Les belles années (suite)

La première photo illustre Place Laurier en 1961. Quant à la carte postale, on y voit le Syndicat de Québec.

Merci à Jean-Pierre Duval.

22 commentaires

Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

7 avril 2009 à 22 h 18

Jean-Pierre DUVAL, mon cher Gérard – pardon1 – Gérald! ;-)

Bravo pour le retour de cette rubrique! Et vous me pardonnerez d’être un peu « téteux », mais du côté de mon blogue, je cherche aussi des photos ou images d’archives illustrant l’histoire récente de Limoilou.

Pour me joindre:
http://www.monlimoilou.com/

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dave deux

8 avril 2009 à 06 h 18

Mon Jean, j’ai une photo pas pire pour toi. C’est une photo
d’intérieur d’une boutique de la 3ème avenue dans les années 20.
Elle est assez » clean » et représente parait-il la femme du
propriétaire Edmond Julien avec 3 vendeuses. J’ai reçu cette
photo d’un tiers qui habite Limoilou et JE NE GARANTIE PAS QUE
LES INFOS SONT A 100% VRAI. La seule info que je possède est que
Edmond julien était un tanneur habitant sur la 2ème vers 1910.
Veux-tu l’avoir, si oui comment?

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Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

8 avril 2009 à 07 h 55

Merci, Dave

Super! Comme c’est de l’histoire « ancienne », je te suggère d’en faire part à Daniel Papillon, de la Société historique de Limoilou et collaborateur occasionnel:

http://www.monlimoilou.com/contact.aspx

Salutations!

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Marie

8 avril 2009 à 08 h 55

Je veux la première pour l’accrocher dans mon salon!!!

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Fernand

8 avril 2009 à 09 h 20

Moi, mon cher Jean, j’ai une photo aérienne du terrain municipal à D’Estimauville. Un beau trou urbanistique…

Il me fera plaisir de vous la faire parvenir…

Je vous ai déjà donné un tuyau sur la construction d’un centre de recherche pour les grands brûlés derrière L’Enfant-Jésus sur De Vitré…

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Gwido

8 avril 2009 à 10 h 20

(En référence à l’édifice du Syndicat)
Quelle idée de dessiner un édifice aux murs aveugles, mis à part quelques minuscules fenêtres! Est-ce que ça se voulait un design « môderne »???

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Jp-Duval

8 avril 2009 à 10 h 56

@ Gwido

La réponse est fort simple…..

À l’époque les magasins existants possédaient de vastes fenêtres sur plusieurs étages ( ref. Eatons ou la baie sur Ste Catherine par exemple)
Après la guerre un nouveau concept fut développé car on avait découvert que la fenestrations avait des effets négatifs sur l’achalandage…En effet, la vue de la température ( soleil ou mauvais temps) pouvaient avoir un effet négatif sur la fréquentation du magasin…Et ce d’autant plus que la présence des fenetres privait le magasin de nombreux pieds carrés de présentation de produits.

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Jp-Duval

8 avril 2009 à 11 h 09

Petit détail….seul les derniers étages sont fenestrés car c’est là que se trouvaient les bureaux administratifs.

Si certains d’entre vous ont des photographies de vieux magasins…Ou même de l’intérieur de ces magasins n’hésitez pas à me faire signe.

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Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

8 avril 2009 à 11 h 19

Notre collaborateur Jean-Pierre Duval m’a remis une autre photo, soit celle du Magasin Pollack, en réponse à l’interrogation de Gwido.

« L’absence de fenêtres était une tendance de l’époque afin de pouvoir économiser sur les coûts de construction/chauffage. Et l’absence de fenêtre pouvait permettre un éclairage uniforme afin de mieux présenter les produits. » (J.-P. Duval).

Merci :)

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Manu

8 avril 2009 à 11 h 39

Dans ce cas, je trouve que c’est bien qu’aujourd’hui on chercher de plus en plus décloisonner visuellement les boutiques en remplaçant ces murs aveugles par de grandes fenêtres (et côté pratique, de nos jours, elle isolent autant du frois qu’un épais mur de « béton plein »). Je pense entre autres à Place Ste-Foy dont le pourtout est en bonne partie en fenêtres (grosso modo, plus c’est récent, plus il y a de fenêtres). D’ailleurs, le Simons présentement en agrandissement ne présentera pas grand mur aveugle.

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Manu

8 avril 2009 à 11 h 40

Oups! trop vite sur le piton, excusez les fautes! cherche, froid…

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Philippe Tremblay

8 avril 2009 à 11 h 45

Excusez mon ignorance, mais où était situé le Pollack? D’après la photo, ca ressemble au coin Charest/Du Pont…

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Jp-Duval

8 avril 2009 à 11 h 58

@ Philippe….

Bingo…..D,ailleurs le nom de l’édifice est resté…Petite anecdote: Cet édifice dont certains étages sont loués par le gouvernement provincial avait jusqu’a il y a encore 2 ans le seul ascenseur en activité non automatisé qui nécessitait un préposé!!!!

