font leur oeuvre. La fixation des prix des terrains et des propriétés provoque la reconfiguration de l’aménagement. On voit déjà plus de pression qu’avant pour la densification. En même temps, une nouvelle couronne semble se développer progressivement de Donnaconna à la Côte de Beaupré en passant par Stoneham. Tout porte à croire que le phénomène va aller en s’accentuant si la croissance démographique se maintient.

    Dans cette perspective, je vois deux problèmes:
    1- Les luttes politiques entre pro et anti-densifications devraient se répéter;
    2- La moyenne des trajets travail-domicile va augmenter si l’on ne réussi pas à contenir le développement dans le périmêtre urbanisé actuel.

    Personellement, je trouve le problème no 2 plus sérieux étant donné la dépendance énergitique que cela occasionne. Et à ce problème, je crois encore là que la fixation d’un prix serait la solution. Plus précisément, je pense à des autoroutes payantes sur les heures de pointe.

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  31. dave deux

    9 mars 2009 à 18 h 29

    Les luttes politiques entre pro et anti-densification ne vont pas
    seulement ce répéter, mais aussi ce radicaliser.

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  32. Goldoche

    9 mars 2009 à 18 h 31

    Aie les bozos :

    on est au Québec, on a en masse mais en masse d’espace. Regardez en Abitibi, ils sont genre 150 000 ? Il pourrait y avoir 1 million de personne sans qu’il manque d’espace. On est pas à veille de manquer d’eau non plus.

    Voici quelques endroits qu’on peut réutiliser pour construire des habitations :

    1 – D’Estimauville
    2 – N,importe quel dépôt à neige, il suffirait d’ajouter des fondeuses à neige au lieu de la stocker.
    3- la Ferme SMA qui est abandonnée
    4 – Les monastères à Sillery
    5 – Le boisé à pointe-ste-foy
    6 – les terrains appartenant au MTQ à l’ancienne-lorette (pour la 40), on sait très bien que ces terrains ne seront jamais utilisés.
    7 – quelconque ancienne carrière
    8 – Pointe-aux-lièvres

    Franchement, si ici il y a une surpopulation, qu’est-ce qu’il y a en Europe?

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  33. Pierre-E. Paradis

    9 mars 2009 à 18 h 38

    9- Le secteur Quatre-Bourgeois / Marly
    10- Le village militaire de Ste-Foy
    11- Les terrains de pratique de golf de l’université et tout ce qu’il y a à l’est du pav. Casault

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  34. dave deux

    9 mars 2009 à 18 h 38

    Bon bien GOLDOCHE je suis d’accord avec toi sur le 3/4 des
    emplacement.
    1/D’Estimauville facilement pour 1000 logements
    2/Les terrains de la MTQ
    3/Anciennes carrières
    4/Pointe-aux-putes, oups s’cusez Pointe-aux-Lièvres
    5/A la limite ferme SMA

    Mais pas le boisé de pointe Ste-Foy et encore moins les Monastères de Sillery Vraiment trop beau.

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  35. Goldoche

    9 mars 2009 à 18 h 39

    Au fait, dans mon quartier (Duberger-les saules) on est en train de construire une 20aine de condos sur des terrains qui auparavant étaient inutilisés ou mal utilisés.

    Je suis convaincu qu’on peut répéter cette recette dans d’autres quartiers à Québec aussi.

    Cela aurait pour effet d’augmenter la densité dans ces quartiers.

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  36. Goldoche

    9 mars 2009 à 18 h 43

    Autre chose : les églises qui ont peu de valeur patrimoniales. Les églises ou les terrains peuvent être réutilisés.

    Pour les monastères, je ne dis pas de tout démolir, mais il y a bien moyens de faire des condos et de préserver les sections intéressantes.

