Source : Thaïs Martel, Québec Hebdo, le 17 avril 2010
Les anciens bureaux de l’entreprise spécialisée dans la recherche clinique sur les médicaments Anapharm sur le boulevard René-Lévesque Ouest pourraient bientôt devenir des condos. L’entreprise Casot Ltée entend transformer le bâtiment commercial en 72 unités de logement si elle obtient de la ville la modification de zonage faisant passer la spécification du terrain de «service administratif» à «logement».
Casot ltée et son vice-président aux opérations, Luc Lévesque, ont ainsi présenté leur demande de modification du zonage lors d’une séance extraordinaire du conseil d’arrondissement de l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge qui a eu lieu le 26 mars denier.
17 avril 2010 à 16 h 32
C’est une bonne idée.
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17 avril 2010 à 17 h 00
Les voisins pourrons difficilement chialer. Ils se plaignaient de la circulation qu’engendrait cet édifice quand a eut lieu le débat sur les condos de la maison Gomin. Une fois tranformé en condo, ce sera nettement mieux.
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17 avril 2010 à 19 h 56
Effectivement, les voisins ne chialeront pas trop, surtout ceux
qui habitent les résidences St-Michel de Sillery et Beth Israel.
PS:C’était ma blague du samedi soir.
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17 avril 2010 à 17 h 25
Je trouve que c’est quand même un peu dommage. C’est le seul édifice à bureau dans ce secteur de la ville et Biovie va probablement opter pour une localisation plus proche des grands centres. Hors, on gagnerait à rendre ce secteur plus commercial afin de créer un lien plus solide entre le centre-ville et Laurier. Je verrais bien quelques édifices à bureaux sur les abords de René Lévesque. On pourrait créer une trame urbaine plus harmonieuse.
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17 avril 2010 à 18 h 07
Bonne idée pour les condos.
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18 avril 2010 à 11 h 37
Francis, Biovie n’est pas une entreprise mais bien le nom du complexe. La plupart des employés sont déjà transférés dans le nouveau siège social d’Anapharm dans le parc technologique. Québec ne perdra donc aucun emploi.
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18 avril 2010 à 11 h 51
Ok je n’avais pas compris cette subtilité dans les termes. Mais ce n’est pas les pertes d’emplois qui m’importe, mais la trame urbaine. Il serait intéressant de développer les abord de René Lévesque en autre chose du résidentiel afin de créer un lien fort entre le centre ville et Laurier.
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18 avril 2010 à 14 h 38
Dans ce coin-là, le cimetière ne s’insèrera jamais dans une trame urbaine dite harmonieuse. Faudra faire avec qu’on le veuille ou non.
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18 avril 2010 à 15 h 18
Oui, mais pour satisfaire les p’tits gars en manque de hauteurs, il faudrait s’inspirer du vieux cimetière juif de Prague : ajouter des couches, ajouter des étages ! ;c)))
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18 avril 2010 à 16 h 50
Réaffecter un cimetière n’est pas une mince affaire, légalement et psychologiquement.
Première, il faut attendre que les baux des « locataires » se finissent. Un bail récent dure 25 années, les plus anciens durent 100 ans, et s’il y a de très vieilles tombes, il peut ne pas y avoir de limite!
Le mieux à faire avec ce cimetière, ça serait de le rendre plus accessible et d’en faire un parc/cimetière. Ensuite, les terrains autour gagnerait d’avantage à être densifié.
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18 avril 2010 à 18 h 11
En fait, on parle de deux cimetières: au nord de René-Lévesque, le cimetière juif et au sud, le cimetière St-Michel de Sillery, lieu de sépulture de René Lévesque. On ne pourrait pas en faire un parc avant d’exproprier ou acheter ces terrains. Et ensuite, désacraliser et réaffecter ces deux lieux impliquerait effectivement des difficultés énormes sinon insurmontables, ne serait-ce que l’exhumation et la translation des restes des nombreuses sépultures présentes. On ne verra pas ça de sitôt.
Il n’est pas toujours possible, heureusement, d’enterrer son histoire sous des immeubles,comme on peut trop souvent le faire au nom du progrès, car nous n’avons jamais enterré nos morts dans des catacombes….
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18 avril 2010 à 20 h 35
C’est en plein ce que je mentionnais dans une de mon intervention
censuré par le spécialiste du ciseau de ce forum. Deux cimetières St-Michel et Beth israël.
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18 avril 2010 à 23 h 02
Me semble qu’il manque d’espaces à bureaux à Québec? Pourquoi ne veut-on pas garder la vocation actuelle de l’édifice?
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