Voici un lien qui fut consacré à ce vestige du temps passé:

http://74.125.95.132/search?q=cache:5D6kwjylW4YJ:www.studya.com/formations_metiers/metiers_hors_frontieres/chauffeur_ascenseur.htm+garçon+d,ascenseur+québec&cd=4&hl=fr&ct=clnk&gl=ca

@ Manu…

Mais, en contrepartie, nous voyons apparaitre des Costco, Wall Mart etc qui font tout pour cacher la lumière!!
Mais si je compare le centre d’achat Laurier à l’époque avec les rénovations actuelles où des puits de lumières furent ajoutés je crois que nous avons gagné au change.

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Fernand

8 avril 2009 à 15 h 47

Est-ce qu’il y en a un qui se rappelle que la margelle au dessus du trottoir du Pollack sur Charest avait tombé en plein midi et fait des morts et une vingtaine de blessés ?

Monsieur JP Duval a une très bonne mémoire, je le félicite…

Dans le syndicat, on mettait des murs miroirs partout, ça donnait une impression de grandeur encore plus…

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Jp-Duval

8 avril 2009 à 16 h 44

M. Fernand…C’est à mon tour de vous complimentez sur votre mémoire…L’évènement que vous parlez me revient …Mais je dois avouez que j’en ai seulement de vagues souvenirs.

Pour ce qui est du Syndicat je ne me souviens pas des miroirs…

Mais deux images me reviennent…..L’entrée principale de la Compagnie Paquet. Magnifique entrée fait de marbre où on retrouvait un buste du fondateur de la compagnie: Zéphirin Paquet.

Je me souviens également des ascenseurs d’un de ces magasins…Les portes étaient argentées et il y étaient gravées des feuilles d’érables…???

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Pierre-E. Paradis

8 avril 2009 à 19 h 35

Ce qui frappe en regardant ces photos est la pureté des lignes de ces édifices commerciaux.

Rien à voir avec les fatras de centres commerciaux raboutés sans aucun plan d’ensemble (Place Laurier), sur la façades desquels trop d’enseignes lumineuses entrent en concurrence.

Les magasins des années 45-60 comme le Syndicat avaient des lignes « streamline » qui faisaient en sorte que l’édifice puisse se suffire à lui-même, sans logo.

Rien à voir avec les boîtes carrées des années 65-80. D’ailleurs, la firme SITE avait lancé des concepts innovateurs pour aller au-delà de la boîte carrée:

http://www.metropolismag.com/html/content_0403/bst/index.html

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Jp-Duval

8 avril 2009 à 20 h 18

Vous avez bien raison M. Paradis….

Mais je me dois de défendre les centres d’achats…Le concept original n’était pas d’en faire des oeuvres architecturales….L’important était l’intérieur de l’édifice où l’on cherchait à recréer un milieu de vie urbain…arbres, fontaine, cages d’oiseaux etc.

Aller consulter ce site:

http://mallsofamerica.blogspot.com

L’auteur y présente des photographies des centre commerciaux dans leurs décoration des années 50-60.

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dave deux

9 avril 2009 à 06 h 03

Si le consommateur du 19ème siècle a achetait pas nécessité,
celui d’après guerre (2ème) le fait de façon plus frivole. Le marke-
ting architectural constate ainsi qu’une vitrine dépouillée donne
curieusement envie d’acheter et permet m^me de croitre le
chiffre d,affaire. La façade des magasins donne naissance à un
style « visual front » comme celui du Syndicat. Place au style
Bauhaus. L’impact de l’architecture sur l’achat est maintenant
reconnue dans les années 40 et 50. Tout est fait pour éviter
qu’un élément distrait l’oeil du consommateur. L’édifice du
Syndicat fur le parfait exemple de cette architecture qui
aujourd’hui est fort appréciée en Europe au point que ce genre de façade est depuis qq années protégés en tant qu’oeuvre d’art.

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regis

10 avril 2009 à 23 h 57

et dire que ces laideurs sont encore dans le decor maudit que ces annees les architectes avaient pris leur diplome dans une boite de craquel jack

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Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

11 avril 2009 à 11 h 10

@ Regis

Joyeuses Pâques ! :)

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Gilbert

12 avril 2009 à 13 h 38

regis
10 avril 2009 à 23 h 57

et dire que ces laideurs sont encore dans le decor maudit que ces annees les architectes avaient pris leur diplôme dans une boite de craquer jack

J’abonde dans le même sens que toi regis et dire le contraire serait de la flagornerie!

Joyeuses Pâques à tous!

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Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

12 avril 2009 à 17 h 00

@ Regis et Gilbert

Afin de nous aider tous à mieux comprendre vos propos, auriez-vous des exemples à nous donner ou encore des firmes d’architectes de « ces annees » qui auraient « pris leur diplôme dans une boîte de craquer jack » ? Et de quelles années parlez-vous précisément? 50 ? 60 ? 70? 80 ?

Et qu’est ce « decor maudit » auquel vous faites référence?

Merci de votre collaboration.

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