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  37. Goldoche

    9 mars 2009 à 18 h 49

    Au fait, j’ai une question et je ne sais pas si certains peuvent me répondre.

    https://maps.google.ca/?ie=UTF8&ll=46.810766,-71.275241&spn=0.011411,0.027895&t=h&z=16

    Au nord de la voie ferrée, mais au sud de la rivière, il y a un grand terrain qui semble vide. Quelqu’un peut-il me dire à ça appartient? Est-ce dans les plans d’agrandissement du cimetière St-Charles?

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  38. Jeff M

    9 mars 2009 à 19 h 19

    « Les luttes politiques entre pro et anti-densification ne vont pas
    seulement ce répéter, mais aussi ce radicaliser. »

    J’ai souvent l’impression que ce sont de petits groupes d’opposant qui réussissent à se faire parler d’eux. Notamment avec le projet de la cité verte, j’ai jamais eu l’impression que l’opposition était réellement forte. Et la plupart des projets de condo se réalisent sans histoire. Car après tout, oui il y a de la place à l’intérieur de la ville. Je ne crois pas que ces luttes seront toujours des plus fratricides.

    Y’a aussi certaines nouvelles façon de faire que l’on devra considérer. Par exemple, à cetains endroits aux États-Unis on a construit des immeubles de condominiums dans des stationnements de centres commerciaux.

    Je suis beaucoup moins alarmiste que certains car je considère que l’adaptation possible de nos pratiques, de nos aménagements et ultimement de nos valeurs offre une marge de manoeuvre qui me semble sous estimée. Surtout que Québec ne me paraît pas un cas extrême.

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  39. Manu

    9 mars 2009 à 20 h 15

    @Goldoche : ça appartient en effet à la Corporation Cimetière St-Charles

    http://geo.ville.quebec.qc.ca/carte_int/scripts/centroide.asp?msl=5589

    Quant à l’emprise d’autoroute à l’Ancienne-Lorette, qui avait même donné lieu à des expropriations en 1974 il me semble, je crois que le MTQ (ou les villes qui l’ont reprise?) veut la conserver au cas où on voudrait y tracer un boulevard jusqu’à l’aéroport par exemple. D’ailleurs, les viaducs d’Henri IV au-dessus de cette route fantôme y sont toujours et on continue de les entretenir…

    @Erick : il me semble que Hydro-Québec ne voulait pas qu’on y construise le stationnement pour le stade de soccer. Je ne me souviens plus pourquoi (en fait, je ne suis même pas sûr qu’on sache pourquoi) mais il me semble pourtant que ça serait à l’avantage de la société d’état, qui aurait alors ce bout là de moins à défricher de temps en temps.

    @ArtByte et Fernand : Totalement d’accord qu’on pourrait récupérer des terrains de cette façon!

    Il y a tellement de lignes partout à Québec. Juste entre l’important poste « à la hauteur de Jean-Talon (qui semble être relié à la Baie James, à la Côte Nord et à toute la rive-sud) et le plus petit à Vanier, je crois qu’il y a trois corridors différents. Et souvent, il ne sont rectilignes que par pertits segments. L’idée d’Erick est bien bonne, mais quand les lignes sont continuellement segmentées, une reconversion n’est plus vraiment indiquée.

    J’imagine que puisque les lignes ont été construites à différents moments, l’emprise des corridors existants n’était jamais assez large et il fallait alors tracer d’autres corridors… Allez voir à l’extrémité Est de l’avenue Chauveau (avant Bastien), les lignes forment un rectangle autour de maisons au nord puis d’un champ (qui ne le sera plus très longtemps) au sud. Un peu à l’ouest, entre Robert-Bourassa et l’Ormière, on traverse il y a 3 lignes est-ouest en parcourant seulement 1,7km sur ces boulevards. Il y a sûrement moyen d’en regrouper quelques-uns là, d’autant plus que ce secteur est en plein développement.

    Ce me fait penser que dans le PDAD ou autre plan du genre, on parlait de l’emprise qui traverse la moitié nord de Duberger et Vanier. La moitié de celle-ci a été libérée, et on voulait y construire un lien routier est-ouest, de Robert-Bourassa à Lauretienne. Rien à voir avec le présent sujet toutefois… et la « ligne de Fernand » est en effet un horreur de ligne électrique à Québec. Ça aurait du être passé le long de l’autoroute de la Capitale puis enfoui sous le Boulevard des Chutes vers l’est (tant qu’à avoir retapé tout le boulevard il y a quelques années il me semble…). J’en reviens jamais à chaque fois que je passe par là…

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  40. dave deux

    9 mars 2009 à 20 h 24

    JeffM@
    Ce sont effectivement de petit groupe d’opposant spécifique a chaque projet, ceux qui sont directement concerné. mais mis
    bout a bout cela fait pas mal plus de monde. Mais le prometteur
    qui veut construire, c’est pas non plus beaucoup de monde.
    En fait contrairement au petit groupe d’opposant il est tout seul
    e réussis néamoins a faire parler de lui.

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  41. jeff

    9 mars 2009 à 20 h 30

    Je crois que quand il n’y a plus de place pour bâtir, il faut bâtir en hauteur. C’est la seule solution au manque d’espace.On pourrais y construires des tours à logement abordables pour les familles.

    On en est rendu à ce point là et que l’on le veuille ou pas il faut bâtir en hauteur dans les prochaines année pour combler cette pénurie d’habitation. Regardez a montréal y batissent en hauteur et ce n’est pas un problème pour la ville , c’est plutôt une solution au manque d’espace et je crois que Québec devrais faire de même.

    Il y a aussi des terrains occupé par des grosses ligne aérienne de fils électrique un peu partout à Québec, disons à St-Foy , Lebourgneuf et Neufchatel. Si ces lignes aérienne disparaissais bien on gagnerais plusieur terrain pour bâtir de nouvelles maisons unifamilliale.

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  42. dave deux

    9 mars 2009 à 20 h 42

    Non bâtir en hauteur n’est pas la solution. Gaspillage inutile des
    ressources. Il faut auto-régulé l’expansion démographique en
    fonction des capacités de l’environnement , simple logique.
    Bordel c’est facile a comprendre. Si vous vous lancé dans la construction, tout va être a recommencé dans 10 ans. Il faut apprendre a géré la décroissance démographique. Vous voulez
    transformé Québec en cage a poule???

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  43. Fernand

    9 mars 2009 à 21 h 12

    Pour la ferme MSA c’est le site de la Neuro-Cité.

    Il demeure au nord de la Capitale des terres appartenant aux soeurs de la Charité qui sont encore en friche. Elles louent aux maraichers de Beauport car la ferme est fermée et la maind ‘oeuvre (les fous) sont désinstitutionnalisés. Il demuere que juste le champ entre le petit village et Bourg-Royal jusqu’à louisXIV, uil y a de l’espace pour deux mill maisons. Le corridot àr du Boulevard loiret est une autre alternative. La parie Beauport de ce boulevard est en partie développée mais la partiràe Charlesbourd est en champ vague paeàrce que qu’un groupuscule de citoyebàn de Charlesbourg ne veulent pas que le boul Loiret se rende jusqu’à Louis XIV ce qui décongestionnerait tout le secteir de la montagne Des Roches qui s’est developpé au nord de Louis XIV.

    Y a de la place à développer. il s’agit qu’on n’ait pas trop d’écolos qui gèlent les projets…

    On est en Amérique pas au Japon pour s’entasser les uns sur les autres. Vous savez les arpents de neige…

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  44. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    9 mars 2009 à 22 h 37

    En guise de réflexion sur un sujet qu ej’ai souvent abordé dans québec Urbain:

    « Des quartiers à échelle humaine

    «La ville idéale doit offrir au plus grand nombre de gens possible la possibilité d’habiter dans un quartier à échelle humaine, où l’on retrouve des commerces, des services de proximité, des emplois si possible, et qui est irrigué par des moyens de transport autres que l’automobile», renchérit Florence Junca-Adenot, professeure au Département d’études urbaines et touristiques et ex-présidente de l’Agence métropolitaine de transport.

    «Les quartiers comme Outremont, le Plateau Mont-Royal ou Saint-Jean-Baptiste à Québec, où les gens font leurs courses à pied, où ils peuvent prendre un café au coin de la rue et se rendre au travail à vélo sont ceux où la valeur des propriétés augmente le plus», note Alexandre Turgeon (B.Sc. urbanisme, 93), président de l’organisme Vivre en ville, un regroupement qui milite pour un aménagement urbain, rural et villageois viable. «Si leur valeur augmente, c’est parce qu’il n’y en a pas assez.»  »

    Source: http://www.uqam.ca/entrevues/entrevue.php?id=356

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  45. dave deux

    10 mars 2009 à 06 h 23

    M.Gazes l’augmentation des propriétés n’est que symbolique et
    n’apporte rien a leurs propriétaires. Autrement dit ce n’est pas
    une source de profit.
    Petit calcul, disons que vous avez acheté en 1990 une propriété
    de $150,000 dans St-Jean-Baptiste et que 30 ans plus tard elle
    en vaut $400,000. A ce moment vous vous dites je veux profiter
    de la vie avant de crever, c’est le temps de profiter de mon investissement et vous revendez votre maison $400,000. Vous me suivez? Vous avez un beau $400,000 ou $500,000 peu importe.
    Il faut quand que vous logiez, si possible dans le même quartier
    ce qui est un réflexe normal et subitement vous vous rendez
    compte que.
    1/ Que vous devez vous loger et que les maisons de votre
    quartier on subit la même hausse
    2/Que vous êtes trop vieux pour profiter de votre investisse-
    ment
    3/Ce que vous croyez être un investissement ne vous donnes
    pas la liberté escompté au bout de ligne
    4/Que c’est votre succession qui va profiter de votre labeur.
    5/Que vous avez travailler toute votre vie pour un bidule qui
    au bout de la ligne n’a servis qu’à remplir les coffres des
    banques et des municipalités et que vous avez passé vos
    fin de semaine a réparer çi et ça
    Et voilà c’est le résumer de la misérable vie de plusieurs
    d’entres-vous. Sur ce, excellente journée

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  46. dave deux

    10 mars 2009 à 06 h 34

    En passant Fernand, tu veux développé sur des terres agricoles
    qui est considéré par l’ONU (tout comme pour l’eau) une des biens les plus précieux de l’humanité. Disons que je considéres ton propos comme immorale et indécent. Tu me fait penser aux vieux politiciens des années 70 qui confondais construction et développement économique Tu devrais t’excuser publiquement
    auprès des gens de ce forum pour avoir tenu de telles insanités.
    Tu n’a pas de vision globale à grande échelle, tu penses trop
    petit, trop locale. Tu agis par instinct pour la satisfaction de ta
    survie quotidienne. Une chance que tu n’est pas gestionnaire de
    projet. Continue a vouloir dilapider le futur de notre jeunesse.
    Sans rancune. Ton grand ami dave

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  47. Ludovic

    10 mars 2009 à 07 h 12

    Dave deux: Je ne pense pas que Jean voulait dire qu’il faille acheter dans les quartiers mentionnés pour profiter de la valeur. Seulement que l’augmentation de la valeur est le reflet d’une demande importante, demande justifiée par l’attrait de ce genre de quartiers et le fait qu’ils représentent une densification agréable d’un quartier. Les quartiers qui sont mentionnés sont parmi les plus denses en Amérique, même s’ils sont généralement dénués de gratte-ciel.

    Je suis aussi de cet avis et je ne crois pas à la densification du type que l’on voit quand on arrive dans certaines villes, où de grosses tours à logements bordent les autoroutes à 25km du centre-ville. Le développement de style « Le Corbusier », ce n’est pas une solution pour une saine densification.

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  48. Sébastien

    10 mars 2009 à 08 h 07

    À vous entendre Dave Deux, faudrait figer la ville comme elle est là et accepter la décroissance, sous prétexte que nous avons atteint notre pleine capacité de développement?? Alors que Québec est la ville de 500 000 habitants et plus la moins dense en Amérique?

    Vous êtes dur à suivre. Donc des villes comme Bordeau, Lyon, Renne en France sont donc trop dense? SJB ou le Plateau, c’est trop dense?

    Je dois avouer que je ne comprends pas votre position, ni d’ailleurs votre indignation face aux idées des autres…

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  49. ArtByte

    10 mars 2009 à 08 h 37

    @Manu:

    J’ajoute comme suggestion une bonne partie des terrains au nord de Soumande à l’ouest de Laurentienne (le poste de transfo) mais surtout la ligne qui par de là et qui longe la Capitale vers l’est. Juste pour les terrains qui longent la 41ième rue au sud, ça vaut la peine d’y penser!

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  50. Erick

    10 mars 2009 à 09 h 09

    @Goldoche
    « Aie les bozos :

    on est au Québec, on a en masse mais en masse d’espace. »

    EXACTEMENT! On est quand même pas au Japon icitte!
    Y a juste ceux qui font une fixation maladive sur l’étalement urbain qui se croient au Japon!

    Voir d’ailleurs cette carte:

    http://pdf.cyberpresse.ca/lesoleil/Carte-Jour1-COUL-COR.pdf

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  51. Fernand

    10 mars 2009 à 09 h 14

    Le président du CRE, Alexandre Turgeon, qui vit dans une coop subventionnée dans SJB n’a pas à nous imposer sa façon de vivre. Nos priorités ne sont pas les mêmes.

    On ne peut avoir seulement des centre-ville dans une communauté urbanisée. Je dis des centre-ville car avec les deux super arrondissements que le maire a créé on a deux centre-ville, un vieux et Ste-Foy…

    Si j’écoute mon cher Alex, faudrait que je déménage à l’ilot Lapointe avec une épée de Damoclès sur la tête, la SSQ…

    Moi je préfère les fleurs de mes plate-bandes, les arbres que j’ai planté pour aménager mon immense cour, ma piscine hors-terre et mon jardin potager. Prendre mon souper sur mon patio ou une bonne froide dans ma balancoire ou flaner dans ma maison climatisée, voilà un havre de bonheur que je ne peux avoir entassé dans un centre-ville surchauffé et suffoquant…

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  52. Erick

    10 mars 2009 à 09 h 14

    @Manu

    « @Erick : il me semble que Hydro-Québec ne voulait pas qu’on y construise le stationnement pour le stade de soccer. »

    Possible que l’utilisation actuelle d’en dessous des lignes soit juste temporaire pour le temps de la construction, mais quand on voit le format gigantesque de ce stade et le terrain qu’il utilise, je me demande bien où est que sera la stationnement s’il n’est pas en dessous des lignes.

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  53. Louis.cho

    10 mars 2009 à 09 h 24

    ayoye dave-deux t’es sur une dérape la: « Et voilà c’est le résumer de la misérable vie de plusieurs
    d’entres-vous. Sur ce, excellente journée »!

    Tant qu’a demander des excuses publique de Fernand, tu devrai aussi te relier desfois.

    selon ton raisonnement, 1-nous n’abonns que notre maison comme investissement dans toute notre vie et 2- quand on déménage, c’est pour une maison identique, aussi grosse, dans le meme cartier et donc 3- il n’est jamais gagnant de faire augmenter la valeure d’un cartier et/ou d’une propriété.

    L’article ne reflète qu’un fait: la ville de québec ne pourra pas se développer de la meme facon dans un avenir proche. La solution n’Est pas de trouver tous les trous pour y « fitter » 3 ou 4 maisons. C’est d’une nouvelle approche qu,il est question.

    en passant, pour ceux qui cite l’Europe: j’aimerai bien, oui, que l’on s’inspire de leurs modèles quelques fois, ils sont effectivement beaucoup plus peuplé qu’ici, mais aussi moins étalé, même dans les plus petites villes.

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  54. jeff

    10 mars 2009 à 11 h 13

    Érik je remarque sur cette carte que St-Augustin est divisé en 2 partie à cause des terres agricole. Faudrais bâtir sur cette zone agricole comme ça ça réunirais ce district. De plus Val-Bélair devrais s’agrandir vers l’ouest et vers le sud pour combler le manque de terrains.

    Il y a en masse de place pour encore bâtir des maisons il s’agit d’agrandir de peu la zone restant à développer tout en protégant une partie des boisée restantes.

    Sur ce ont devraient aussi bâtir en hauteur, c’est ce qui sauverais beaucoup plus d’espace à mon avis.C’est la solution du future.Pensez-y bien.

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  55. jeff

    10 mars 2009 à 11 h 18

    La solution est qu’il faut agrandir St-Augustin De Desmaures, pour combler le manque de terrain.

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  56. Erick

    10 mars 2009 à 12 h 21

    @jeff

    Le terrain boisé à l’ouest de Val-Bélair parait comme une évidence, mais seulement une partie de celui-ci pourrait être bâtit, car l’autre partie c’est le Mont-Bélair.

    Par contre je regarde la zone « agricole » plus au sud qui s’étend de l’autoroute Henri-IV jusqu’à Ste-Catherine. Y en a un bon bout qui n’est même pas cultivé même si c’est « zoné » en tant que tel. Pour moi la logique du gros bons sens serait de convertir ces terres agricoles inutilisées, mais à condition de compenser cette perte en zonant agricole une zone forestière ailleurs.

    A ma connaissance, c’est comme ça que Rabaska a réussi à se faire autoriser par la Commission du Territoire Agricole de bâtir sa maudite cochonnerie sur des terres agricoles ultra fertiles.

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  57. Erick

    10 mars 2009 à 12 h 45

    « 6 – les terrains appartenant au MTQ à l’ancienne-lorette (pour la 40), on sait très bien que ces terrains ne seront jamais utilisés. »

    Ces terrains ont été expropriés pour une structure de transport. Ce serait une erreur grave d’aller gaspiller un tel terrain linéaire en le morcelant de bâtiments, alors que celui-ci aurait la géographie idéale pour un tramway reliant L’Aéroport au Terminus Les Saules et Lebourneuf, avec une piste cyclable une piste piétonnière dans la même emprise.

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  58. Éric

    10 mars 2009 à 20 h 58

    * Voici ce que écrit « dave deux » ,le Troll de Québec Urbain

    @ dave deux

    Parlant d’inconscients, t’en ai un bel exemple et ce à l’état pur!
    Le cul-de-sac dont tu parles,se trouve en faite au niveau de ton cerveau, mais vu tes idées trop préconçuses et ton manque d’auto critique,ya pas de chance que tu puisses t’en apercevoir.

    L’article parle de manque de terrain possible dans la Ville de Québec,voir la région ,espèce d’attardé, on ne parle pas d’en Asie comme c’est le cas dans certains endroits.
    On est au Québec ici, de la place y en a, et je souhaite qu’encore plus de gens immigre et vienne se joindre à nous, en souhaitant un jour que des attardés comme toi avec un discours de « loser »,défaitiste et une avec mentalité rétractère a tout changement comme dans ton genre disparaîssent, voir même se fasse assimiler par des gens ayant plus d’ambitions,de fierté et de vision comme plusieurs de nos nouveaux arrivants.

    Tes commentaires, ou plutôt ton agenda quelle soit de droite ou de gauche, tu peux te la foutre on je pense, de toujours reprendre, de mépriser,de critiquer de pointer les gens à presque chacuns de leurs commentaires, qu’ils soient constructifs ou non ca devient lassant !
    De considérer les autres intervenants comme des imbéciles ou des ignorants dès qu’ils sont pas de ton avis,mais a lire tes commentaires depuis un bout, on voit que l’ignorant et l’abrutis c’est officiellement toi !!!

    De par tes commentaires on voit ta peur,ta lâcheté dans tes arguments toujours réducteurs sur peu importe le projet ou le sujet abordé. Toujours en train de niveler vers le bas, que ce soit pour la grandeur des projet,hauteur d’édifices,les nouvelles idées , et aujourd’hui selon ce sujet,c’est de souhaiter une baisse de la population, bref c’est n’importe quoi à te lire !!!

    T’as vision UNIQUE avec ton idéologie cachée par des oeillères,de comment la société devrait être faite et comment les gens devraient se comporter, garde la donc pour toi même !!!

    Puisque tu sembles aimé projeter l’image d`être un grand humaniste, si tu veux ainsi faire un grand pas pour l’humanité et par ce fait même surement une majorité de lecteurs de Québec Urbain, pourrais tu trouvé une façon de te retrouver 6 pieds sous terre un de ses 4, comme ca ta thèse de souhaiter une baisse de la population à Québec ,au Québec serait plus crédible, dans ce cas-ci ce serait un attardé de moins…toi !!!

    Bon désolé pour ceux qui se sentiront heurté, je ne visais qu’un attardé ( dave deux ) ,par contre il vient un moment donné où c’est asser de lire des énormités et imbécilités sur le net, surtout provenant souvent du/des mêmes individus.

    L’idéal serait de ne plus lui donner de l’importance et de l’ignorer,mais bon la-dessus j’ai manqué ,faute de patience.

    Aux autres gens plus sympatiques qui fréquente le site,bonne lecture!

    Éric

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  59. Éric

    10 mars 2009 à 21 h 12

    ^ Voici finalement ce qu’a écris le Troll de Québec Urbain( dave deux )

    1/Si l,environnement n,est plus capable d,absorbé un surplus de population,pourquoi vouloir absolument désirer que cette population augmente tout prix.A long terme c’est un cul-de-sac économique et écologique.Les gens qui voient dans l,augmentation de la population un accroissement économique sont tout simplement des insconcients sociales.

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  60. Manu

    10 mars 2009 à 21 h 45

    @Erick : non mais où te crois-tu? Ce sont de bien trop bonnes idées pour les proposer. Vaut mieux garder ça secret! Par ailleurs, il faut bien en laisser un peu à espérer pour les générations à venir.

    Trève de cynisme, il faudrait peut-être déplacer le Terminus Les saules plus près de l’autoroute pour minimiser ou éviter les expropriations, mais pour le reste, ça serait super. Resterait à le poursuive jusqu’au centre-ville (c’est un peu serré près de Laurentienne à l’approche de la rivière St-Charles mais on parle depuis déjà plusieurs années de « requalifier » cette autoroute en boulevard au sud de Hamel, alors tant qu’à y être…)

    Pour les amants du tramway en haute-ville, on peut l’ajouter, puis rendu à Ste-Foy, revenir faire un lien vers le nord puis rejoindre Charlebourg vers l’est (et continuer jusqu’à Beauport tant qu’à y être). Ça nous ferait un tramway en Pretzel. Super.

    Ok… pour ce dernier paragraphe je déraillait un peu. Et je m’éloigne surtout pas mal du sujet du billet!

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  61. dave deux

    11 mars 2009 à 06 h 40

    Mon beau Èric je te félicite pour tes arguments comme
    ESPÈCE D’ATTARDÉ, TROLL, 6 PIEDS SOUS TERRE. Je te remercie
    d’appuyer tes argumentations sur des insultes. Tu devrais te
    présenter en politique. C’est a cause de gens comme toi que ce
    forum prend une allure, parfois, de crépage de chignon. Par contre je suis bon prince et je ne répondrais pas a tes insultes car je suis contre toute escalade verbale. Mais je maintien ma position, il est contre-productif a long terme je précise d’orienter nos efforts en vue d’une augmentation de la population. Nous en voyons présentement les résultats dans grandes villes comme Mexico. Los Angeles OK tu vas me dire
    nous en sommes loin je te l’accorde, mais il semble que la région de Québec commence a atteindre son quota, la pénurie
    de terrain le prouve. Donc avant d’entasser sur des petits bouts
    de terrain 2/3 familles sans doute dans qq années, il faut dès
    aujourd’hui cette expansion urbaine est l’arrêter. Simple logique
    mathématique. Finalement je te ferrais remarquer que ton argumentation est la même qu’employait les régimes fascistes
    et nazis des années trente en Europe: peuplement du territoire,
    augmentation de la population, etc. ATTENTION je n’ai pas dit
    que tu était partisant de c’est régimes, mais tu en véhicule
    une partie de l’idéologie, sans doute inconsciemment. Analyse
    bien les conséquences d’une augmentation de la population,
    ne serait-ce que du point de vue strictement environnementale
    et tu verras que je n’ai pas tout a fait tord.
    Bonne journée

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  62. Sébastien

    11 mars 2009 à 08 h 03

    Quel dérapage…

    Dave Deux a écrit :
    « Donc avant d’entasser sur des petits bouts
    de terrain 2/3 familles sans doute dans qq années »

    Et pourquoi pas, Dave deux?

    Je vis au centre-ville dans un bloc de 6 logements sur un terrain, où il y a des familles avec jeunes enfants, et tout le monde s’en porte très bien.

    Donc je te pose la question : pourquoi n’est-il pas concevable de vivre plusieurs familles dans le même édifice, sur le même terrain?

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  63. dave deux

    11 mars 2009 à 08 h 08

    Perso, je n’ai contre. Si tel est votre désir. Mais avouez que ce
    n’est pas le désir de tout le monde de vivre en tribu la preuve
    les bungalows de la banlieue. Il y en a qui aime le collectif, d’autres
    le mode individuel. Chacun son choix.

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  64. Erick

    11 mars 2009 à 10 h 53

    @Manu

    C’est peut-être trop hot comme idée pour être proposée, mais je commence à avoir l’habitude d’en voir des pas mal pire que ça sur QU (…)

    A prime à bord je pensais plutôt lui faire emprunter le boul. L’Ormiere entre La Capitale et le Terminus Les Saules (c’est large en masse), pour ensuite le prolonger en 803, mais ce scénario de descentre sur Masson et Père-Lelièvre et remonter par le boul. Neuviale m’agace au plus haut point – méchant détour. J’ai pensé à un nouveau pont « exclusif au transport en commun » qqpart sur la rivière St-Charles à la hauteur de d’Hydro-Québec, mais le problème c’est que ça tomberait dans un quartier résidentiel de l’autre bord.

    Mettre un tramway entre les voies d’une autoroute comme La Capitale et la Laurentienne est tout à fait faisable. C’est d’ailleurs comme ça que Montréal prévoit aménager son tramway sur la rive-sud, et ce genre de chose se fait aussi avec des métros, comme en banlieue de Toronto par exemple.

    Le problème c’est que ça coûterait une fortune. C’est surtout de passer de l’autoroute Laurentienne à l’autoroute Capitale ou Boul. Lebourgneuf qui est compliqué.

    p.s. le bout étroit de Laurentien sous le viaduc du CN et soumande, jettes-y bien comme il faut un coup d’oeil, il y a quand même trois voies de chaque coté, suffisamment pour y insérer un tramway ou busway et laisser 2 voies aux autos quand même.

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  65. Carol

    11 mars 2009 à 11 h 01

    « L’idéal serait de ne plus lui donner de l’importance et de l’ignorer… »

    En lisant ton dernier commentaire, j’aurais eu le goût de te dire la même chose ;-)

    De juger qu’un être est attardé parce qu’il ne partage point notre opinion… Beurk !

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